Une hypothèse qui se précise.
Tout d’abord, c’était juste une « hypothèse de
travail » dont personne ne parlait vraiment malgré les hausses de tensions
entre la Chine continentale et Formose.
Tout le monde partant du principe que le parapluie américain est suffisamment dissuasif pour éviter une confrontation.
Pourtant, à Kazan, au dernier sommet des « BRICS+ » (le club des États corrompus) il s’est passé un évènement qui a été totalement occulté par les médias occidentaux qui y ont à peine consacré quelques entrefilets : L’Inde et la Chine, dans une rencontre au sommet historique, venaient de trouver un accord pour mettre fin à leurs rivalités territoriales dans l’Himalaya.
« Depuis 1962, les deux pays se disputent 4.000 kilomètres de frontières sur le toit du monde. Un différend qui se rappelle régulièrement dans leur relation, comme lorsqu’en juin 2020, une vingtaine de soldats indiens et chinois avaient trouvé la mort lorsque deux patrouilles s’étaient croisées » inopportunément.
Les relations entre les capitales étaient depuis au
plus bas, décrites le mois dernier comme « pas terribles » par le
ministre des Affaires étrangères Indien, qui jugeait encore que l’Inde avait un
« problème Chinois ».
Depuis, l’accord annoncé concerne la répartition des patrouilles sur la « ligne de contrôle », une zone tampon où les deux pays n’ont pas le droit d’entrer avec des armes. Il ne règle pas le différend frontalier, mais signe un retour au conflit figé d’avant 2020.
Dans les faits, c’est la Chine qui recule et la Chine ne recule jamais sans raison, et jamais sans une stratégie de temps long. Cela porte le nom de retrait militaire et c’est une rétrocession à l’Inde. Ni plus ni moins.
« L’Armée populaire de libération du PCC se retire de la région du Ladakh, tous les avant-postes et fortifications doivent être démantelés, et toutes les fournitures et équipements doivent être retirés. Ce territoire sera désormais entièrement sous juridiction indienne. »
On ne peut être plus clair. Et c’est sans tirer un seul coup de canon…
Et l’Inde a déjà annoncé la création du territoire de
l’Union du Ladakh. Cette zone équivaut à peu près à trois fois Taïwan et
quarante fois Hong Kong, pour une superficie totale de 90.000 kilomètres carrés,
rien de moins. Mais ce n’est que de la montagne inhospitalière pour l’essentiel.
Tout le monde vous dira que le PCC n’a pas du tout informé le peuple chinois des détails de cet accord avec l’Inde pour « résoudre le conflit frontalier ».
De toute façon, les médias sont contrôlés par le PCC et le public n’a pas le droit de savoir, il est seulement endoctriné et incité à la haine.
Ceux parmi vous qui ont lu « l’Art de la Guerre »
de Sun Tzu, connaissent l’état d’esprit chinois. Avant de reprendre Taïwan et
d’unifier la Chine ce qui est le seul objectif politique d’importance pour
Pékin, il y a des préalables : Notamment faire la paix avec l’Inde, le proxi
« ricain » le plus proche dans la région pour libérer des troupes et
ne pas avoir à mener deux guerres à la fois, au Sud et à l’Est.
Pékin, par cet accord conclu sous l’égide de « Vlad-Poux-tine » (sa frontière Nord), vient sans doute d’enfoncer un coin dans la relation américano-indienne et de s’assurer de la neutralité de New-Delhi en cas d’attaque sur Taïwan.
Quant aux exercices militaires conduits par la Chine ces dernières semaines, les images de communication du PCC (le parti communiste chinois) parlent d’elles-mêmes.
Dès lors, avant même l’élection de « Trompe », qui ne sera effective qu’en janvier 2025, la Chine pourrait vouloir entamer une offensive plus importante et plus réelle pour récupérer Taïwan dans l’intervalle de la transition des administrations « ricaines ».
Ce ne sera peut-être pas une guerre ouverte et frontale mais seulement un blocus très dur avec des escarmouches jusqu’à ce que politiquement Taïwan, accepte la « reddition » avant d’entamer la réunification.
Des sanctions économiques très fortes contre la Chine
seront évidemment prises par tous les alliés de Taïwan. Et en Europe, nous
aurons un second choc inflationniste comme pour la guerre en Ukraine mais en
pire.
