Appréciations diverses
Vos gamins :
« Attentif en classe… au vol des mouches.
»
« A touché le fond mais creuse encore… »
« En nette progression vers le zéro absolu !
»
« A les prétentions d’un cheval de course et
les résultats d’un âne. »
« Participe beaucoup… à la bonne ambiance de
la classe. Se retourne parfois… pour regarder le tableau. »
« Ensemble bien terne, élève peu lumineux.
»
« Élève brillant… par son absence. »
« Dors en cours, sur le clavier ou le tapis de
souris, selon l’urgence. »
« Ne se réveille que pour boire son café à la
récré. »
« Des progrès mais toujours nul. »
« L’apathie a un visage. »
« Sèche parfois le café pour venir en cours !
»
« Un vrai touriste aurait au moins pris des
photos. »
« En forme pour les vacances. »
« Tout comme son acolyte Jean-Marc, plonge
inexorablement dans les profondeurs de la nullité. »
« Fait preuve d’un absentéisme zélé. »
« Fait des efforts désespérés… …pour se rapprocher
de la fenêtre. »
« Hiberne probablement. »
« Printemps arrivé, toujours pas réveillé.
»
« Elle mâche… Elle parle… Elle mâche… Elle
parle… »
« Sait lire, saura bientôt écrire… »
« – J’ai décidé de ne plus aller à l’école.
– Et en quel honneur ?
– Parce qu’aux nouvelles, ils ont dit qu’on avait
abattu quelqu’un parce qu’il en savait trop… »
« ADOLESCENTS, êtes-vous tannés de vous faire
harceler par vos parents niaiseux ?
Agissez dès maintenant : Déménagez, trouvez-vous
un emploi et payer vos factures pendant que vous connaissez encore tout. »
À votre tour, Mesdames :
« Il est important de trouver un homme qui
travaille autour de la maison.
De temps en temps, fait la cuisine, nettoie la maison,
et qui a un travail.
Il est important de trouver un homme qui vous fait
rire.
Il est important de trouver un homme qui est sûr et
n’a pas couché (ne ment pas).
Il est important de trouver un homme qui est bon dans
le lit et qui aime faire l’amour avec vous.
Et surtout… Il est important que ces quatre hommes ne
se rencontrent jamais. »
« – Dis donc, l’autre jour, j’arrive du
supermarché et j’ai vu une femme qui n’avait plus de bras. Elle avait un petit
carton attaché autour du cou et sur lequel on lit :
« JE NE VEUX NI ARGENT, NI NOURRITURE »
– Mais qu’est-ce qu’elle voulait, alors ?
– Qu’on lui gratte le dos ! »
Quatre jeunes
femmes prennent le métro, tous les jours, à la même heure, pour se rendre au
travail. Elles travaillent toutes dans une grande surface, et pour allonger
leurs fins de mois, elles pratiquent occasionnellement la prostitution.
Un beau matin,
Julie raconte aux autres qu’elle a tout raconté à son fiancé car elle veut
faire sa vie avec lui.
« Wow ! Quelle honnêteté », dit la
première.
« Quelle courage », dit la seconde.
« Tu as vraiment tout raconté », dit
la troisième ?
« – Oui, tout.
– Alors quelle mémoire ! »
La vieille
Simone a le visage tout enflé et boursouflé.
Elle fait
venir le médecin.
« – Eh bien Simone, que vous est-il arrivé ?
– Foilà docteur, v’ai paffé le week-end fez ma fille
et on a fait un barbecue, il fejait beau et v’en ai pofité pour pende mes aizes
quand une guêpe ch’est posée sur mon vijage, j’étais pétifiée, ch’est alo’ que… »
Le médecin
finit la phrase pour elle :
« – …que la guêpe vous a piqué !?
– Naannnn docteu, ch’est mon gende, il a voulu écwagé
la guêpe avec une pelle ! »
« – Tu sais que ma femme consulte
régulièrement une voyante ?
– Ah oui. Je les plains, moi, les voyantes.
– Pourquoi ?
– Bé, ça doit être terrible de lire tous les jours,
dans les cartes, qu’elle restera vieille fille toute sa vie.
– Comment ça ?
