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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 13 novembre 2024

Invasion de Taïwan au mois de décembre…

Une hypothèse qui se précise.
 
Tout d’abord, c’était juste une « hypothèse de travail » dont personne ne parlait vraiment malgré les hausses de tensions entre la Chine continentale et Formose.
Tout le monde partant du principe que le parapluie américain est suffisamment dissuasif pour éviter une confrontation.
Pourtant, à Kazan, au dernier sommet des « BRICS+ » (le club des États corrompus) il s’est passé un évènement qui a été totalement occulté par les médias occidentaux qui y ont à peine consacré quelques entrefilets : L’Inde et la Chine, dans une rencontre au sommet historique, venaient de trouver un accord pour mettre fin à leurs rivalités territoriales dans l’Himalaya.
« Depuis 1962, les deux pays se disputent 4.000 kilomètres de frontières sur le toit du monde. Un différend qui se rappelle régulièrement dans leur relation, comme lorsqu’en juin 2020, une vingtaine de soldats indiens et chinois avaient trouvé la mort lorsque deux patrouilles s’étaient croisées » inopportunément.
 
Les relations entre les capitales étaient depuis au plus bas, décrites le mois dernier comme « pas terribles » par le ministre des Affaires étrangères Indien, qui jugeait encore que l’Inde avait un « problème Chinois ».
Depuis, l’accord annoncé concerne la répartition des patrouilles sur la « ligne de contrôle », une zone tampon où les deux pays n’ont pas le droit d’entrer avec des armes. Il ne règle pas le différend frontalier, mais signe un retour au conflit figé d’avant 2020.
Dans les faits, c’est la Chine qui recule et la Chine ne recule jamais sans raison, et jamais sans une stratégie de temps long. Cela porte le nom de retrait militaire et c’est une rétrocession à l’Inde. Ni plus ni moins.
« L’Armée populaire de libération du PCC se retire de la région du Ladakh, tous les avant-postes et fortifications doivent être démantelés, et toutes les fournitures et équipements doivent être retirés. Ce territoire sera désormais entièrement sous juridiction indienne. »
On ne peut être plus clair. Et c’est sans tirer un seul coup de canon…
 
Et l’Inde a déjà annoncé la création du territoire de l’Union du Ladakh. Cette zone équivaut à peu près à trois fois Taïwan et quarante fois Hong Kong, pour une superficie totale de 90.000 kilomètres carrés, rien de moins. Mais ce n’est que de la montagne inhospitalière pour l’essentiel.
Tout le monde vous dira que le PCC n’a pas du tout informé le peuple chinois des détails de cet accord avec l’Inde pour « résoudre le conflit frontalier ».
De toute façon, les médias sont contrôlés par le PCC et le public n’a pas le droit de savoir, il est seulement endoctriné et incité à la haine.
 
Ceux parmi vous qui ont lu « l’Art de la Guerre » de Sun Tzu, connaissent l’état d’esprit chinois. Avant de reprendre Taïwan et d’unifier la Chine ce qui est le seul objectif politique d’importance pour Pékin, il y a des préalables : Notamment faire la paix avec l’Inde, le proxi « ricain » le plus proche dans la région pour libérer des troupes et ne pas avoir à mener deux guerres à la fois, au Sud et à l’Est.
Pékin, par cet accord conclu sous l’égide de « Vlad-Poux-tine » (sa frontière Nord), vient sans doute d’enfoncer un coin dans la relation américano-indienne et de s’assurer de la neutralité de New-Delhi en cas d’attaque sur Taïwan.
Quant aux exercices militaires conduits par la Chine ces dernières semaines, les images de communication du PCC (le parti communiste chinois) parlent d’elles-mêmes.
Dès lors, avant même l’élection de « Trompe », qui ne sera effective qu’en janvier 2025, la Chine pourrait vouloir entamer une offensive plus importante et plus réelle pour récupérer Taïwan dans l’intervalle de la transition des administrations « ricaines ».
Ce ne sera peut-être pas une guerre ouverte et frontale mais seulement un blocus très dur avec des escarmouches jusqu’à ce que politiquement Taïwan, accepte la « reddition » avant d’entamer la réunification.
 
Des sanctions économiques très fortes contre la Chine seront évidemment prises par tous les alliés de Taïwan. Et en Europe, nous aurons un second choc inflationniste comme pour la guerre en Ukraine mais en pire.
C’est tout une bascule : L’atelier du monde est chinois. Vous n’avez que cela même dans les mécanismes de vos montres (y compris « de luxe »). Prochainement, ils seront tous… made in India !
 
