Un
nouveau locataire au palais de l’Élysée…
Tout en logique d’un scrutin
« sous influence »…
Deux candidats, qui s’étaient affrontés
mercredi
dernier dans un débat minable, un ex-banquier d’affaires et ex-ministre de
l’Économie, pas encore « quadra », arrivé en tête au premier tour, et
donné largement favori par les derniers sondages qui le créditaient de 61,5 à
63 % des voix, pour finir à 66,06 %, contre 37 à 38,5 % pour la candidate
anti-immigration et anti-mondialisation, pas encore « quinqua »,
fille-à-papa du leader d’extrême-droâte qui portait les couleurs et les
stigmates familiaux, qui « bloque » finalement à 33,94 %, juste le
tiers des électeurs et sous le plafond de verre des 40 %.
On rappelle qu’au premier tour, ces
deux-là avaient respectivement obtenu 24,1 % des suffrages contre 21,30 %. Soit
8,7 millions de bulletins contre 7,6…
Au second tour, avec une abstention
encore un peu plus forte (environ 25,3 %, un record depuis 1969), quantité de
bulletins nuls ou blancs (autour de 8,5 %), on compte finalement 11 millions de
voix pour l’une, soit presque 4 millions de transfuges venus d’ailleurs pour la
« peste-blonde ».
Inquiétant.
Le double pour son vainqueur qui aura
su mobiliser.
Elle double le score de son père de
2002 dans une configuration similaire qui était ressorti avec 17,8 %. Une
victoire pour « sa ligne », celle de « Fili-Pipot », après
avoir « tué » le père et étouffé la nièce…
Inquiétant pour … 2032, ou même avant encore
!
Si elle prend 15 % tous les 5 ans, le
prochain coup, elle n’est pas loin de la majorité absolue…
En revanche, vous vous rendez compte
rapidement que son adversaire gagne à la dernière haie, mais ne réunit que 42 %
des gauloisiens en âge de voter sur son nom : Les votes blancs et nuls (ni-ni) représentent 11,47 % des inscrits et avec eux, les abstentionnistes, avec 25,44 % représentent finalement le premier parti d’opposition du pays !
Inquiétant tout autant.
Une campagne riche en rebondissements
jusqu’à la dernière minute (cf. un post prochain sur les « MacRond-leaks »),
les ténors qui occupaient la scène politique depuis une décennie sont tombés
les uns après les autres et pour la première fois depuis près de 60 ans les
deux grands partis traditionnels de la gôche (le Parti Soce) et de la droâte
(Les Républicains-démocrates) ont été salement écartés du second tour de
cette élection.
Et dire qu’il y a un an, tout le monde
donnait gagnant, et les doigts dans le nez, « Juppette » soi-même,
alors que « MacRond » lançait à peine son propre parti… de
« centre-gôche-droâte » (qui se dit de gôche mais gouvernera à droâte
et qu’on présente désormais comme « centriste »).
Et que j’avais déjà « exilé »
depuis juin 2014, de peur d’un passage direct au premier tour de la
« peste-blonde » à la faveur d’une dispersion des voix et d’une
abstention massive, confisquant les institutions sans rémission ni séance de
« rattrapage » aux législatives par le jeu de « troubles à
l’ordre-public » (l’état d’urgence n’était pas encore institué), de l’article
16 de la constitution et d’un référendum issu de l’article 11 plus le jeu des
articles 12 et 13.
C’est assez facile à faire pour des
« factieux »…
Les derniers jours de campagne, ceux de
l’entre-deux tour, ont été particulièrement agités, entre piratage du mouvement
« En Marche » (téléguidé par l’extrême droite selon certains
spécialistes, mais arrivé une semaine trop tard), la fake-news fabriquée par le
vice-président du « F.haine » et les menaces d’attentat d’un
ex-soldat radicalisé une fois de plus déjouées.
Le logiciel
« BBR » de « Charlotte », l’alias Paul de Bréveuil, fait
décidément des merveilles depuis que les forces de l’ordre savent l’utiliser à
bon escient.
On s’attendait à un taux d’abstention
plus élevé que d’habitude, et plus élevé qu’au premier tour, étant donné le
nombre de « Ni-Ni », qui ne veulent voter pour aucun des deux
candidats.
Sur les quelques 47,5 millions d’électeurs,
seuls 68 % des personnes interrogées se disaient certaines d’aller voter. Et
ce, même si certains ont proposé, pour faire barrage au « F.Haine »
sans donner un blanc-seing à son concurrent « démocrate », d’aller
voter après 17 heures, histoire d’affoler les compteurs, après donc la
diffusion des chiffres de participation.
Une sorte de fausse abstention donc, qui
permet de faire barrage à l’extrême-droâte sans pour autant se sentir obligé de
soutenir un candidat par défaut.
