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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 25 mai 2017

Prenons un peu de hauteur…

En ces temps d’Ascension !

Alors qu’à Manchester l’horreur d’un sanglant attentat fait écho à ceux dont l’Europe est devenue le théâtre récurrent, en assez grand-nombre tel qu’un fois de plus, on en reste la gorge nouée, une fois de plus le neurone tétanisé, une fois de plus l’esprit coi, envahi une fois de plus d’une immense tristesse…
Même pas la rage…
Juste l’effroi de vies fauchées pour rien, des gamins nés pour mourir déchiquetés, nés pour transmettre la terreur de proche en proche.
Franchement, est-ce que Dieu-tout-puissant, le leur ou  le mien, ressort grandi de cette affaire-là ?
Franchement, est-ce que la cause de Daech, de l’EI, du Califat, de ce que vous voulez gagnera les cœurs devant tant de barbaries ?
Forcément pas du tout.
C’est même l’inverse qui se passe, forcément.
 
Et comme par hasard je tombe sur un article de presse francophone titré de la façon suivante : « Pourquoi les théories du complot sont-elles si attractives ? »
J’ai un coupe-tifs-manucure-pédicure qui prend soin de ses meilleurs clients et en l’occurrence fait l’effort de collectionner des magazines exogènes en anglais, francilien-natif et allemand, dissimulés dans la presse italienne de sa salle d’attente.
Et avec mon « diabète-récurrent », les pieds, il faut les entretenir sévèrement, même s’il paraît, au moins pour mon toubib traitant monégasque, que j’en suis désormais presque guéri.
Je ne savais pas qu’on pouvait guérir d’un diabète, même de type 2 et en tout cas, mon pied, lui ne le sait toujours pas : Il persiste à s’ouvrir sans raison et à saloper ma moquette toute-neuve.
 
Moi, la théorie, les théories du complot, ça m’a toujours follement amusé. D’ailleurs, je n’y fais jamais – ou rarement – référence, même quand après coup j’en reste étonné.
Même quand je peux paraître en user dans mes « romans » : En fait pas du tout !
Je plonge seulement directement dans l’actualité pour vous donner une « autre » version que celle servie par les médias et rester dans le monde réel (à quelques « anticipations » près… romanesques celles-là).
 
Par exemple, mon neveu, pas le « génie de la famille » mais l’autre, celui qui bosse dans la communication, il nous avait annoncé en janvier 2016, janvier de l’année dernière, que « Fifi-le-souteneur » – qui n’était encore que « Fifi-le-déchu » – sortirait vainqueur de la primaire de la droâte…
Comment pouvait-il savoir ça dans son coin à faire ses revues de presse pour son boss qui le maltraite à l’occasion, alors que tout le monde donnait alors gagnant « Juppette-le-revenant » ?
Son boss le lui avait dit.
Idem, mais encore avant et dans le sillage du bouquin de « D’@talus » sur « Peut-on prévoir l’avenir ? », il nous avait annoncé que le prochain président serait le tout-nouveau ministre de la finance sorti du chapeau de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », encore « capitaine du pédalo »…
On le connaissait à peine et même « D’@talus » avait refusé de le signaler « pour ne pas lui nuire »…
Je viens de vous le dire, ça m’amuse follement et je n’ai même pas pris le soin de vous rapporter ces éléments.
 
Il y en a un autre qui circule en ce moment : « Manu-Mak-Rond » va être victime d’un attentat dans la semaine 14 juillet prochain…
En général, le fait d’énoncer une prédiction, ça écarte la menace qu’elle se réalise : C’est pourquoi je le fais aujourd’hui… pour prendre un peu de hauteur !
Car je ne veux surtout pas la mort d’un homme, fut-ce le Président « Mak-Rond » !
Trop de respect pour la vie d’autrui, moi, pas comme ces barbares qui ensanglantent les trottoirs de Manchester.
 
Et puis je vais vous dire : L’avenir est, d’après ce que j’en comprends, d’essence quantique.
J’entends que quand on le dévoile, il se dérobe, selon le « principe d’incertitude d’Heisenberg » : Tu réussis à mesurer la vitesse d’une particule, tu ne peux plus savoir où elle se situe. Et inversement.
La réalité change, l’avenir mute et rien ne se passe comme on dit que ça va se passer.
C’est non seulement une constante de la physique quantique, mais c’est une réalité quotidienne de tous les jours de la vie qu’on peut vérifier pratiquement partout et tout le temps.
Alors, des « complots », laissez-moi en rire, SVP !
 