Mais ça, c’était avant la victoire de « Trompe ». Depuis, les autorités chinoises accentuent la pression et s’en prenne au 47ème président US et à son bras droit.
Selon les autorités « ricaines » elles-mêmes, des cybercriminels en lien avec la Chine pourraient avoir tenté de s’introduire dans les téléphones ou les réseaux utilisés par « McDo » et son colistier, le sénateur « J’y-vais-Dance ».
Ce sont des informations confirmées par un certain nombre de sources proches du dossier sur la chaîne CBS News. Et la BBC britannique rend également compte de cette affaire.
D’après ces sources (dont il faut toutefois se méfier), le camp républicain aurait reçu un avertissement : Il se pourrait que les téléphones utilisés par le ticket gagnant aient été la cible d’une cyberattaque. En outre, des personnes associées à la campagne « Harissa-Walse » ont également été ciblées, souligne BBC News.
On ne sait toujours pas quelle quantité d’informations et quels messages ont été compromis. Mais ce qui compte, c’est que ça existe…
 
Une déclaration conjointe du FBI et de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (la CISA) indique que le gouvernement américain enquête actuellement sur « l’accès non autorisé aux infrastructures de télécommunications commerciales par des acteurs affiliés à la République populaire de Chine ».
Du classique : La NSA écoutait bien les conversations de « Mère-Quelle » sans que ça ne gêne l’allié « ricain »…
Mais là, le FBI et la CISA (pas celle de « Charlotte », mais la leur) déclarent qu’après l’identification de « l’activité malveillante », les agences « ont immédiatement informé les entreprises concernées, fourni une assistance technique et partagé rapidement des informations pour aider d’autres victimes potentielles », ajoutant que l’enquête était en cours.
Et dès les résultats du scrutin du 5 novembre dernier connus, le président « Xi-Ping-pong » a appelé « McDo-Trompe » pour le féliciter chaleureusement pour sa victoire tout en le mettant en garde contre les conséquences d’une relation conflictuelle : On ne sait jamais…
 
Car le « 47ème » a promis d’accentuer la guerre commerciale. Même si diplomatiquement, Pékin pourrait trouver des avantages à une présidence républicaine.
Car ils nourrissent aussi l’espoir de tirer une épingle du jeu diplomatique à venir avec Washington sous influence « Make America Great Again ».
« Une relation (sino-ricaine) conflictuelle serait dommageable pour tous, alors que l’Histoire nous apprend qu’une coopération est bénéfique pour les deux pays », a soutenu « Xi » auprès du vainqueur de la présidentielle ricaine lors de l’appel passé jeudi dernier pour le féliciter.
Certes…
 
Mais la coopération ne semble pas être au menu des républicains. « La ligne directrice de la politique chinoise va devenir encore plus dure », a prédit le directeur adjoint du Mercator Institute for China Studies (Merics), l’un des principaux cercles de réflexion sur la Chine en Europe, lors d’un point-presse organisé jeudi sur la Chine et l’Europe face à « McDo ».
La faute, en grande partie, aux hommes du futur président. Aux États-Unis, « tout dépend des personnes que le président choisit pour s’entourer », souligne un spécialiste. Or, en l’espèce, la garde rapprochée de « Trompe » « ne manque pas de faucons hostiles à la Chine ».
Plusieurs poids lourds du camp « anti-Chine » aux États-Unis sont pressentis pour occuper des postes clés au gouvernement : Il est ainsi question du grand retour de « Mic-Pompe-à-eau », l’ex-chef de la diplomatie de « Trompe » en 2018, ou encore de « Light-hiver », qui a été le conseiller au commerce extérieur de « Trompe » lors de son passage à la Maison Blanche.
Et tous les deux sont perçus à Pékin comme des ennemis de la Chine.
 
Le durcissement de la position « ricaine » passera probablement et tout d’abord par l’économie. Et plus précisément les droits de douane. En 2016 déjà, « McDo » avait ouvert le feu commercial contre Beijing en dégainant cette arme économique, établissant des taxes de 20 % sur la plupart des importations de Chine.
Cette fois-ci, il a promis durant la campagne d’imposer des droits de douane de 60 % sur l’ensemble des importations chinoises que devront supporter ses citoyens. « Une mesure d’une telle ampleur représenterait une très sérieuse détérioration des relations entre les deux pays ». Sanctionner ainsi les entreprises exportatrices chinoises serait un coup très dur pour la Chine, qui souffre déjà d’un fort ralentissement économique, tant que ça pourrait ralentir les ventes, sur le moment.
Mais c’était prévu : Pékin se tourne déjà vers l’UE, la Russie risquant de devenir insolvable dans les prochains mois…
Or, l’UE est déjà la cible de l’Inde… de Formose et de la Korée.
Faire la guerre ou un blocus sur la route maritime qui traverse l’archipel des Philippines où déjà les patrouilleurs chinois s’opposent aux pêcheurs locaux, c’est une façon de mettre la pression en réplique sur Washington et sa menace des droits de douane.
Tout est donc prêt pour un affrontement.
 
