Des
doutes sur l’existence de l’énergie noire.
Résumons : L’expansion accélérée
de l’univers observable depuis quelques milliards d’années n’est finalement pas
bien comprise.
Le modèle cosmologique standard l’explique
en introduisant la fameuse constante cosmologique d’Einstein mais la nature de
cette constante fait débat et elle pourrait même en fait varier dans le temps
et l’espace, selon certaines théories au-delà de la physique standard.
Or, surprise, des simulations
numériques semblent expliquer cette constante sans invoquer la fameuse énergie
noire, et donc sans invoquer directement de la nouvelle physique.
La constante cosmologique ne serait
alors en fait qu’une manifestation d’importantes différences de densités de
matière dans l’univers.
Ce qui laisserait tout de même la
théorie du « Big Bang » inchangée.
Novembre 2015 fut marqué par le
centenaire de la découverte par Einstein de la théorie de la relativité
générale. Puis, en 2016 – soit cent ans après la découverte théorique de la première
solution des équations d’Einstein décrivant un trou noir, par Karl
Schwarzschild, et les premiers travaux d’Einstein sur les ondes
gravitationnelles –, les membres de la collaboration eLigo ont annoncé la
mesure directe sur Terre, pour la première fois, des ondes gravitationnelles
provenant de la fusion de deux trous noirs.
En cette année 2017, nous pouvons à
nouveau fêter un centenaire remarquable : Celui de la découverte du tout
premier modèle de cosmologie relativiste (en 1917, donc), et c’est encore à
Einstein que nous devons cette découverte.
Pour diverses raisons, pour construire
ce modèle, le père de la relativité avait été contraint d’introduire une
nouvelle constante physique dans les équations de la relativité générale,
naturellement permise, voire présente, du fait des principes mathématiques de
cette théorie. Cette constante lui permettait notamment d’obtenir un univers
statique et éternel, réminiscence du monde céleste supralunaire d’Aristote.
Einstein se trompait au moins sur un
point : Celui du caractère statique de l’espace-temps, comme devaient le
montrer Friedmann, Hubble et Lemaître. Toutefois, en ce qui concerne la
constante cosmologique, l’intérêt et la signification de sa nature ne cessa de
fluctuer depuis lors.
À la fin des années 1990, alors que
cette constante avait été éliminée des modèles de cosmologie relativiste, la
découverte de l’expansion accélérée de l’univers observable imposa sa
réintroduction. Un prix Nobel fut accordé en 2011 aux découvreurs mais,
prudemment, il se limita à récompenser la découverte de cette accélération et
ne célébra pas du tout son interprétation possible, avec la présence de la
constante cosmologique d’Einstein, à savoir l’existence de l’énergie noire.
L’univers est en expansion, certes. Si
l’on tient compte de la gravité, cette expansion devrait ralentir et pourtant
elle semble accélérer au cours du temps. Ce phénomène pourrait être dû à une
force étrange : L’énergie noire.
Ce point est important en raison de la
récente publication dans les célèbres Monthly Notices of the Royal Astronomical
Society d’un article étonnant, où un groupe de chercheurs hongrois suggère que
l’énergie noire n’existe tout simplement pas !
Toutefois, ils ne remettent nullement
en cause l’existence d’une phase d’expansion accélérée depuis quelques
milliards d’années de l’univers observable. La cosmologie standard n’en serait
donc nullement bouleversée, pas plus que la théorie du Big Bang et son
inflation initiale.
En revanche, s’ils ont raison, cela
réduirait à néant l’espoir de découvrir de la nouvelle physique en précisant
les caractéristiques des causes de cette accélération (avec, en particulier, la
mise en service du LSST et du satellite Euclide). Pour comprendre pourquoi il
pourrait en être ainsi, il faut remonter aux hypothèses de base de la
cosmologie relativiste, et plus particulièrement à celle de l’homogénéité de l’univers
observable à suffisamment grande échelle.