C’est tout une bascule : L’atelier du monde est chinois. Vous n’avez que cela même dans les mécanismes de vos montres (y compris « de luxe »). Prochainement, ils seront tous… made in India !
Mais ça, c’était avant la victoire de « Trompe ».
Depuis, les autorités chinoises accentuent la pression et s’en prenne au 47ème
président US et à son bras droit.
Selon les autorités « ricaines » elles-mêmes, des cybercriminels en lien avec la Chine pourraient avoir tenté de s’introduire dans les téléphones ou les réseaux utilisés par « McDo » et son colistier, le sénateur « J’y-vais-Dance ».
Ce sont des informations confirmées par un certain nombre de sources proches du dossier sur la chaîne CBS News. Et la BBC britannique rend également compte de cette affaire.
D’après ces sources (dont il faut toutefois se méfier), le camp républicain aurait reçu un avertissement : Il se pourrait que les téléphones utilisés par le ticket gagnant aient été la cible d’une cyberattaque. En outre, des personnes associées à la campagne « Harissa-Walse » ont également été ciblées, souligne BBC News.
On ne sait toujours pas quelle quantité d’informations et quels messages ont été compromis. Mais ce qui compte, c’est que ça existe…
Une déclaration conjointe du FBI et de la
Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (la CISA) indique que le
gouvernement américain enquête actuellement sur « l’accès non autorisé aux
infrastructures de télécommunications commerciales par des acteurs affiliés à
la République populaire de Chine ».
Du classique : La NSA écoutait bien les conversations de « Mère-Quelle » sans que ça ne gêne l’allié « ricain »…
Mais là, le FBI et la CISA (pas celle de « Charlotte », mais la leur) déclarent qu’après l’identification de « l’activité malveillante », les agences « ont immédiatement informé les entreprises concernées, fourni une assistance technique et partagé rapidement des informations pour aider d’autres victimes potentielles », ajoutant que l’enquête était en cours.
Et dès les résultats du scrutin du 5 novembre dernier connus, le président « Xi-Ping-pong » a appelé « McDo-Trompe » pour le féliciter chaleureusement pour sa victoire tout en le mettant en garde contre les conséquences d’une relation conflictuelle : On ne sait jamais…
Car le « 47ème » a promis
d’accentuer la guerre commerciale. Même si diplomatiquement, Pékin pourrait
trouver des avantages à une présidence républicaine.
Car ils nourrissent aussi l’espoir de tirer une épingle du jeu diplomatique à venir avec Washington sous influence « Make America Great Again ».
« Une relation (sino-ricaine) conflictuelle serait dommageable pour tous, alors que l’Histoire nous apprend qu’une coopération est bénéfique pour les deux pays », a soutenu « Xi » auprès du vainqueur de la présidentielle ricaine lors de l’appel passé jeudi dernier pour le féliciter.
Certes…
Mais la coopération ne semble pas être au menu des
républicains. « La ligne directrice de la politique chinoise va devenir
encore plus dure », a prédit le directeur adjoint du Mercator
Institute for China Studies (Merics), l’un des principaux cercles de réflexion
sur la Chine en Europe, lors d’un point-presse organisé jeudi sur la Chine et
l’Europe face à « McDo ».
La faute, en grande partie, aux hommes du futur président. Aux États-Unis, « tout dépend des personnes que le président choisit pour s’entourer », souligne un spécialiste. Or, en l’espèce, la garde rapprochée de « Trompe » « ne manque pas de faucons hostiles à la Chine ».
Plusieurs poids lourds du camp « anti-Chine » aux États-Unis sont pressentis pour occuper des postes clés au gouvernement : Il est ainsi question du grand retour de « Mic-Pompe-à-eau », l’ex-chef de la diplomatie de « Trompe » en 2018, ou encore de « Light-hiver », qui a été le conseiller au commerce extérieur de « Trompe » lors de son passage à la Maison Blanche.
Et tous les deux sont perçus à Pékin comme des ennemis de la Chine.
Le durcissement de la position « ricaine »
passera probablement et tout d’abord par l’économie. Et plus précisément les
droits de douane. En 2016 déjà, « McDo » avait ouvert le feu
commercial contre Beijing en dégainant cette arme économique, établissant des
taxes de 20 % sur la plupart des importations de Chine.