Cette menace de droits de douane à 60 % pourrait d’ailleurs représenter plutôt « un point de départ pour une future négociation », estime-t-on par ailleurs. Effectivement, une fois atteint ce niveau, l’administration américaine n’ira probablement pas plus haut (parce que ça resterait inefficace) et peut-être même pas aussi haut dans un premier temps, mais « s’il est clair qu’il faut s’attendre à des nouveaux droits de douane, cela signifie aussi une hausse des prix aux États-Unis pour les consommateurs ».
Le panier de la ménagère « ricaine » est, en effet, constitué en grande partie de produits fabriqués en Chine ou contenant des composants chinois.
Toutefois, « Donald Trump n’est pas sensible à cette perspective, car il pense que les baisses d’impôt qu’il prévoit pour les plus riches et les grands groupes va pousser ces derniers à répercuter ces économies sur les prix de leurs produits » ce qui est probablement une perspective fausse : Les mêmes ont aussi des actionnaires qu’il convient de bichonner en contrepartie de leur perte de pouvoir d’achat…
 
Ainsi, le nouveau conflit commercial sera forcément plus violent parce que cette fois-ci, « la Chine est mieux préparée et davantage disposée à répliquer (à des mesures hostiles américaines : Elle s’est même défaussée d’une large partie de la détention des bonds du trésor fédéral) en visant des sociétés spécifiques ».
Pékin pourrait très bien, si nécessaire, faire pression sur « Élan-Must » en mettant des bâtons dans les roues du développement de Tesla, le fabricant de voitures électriques, en Chine.
Si, économiquement, la Chine s’attend à prendre des coups, « elle peut espérer profiter diplomatiquement d’une seconde présidence de Donald Trump », juge un autre spécialiste. En Asie, par exemple, pour contenir les ambitions chinoises, « Joe Biden avait mis en place un réseau structuré d’alliances, de pactes défensifs avec des alliés dans la région indopacifique, plus spécifiquement avec le Japon, la Corée du Sud ou encore l’Australie ». Or, « Trompe » n’a pas la réputation de s’appuyer sur des alliés.
Pour autant, là encore, « il y a des individus dans son entourage, comme Elbridge Colby qui militent pour une augmentation des dépenses militaires en Asie, voire pour allouer davantage de moyens à cette région qu’à l’Europe ».
Et tout cela est déjà anticipé par les autorités de Pékin et d’ailleurs, bien naturellement.
 
D’autant qu’il y a aussi des dossiers où les autorités chinoises peuvent espérer prendre l’avantage. En commençant justement par la question de Taïwan. « Impossible de savoir quelle sera la stratégie d’une future présidence Trump, et durant la campagne, il a fait des déclarations qui ont pu laisser planer le doute sur son engagement en faveur de l’île ».
Il s’est ainsi plaint que Taïwan, un des principaux fournisseurs de puces informatiques dans le monde, « avait volé » le marché stratégique des semi-conducteurs aux États-Unis. Il a aussi suggéré que le territoire revendiqué par la Chine devrait « payer pour avoir la protection américaine ».
Une manière de suggérer que le sort de Taïwan est négociable à condition d’y mettre le prix ?
« La stratégie américaine à l’égard de Taïwan est tellement ancrée dans la continuité que même Donald Trump ne pourra probablement pas revenir dessus », estime-t-on par ailleurs.
En revanche, Pékin connaît bien ce qu’on appelle le « transactionnalisme radical de Donald Trump ». Pour le directeur adjoint du Merics, la Chine peut tenter de rendre Trump « great again sur la scène internationale » en contrepartie de quelques concessions.
Dans un monde secoué par les guerres, les Chinois peuvent, par exemple, essayer de faire pression sur la Russie pour arriver à une paix avec l’Ukraine au moment du retour à la Maison Blanche du milliardaire républicain.
Mais c’est à mon sens parfaitement illusoire : À chacun ses opinions…
Une manière de permettre à « Trompe » de soigner son image de « faiseur de paix ».
En retour, le futur président « ricain » pourrait laisser Pékin avancer son agenda de « réunification pacifique ».
Qui commencerait par des manœuvres d’intimidation et se poursuivrait par la menace d’un blocus.
 
Ce qui permettrait à la Chine de regarder aussi de très près la réaction européenne. « Il y a des chances qu’une seconde présidence de Donald Trump crée des fissures dans le camp occidental, que Pékin pourrait exploiter. La Chine pourrait notamment tenter de relancer une collaboration plus étroite avec l’Europe ou certains de ses membres », résume un spécialiste.
Et il est vrai que la dernière réunion des dirigeants de l’UE sous la présidence « d’Or-Bahn » montre des dissensions.
D’ici à ce que les chinois soient tentés par le coup de force d’une « politique » du « fait accompli » – ce qu’aura raté « Poux-tine » aux premiers jours de la guerre en Ukraine en février 2022, mais aura parfaitement réussi sur la Crimée – il n’y a pas loin.
Et, je l’affirmais la semaine dernière : Il y a une « fenêtre de tir » entre désormais et la passation de pouvoir à Washington prévue le mardi 20 janvier prochain… là où le pouvoir peut être vu comme « bancal » et incertain…  
 
Je vous avais dit alors que j’y reviendrai : C’est fait !
Je tiens parole, l’ayant reprise en la tenant, je la redonnerai au moment opportun (parce que je n’en ai qu’une et quand je la donne, je n’en ai plus…)
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

mardi 12 novembre 2024

L’élite du pays en goguette à Rabat

Qui sont-ils ?
 