Mais soyons un peu sérieux. Le journaleux (qui est en fait un chercheur de l’université de Bruxelles d’après ce que j’ai compris et, qui dit chercheur dit « pas trouveur » puisqu’il persiste à chercher…) prétend que nous vivons une époque extrêmement complexe et troublée. Ah oui ?
Certainement et ce n’est pas nouveau.
D’après lui, cette complexité est source d’inquiétudes et d’interrogations, notamment quant à l’avenir de la démocratie et de la paix et, pour utiliser un gros mot, quant au « sens de l'Histoire » (la grande, mais aussi la petite, celle qui traverse le quotidien de tout un chacun).
C’est vrai que la pousse de mes tomates ne fait jamais partie que de la « petite-histoire » et pourtant, je m’inquiète pour celles de mon « balcon-sur-canal ».
« Conflits armés, attaques terroristes, tensions religieuses, crise économique, défi climatique… chaque jour, tout nous rappelle combien nos vies sont fragiles ; combien notre existence collective est incertaine ; combien nous sommes vulnérables. »
 
Et ce rappel permanent de notre impuissance fait violence à notre condition de « Modernes ». « Cela met en péril notre désir acharné de transparence, d’ordre et de performance. Nous aimerions avoir vraiment prise sur les événements du monde et n’être pas fragiles ».
Nous aspirons paraît-il à la sécurité, qu’elle soit physique, sociale, professionnelle, familiale ou encore émotionnelle.
Perso, je me demande à voir le nombre d’inventions qui font « sportives » rien que pour se casser la gueule…
« Mais, sans arrêt, le monde et l’Histoire nous renvoient une autre image de nous-mêmes : Celle d’individus dont la compréhension des choses est forcément limitée, partielle, douteuse et chaotique. Cette position, disons-le, n’est confortable pour personne. Face à un monde en crise, les théories du complot offrent alors une échappatoire facile et rassurante. »
Euh… si on prend de la hauteur – en ce jour d’Ascension – on pourrait plutôt assumer l’exact contraire de l’assertion.
Mais passons et poursuivons…
 
Dans le monde sécularisé et « désenchanté » qui est le nôtre, l'immédiateté du sens aurait disparu selon son propos. « Confrontés à des événements dramatiques, nous sommes, le plus souvent, désorientés, sans repères et livrés à la peur. Nous refusons de croire au « hasard sauvage » et considérons celui-ci comme un mauvais autre source de vulnérabilité. »
Ce n’est pas faux, même si ce n’est pas non plus un trait dominant…
 
Partant, les théories du complot viennent ré-enchanter et réordonner le monde en y insufflant de la causalité. « C’est ce qui les rend si attractives. Avec elles, tout est clair, transparent, évident, lumineux : les événements dramatiques ont du sens ; le monde, malgré tout, est juste ; les méchants seront punis ; l’existence du complot ne fait aucun doute ; la vérité (pure, éternelle, rayonnante) triomphera. En somme, les théories en question livrent une vision du monde et de l’Histoire où tout est en ordre ; où le hasard n’est plus. Vision confortable et rassurante qui sécurise le rapport au sens en évacuant la possibilité du doute. À très peu de frais, ces théories aident ceux qui s’en réclament à restaurer leur puissance explicative perdue. »
Ce n’est pas faux non plus, mais il s’agit bien là d’un artifice.
Personnellement, si c’est aussi ce que je remarque, il manque toutefois quelle que chose qui rend « la théorie du complot » comme d’une nécessité.
 
« Le sentiment de reconquête et de possession du sens n’est-il pas, tout compte fait, plus important que le sens lui-même ? »
Dès lors, combattre le complotisme implique moins de s’attaquer à des croyances potentielles que d’essayer de transmettre des outils visant la pratique authentique de la critique, du débat et du désaccord – outils qui, justement, concernent l’apprivoisement de la vulnérabilité. « Ceci suppose également d’identifier les voies de la rhétorique complotiste. »
Cinq techniques (ou stratégies) méritent, à cet égard, d’être pointées d’après lui.
 
En premier lieu, il y a la proclamation d’adhésion aux deux grands principes de la raison moderne : La critique et le doute. En d’autres termes, les dénonciations portées par lesdites théories ne se fondent pas sur une inspiration mystique ni sur la vision singulière d’un mage (ce qui serait d’emblée vu comme obscurantiste), mais sur une enquête et un examen critiques.
« L’homme moderne, depuis Descartes, se définit avant tout par son incrédulité première, son doute et par une volonté qu’il a d’en savoir plus : je doute donc je suis. Le doute justifie alors la quête, c’est-à-dire la poursuite de l’entreprise critique. Avec les théories du complot, le but de la quête est de montrer la fausseté des thèses dites « officielles » (une fausseté réputée évidente), et de manifester la vitalité de son esprit critique. »
 