On aura noté que le nombre de
procurations sollicitées et délivrées en mairie aura doublé entre les deux
tours. Ce qui donne moins de monde devant les urnes, mais plus de bulletins.
Trois heures de queue tout de même dans
les bureaux ultra-marins d’expatriés ou devant l’ambassade à Tokyo dont
certains avaient voté avec une journée d’avance d’autres avec un retard sur le
calendrier. Trois fois rien chez moi.
J’ai même participé au dépouillement au
consulat local faute de volontaires en nombre suffisant.
Qu’à la mi-journée, le taux de
participation était en léger recul par rapport au premier tour, tendance
renforcée à 17 heures quand un sondage donnait en Belgique « MacRond »
vainqueur à 60 %, puis 62 à 65 % et que l’euro, en forte vente contre le
dollar, grimpait légèrement quand même après le rallye des derniers jours. Et à
l’ouverture des marchés en Asie, il dépassait les 1,10 US$.
Les choses étaient désormais
« pliées ».
Et déjà, la suite…
La suite, normalement,
« Fafa-l’empoisonneur », ex-sinistre des affaires étranges-aires,
fera une déclaration officielle sur les marches du Conseil Constitutionnel
qu’il préside, demain en fin d’après-midi.
On s’en fout, on sait depuis hier.
Samedi ou dimanche prochain, cérémonie
de passation du pouvoir à l’Élysée. Discours, petits fours et coupes de
champagne, après la remise des codes nucléaires (ceux qui stoppent un tir de
missile : « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en a expérimenté
l’efficacité en janvier 2013 en mer d’Iroise, laissant perplexes les ingénieurs
concepteurs et tous les « militareux » qui n’ont rien compris à la
manœuvre), remise du grand-collier de la Légion d’honneur au nouveau Président.
Début de semaine du 15 mai,
finalisation des tractations relatives à la formation d’un premier
gouvernement.
On saura enfin qui sera le premier-premier-sinistre
après un suspens insoutenable sur le sujet, ainsi que la composition de son premier
gouvernement.
15 membres minimum, les fonctions
régaliennes, naturellement, Matignon, la Défense, la Justice, les affaires
étrangères, l’intérieur, l’économie & la finance, avec ou non le budget, la
fonction publique et européennes, l’éducation nationale, le travail et la sécurité sociale,
plus les anciens combattants et les relations avec le Parlement, l’aménagement
du territoire, l’agriculture, mer & pêche plus les « bois et
guérets ».
Probablement aux mains de « pros »
dont ce ne sera pas le premier passage en ministère.
Et puis les autres, ministres ou
secrétaires d’État, qui complèteront dans le numérique, l’écologie, ou les
affaires européennes, le logement et que sais-je encore…
Un classique et on verra bien si d’une
part la « parité-sexuelle » sera respectée et si, d’autre part, la
promesse d’une large ouverture à la « société-civile » se fera jour.
De toute façon, il y a un premier tour
des législative trois semaines plus tard et un second qui dégagera ou non une
majorité solide ou fragile, à peine un mois après cette première formation
gouvernementale.
Ce qui rebattra probablement les cartes
pour un gouvernement « durable ».
Ceci dit, vous aurez noté que ce
scrutin aura véritablement « lessivé » le paysage politique de ces
quarante dernières années : Plus aucun leader ne se retrouve sur les rangs
pour gouverner !
À peine quelques dinosaures encore pour
hanter les couloirs du pouvoir. Une poignée.
C’est la grande leçon de ce
scrutin : Les « Gauloisiens » n’en veulent plus !
Exit.
Impressionnant, finalement, ce
renouvellement de la classe politique qui va encore s’accentuer à l’occasion
des législatives et des nombreuses triangulaires prévisibles : Les
candidats frontistes se maintiendront partout où ils auront obtenu 12,5 % des
inscrits. Et là, aucun parti dit « traditionnel » ne tiendra la
distance au second tour.
Une vraie raclée à prévoir.
Le vainqueur récent saura-t-il créer en
si peu de temps une dynamique « de la gagne » ?
Pourquoi pas : Il est déjà arrivé
jusque-là, comme sorti d’un chapeau de magicien…
Et la vraie suite pourra enfin commencer.
Il a promis une cellule élyséenne de lutte contre le terrorisme. Je parie qu’il
y en aura aussi une, plus ou moins obscure, de lutte contre la corruption et
mœurs gouvernementales.
Il faut qu’il y en ait une, même
seulement officieuse, pour ressortir « les dossiers » que tous ses
prédécesseurs ont soigneusement enterrés depuis des décennies.
C’est pour cette raison-là, et
uniquement celle-là qu’il a été « poussé » si haut, après être passé
par l’Élysée en qualité de directeur-général adjoint et avoir pu se faire
mettre se faire « mettre au parfum » à Bercy : Les dossiers de
l’ère « Mythe-errant » qui pourrissent la vie du pays depuis les
années 90…
D’autres vous diront que non, que c’est
le candidat de la « haute-finance » venu mettre en coupe réglée le
pays.