À savoir seulement 122 « personnalités » choisis pour accompagner « Jupiter » à l’occasion de son escapade au Maroc pour représenter ce que mon pays fait de mieux en matière de « beauté et d’intelligence » (comme dirait un des participants, ex-sinistre de « Mythe-errant » et actuel patron renouvelé de l’institut du monde arabe, sis sur les bords de Seine, coincé entre la préfecture et la fac de Jussieu).
Quel ahurissement pour le Roy en exercice des Marocains ?
Heureusement que le royaume a besoin des produits manufacturiers que la « Gauloisie-olympique » sait fabriquer à pas trop cher et qu’il accueille volontiers les usines des mêmes sur son territoire pour avoir une main-d’œuvre pas trop chère à proposer…
S’est-il seulement rendu compte de l’affront qu’il lui était fait, du crachat qu’on lui projetait à la tronche en l’obligeant à recevoir cette « élite »… délitée ?
Je ne sais pas, et je pense que non : Il aura probablement été flatté après avoir offert l’exil politique à tant d’autres, tel que « Déesse-khâ » ou « De-la-Nuée »…
 
Parce que plusieurs de ces 122 personnalités ont un casier judiciaire plus long que le bras et parce que « Benne-Allah », surnommé « le Belphégor de l’Élysée » par un des proches du président, n’a pas été mis dans les valises du « patron ».
Mais… mais, on y retrouve « François-Marie-Bar-nier », cet « excellent écrivain » et photographe condamné en 2016 à quatre ans de prison avec sursis et 375.000 euros d’amende pour abus de faiblesse sur la personne de « Lili-Bête-en-cours », l’héritière du groupe L’Oréal : De la graine de potence, comme « Benne-Allah ».
Une condamnation qui fait figure de petite tape sur le dessus de la main comparée aux centaines de millions d’euros qu’il aura soutirés à cette dame : Son patrimoine personnel pèserait désormais et encore plus de 60 millions d’euros, après paiement des arriérés et des amendes !
Bien payé, finalement… d’autant qu’il va en reconnaissance au Maroc dans le « Carlita-one » comme d’une cerise sur le gâteau de sa répparition dans la « jet-set » tricolore…
 
Il y a aussi « M’jid El-Guerre-arabe ». Je n’ai rien contre cet ex-député « LREM-même-pas-en-rêve » que je ne connais d’ailleurs pas (et c’est probablement réciproque), mais lui aussi a été condamné en 2023, à un an de prison ferme pour violences volontaires avec arme par destination, en l’espèce pour avoir agressé un ancien camarade du « P.Soce » à coups de casque de moto.
Je n’ai rien contre le « P.Soce », ces sociaux-traites de la gôche-caviar qui ne savent rien de la lutte des classes (ou trop bien pour l’avoir transformée en « lutte des places »), mais ce genre d’initiative peut abîmer les casques de moto qui servent à protéger des vies…
D’où cette condamnation méritée et ce petit voyage de compensation aux frais du kon-tribuable…
J’adore l’idée : Il aurait pu taper plus fort, non ?
 
Troisième repris de justice, « Jean-Marc-Beau-Raie-l’eau » que vous connaissez bien. Cet « empereur du monde associatif » tricolore, pour être dirigeant rémunéré de plusieurs centaines d’association (où les dirigeants et autres membres sont des bénévoles non-rémunrés) dès lors qu’elles ont du pognon ou un patrimoine à valoriser.
Groupe SOS regroupe pas moins de 750 associations, entreprises sociales et établissements qui justement, officiellement, intervient au profit de personnes en situation de vulnérabilité et dont le siège est à deux pas d’un cirque (pas un hasard…), celui d’Hiver Bouglione, le sieur aura été condamné en 1999 à six mois d’emprisonnement avec sursis pour avoir facilité l’usage illicite de drogue au « Palace », une boite de nuit parisienne dont il était le gérant. Lui aussi aura mérité d’être dans les valises de « Jupiter ».
Il faut vous dire qu’après avoir été « prof’ » de « Jupiter » (un conférencier sur l’économie sociale parmi d’autres à Sciences-Pô), il fait partie des « visiteurs du soir » du palais de l’Élysée avec quelques autres, comme « Mimi-Marchand » (elle-même condamnée et ayant fait de la prison, mais pas dans l’avion, mais ses photographes probablement que si), et même de soirées « holé-holé » alors que « Jupiter » n’était que banquier…
Plus récemment, « JMB » aura été accusé de harcèlement sexuel alors qu’il a été l’administrateur de l’institut « Les Tournelles », un centre de rééducation pour délinquants dont le directeur a été lui-même condamné à douze ans de réclusion criminelle pour actes pédophiles sur un des pensionnaires, au terme d’un procès lors duquel de nombreux témoignages avancèrent une implication de « Beau-Raie-l’eau » dans ces actes au minimum de manière passive.
C’est vous dire, si c’est un habitué des « parties fines » où il recrute sa chair fraîche d’un soir parmi son personnel à l’occasion des « fêtes d’entreprises », et qu’il y est précédé d’une réputation sulfureuse.
 