Les équations de la relativité générale
sont particulièrement difficiles à résoudre car elles sont non linéaires. L’une
des caractéristiques qui font un bon physicien est sa capacité à trouver des
hypothèses permettant de simplifier les équations avec de judicieuses
approximations qui permettent de les résoudre simplement tout en trouvant des
solutions qui ne s’écartent pas trop des solutions exactes.
On a donc fait l’hypothèse que si l’on
considère l’univers à suffisamment grande échelle, sa densité de matière est
partout la même. On peut donc poser que le cosmos observable est une sorte de fluide
de galaxies, tout comme l’eau nous apparaît un fluide à notre échelle et que
nous ne notons pas le vide entre les molécules d’eau ni le fait qu’elles soient
un peu plus nombreuses dans certaines régions.
Cette hypothèse semble particulièrement
bien justifiée quand on observe l’univers à une échelle de plusieurs centaines
de millions d’années-lumière, surtout quand il était jeune, au moment où le
rayonnement fossile a été émis.
Cependant, presque 13,7 milliards d’années
après le Big-Bang, nous observons bien aussi que les galaxies ont fini par se
rassembler pour former des filaments avec de grands vides à une échelle
inférieure à plusieurs centaines de millions d’années-lumière.
Et de se poser la question de savoir,
s’il ne faudrait pas considérer des solutions aux équations d’Einstein dans
lesquelles la répartition de la matière ne peut pas vraiment être considérée
comme homogène bien qu’elle le soit un peu quand même ?
La question se pose depuis un certain
temps et de célèbres théoriciens, comme
Robert Wald et Thomas Buchert, s’affrontent sur l’importance ou non à donner en
cosmologie relativiste sur les effets de la prise en compte d’un univers
finalement pas vraiment homogène. Le sujet est d’importance car, qui dit un
univers non homogène, dit un univers dont la vitesse d’expansion, à un même
moment global de son histoire, ne serait pas la même de façon non négligeable
selon les densités, et donc les lieux, dans cet univers.
Or, et comme par magie, quand on fait des
moyennes avec ces densités variables dans les équations d’Einstein sans sa constante
cosmologique dès départ, on aboutit finalement à l’apparition de cette constante
qui ne serait donc qu’un effet d’une physique très ordinaire et bien connue et
non sa cause première.
C’est justement pour en avoir le cœur
net que les astrophysiciens hongrois ont décidé de refaire les simulations
numériques de leurs collègues décrivant la formation et l’évolution des grandes
structures avec une expansion localement variable en fonction des densités
locales de matière.
Et ils aboutissent à un système d’équations
dans lequel ces densités rétroagissent sur les vitesses d’expansion qui font
elles-mêmes varier ces densités au cours du temps et dans l’espace.
Logique.
Selon ces chercheurs, leurs simulations
reproduiraient aussi bien l’évolution des grandes structures de galaxies de l’univers
observable que le modèle standard avec son hypothèse d’homogénéité. Dès lors, peut-être
faudra-t-il abandonner l’énergie noire, tout en maintenant l’existence d’une
constante cosmologique dont l’étude ne nous donnerait donc pas d’indice sur l’unification
des lois de la physique et la naissance du cosmos à moins qu’elle ne soit
connectée à la matière noire de façon particulière.
Tout récemment, Subir Sarkar, un
éminent physicien et cosmologiste à la tête du groupe des théoriciens de la
physique des particules de l’université d’Oxford, a certainement attiré l’attention
de tous ceux qui, au minimum, se sentent mal à l’aise avec le modèle standard
en cosmologie du fait qu’il postule l’existence de deux composantes de nature
largement inconnues dans l’univers observable : L’énergie noire, qui accélère
son expansion, et la matière noire, qui rend compte des propriétés des
structures galactiques.
Rappelons que Subir Sarkar est l’auteur
de nombreuses recherches en astrophysique, en cosmologie comme par exemple sur
la théorie de l’inflation, la nucléosynthèse, les neutrinos, la matière noire,
l’énergie noire.