Cette fois-ci, il a promis durant la campagne d’imposer des droits de douane de 60 % sur l’ensemble des importations chinoises que devront supporter ses citoyens. « Une mesure d’une telle ampleur représenterait une très sérieuse détérioration des relations entre les deux pays ». Sanctionner ainsi les entreprises exportatrices chinoises serait un coup très dur pour la Chine, qui souffre déjà d’un fort ralentissement économique, tant que ça pourrait ralentir les ventes, sur le moment.
Mais c’était prévu : Pékin se tourne déjà vers l’UE, la Russie risquant de devenir insolvable dans les prochains mois…
Or, l’UE est déjà la cible de l’Inde… de Formose et de la Korée.
Faire la guerre ou un blocus sur la route maritime qui traverse l’archipel des Philippines où déjà les patrouilleurs chinois s’opposent aux pêcheurs locaux, c’est une façon de mettre la pression en réplique sur Washington et sa menace des droits de douane.
Tout est donc prêt pour un affrontement.
Cette menace de droits de douane à 60 % pourrait d’ailleurs
représenter plutôt « un point de départ pour une future négociation »,
estime-t-on par ailleurs. Effectivement, une fois atteint ce niveau, l’administration
américaine n’ira probablement pas plus haut (parce que ça resterait inefficace)
et peut-être même pas aussi haut dans un premier temps, mais « s’il est
clair qu’il faut s’attendre à des nouveaux droits de douane, cela signifie
aussi une hausse des prix aux États-Unis pour les consommateurs ».
Le panier de la ménagère « ricaine » est, en effet, constitué en grande partie de produits fabriqués en Chine ou contenant des composants chinois.
Toutefois, « Donald Trump n’est pas sensible à cette perspective, car il pense que les baisses d’impôt qu’il prévoit pour les plus riches et les grands groupes va pousser ces derniers à répercuter ces économies sur les prix de leurs produits » ce qui est probablement une perspective fausse : Les mêmes ont aussi des actionnaires qu’il convient de bichonner en contrepartie de leur perte de pouvoir d’achat…
Ainsi, le nouveau conflit commercial sera forcément plus
violent parce que cette fois-ci, « la Chine est mieux préparée et
davantage disposée à répliquer (à des mesures hostiles américaines :
Elle s’est même défaussée d’une large partie de la détention des bonds du
trésor fédéral) en visant des sociétés spécifiques ».
Pékin pourrait très bien, si nécessaire, faire pression sur « Élan-Must » en mettant des bâtons dans les roues du développement de Tesla, le fabricant de voitures électriques, en Chine.
Si, économiquement, la Chine s’attend à prendre des coups, « elle peut espérer profiter diplomatiquement d’une seconde présidence de Donald Trump », juge un autre spécialiste. En Asie, par exemple, pour contenir les ambitions chinoises, « Joe Biden avait mis en place un réseau structuré d’alliances, de pactes défensifs avec des alliés dans la région indopacifique, plus spécifiquement avec le Japon, la Corée du Sud ou encore l’Australie ». Or, « Trompe » n’a pas la réputation de s’appuyer sur des alliés.
Pour autant, là encore, « il y a des individus dans son entourage, comme Elbridge Colby qui militent pour une augmentation des dépenses militaires en Asie, voire pour allouer davantage de moyens à cette région qu’à l’Europe ».
Et tout cela est déjà anticipé par les autorités de Pékin et d’ailleurs, bien naturellement.
D’autant qu’il y a aussi des dossiers où les autorités
chinoises peuvent espérer prendre l’avantage. En commençant justement par la
question de Taïwan. « Impossible de savoir quelle sera la stratégie
d’une future présidence Trump, et durant la campagne, il a fait des
déclarations qui ont pu laisser planer le doute sur son engagement en faveur de
l’île ».
Il s’est ainsi plaint que Taïwan, un des principaux fournisseurs de puces informatiques dans le monde, « avait volé » le marché stratégique des semi-conducteurs aux États-Unis. Il a aussi suggéré que le territoire revendiqué par la Chine devrait « payer pour avoir la protection américaine ».
Une manière de suggérer que le sort de Taïwan est négociable à condition d’y mettre le prix ?
« La stratégie américaine à l’égard de Taïwan est tellement ancrée dans la continuité que même Donald Trump ne pourra probablement pas revenir dessus », estime-t-on par ailleurs.