Et, est-ce parce que cette liste des personnalités choisies par « Jupiter » pour l’accompagner au Maroc nous amène de fait à parler de pédophilie, ou est-ce parce qu’il est Président de l’Institut du monde arabe (depuis 2013 et reconduit pour trois ans tout récemment par « Jupiter »), d’Jack Lang était également de la partie.
Lui n’a jamais été condamné par la justice. Cependant, il demeure néanmoins signataire de la Tribune pour la pédophilie que Le Monde a publiée en 1977.
Si, si : Il a lui aussi une « sexualité à problème »… (il faut dire qu’avec sa tronche, quand il ne la maquille pas comme une poupée… passons, tout le monde n’est pas forcément aidé par la nature !). « C’était une connerie ! », avait-il déclaré à ce sujet le 18 janvier 2021.
Les hasards ont des effets curieux, car c’est même la défense que « Mord-en-Vit-nie », dans son procès pour harcèlement sexuel sur mineur et pour incitation d’un mineur à la débauche, qui a accouché de sa condamnation à un an de prison avec sursis.
 
Enfin, le quatrième, c’est « Bassine-Bel-avatar ». Un humoriste Gauloisien-marocain que même « J’ordonne-Bordel-là » taxe d’être « proche des antisémites du Collectif contre l’islamophobie en France », a été condamné, lui, en 2023, à quatre mois de prison avec sursis, pour menaces de mort et harcèlement moral contre plusieurs personnes du monde du spectacle, une condamnation dont il n’a pas interjeté appel estimant probablement que c’est plutôt un encouragement à persister…
Mince ! Quatre sur 122, 3,2 %, c’est tout de même 3 fois plus que les 72.000 incarcérés sur 66 millions de « Gauloisiens-olympiques » que contient le pays (Dom-Tom inclus).
Quelle image, mais quelle image pour la diplomatie de mon pays !
Dans ces conditions, peut-on vraiment adhérer à l’analyse qui aura été proclamée : « Elles sont là pour faire rayonner la France et participer à un soft power. »
 
Et encore, je ne vous compte pas « Rachi-Dada-Mimi », maire à double nationalité du 7ème arrondissement de la kapitale (en campagne électorale permanente) qui œuvre aussi au rayonnement « kul-turel » de la « Gauloisie-olympique », qui n’est condamnée à rien, mais soupçonnée par la justice de mon pays de savoir faire du fric sur le dos de clients exsangues qui confondent leurs cartes bleues personnelles et des entreprises qu’ils dirigent (900 K€ d’honoraires, en plus de ses indemnités d’élue et même maintenant de « sinistre » : Elle a une fille à charge et une nombreuse famille dont certains membres sont des délinquants notoires)… qui l’a joué « Esméralda » en prévoyant de faire payer les entrées au barnum de la cathédrale de « Paris-olympique » : On va y revenir…
Mais comme me disait une députée « LREM-même-pas-en-rêve » (qui en est revenue après en avoir bavé durant 5 ans), tant que « Bal-Ka-Nie » n’est pas définitivement condamné, il est réputé innocent…  et peut rester Maire de sa paroisse.
 
Et puis s’ajoute à tout cela le fort relent de déjà vu, qui émane de la présence systématique dans les bagages de « Jupiter », en déplacement officiel et autre visite d’État » du couple « La sublime Ariel-le-baril-de-lessive »/« Bé-hache-aile » ».
Une présence qui est en sus totalement contraire au « soft power » concernant ce dernier s’étant fait l’architecte oratoire d’absolument toutes les guerres militaires menées par la « Gauloisie-olympique » depuis 40 ans : Liban, ex-Yougoslavie, première guerre du Golfe et surtout, la guerre en Libye, et depuis dernièrement celle du Donetsk (où il a été question d’envoyer la troupe) et désormais celle de Gaza où nos casques-bleus vont devoir intervenir dans les semaines à venir)
Là, où il passe, de toute façon il ne reste que ruines et souffrances…
Je serai le roi du Maroc, franchement, celui-là, je ne l’autorise même pas à venir faire le touriste sur le territoire du pays.
À la limite, « kouche-nerf », son prédécesseur dans l’humanitaire-spectacle, mais à condition qu’il vienne avec un sac de riz sur l’épaule…
 
Cette guerre de Libye, justement, légitimée au faux-prétexte d’apporter la démocratie dans ce pays, l’aura transformé en un champ de ruines. Les combats y ont fait des centaines de milliers de morts, et ils continuent d’en faire à foison 13 ans plus tard.
Le but premier des « saigneurs »-de-guerre, les vrais criminels de cette guerre, était de transférer la manne pétrolière libyenne, du patrimoine du peuple libyen à celui des entreprises pétrolières américaines, britanniques et « Gauloisiennes-olympiques » qui ont hérité des concessions par la force.
Le but accessoire et pareillement atteint de cette guerre était de faire sauter « le verrou libyen » (c’est-à-dire le blocage des clandestins subsahariens par la Libye effectif tant que « Mouammar-El-Kadhafi était au pouvoir), pour permettre la venue dans les pays de l’Union européenne, de millions de migrants sahéliens.
Car le pays a besoin de bras pour payer les retraites des soixante-huitards qui n’ont jamais rien foutu de leur vie (sauf Action Directe et autres groupuscules débordés par les « fous d’Allah ») car ils n’ont même plus fait assez de gosses…
 
Une délégation pour le moins curieuse et incongrue, qui, si elle avait été affrétée autrement que par les avions présidentiels, aurait réellement peiné à passer la douane sans encombre.
 