Mais il faut préciser que Subir remet
en cause la solidité des résultats observationnels qui ont conduit à la
réintroduction de la constante cosmologique d’Einstein en cosmologie, ou, plus
prosaïquement, la découverte de l’expansion accélérée du cosmos observable
depuis la fin des années 1990 qui a conduit à l’attribution du prix Nobel de
physique en 2011.
Et de signaler que cette découverte s’est
faite en utilisant les supernovæ « SN Ia » que l’on peut considérer
comme d’assez bonnes chandelles standards même s’il faut faire des corrections
aux observations pour en faire de bons étalons de distance dans l’univers
observable. On a des raisons de penser que les « SN Ia » sont des
explosions dont la luminosité est relativement constante, donc moins elles
apparaissent lumineuses, plus elles sont loin. En mesurant leur luminosité
apparente ainsi que leurs décalages spectraux, on peut déterminer la vitesse
d’expansion de l’univers au cours de son histoire.
Et les chercheurs disposent maintenant
d’un plus grand nombre d’observations de « SN Ia » qu’au siècle dernier.
Ce qui veut dire que l’on peut en principe obtenir une mesure plus précise des
variations de la vitesse d’expansion et, surtout, de consolider la découverte
de son accélération.
Subir Sarkar et ses collègues ont donc
utilisé un catalogue de 740 « SN Ia », soit près de 10 fois plus de supernovæ,
pour tenter de confirmer l’existence d’une accélération de l’expansion. Les
chercheurs ont par ailleurs utilisé une méthode statistique un peu différente
de leurs prédécesseurs.
Le résultat obtenu a de quoi troubler,
en première impression en tout cas : L’accélération de l'expansion ne
serait en fait pas prouvée par les données issues des « SN Ia ».
Elles suggèrent bien son existence mais avec, selon le jargon des physiciens,
une évidence d’environ 3 sigma. Or il faut au moins 5 sigma pour parler d’une
découverte en physique, c’est-à-dire un signal qui diffère à tel point d’un
effet du hasard qu’il n’est pas raisonnable de penser, bien que cela reste
logiquement possible, que cela en soit bien un.
Faut-il en conclure que ceux qui
pensent que les astrophysiciens et les cosmologistes ont une attitude bien
dogmatique et manquent naïvement de prudence en accréditant le fameux modèle
cosmologique « ΛCDM » avaient raison ? Doit-on même aller jusqu’à
remettre en cause le Big Bang ?
Or, une équipe internationale d’astronomes
et de physiciens des particules avait déjà analysé les données de 740 supernovæ
« SN Ia », obtenues grâce au Sloan Digital Sky Survey II et au
SuperNova Legacy Survey.
Mais l’analyse, menée en particulier
par Marc Bétoule du LPNHE avait conduit à un résultat similaire. Bien que
suggérée par ces données, l’accélération de l’expansion de l’univers observable
depuis quelques milliards d'années n’est en effet pas démontrée en se basant
sur les « SN Ia ».
Toutefois il ne faut pas oublier, et
Subir Sarkar et ses collègues ne le font pas, car il existe d’autres observations
qui conduisent à admettre l’existence d’une accélération de l’expansion de l’univers
observable et donc celle de l’énergie noire.
Lorsque les équipes menées par
Perlmutter, Riess et Schmidt ont annoncé de 1998 à 1999 que leurs mesures
conduisaient à suspecter fortement cette accélération, ils ont convaincu la
communauté scientifique qu’il fallait prendre au sérieux la réintroduction de
la constante cosmologique d’Einstein dans les modèles de cosmologie
relativiste.
Des recherches en ce sens ont donc été
entreprises.
En fait, le grand cosmologiste Jim
Peebles proposait déjà depuis le début des années 1980 qu’il fallait la
réintroduire parce que le développement de la théorie de l’inflation indiquait
que la géométrie de l’espace de l’univers observable devait être très proche d’une
géométrie plate.