– Ben, franchement, connais-tu un gars qui accepterait
de marier une voyante, toi ? »
Cette femme
passe toutes ses soirées pendue au téléphone avec ses copines.
Mais cette fois-là,
elle raccroche après 15 minutes.
« Qu’est ce qui se passe, tu t’es fâchée avec
une copine ? » lui demande Jean-Marc.
« Tu n’as même pas parlé une heure ! »
« – Je sais, je me suis trompée de numéro ! »
Lu pour vous sur
une pierre tombale :
« À MON MARI DÉCÉDÉ APRES UN AN DE MARIAGE.
SA FEMME RECONNAISSANTE. »
À votre tour, messieurs :
Jean-Marc est assis sur
le tabouret d’un bar, face au barman.
Il a l’air
extrêmement triste et garde le nez dans son verre, sans y toucher.
Le barman le
prend en pitié et l’approche…
« – Vous avez un problème ? Qu’est-ce qui ne
va pas ?
– Mon meilleur ami, Jean-Paul vient de me dire qu’il y
avait une banque du sperme à côté de chez lui, et qu’ils payaient jusqu’à 250 euros
pour un don…
– Oui, et alors ?
– Et alors ? Vous ne réalisez pas ? Quand je pense à
la fortune qui m’a glissé entre les doigts ! »
« Fais-moi mal », supplie le masochiste.
« Non », répond le sadique.
« – Aïe, c’est si bon !
– J’adore ! »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Ce soir on mange chinois ou chez moi ?
– Et pourquoi pas japonais ?
– C’est nippon ni mauvais ! »
« – Comment parvenir à blesser un homme
simplement avec des mots ?
– Claquez-lui un bon coup de dictionnaire sur la tête
! »
« – Quelle est la différence entre le pouce et
le majeur ?
– Essayez un peu de faire de l’auto-stop avec le
majeur… Vous verrez bien ! »
« – Quel est le comble de la paresse pour un
barman ?
– Tenir un shaker en attendant un tremblement de
terre. »
« Pouvez-vous dire qui était, en 1923, aux États-Unis,
le…
– Président de la plus grande aciérie au monde ?
– Président de la plus grande Cie de gaz ?
– Président de la bourse de New-York ?
– Plus grand spéculateur de blé ?
– Président de la Banque Internationale de Règlement ?
– Le Gros Ours de Wall Street ?
Non ?
Et pourtant ces hommes furent considérés parmi les
plus grands de la réussite de leur temps.
Maintenant 94 ans plus tard, on sait que…
– Le président de la plus grande aciérie Charles
Schwab est décédé en mendiant.
– Le président de la plus grande Cie de gaz Edward
Hopson, a sombré dans la folie.
– Le président de la Bourse de New York, Richard
Whitney a été emprisonné, et on l’a laissé sortir de prison pour mourir chez
lui.
– Le plus grand spéculateur de blé Arthur Cooger est
mort ruiné et en exil.
– Le président de la Banque Internationale de
Règlement s’est suicidé.
– Le Gros Ours de Wall Street, Cosabee Livermore, s’est
également suicidé.
Cette même année, Gene Sarazen gagnait l’US Open.
Il a joué au golf jusqu’à 92 ans et il est mort riche.
La morale ?
Fuck the job. »
Un mécanicien
était en train d’enlever la tête du moteur d’une Harley quand un chirurgien
cardiaque bien connu entre dans le garage. Il attendait qu’on le serve quand le
mécanicien lui crie depuis l’autre bout du garage :
« Hé, Doc., je peux vous poser une question ? »
Un peu
surpris, le chirurgien va voir le mécanicien qui travaillait sur la Harley.
Le mécanicien
se lève, s’essuie les mains sur une guenille et lui demande :
« Regardez cette machine, Doc. J’ai ouvert son
cœur, j’ai enlevé les valves, je les ai arrangées, je les ai remises en place
et quand j’ai eu terminé, tout fonctionnait comme neuf. Alors, comment ça se
fait que j’ai un aussi petit salaire et que vous soyez aussi riche alors que
nous faisons pratiquement le même travail ? »
Le chirurgien
sourit alors et murmure à l’oreille du mécanicien :
« Essayez de faire tout ça pendant que la
machine est en marche… »
Les revenues de la semaine :
« Je vais te chercher…
Jusqu’à te trouver.