« Rachi-Dada-Mimi », pour y revenir, toujours le cirage des pompes en main, et plus si affinités, qui lui a valu d’être reconduite par « Jupiter » dans l’exercice de sa fonction dans l’actuel gouvernement : « Sinistre de la Kul-ture et-du-patrimoine », s’il vous plait, aura eu une idée géniale, qui s’inscrit pleinement dans cette façon de penser des élus du peuple que sont les politiciens, qui est de faire payer les gueux, ou tondre les moutons qu’elle appelle à cracher au bassinet.
Sont visés 75 millions à racketter aux croyants, pour « sauver » leurs églises.
Qu’il y en aura bien également pour quelques mosquées et synagogues, imagine-je… le jour venu.
Nos églises en valent probablement la peine, mais ce n’est qu’une goutte d’eau d’un long fleuve de « dépenses sans compter », entre le « quoiqu’il en coûte » et les 38 milliards promis à l’Ukraine.
À cause de « Poux-tine » et des coûts engendrés par ses inepties anti-Ukrainiennes, avec tout ce pognon dépensé en explosifs et munitions létales, on aurait pu sauver toutes nos églises et on aurait également pu sauver nos agriculteurs, sauver nos hôpitaux, sauver tous nos services publics et redresser le pays.
 
Mais non, la « potestas » publique est et sera toujours et à jamais détournée de ses objectifs premiers, de sa fonction essentielle (au sens de la racine de son existence) par des crétins qui se permettent de faire n’importe quoi avec du « pognon pas à eux ».
Ce voyage, c’était probablement nécessaire, mais le « soft power » pouvait probablement s’exprimer plus intelligemment : On a bien réussi une magnifique vitrine avec la cérémonie d’ouverture des JO il y a quelques mois.
Qui certes aura coûté nettement plus cher qu’un convoi d’avions présidentiel (plus les hôtels et restaurations qui vont avec), mais au moins, c’était fait par des professionnels dont le métier de clown ou de chorégraphe était un art sublimé de « faire du beau », de l’enchanteur.
Là, nos clowns restent des amateurs, hors quelques « pro-de-la-politique » rémunérés pour ça… qui ne savent plus faire rire (ou par inadvertance), ni enchanter qui que ce soit.
Triste époque que cette « élite » qui se délite…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

lundi 11 novembre 2024

Pendant que vous festoyez l’armistice…

D’autres cherchent les traces de la vie extraterrestre
 
Avec cette question :  Et si la vie extraterrestre n’avait peut-être pas besoin d’une planète pour se soutenir ?
Question idiote ? Car à première vue, les planètes semblent être les endroits idéaux pour trouver de la vie.
Après tout, le seul endroit connu où la vie est scientifiquement prouvée dans le vaste cosmos, ça reste la surface de la Terre.
Et la Terre est plutôt sympa.
Notre planète possède un puits gravitationnel profond qui maintient tout en place (ralentit, un tout petit peu, le temps qui passe) et une atmosphère épaisse qui garde les températures de surface dans les bonnes plages pour maintenir l’eau liquide.
Nous disposons en plus d’une abondance d’éléments comme le carbone et l’oxygène pour former les éléments constitutifs des organismes biologiques. Et nous avons beaucoup de soleil qui rayonne vers nous (surtout l’été sur les plages de Balagne, juste ce qu’il faut pour « mes estives »), fournissant ainsi une source essentiellement illimitée d’énergie gratuite (et pas encore taxée).
 
Or, c’est à partir de cette configuration de base que nous organisons nos recherches de vie ailleurs dans l’univers. Bien sûr, il peut y avoir des environnements exotiques ou des chimies folles, mais nous supposons toujours que la vie existe sur les planètes parce que les planètes sont si naturellement bien adaptées à la vie telle que nous la connaissons que ce n’est pas la peine de se creuser plus que ça le neurone.
Toutefois, dans un récent pré-article accepté pour publication dans la revue Astrobiology, des chercheurs (candidat au statut de « trouveurs ») remettent en question cette hypothèse de base en se demandant s’il n’est pas possible de construire un environnement qui permet à la vie de prospérer sans le support d’une planète.
Et cette idée n’est pas aussi folle qu’elle en a l’air. En fait, nous avons déjà un exemple de créatures vivant dans l’espace sans planète : Les astronautes à bord de la Station spatiale internationale !
Ces astronautes ont besoin d’énormes quantités de ressources terrestres qui doivent être constamment transportées vers eux, mais les humains sont des créatures incroyablement complexes.
 