Personnellement, j’en ai toujours été
convaincu… intuitivement.
À mon sens, il ne peut pas en être
autrement, même si la géométrie de l’univers est finalement localement froissée, déformée par les effets de la gravitation.
Or, il n’y avait pas assez de matière
sous forme baryonique pour aboutir à cette géométrie. Paradoxalement, alors qu’il
allait être l’initiateur du modèle de la matière noire froide en cosmologie,
Peebles avait des réticences à postuler l’existence de cette matière non
baryonique et il préférait augmenter la densité moyenne de l’univers en
invoquant une constante cosmologique.
Au cours des années 2000 puis 2010, les
mesures effectuées concernant le rayonnement fossile avec WMap puis avec Planck
et enfin celles concernant les oscillations acoustiques de baryons, se sont
ajoutées à celles des supernovæ. La confiance dans l’existence d'une
accélération de l’expansion du fait de la présence dans les équations
d’Einstein d’une constante cosmologique s’est alors considérablement renforcée
et, avant 2011, on pouvait déjà parler d’une découverte.
Subir Sarkar mentionne en effet ces
observations mais pour les critiquer aussitôt en faisant remarquer qu’elles ne
font que confirmer un modèle qui sert à interpréter ces mesures, ce qui
pourrait être un cercle vicieux.
La méthode d’analyse que lui et ses
collègues ont employée apparaît dès lors comme une tentative de vérifier si
l’on peut soutenir l’existence d’une accélération de l’univers observable en se
basant sur un minimum d’hypothèse.
Il laisse entendre par exemple que l’on
pourrait bien être victime des hypothèses de simplification à la base de la
construction du modèle standard, en particulier celle concernant l’homogénéité
de l’univers à suffisamment grande échelle.
Même si par ailleurs, il y a eu des
travaux qui ont montré qu’en ne supposant pas que les galaxies puissent être
considérées à très grande échelle comme une distribution de densité constante,
on peut bel et bien aboutir à un diagramme de Hubble des supernovæ qui se
comporte comme en présence d’une constante cosmologique dans les équations
dites de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker. On ne suppose donc pas de nouvelle
physique ou un effet de l’énergie du vide quantique pour rendre compte de ces
observations.
En bref, il semble qu’il n’existe
toujours pas d’alternative théorique vraiment crédible et convaincante et les
observations de Planck ainsi que l’étude des oscillations acoustiques de
baryons avec le Sloan Digital Sky Survey qui ont considérablement raffermi
l’existence de l’énergie noire et de la matière noire.
Tout dernièrement d’ailleurs, certains
se sont penchés sur cette question.
Et ils ont trouvé qu’en se basant sur
l’étude des supernovæ seules, ou même en conjonction avec les données concernant
les BAO, il est possible d’accorder les observations avec aussi bien le modèle
ΛCDM que d’autres, en particulier si l’on admet que la luminosité des « SN
Ia » a évolué au cours de l’histoire de l’univers.
Admettons, mais si l’on combine les
mesures obtenues avec les supernovæ, les BAO et le rayonnement fossile, seul le
modèle standard passe le test et les alternatives considérées sont fortement
défavorisées.
Deux scientifiques viennent aussi de
déposer une analyse de l’article de Subir Sarkar et ils sont très critiques. Au
final, l’existence de la constante cosmologique semble bel et bien acquise
avec, dans le jargon des physiciens, une découverte à 75 sigma, ce qui est
énorme.
Dès lors, c’est ce que nous disions
déjà la
semaine dernière : C’est assez ironique de penser que jusqu’il y a
peu, nous concevions la gravitation comme une force attractive.
Mais à l’échelle de l’univers, elle
apparaît plutôt comme répulsive.