Ensuite, « les théories du complot s’appuient sur l’attestation (largement factice, du reste) d’une totale objectivité du discours née de l’indépendance et de la liberté des sources. Celui qui porte la théorie en question, ou l’« expert » convoqué pour la valider, est forcément autonome et affranchi de toute institution publique. Il n’est, répète-t-il, inféodé à personne, ne représente que lui-même et finance ses recherches sur ses propres deniers. »
N’est-ce d’ailleurs pas le cas du type dont il est fait rapport de son opinion ?
« Ces deux premières stratégies se rapportent à ce qu’on appelle en rhétorique la preuve éthique (ou ethos), c’est-à-dire à l’image que l’on donne de soi dans et par son discours. Dans l’un et l’autre cas, la mise en scène de qualités hautement valorisées dans les sociétés dites modernes vise à conquérir la confiance du public. »
Exact.
 
La troisième stratégie « concerne l’émotion gratifiante qu’il peut y avoir à s’imaginer faire partie du petit groupe des lucides. Lesquels se voient comme de nouveaux « élus ». En somme, les théories du complot se plaisent à jouer sur la dichotomie (extrêmement persuasive, du reste) entre, d’un côté, les ignorants dociles, abrutis par les discours, thèses, vérités « officielles », et, de l’autre, les « chasseurs de vérité » pour qui le complot est une réalité de tous les instants. »
J’en rigole, vous disais-je en introduction.
Les deux derniers points portent directement sur la structure argumentative des discours, à savoir sur la preuve logique (ou logos). « Soulignons d’abord la grande flexibilité des théories du complot, c’est-à-dire leur incroyable capacité à se reformuler et à se remodeler pour échapper à l’emprise des faits et de la critique – celle provenant du dehors. »
Ceci veut dire qu’on peut douter de tout sauf de l’existence du complot lui-même, bien naturellement.
Enfin, « le renversement de la charge de la preuve ».
Un classique : « À cet égard, les discours conspirationnistes ont une large tendance à interpeller leurs détracteurs (et plus encore les comploteurs désignés) pour qu’ils prouvent qu’il n’y a pas de complot. »
C’est le mécanisme dit de la « preuve-diabolique », celle impossible à apporter et fournir, qui valide a contrario l’existence dudit complot.
 
En bref, nous sommes tous fragiles et potentiellement complotistes, même si nous avons du mal à l’avouer. « Personne n’est immunisé face au raisonnement par le complot. L’action de chercher puis de donner du sens n’est pas irrationnelle en soi, au contraire. Bien sûr, un problème majeur apparaît lorsque cette démarche narrative s’effectue à tout prix, de façon dogmatique, et, qui plus est, sans conscience d’elle-même. » 
 
Le propos est intelligent, évidemment. Mais il lui manque deux choses :
Premièrement, expliquer le mécanisme du complotisme le valide, même involontairement par effet de ricochets multiples : Je le nie, donc ça existe ; ça existe et je le dénonce dès lors il disparaît. S’il disparaît, je n’ai plus à le nier et il va renaître sous une autre forme, par d’autres canaux et supports.
On peut même faire plus compliqué que ça par une suite d’aller-&-retour entre une position et une autre jusqu’aller au-delà de s’emmêler les pinceaux.
Deuxièmement, il faut être clair : Dans la vie, il y a des gens mis en situation de vivre leur vie, leurs émotions, leurs sentiments, leurs ambitions, leurs activités.
Et ils sont au contact avec d’autres gens qui vivent également leur vie, leurs émotions, leurs sentiments, leurs ambitions, leurs activités.
Qui eux-mêmes sont au contact avec d’autres gens encore qui vivent également leur vie, leurs émotions, leurs sentiments, leurs ambitions, leurs activités, etc.
Soit les choses se passent de façon harmonieuse, soit elles sont « contrariées ».
C’est là la racine des prémices d’un complotisme à venir.
À chaque fois, vous n’y coupez pas.
Et naturellement, de façon beaucoup plus rapide quand l’individu ne maîtrise pas son environnement.
Combien de fois ai-je pu dire : « Que personne ne sorte ! On a volé mon stylo… »
Tout de suite le complot parce que je ne remets pas la main sur ledit stylo ou Code général des impôts…
Plusieurs fois par jour, tous les jours…
 
Enfin, il manque l’essentiel dans le propos du « journaleux-chercheur » : Il n’y a pas « un » complot, mais de la même sorte que pour mon stylo ou mon CGI, des centaines, des milliers, des milliards de « complots » qui s’entredéchirent mutuellement tout au long d’une même journée.
Et la question est de savoir s’il y a un sens à tous ceux-là, une direction détectable.
Généralement non, bien sûr.
Pourtant parfois, on peut détecter des « faisceaux d’indices », des « fils-rouges » qui convergent vers un objectif commun.
Puis, souvent ils se défont avant d’aboutir, pour être contrariés par d’autres « fils-rouges » qui viennent se surajouter…
Ce n’est donc plus « un complot », mais des « complots » qui se combattent, se contrarient, s’empêchent les uns les autres d’aboutir.
 