Peut-être que des organismes plus simples pourraient le gérer par eux-mêmes. Ainsi, au moins un organisme connu, les minuscules tardigrades aquatiques, sont capables de survivre dans le vide de l’espace.
Mais toutes les communautés d’organismes dans l’espace doivent relever plusieurs défis. Tout d’abord, ils doivent maintenir une pression intérieure contre le vide de l’espace. Ainsi, une colonie spatiale devrait former une membrane ou une coquille.
Heureusement, ce n’est pas si grave. C’est la même différence de pression que celle entre la surface de l’eau et une profondeur d’environ 10 mètres : Pas un drame, même pour mes tympans.
Et de nombreux organismes, microscopiques et macroscopiques, peuvent gérer ces différences assez facilement : J’y arrive bien avec quelques manipulations nasales…
 
Le défi suivant est de maintenir une température suffisamment chaude pour disposer d’eau liquide. La Terre y parvient grâce à l’effet de serre (si décrié) de l’atmosphère, ce qui ne sera pas une option possible pour une colonie spatiale biologique beaucoup plus petite.
Mais les auteurs soulignent ainsi que des organismes existants, comme la fourmi argentée du Sahara (Cataglyphis bombycina), peuvent réguler leur température interne en faisant varier les longueurs d’onde de lumière qu’ils absorbent et celles qu’ils réfléchissent – en substance, créant un effet de serre sans atmosphère.
Ainsi, la membrane externe d’une colonie d’organismes flottant librement devrait atteindre les mêmes capacités sélectives.
 
Ensuite, ils devraient surmonter la perte d’éléments légers. Les planètes conservent leurs éléments par la simple force de gravité, mais une colonie organique aurait du mal à faire cela sans cette précieuse aide de la physique gravitationnelle. De façon très optimiste, il faudrait tout de même constater qu’une colonie perdrait des éléments légers au cours de dizaines de milliers d’années : Elle devrait donc trouver des moyens de se reconstituer.
Mais à cœur vaillant… rien d’impossible.
 
Enfin, la colonie biologique devrait être positionnée dans la zone habitable de son étoile, pour accéder au plus grand nombre possible de rayons solaires, sans cramer par irradiation.
En ce qui concerne les autres ressources, comme le carbone ou l’oxygène, la colonie devrait commencer par un approvisionnement régulier, comme un astéroïde, puis passer à un système de recyclage en boucle fermée parmi ses différents composants pour se maintenir à long terme, autrement dit réinventer l’économie circulaire…
 
En mettant tout cela ensemble, les chercheurs brossent le portrait d’un organisme, ou d’une colonie d’organismes, flottant librement dans l’espace. Cette structure pourrait mesurer jusqu’à 100 m de diamètre (pas bien gros à l’échelle du cosmos…), et elle serait contenue par une coquille mince, dure et transparente. Cette coquille stabiliserait son eau intérieure à la bonne pression et à la bonne température et lui permettrait de maintenir un effet de serre.
Que de tels organismes puissent exister ou non dans l’univers, cette recherche a de toute façon des implications importantes pour les futures entreprises humaines dans l’espace.
Alors que nous construisons actuellement des habitats avec du métal et alimentons nos stations avec de l’air, de la nourriture et de l’eau transportés depuis la Terre, les habitats futurs pourraient par exemple utiliser des matériaux issus de la bio-ingénierie pour créer des écosystèmes autonomes.
 
Car la vie exige la répétition de réactions chimiques. Or, décrire tous les types de réactions et de conditions requises pour la répétition auto-entretenue – appelée autocatalyse – pourrait concentrer la recherche de la vie sur d’autres planètes.
Ainsi, il est logique de penser que des réactions chimiques auto-entretenues qui pourraient soutenir une biologie radicalement différente de la vie telle que nous la connaissons et pourraient exister sur de nombreuses planètes différentes en utilisant une variété d’éléments au-delà du carbone sur lequel la vie de la Terre est basée.
 
Sur Terre, la vie est en effet basée sur des composés organiques. Ces molécules sont composées de carbone et comprennent souvent d’autres éléments tels que l’hydrogène, l’oxygène, l’azote, le phosphore et le soufre.
Pas beaucoup plus.
Et les « futurs-trouveurs » se demandent si la vie extraterrestre pourrait évoluer sur la base d’une chimie significativement différente.
Par exemple, les chercheurs ont longtemps spéculé sur le silicium (fort abondant et chimiquement intéressant avec ses nombreuses valences stables) qui pourrait également servir d’épine dorsale pour la biologie.
« Il est important d’explorer ces possibilités afin que nous ayons une idée de ce à quoi peuvent ressembler toutes les formes de vie, pas seulement la vie sur Terre », déclare Betül Kaçar, astrobiologiste, bactériologiste et biologiste de l’évolution à l’Université du Wisconsin-Madison.
 
Les réactions autocatalytiques, auto-entretenues, peuvent produire des molécules qui encouragent la même réaction à se reproduire, un peu comme des colonies de lapins qui… lapinent.
« L’une des principales raisons pour lesquelles les chercheurs sur l’origine de la vie s’intéressent à l’autocatalyse est que la reproduction – une caractéristique clé de la vie – est un exemple d’autocatalyse », a déclaré Kaçar (précité).
« La vie catalyse la formation de plus de vie. Une cellule produit deux cellules, qui peuvent devenir quatre et ainsi de suite. Au fur et à mesure que le nombre de cellules se multiplie, le nombre et la diversité des interactions possibles se multiplient en conséquence. »
On a bien compris la dynamique des lapins : Reste la contrainte d’un « monde » fermé, sans ressource extérieur…
Mais j’avoue que mes plantes enfermées dans un bocal étanche à l’abri du chat, avec seulement de la lumière qui anime le tout, c’est déjà un bon exemple de vie autonome extraterrestre…
Peu importe pour le moment : Dans leur nouvelle étude, les chercheurs ont recherché des autocatalyses au-delà des composés organiques. Et ils ont estimé que l’autocatalyse pourrait aider à conduire à l’abiogenèse – l’origine de la vie à partir de l’absence de vie (le souffle divin, celui du plafond de la Chapelle Sixtine).
 