Alors, je t’emmènerai,
Au lit…
Et, lentement, je te ferai trembler,
Transpirer avec profusion.
Je te ferai gémir, et même rugir…
Tes tempes vont battre.
Ta tête va exploser.
Quand j’en aurai terminé,
Je partirai…
À la prochaine !
Avec tout mon amour… »
LA GRIPPE
(Ce n’est
pas vraiment une « revenue », mais elle me fait penser à celle du
moustique…)
Un pompier est
en train de nettoyer son camion-citerne quand il remarque devant la caserne une
petite fille avec une voiturette rouge avec une échelle sur le côté et un boyau
d’arrosage au milieu.
La voiturette
est attachée à un chat et un chien.
Le pompier dit
à la petite fille :
« C’est une belle voiture de pompier que tu as
là ! »
Puis en
s’approchant un peu il remarque que la voiturette est attachée au cou du chien
et aux testicules du chat.
Alors le
pompier dit à la petite fille (pour épargner le chat) :
« Ta voiture de pompier irait beaucoup plus
vite si elle était attachée au cou du chat et du chien ! »
Et la fillette
de lui répondre :
« Oui, mais je n’aurais pas de sirène… »
(Celle-là,
c’est une « vraie-revenue », après un long voyage autour de la planète…)
Jean-Marc et Jean-Paul,
pendant la pause de 10 heures :
« – C’est fou, mon vieux, j’ai rêvé hier soir
que je passais la nuit enfermé dans un cinéma. On m’avait oublié.
– Ben moi, j’ai rêvé que je passais la nuit avec deux
belles gymnastes olympiques.
– C’est ça, toi tout seul ! Égoïste.
– Non, non, j’ai téléphoné chez toi, et ta femme m’a
dit que tu étais au cinéma. »
(Celle-là,
elle était meilleure avant, où Jean-Marc racontait sa coucherie avec Monica
Bellucci, puis les assauts puissants d’Ornella Muti, et l’apothéose de
sensualité avec Kim Basinger, alors que Jean-Paul était parti à Dijon acheter
de la moutarde…)
L’âge du capitaine :
Le routier de la
semaine dernière qui s’engouffre dans une rue bondée, à vive allure
et à contresens, ne provoquant aucune réaction des forces de l’ordre et
militaires du plan Vigipirate n’est autre qu’un piéton, bien sûr !
Et encore
heureux qu’on puisse marcher rapidement sans déclencher un carnage…
Plus simple
cette semaine : Il s’agit d’un cheval qui est attaché à une longe de 10
mètres dans son enclos.
Une botte de
foin se trouve à 15 mètres de l’endroit où il se trouve.
Comment
fait-il pour aller la manger sans que la corde ne s’allonge ou ne soit rompue ?
Bon week-end à
toutes et à tous !
I3
Et bien c’est simple : la longe attachée à un câble rigide peut coulisser comme sur une glissière.
RépondreSupprimerLe cheval aura son foin en self service, non mais !
Bonne semaine
ComtesseÔPiedNu
C'est presque ça : Votre solution, je n'y avais pas pensé.
SupprimerMais il y a une raison encore plus simple !
Bien à vous, Charmante Comtesse au pied dénudé.
I-Cube
Alors dans ce cas, la longe est juste attachée à son cou mais reste libre à l'autre extrémité.
SupprimerMerci de m’avoir mise sur la voie. :)
ComtesseÔPiedNu
BRAVISSIMO !
SupprimerC'est exactement ça !
Vous êtes vraiment trop forte madame la Ô Comtesse au pied dénudé.
On reprendra votre réponse vendredi prochain.
Ceci dit, je vais vous en proposer une autre encore plus simple.
Comme ça, on arrêtera - peut-être - sur votre heure de gloire internationale.
Parce que je suis étonné, mais ce blog est lu depuis à peu-près partout, hors les îles Fidji et le Népal : Là, je ne sais pas encore pourquoi.
Bien à vous et excellente journée à vous !
I-Cube