Et le soleil ne se couche pas sur un champ de bataille inachevé qui reprendra le lendemain.
Et vous le savez, le soleil ne se couche jamais sur la Terre entière en même temps…
Voilà pour quelques réflexions opportunes au moment où des britanniques ont encore perdu la vie pour cause d’un « loup solitaire » fanatique.
Là, c’est direct : Comment peut-on mener à bien une mission suicidaire sans être durablement, profondément, victime d’une longue préparation dogmatique qui forcément, touche de près ou de loin « au complot » ?
À vous de voir…

2 commentaires:

  1. Très très intéressant I-Cube !

    Au sujet de l’imposteur « D’@talus » l’homme qui murmurait à l’oreille des Pythies, on peut lui reconnaître une chose c’est qu’il connaît son Sujet.
    Souvenez-vous :
    Normalito a eu son heure de gloire avec ses anaphores, alors qu’au fond, ce sont ses antiphrases congénitales remises à l’endroit qui le racontent le mieux :
    "Mon véritable ami, il a un nom, un visage (poupin), pas de parti antique, il présentera sa candidature, il sera élu et il gouvernera. Cet ami, c'est le monde de la finance",
    Ainsi soit Mac Ron…
    Anagrammes : « Me nomme Canular » mais aussi Monarc.

    Le succès total d’un complot c’est quand le conspirationniste arrive à faire croire que Tout est un écran de fumée sur rien :

    "Il riait parce qu'il croyait qu'ils ne pouvaient pas l'atteindre, il ne s'imaginait pas qu'ils s'exerçaient à le manquer"… Brecht

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Non, il ne connaît pas grand-chose.
      1 - Il fait bosser à l'œil une flopée d'étudiants (pas trop kons) ;
      2 - Il fait croire qu'il sait pour rester assez vague sur l'essentiel ; le faire savoir chez lui vaut mieux que le savoir-faire ;
      3 - Il écoute ce qui se dit autour de lui et là où il a du talent, c'est qu'il sait récupérer le produit d'autrui à son profit, quitte à changer 40 fois de points de vue...
      Résultat : Un vrai retourneur de veste qui se fait passer pour ce qu'il n'est pas, un gourou au QI himalayen.
      Bon certes, c'est un "X" (comme son frère jumeau) mais lui seul dans la fratrie a été concours général des lycées... à son époque.

      Ceci dit, depuis l'ère "Mythe-errant", il sait aussi beaucoup de choses des hommes qui passent et qui "rapacent" dans les cercles du pouvoir : Ca aide.
      Lui-même est encore là parce qu'il a des secrets à cacher.
      N'ayant aucun sens moral, ni aucune empathie, il a su les conserver sans y perdre son âme (alors que d'autres en ont perdu la raison et la vie : "Grosse-Ouvre", "Béret-Go-Voie" et quelques autres plus anonymes) et fait semblant de toujours servir un deus-machina qui nous dépasse.
      Souvenez-vous quand même qu'il a su faire des "rapports" iconoclastes tant sous le "Chi" que "Bling-bling" qui ont su mettre à feu et à sang jusqu'aux taxis qui ne demandaient rien, par exemple (alors que leur avenir était encore ailleurs et dans Uber que le sieur n'a pas su prévoir ni anticiper).
      Bon passons...

      Merci pour le témoignage de votre intérêt : Ca me touche.
      En réalité, il y a un second post en préparation qui vient après celui-là.
      Et une fois de plus on va puiser dans l'actualité pour tenter de mettre à jour les nuances qui existent en "théories du complot" et "réalités-qui-nous-échappent".
      Ces dernières alimentant les premières, en justifient même, ce qui valident les secondes qui passent alors inaperçues.
      Justement cachées par des écrans de fumée qui sont servis à l'opinion publique.

      C'en est magnifique d'ailleurs.

      A bientôt immensissime comtesse au pied dénudé : Demain matin vous allez enfin savoir pourquoi notre ouvrier de chantier est tout cassé après sa seconde chute et non pas à la première : Vous touchiez du doigt la solution comme jamais !

      Bien à vous !

      I-Cube

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