Je ne peux pas abonder pour plusieurs
raisons : Des « Rothschild », on en a déjà eu avec
« Pompon-pie-doux » ; la « faute-finance » a besoin de
clients solvables capables de faire tourner l’économie d’un pays ; et ce
que déteste par-dessus tout un banquier, par nature, ce sont les tricheurs et
les arnaqueurs, juste avant les marxistes-communistes-léninistes.
Et ceux « qui sortent », y
compris « Tagada-à-la-fraise-des-bois », s’il n’est pas lui-même un
« tricheur-fraudeur », en sont les héritiers directs depuis des
décennies pour avoir couvert les secrets honteux.
Enfin quoi, c’est extraordinaire, d’abord
« Déesse-Khâ », au cœur du système frauduleux de cette époque
révolue, qui se fait menotter à New-York. Exit !
« Bling-bling » très au
courant se fait ensuite jeter deux fois de suite et assez salement, en 2012 et
au premier tour de sa primaire. Exit !
« Juppette », également forcément
au courant s’est fait écrasé au second tour des primaires. Exit !
« Fifi-le-souteneur »,
également premier des sinistres pendant 5 ans, s’est fait virer comme un
malpropre, et de quelle façon – un véritable acharnement médiatique – dès le
premier tour ! Exit !
Lui, tout ce qui l’intéressait, c’est
de garder les 3 méga-euros mis à sa disposition pour gagner le second
tour : Une sorte de « golden-parachute » du perdant … !
« Tagada-à-la-fraise-des-bois »
n’a même pas concouru à sa réélection, gangréné par l’affaire
« kaka-zut-hack », la loi « El-Konnnerie », ses résultats
mirifiques sur le front de l’emploi et quelques autres dossiers dont celui des
« zadistes » de Notre-Dame-des-Landes, le
« copulage-pour-tous », sa réforme ratée de « T’oubliera »,
ses frondeurs, les « bonnets-rouges » et j’en passe : Totalement
grillé d’avoir lui aussi dû enterrer « les dossiers » dont il était
l’héritier, avec la complicité de ses ministres et notamment
« Le-Riant » à a défense (pourtant un bon sinistre-de-la-guerre,
celui-là). Exit !
À leur primaire, exit également la
« Cruchitude », dehors « Menuet-Valse », pour ne retenir
que le plus mauvais, « Âme-mont » qui n’a même pas fait le poids face
à « Mes-Luches ». Exit les « héritiers-soces » !
Les « Mes-lus-chiens »
justement, conduits par un frère trois-points, pivot du dernier carré des
« systémiques-carambouilleurs », qui ne sait même plus comment il
s’appelle dans l’entre-deux-tour, totalement cassé après sa sortie (de route).
Exit !
Restait plus qu’à abattre – dans les
urnes – la « peste-blonde », bien entretenue dans sa propre turpitude
et son aveuglement pour ensuite la broyer dans le système à uninominal à deux
tours qui engendre nécessairement un vote « contre » au second
tour : Fastoche, finalement.
Exit également.
Reste juste « Dac-t@lus », l’âme
damnée de « Mythe-errant », qui a entre temps exécuté – il n’y a pas
d’autres mots – « Béret-Go-voit » et « Grosse-Ouvre », les
seuls à s’être révoltés autour de la notion de corruption, qui se retrouve à
soutenir « MacRond » : Pour le guider ou l’influer et protéger
encore les secrets du second septennat du « Maître-du-Verbe » ?
Jusque-là, une opération « sous
influence » facile à mener d’autant que « MacRond » n’aura pas
beaucoup fait de fautes de parcours, hors sa sortie sur l’Algérie…
Le gars et l’équipe de rêve,
finalement.
Bien cornaqué, il ne pouvait que gagner
à l’arrivée malgré la tentative de déstabilisation de dernière minute, arrivée
trop tard pour influer l’opinion (pas comme pour
« Fifi-le-souteneur ») : Une opération de dernière minute montée
par des hackeurs russes et/ou proches de l’extrême-droâte où l’on apprend,
entre autre, que le mouvement de « MacRond » paye ses collaborateurs
et ses fournisseurs…
Finalement, sa seule justification
d’être arrivé jusque-là, c’est justement pour faire le ménage : On lui a
dégagé la route, en amont, il n’a pas pu le faire tout seul.
Et ça s’est probablement joué sous les
ors élyséens alors qu’il était encore un inconnu parmi d’autres.