En revanche, Pékin connaît bien ce qu’on appelle le « transactionnalisme radical de Donald Trump ». Pour le directeur adjoint du Merics, la Chine peut tenter de rendre Trump « great again sur la scène internationale » en contrepartie de quelques concessions.
Dans un monde secoué par les guerres, les Chinois peuvent, par exemple, essayer de faire pression sur la Russie pour arriver à une paix avec l’Ukraine au moment du retour à la Maison Blanche du milliardaire républicain.
Mais c’est à mon sens parfaitement illusoire : À chacun ses opinions…
Une manière de permettre à « Trompe » de soigner son image de « faiseur de paix ».
En retour, le futur président « ricain » pourrait laisser Pékin avancer son agenda de « réunification pacifique ».
Qui commencerait par des manœuvres d’intimidation et se poursuivrait par la menace d’un blocus.
Ce qui permettrait à la Chine de regarder aussi de
très près la réaction européenne. « Il y a des chances qu’une seconde
présidence de Donald Trump crée des fissures dans le camp occidental, que Pékin
pourrait exploiter. La Chine pourrait notamment tenter de relancer une
collaboration plus étroite avec l’Europe ou certains de ses membres »,
résume un spécialiste.
Et il est vrai que la dernière réunion des dirigeants de l’UE sous la présidence « d’Or-Bahn » montre des dissensions.
D’ici à ce que les chinois soient tentés par le coup de force d’une « politique » du « fait accompli » – ce qu’aura raté « Poux-tine » aux premiers jours de la guerre en Ukraine en février 2022, mais aura parfaitement réussi sur la Crimée – il n’y a pas loin.
Et, je l’affirmais la semaine dernière : Il y a une « fenêtre de tir » entre désormais et la passation de pouvoir à Washington prévue le mardi 20 janvier prochain… là où le pouvoir peut être vu comme « bancal » et incertain…
Je vous avais dit alors que j’y reviendrai : C’est
fait !
Je tiens parole, l’ayant reprise en la tenant, je la redonnerai au moment opportun (parce que je n’en ai qu’une et quand je la donne, je n’en ai plus…)
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Tout le monde partant du principe que le parapluie américain est suffisamment dissuasif pour éviter une confrontation.
Pourtant, à Kazan, au dernier sommet des « BRICS+ » (le club des États corrompus) il s’est passé un évènement qui a été totalement occulté par les médias occidentaux qui y ont à peine consacré quelques entrefilets : L’Inde et la Chine, dans une rencontre au sommet historique, venaient de trouver un accord pour mettre fin à leurs rivalités territoriales dans l’Himalaya.
« Depuis 1962, les deux pays se disputent 4.000 kilomètres de frontières sur le toit du monde. Un différend qui se rappelle régulièrement dans leur relation, comme lorsqu’en juin 2020, une vingtaine de soldats indiens et chinois avaient trouvé la mort lorsque deux patrouilles s’étaient croisées » inopportunément.
Depuis, l’accord annoncé concerne la répartition des patrouilles sur la « ligne de contrôle », une zone tampon où les deux pays n’ont pas le droit d’entrer avec des armes. Il ne règle pas le différend frontalier, mais signe un retour au conflit figé d’avant 2020.
Dans les faits, c’est la Chine qui recule et la Chine ne recule jamais sans raison, et jamais sans une stratégie de temps long. Cela porte le nom de retrait militaire et c’est une rétrocession à l’Inde. Ni plus ni moins.
« L’Armée populaire de libération du PCC se retire de la région du Ladakh, tous les avant-postes et fortifications doivent être démantelés, et toutes les fournitures et équipements doivent être retirés. Ce territoire sera désormais entièrement sous juridiction indienne. »
On ne peut être plus clair. Et c’est sans tirer un seul coup de canon…
Tout le monde vous dira que le PCC n’a pas du tout informé le peuple chinois des détails de cet accord avec l’Inde pour « résoudre le conflit frontalier ».
De toute façon, les médias sont contrôlés par le PCC et le public n’a pas le droit de savoir, il est seulement endoctriné et incité à la haine.
Pékin, par cet accord conclu sous l’égide de « Vlad-Poux-tine » (sa frontière Nord), vient sans doute d’enfoncer un coin dans la relation américano-indienne et de s’assurer de la neutralité de New-Delhi en cas d’attaque sur Taïwan.