Et souvenez-vous, mon propos était de
vous faire savoir que l’hypothèse de « masse-négative » de la matière
baryonique n’était plus une vue de l’esprit (l’hypothèse, qui n’a rien à voir,
d’antimatière étant par ailleurs acquises dans les accélérateurs de particules
depuis des décennies) et que justement notre galaxie semble être « repoussée »,
pas tout-à-fait à la bonne vitesse et dans la bonne direction, vers le superamas
sis assez loin, par une zone de vide…
Et je peux vous dire que ça va devenir
de plus en plus évident au fil du temps.
C’est tellement logique, de toute façon
que, je ne le verrai probablement pas pour ne pas vivre assez vieux, mais ça
deviendra forcément une évidence scientifique…
et
Maintenant, spéculons un peu ensemble, juste pour nous éveiller : S’il ne
devient pas absurde d’affirmer que la gravitation attire peut-être en fonction
du rapport des masses et de l’inverse du carré des distances de deux corps,
mais qu’elle « pousse » aussi ces deux corps l’un vers l’autre à
raison du rapport de leurs masses et de l’inverse du carré des distances qui
les sépare, on a deux forces qui se confondent en une seule pour un même
mouvement.
Rien de révolutionnaire en soi, sauf
qu’on ne les distingue pas vraiment, mais on commence tout juste à suspecter ce
type de phénomène.
Ça, c’est encore de la science, juste
un peu spéculative.
Raisonnez donc de la même façon avec la
« flèche du temps », juste comme d’une hypothèse absurde, juste un
moment de vertige.
Le passé pousse vers le présent qui
pousse vers l’avenir.
Si je suis à un instant « t+0 »
à l’endroit « A » et que je rajoute de l’énergie pour avoir un
mouvement tel qu’à l’instant « t+1 » je me retrouve sans effort et
très naturellement à l’endroit « B », n’est-ce pas aussi que si je
suis en « B », c’est parce qu’à l’instant d’avant, j’étais en
« A » ?
Et pas en « A’ » ou encore
ailleurs, mais en « A » et à l’instant « t-1 » par rapport
à mon « t+1 » d’être en « B »…
Juste pour en rire, ça revient à dire
que la cause précède bien les effets, mais de constater que les effets
n’existent pas sans la cause, que le futur tire le passé vers lui.
Autrement dit pour être en
« B » à l’instant « t+1 », il aura fallu nécessairement que
je sois en « A » en « t+0 ». Une nécessité absolue qui
n’admet pas du tout que je sois en « A’ » : C’est
impossible !
Et le double mouvement se confond dans un même
couple, dans un sens comme dans l’autre, son inverse.
J’arrête là : Personne n’est mûr pour la suite. Ce sont de fabuleuses
perspectives qui s’ouvrent tout d’un coup à l’esprit et que curieusement qu’on
retrouve dans les couples de « particules intriquées ».
Vous touchez l’une, forcément, même située
à l’autre bout de l’univers, quelle que soit la distance et le moment, vous modifiez
l’autre.
Infiniment plus sûrement et plus vite
que ce qui va le plus vite dans l’univers : La lumière se propageant dans
le vide.
Curieux, non ?
Et cela pourrait bien expliquer ces
ovnis qui se baladent dans nos cieux pas tout-à-fait passés inaperçus.
Forcément, sauf à user d’une physique
qu’on ne connaît pas – ce qui reste possible – qui dépasserait les limites de
la vitesse de la lumière (là, ça reste probablement impossible), il leur faut « trafiquer »
la flèche du temps, l’inverser pour « viser juste » depuis l’autre
bout de la galaxie, voire directement depuis la plus proche étoile.
Le temps, comme les masses, comme la
gravitation, comme le courant électrique, comme la matière et l’antimatière,
comme le Ying et le Yang, le dessus et le dessous a donc deux polarités consubstantielles.
Nos prochaines découvertes à faire…
Une époque fabuleuse, finalement.
Bonne fin de week-end à toutes et à
tous.
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