Ces scientifiques se sont concentrés sur ce qu’on appelle les cycles de proportionnalité, qui peuvent générer plusieurs copies d’une molécule. Ces produits peuvent être utilisés comme matériaux de départ pour aider ces cycles à se reproduire, ce qui entraîne une autocatalyse.
Et « la co-proportionnalité est sans doute unique parce qu’il s’agit d’une réaction unique qui produit des multiples d’une sortie – elle ressemble beaucoup à la reproduction », a souligné Zhen Peng, biologiste de l’évolution à l’Université du Wisconsin-Madison, principal contributeur à l’étude dont il est question aujourd’hui.
Et pour trouver ces réactions, ces scientifiques ont analysé plus de deux siècles de documents scientifiques numérisés écrits dans de nombreuses langues différentes. « Avec des outils de recherche et de traduction efficaces, nous avons été en mesure de concevoir et de mener cette évaluation unique en son genre de l’omniprésence des cycles autocatalytiques », d’après le dire de Zach Adam, un autre co-auteur de cette étude universitaire, géologue à l’Université du… Wisconsin-Madison !
 
En fin de compte, les chercheurs ont découvert 270 cycles différents de réactions autocatalytiques. « L’autocatalyse n’est peut-être pas si rare, mais elle pourrait plutôt être une caractéristique générale de nombreux environnements différents, même ceux qui sont vraiment différents de la Terre ».
Et la plupart des 270 cycles n’ont pas utilisé de composés organiques !
Certains étaient centrés sur des éléments absents ou extrêmement rares dans la vie sur Terre, tels que le mercure ou le thorium, un métal radioactif (dont on fera les combustibles des futures centrales nucléaires dites « propres »).
De plus, ils ont remarqué qu’un certain nombre de cycles ne se produisent probablement qu’à des températures ou des pressions extrêmement élevées ou au contraire extrêmement basses.
 
Ainsi ils ont même découvert quatre cycles autocatalytiques impliquant des gaz nobles, qui ne réagissent que rarement, voire jamais, chimiquement avec d’autres éléments.
Si même un gaz relativement inerte tel que le xénon pouvait participer à l’autocatalyse, « il y a de bonnes raisons de supposer que l’autocatalyse se produit plus facilement dans d’autres éléments », a déclaré Peng (le biologiste de l’équipe).
Seulement huit de ces cycles étaient relativement complexes, composés de quatre réactions ou plus.
Car la plupart des 270 cycles étaient simples, chacun ne comportant que deux réactions.
« On pensait que ce genre de réactions était très rare », d’après le chef. « Nous montrons que c’est en fait loin d’être rare. Il suffit de regarder au bon endroit. »
Et ils ont noté qu’il est possible de combiner plusieurs cycles, même s’ils sont très différents les uns des autres.
Cela pourrait alors conduire à des réactions chimiques auto-entretenues qui génèrent une gamme variée de molécules pour produire une grande complexité.
 
« Avec autant de recettes de base pour l’autocatalyse à portée de main, l’objectif de la recherche peut maintenant se déplacer vers la compréhension de la façon dont l’autocatalyse, par le biais de la proportion, peut avoir des effets plus prononcés sur la formation de la chimie d’une planète », aura annoncé, fier de lui, Kaçar.
Et ces scientifiques-là espèrent que les recherches futures pourront tester expérimentalement ce nouveau livre de cuisine qu’ils ont créé.
« Les cycles présentés ici sont un éventail de recettes de base qui peuvent être mélangées et assorties d’une manière qui n’a jamais été essayée auparavant sur notre planète », a rajouté Peng (le biologiste). « Ils pourraient conduire à la découverte de tout nouveaux exemples de chimie complexe qui fonctionnent dans des conditions où les cycles à base de carbone ou même de silicium sont trop brûlés ou gelés. »
 
Notez tout de même qu’il n’est pas certain que ces cycles soient tous plausibles, ont averti les chercheurs. « Il n’est pas garanti que tous les exemples que nous avons rassemblés puissent être analysés en laboratoire ou être trouvés sur d’autres objets astronomiques », ont-ils énoncé prudemment.
Mais en plus des implications que ce travail pourrait avoir pour la recherche de la vie dans l’univers et la compréhension des origines de la vie sur Terre, cette recherche pourrait avoir des applications pratiques, telles que « l’optimisation de la synthèse chimique et l’utilisation efficace des ressources et de l’énergie », a déclaré Adam (le géologue).
« Une autre consiste à utiliser des composés chimiques pour des tâches intéressantes telles que le calcul chimique. »
 
Pour ma part, je vous laisse avec ça : Je pars me souvenir et honorer ma parentèle massacrée dans les tranchées par des délirants, un jour où aucun de vous n’y était.
Moâ non plus, je n’étais pas, mais je m’en rappelle bien tout de même : Et il convient de leur rendre hommage.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)