C’est la façon de faire que
j’ignore pour l’heure : Il aura fallu convaincre
« Tagada-à-la-fraise-des-bois », encore
« Capitaine-de-pédalo », « Gras-nul-laid », même s’il avait
déjà rendu les armes devant cet « adversaire qui ne vote pas » depuis
plusieurs mois alors qu’il était encore « François III »…
Croyait-il à aux chances de « son
poulain », son clone désigné, pour accepter de le faire ministre ?
Ou pensait-il qu’il se grillerait les
ailes ?
Un des grands mystères de la vie de la
Vème République.
À moins qu’il n’ait pas eu le choix de
faire autrement…
On ne saura pas tout de suite, en
revanche c’est cette suite-là qui va rester intéressante à suivre.
Comment « Manu » va s’y
prendre ?
Quelles vont être les conséquences de
ce « grand-nettoyage » télécommandé ?
Aura-t-il seulement lieu ?
Restera-t-il « discret » ou sera-t-il tonitruant ?
On va savoir dès cet été.
Et je suivrai ça de loin, parce que si « ça
pète », y’aura forcément des dommages collatéraux. Et avec « mes
romans », si je ne suis pas en première ligne – et heureusement – je ne
suis pas loin derrière.
Et de me rappeler que j’ai déjà été
victime d’un attentat
improbable d’avertissement…
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai des lacunes, pourquoi "ce nettoyage télécommandé" après tant d'années ? Quel en est l'intérêt, sachant que « La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire ».
On a donc des autistes technocratiques d'un côté et des amnésiques enfumés de l’autre.
Merci pour votre éclairage.
ComtesseÔPiedNu
Des autistes et des trisomiques, c'est bien ça !
SupprimerMais dans le lot, il y en a d'autres qui portent des principes et s'y tiennent : Tant mieux.
Jusque-là, ils étaient étouffés de façon brillamment anti-démocratique.
Avec une nouvelle génération, pas encore tout-à-fait corrompue (pas eu le temps, même si j'ai quelques doutes à exprimer jeudi matin), la politique pourrait, pourrait seulement, changer de visage.
Perso, ça m'amuse très fort et on va scruter la façon que les uns et les autres vont s'y prendre.
Peut-être qu'ils vont échouer et alors ce sera "Marinella-tchi-tchi" (ou son clone) en 2022.
Donc à suivre !
Bien à vous Charmante-comtesse-au-pied-dénudé !
I-Cube
Une cellule élyséenne contre la corruption ?...
RépondreSupprimerElle doit déjà exister depuis l’accession au pouvoir de « Ol-Lande ».
Car comment expliquer les lois anti-corruption qui sont passées sous son quinquennat ?...
Mais il manque le principal : faire le bilan des 30 dernières années et notamment des affaires du Golfe en 1991.
Ce sera vraisemblablement à « Mac-Rond » de s’y coller sachant qu’il va se heurter aux principaux responsables de ce détournement de fonds, et qui sont toujours en place…
Aussi, afin de l’aider dans son travail de « Président clean », j’ai commencé tout de suite à lui rappeler le dossier dans une lettre ouverte :
http://www.alerte-ethique.com/2017/05/lettre-ouverte-%C3%A0-emmanuel-macron-pr%C3%A9sident-de-la-r%C3%A9publique.html
Parce qu’on peut compter quand même sur « Dac-t@lus », qui a pistonné « Micron » chez « Rot-Child », pour tout faire pour continuer à étouffer le scandale qui monte, qui monte…
Alors, il vaut mieux rappeler aux quelques députés courageux qui se sont mouillés dans l’affaire que le dossier avance.
Et puis si ça pète, le « Capitaine Haddock » s’installe sur les bords d’un Fjord !...
Bien à vous !...
Haddock
Certes.
SupprimerMais "Dact@lus", s'il a été l'organisateur, "Déesse-Khâ" l'opportuniste, a su se mettre à l'abri à la BERD.
Et survivre à "Mythe-errant".
Est-il celui qui a des remords, ou simplement celui qui vous fait le coup du "après moi le désert" et de brûler ses vaisseaux ?
Où est-il là pour tuer dans l'œuf les tentative de "Mak-Rond" ?
C'est lui aussi un "Roth-schild" au sens large (une des "7 forces" qui gouvernent le monde), celui des financiers-feujs.
Donc à suivre, parce que je connais pas la réponse.
Quant aux loi anti-corruption, c'est de la mièvrerie. Ca n'a pas su empêcher "Kaka-zut-hack", "A-qui-no-Morelle-no", l'autre imbécile et sa phobie administrative, pas plus que quelques-uns dégagés rapidement du dernier gouvernement.
Et ce sont surtout des lois anti-terroristes, qui là encore n'ont pas eu que des succès (attentat du 14 juillet en passant : Après, ça eu été un peu meilleur tout de même).
La cellule noire de l'Elysée, c'est pour les opérations "Homo" rien de plus.
On va voir ce qu'il va en devenir, désormais.
Bien à vous !
I-Cube