Quant aux exercices militaires conduits par la Chine ces dernières semaines, les images de communication du PCC (le parti communiste chinois) parlent d’elles-mêmes.
Dès lors, avant même l’élection de « Trompe », qui ne sera effective qu’en janvier 2025, la Chine pourrait vouloir entamer une offensive plus importante et plus réelle pour récupérer Taïwan dans l’intervalle de la transition des administrations « ricaines ».
Ce ne sera peut-être pas une guerre ouverte et frontale mais seulement un blocus très dur avec des escarmouches jusqu’à ce que politiquement Taïwan, accepte la « reddition » avant d’entamer la réunification.
C’est tout une bascule : L’atelier du monde est chinois. Vous n’avez que cela même dans les mécanismes de vos montres (y compris « de luxe »). Prochainement, ils seront tous… made in India !
Selon les autorités « ricaines » elles-mêmes, des cybercriminels en lien avec la Chine pourraient avoir tenté de s’introduire dans les téléphones ou les réseaux utilisés par « McDo » et son colistier, le sénateur « J’y-vais-Dance ».
Ce sont des informations confirmées par un certain nombre de sources proches du dossier sur la chaîne CBS News. Et la BBC britannique rend également compte de cette affaire.
D’après ces sources (dont il faut toutefois se méfier), le camp républicain aurait reçu un avertissement : Il se pourrait que les téléphones utilisés par le ticket gagnant aient été la cible d’une cyberattaque. En outre, des personnes associées à la campagne « Harissa-Walse » ont également été ciblées, souligne BBC News.
On ne sait toujours pas quelle quantité d’informations et quels messages ont été compromis. Mais ce qui compte, c’est que ça existe…
Du classique : La NSA écoutait bien les conversations de « Mère-Quelle » sans que ça ne gêne l’allié « ricain »…
Mais là, le FBI et la CISA (pas celle de « Charlotte », mais la leur) déclarent qu’après l’identification de « l’activité malveillante », les agences « ont immédiatement informé les entreprises concernées, fourni une assistance technique et partagé rapidement des informations pour aider d’autres victimes potentielles », ajoutant que l’enquête était en cours.
Et dès les résultats du scrutin du 5 novembre dernier connus, le président « Xi-Ping-pong » a appelé « McDo-Trompe » pour le féliciter chaleureusement pour sa victoire tout en le mettant en garde contre les conséquences d’une relation conflictuelle : On ne sait jamais…
Car ils nourrissent aussi l’espoir de tirer une épingle du jeu diplomatique à venir avec Washington sous influence « Make America Great Again ».
« Une relation (sino-ricaine) conflictuelle serait dommageable pour tous, alors que l’Histoire nous apprend qu’une coopération est bénéfique pour les deux pays », a soutenu « Xi » auprès du vainqueur de la présidentielle ricaine lors de l’appel passé jeudi dernier pour le féliciter.
Certes…
La faute, en grande partie, aux hommes du futur président. Aux États-Unis, « tout dépend des personnes que le président choisit pour s’entourer », souligne un spécialiste. Or, en l’espèce, la garde rapprochée de « Trompe » « ne manque pas de faucons hostiles à la Chine ».
Plusieurs poids lourds du camp « anti-Chine » aux États-Unis sont pressentis pour occuper des postes clés au gouvernement : Il est ainsi question du grand retour de « Mic-Pompe-à-eau », l’ex-chef de la diplomatie de « Trompe » en 2018, ou encore de « Light-hiver », qui a été le conseiller au commerce extérieur de « Trompe » lors de son passage à la Maison Blanche.
Et tous les deux sont perçus à Pékin comme des ennemis de la Chine.
Cette fois-ci, il a promis durant la campagne d’imposer des droits de douane de 60 % sur l’ensemble des importations chinoises que devront supporter ses citoyens. « Une mesure d’une telle ampleur représenterait une très sérieuse détérioration des relations entre les deux pays ». Sanctionner ainsi les entreprises exportatrices chinoises serait un coup très dur pour la Chine, qui souffre déjà d’un fort ralentissement économique, tant que ça pourrait ralentir les ventes, sur le moment.
