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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 20 juillet 2019

Alex cherche Charlotte : Chapitre 0

Je suis en vacances depuis quelques jours…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Parti loin de mes contraintes quotidiennes, quelle que part autour du globe. Peu de monde sait où, et ça me convient très bien comme ça.
D’ailleurs, même pas moi ne sais si je reviens, où et quand : la vie décidera à ma place, comme elle a toujours fait de ma pauvre destinée sans intérêt.
Néanmoins, je vous laisse quelques billets pour le reste de l’été.
Comme à l’accoutumée en cette période et depuis quelques années, il s’agit d’un roman (sans aucun intérêt pour le destin de l’humanité…).
 
Tout est parti d’un « mystère » assez incroyable : le 4 mars 2018, Sergueï Skripal (ancien agent de renseignement militaire russe puis espion britannique) et sa fille Ioulia Skripal ont été empoisonnés à Salisbury en Angleterre, avec un agent neurotoxique de la classe des Novitchok.
Le 26 mars 2018, Sergueï était toujours dans un état critique et les médecins disaient qu’il ne pourrait pas se remettre entièrement de cet empoisonnement. Ioulia, peu de temps après, a été de nouveau consciente et capable de parler.
Son état n’est plus considéré comme critique dès le 29 mars 2018 et le 6 avril 2018, un mois après, la télévision russe diffuse un entretien téléphonique où Ioulia Skripal dit à sa cousine que tout le monde se porte bien, y compris son père. L’hôpital annonce alors que Sergueï Skripal se rétablit lui aussi et n’est plus dans une condition critique.
 
STOP !
Comment peut-on survivre à un empoisonnement au fameux neurotoxique Novitchok ?
Ne serait-ce que de la « gnognotte » post-soviétique ce terrible gaz mortel ?
Normalement il y avait de quoi tuer toute la région… ou au moins une bonne partie de la ville…
Alors quoi, nous prendrait-on pour des acéphales au QI de pétoncle ?
 
Là, sur le coup et vue la réaction surjouée des pouvoirs publics britanniques dans les jours qui ont suivi, je m’interroge.
Le gouvernement de sa très gracieuse majesté a immédiatement accusé la Russie de tentative de meurtre et a annoncé des sanctions diplomatiques, comme l’expulsion de nombreux diplomates. Le Royaume-Uni a reçu le soutien des États-Unis et de nombreux autres alliés, tandis que la Russie a nié ces accusations…
Les États-Unis, l’Union européenne, l’OTAN, la plupart des pays de l’UE et d'autres pays comme le Canada et l’Australie, ont également pris des mesures pour expulser des diplomates russes. La Russie, rejetant toutes ces accusations, aura accusé le Royaume-Uni d’avoir empoisonné les Skripal.
Les scénarii possibles sont nombreux et les « manipulations » d’information tout autant, et de part et d’autre.
 
On nous montre des images de deux officiers du GRU (l’espionnage militaire russe) qui faisaient du « tourisme » à Salisbury au moment des faits.
Pour rencontrer leur ancien collègue devenu traitre à sa patrie d’origine ?
Pour le retourner une nouvelle fois ou pour l’assassiner une dernière fois ?
Le contre-espionnage britannique aurait-il pris les devant et chercher à « piéger » les russes en goguette sur leur sol ?
Pour quels objectifs ?
Cherchez à qui profite le crime et vous aurez le mobile. De là, vous pourrez tenter de comprendre qui a réalisé cet attentat…
Attentat foiré, faut-il bien immédiatement rajouter.
 
Or, le crime ne profite à personne : ni les Russes, malmenés sur le plan diplomatique et exposés en Syrie, ni le gouvernement de sa royale majesté qui ne saura pas sortir de son « Brexit », ni même les alliés pressés d’expulser des « nuisibles ».
En effet, les « indélicats », il vaut mieux les surveiller tant qu’on les a sous la main : au moins on sait ce qu’ils font, quels sont leurs contacts et on peut en deviner leurs objectifs et … y parer !
Les expulser, c’est renoncer au bénéfice d’un immense travail de surveillance réalisé en amont.
 
Et puis il y a un deuxième décès en juillet. Même produit, même mode opératoire, mais sur une « cible » prise au hasard.
Comme pour compliquer encore un peu plus une enquête étrange, qui ne désigne qu’un seul coupable : les services russes.
Et pas n’importe lesquels : leurs militaires.
Incompréhension de ma part : si un militaire ne sait plus se servir correctement des armes qu’on lui confie, où va-t-on ?
S’il laisse trainer des munitions dans la nature, qu’a-t-il appris dans ses écoles d’officier ?
Les miens – ceux de mon service militaire – obligeaient les sous-officiers à faire ramasser toutes les douilles brûlées lors d’un exercice, même celles « à blanc ».
Pas de traces, jamais.
On comptait et quand il en manquait une seule, on repartait pour la journée pour la retrouver…
 
Inutile de vous dire que c’était largement assez pour que mon « unique neurone » puisse imaginer une opération « sous fausse bannière ».
Et pourquoi pas le FSB contre le GRU ? Les uns manipulant les autres pour un objectif encore plus « souterrain » tel que personne n’y comprendrait jamais rien…
Alors je me suis documenté sur leurs pratiques, opérations et acteurs de l’ombre.
Et j’ai été surpris par la quantité de « matière » déjà existante dans les livres d’Histoire.
Les Russes et les opérations de l’ombre, c’est une très longue histoire de pouvoir qui remonte à Ivan le terrible !
Et qui n’a jamais cessé…
Je vous raconte tout ça dans plusieurs chapitres qui vont suivre cet été : édifiant !
 
Mais le plus intéressant reste tout de même les conséquences « sournoises » de ces turpitudes : un vaste nettoyage d’officiers supérieurs et généraux dans les rangs des services concernés, directement en Russie.
Les maîtres du Kremlin font tous la même chose depuis la Grande Catherine : ils tiennent leurs services en les montants les uns contre les autres. C’est leur façon de se maintenir au pouvoir et c’est « saignant » !
 
Là-dessus, je dois vous dire que je ne comptais pas écrire un nouvel opus des « Enquêtes de Charlotte » depuis « Ultime récit – suite » de l’année dernière. Il y a plusieurs raisons à cela : mon « Gardien » prend en main l’exploitation éditoriale de mes « écrits passés ». Je me sens un peu dépassé pour n’avoir plus la force de faire des romans nouveaux : c’est chronophage à outrance et avec l’âge (et mes pathologies harassantes), je n’en ai plus ni le goût ni la force, ni même l’envie.
Je lui ai confié mes manuscrits et il se débrouille avec, avec seulement jusque-là … deux publications alors qu’il y a la matière à une vingtaine : il n’a plus 20 ans lui non plus.
Passons : lui aussi ne se sent plus la force d’en faire beaucoup plus.
À suivre…
La seconde, c’est que de fournir un « suspens » avec un personnage central qui connaît son avenir (l’aboutissement logique de « Ultime récit – suite »), c’est tuer toute intrigue, puisque les choses sont connues par avance…
Je n’y avais pas songé, jusque-là.
 
Du coup, pour contourner la difficulté, il m’a fallu introduire un nouveau personnage (rencontré à l’automne dernier dans « la vraie vie »). Pour un rôle de fiction, comme d’habitude.
Quoiqu’il s’agisse d’une cascadeuse professionnelle, déjà un peu actrice habituée aux rôles de composition.
Et le scénario s’est mis en place « à trois ». Mon gardien, Alexis Dubois (la nouvelle venue) et moi.
 
Ce n’est donc que la première partie que vous allez retrouver cet été tous les jours qui viennent.
Avec des chapitres un peu décousus, parfois de taille très différente, mais plus courts que par le passé.
Donc plus facile à lire…
La seconde partie fera l’objet d’une écriture un peu différente, puisque je n’y participerai pas ou seulement de loin. Elle prolonge pourtant ce récit dans une même unité d’action.
Les deux, ensemble, feront en principe l’objet d’un ouvrage complet à paraître en autoédition chez Amazon.com, probablement dans le courant de l’automne.
Et moi, je « décroche » enfin !
Je me libère…
 
On en reparlera peut-être… ou peut-être pas !
 
En attendant, je vous souhaite à toutes et tous d’excellentes vacances et une bonne lecture pour la poignée de « fidèles » qui persistent à fréquenter ce blog durant la période estivale.
 
Bien à vous !
 
I3

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