Mais c’était prévu : Pékin se tourne déjà vers l’UE, la Russie risquant de devenir insolvable dans les prochains mois…
Or, l’UE est déjà la cible de l’Inde… de Formose et de la Korée.
Faire la guerre ou un blocus sur la route maritime qui traverse l’archipel des Philippines où déjà les patrouilleurs chinois s’opposent aux pêcheurs locaux, c’est une façon de mettre la pression en réplique sur Washington et sa menace des droits de douane.
Tout est donc prêt pour un affrontement.
Le panier de la ménagère « ricaine » est, en effet, constitué en grande partie de produits fabriqués en Chine ou contenant des composants chinois.
Toutefois, « Donald Trump n’est pas sensible à cette perspective, car il pense que les baisses d’impôt qu’il prévoit pour les plus riches et les grands groupes va pousser ces derniers à répercuter ces économies sur les prix de leurs produits » ce qui est probablement une perspective fausse : Les mêmes ont aussi des actionnaires qu’il convient de bichonner en contrepartie de leur perte de pouvoir d’achat…
Pékin pourrait très bien, si nécessaire, faire pression sur « Élan-Must » en mettant des bâtons dans les roues du développement de Tesla, le fabricant de voitures électriques, en Chine.
Si, économiquement, la Chine s’attend à prendre des coups, « elle peut espérer profiter diplomatiquement d’une seconde présidence de Donald Trump », juge un autre spécialiste. En Asie, par exemple, pour contenir les ambitions chinoises, « Joe Biden avait mis en place un réseau structuré d’alliances, de pactes défensifs avec des alliés dans la région indopacifique, plus spécifiquement avec le Japon, la Corée du Sud ou encore l’Australie ». Or, « Trompe » n’a pas la réputation de s’appuyer sur des alliés.
Pour autant, là encore, « il y a des individus dans son entourage, comme Elbridge Colby qui militent pour une augmentation des dépenses militaires en Asie, voire pour allouer davantage de moyens à cette région qu’à l’Europe ».
Et tout cela est déjà anticipé par les autorités de Pékin et d’ailleurs, bien naturellement.
Il s’est ainsi plaint que Taïwan, un des principaux fournisseurs de puces informatiques dans le monde, « avait volé » le marché stratégique des semi-conducteurs aux États-Unis. Il a aussi suggéré que le territoire revendiqué par la Chine devrait « payer pour avoir la protection américaine ».
Une manière de suggérer que le sort de Taïwan est négociable à condition d’y mettre le prix ?
« La stratégie américaine à l’égard de Taïwan est tellement ancrée dans la continuité que même Donald Trump ne pourra probablement pas revenir dessus », estime-t-on par ailleurs.
En revanche, Pékin connaît bien ce qu’on appelle le « transactionnalisme radical de Donald Trump ». Pour le directeur adjoint du Merics, la Chine peut tenter de rendre Trump « great again sur la scène internationale » en contrepartie de quelques concessions.
Dans un monde secoué par les guerres, les Chinois peuvent, par exemple, essayer de faire pression sur la Russie pour arriver à une paix avec l’Ukraine au moment du retour à la Maison Blanche du milliardaire républicain.
Mais c’est à mon sens parfaitement illusoire : À chacun ses opinions…
Une manière de permettre à « Trompe » de soigner son image de « faiseur de paix ».
En retour, le futur président « ricain » pourrait laisser Pékin avancer son agenda de « réunification pacifique ».
Qui commencerait par des manœuvres d’intimidation et se poursuivrait par la menace d’un blocus.
Et il est vrai que la dernière réunion des dirigeants de l’UE sous la présidence « d’Or-Bahn » montre des dissensions.
D’ici à ce que les chinois soient tentés par le coup de force d’une « politique » du « fait accompli » – ce qu’aura raté « Poux-tine » aux premiers jours de la guerre en Ukraine en février 2022, mais aura parfaitement réussi sur la Crimée – il n’y a pas loin.
Et, je l’affirmais la semaine dernière : Il y a une « fenêtre de tir » entre désormais et la passation de pouvoir à Washington prévue le mardi 20 janvier prochain… là où le pouvoir peut être vu comme « bancal » et incertain…
Je tiens parole, l’ayant reprise en la tenant, je la redonnerai au moment opportun (parce que je n’en ai qu’une et quand je la donne, je n’en ai plus…)
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)