Je suis passé saluer mes
« petits-kamarades ».
Et ce qui m’a le plus surpris, c’est d’avoir pu oublier, en
même pas 6 mois – deux trimestres, hein, pas plus – combien « ma »
ville pouvait être sale !
Ça sent des odeurs de « sale » à peu-près
partout : Celle de l’eau croupie, un brin acide comme de l’urine mais pas encore
putride, un brin glauque mais pas totalement souillée.
Se rajoute cette odeur de crasse, une sorte de mélange de
poussière et de la sueur, presque aigre, dont la densité s’accentue dans les
métros, les bus et les trains.
Certes, ça sent parfois les gaz d’échappement – c’est
presqu’un soulagement d’ailleurs ! – mais pas toujours.
Moi qui n’ai pas un odorat très développé, c’est vous dire
ma grande surprise !
Et puis, avec mes nouvelles lunettes, celles qui ne voient
pas « en bas », j’ai été obligé de baisser le nez pour voir où je
piétinais avec mon 47-fillette : Horreur !
S’il y a peu d’étrons-canins, il y a ces marques de pisse le
long des murs de-ci-de-là, la poussière est visible sur tous les rebords de
fenêtre des immeubles et surtout, surtout, il n’y a pas un seul mètre-carré de
trottoir et de chaussée qui ne soit pas maculé d’une tâche plus ou moins blanchâtre
de chewing-gum bien écrasé, aplati, incrusté dans le macadam !
Pas un seul…
Dégueulasse.
Et j’avais oublié.
D’autant que si les odeurs se sont atténuées avec la tempête
de vendredi dans la nuit, elles sont revenues m’agresser en début de semaine
avec les gelées, alors même que « les services » avaient pu saler une
partie du « domaine-pue-blique » … le bien-nommé.
Tout ça pour vous dire que je n’étais pas au bout de mes
déceptions !
Car mes « petits-kamarades », enfin, ceux qui
n’étaient pas partis sur les pentes alpines, tellement la neige s’est faite
attendre (sauf côté italien, suisse et autrichien), globalement, ils font la
gueule.
« Faut vous dire,
messieurs, que chez ces gens-là », ils sont tellement kons, que déjà,
ils en ont marre de leur « roi
des kons », celui à peine élu.
Et puis, depuis déjà quelques temps, je suis
« interdit » de siège (faute de rester muet aux relances du paiement
des cotisations : Ils ne désespèrent pas encore après presque 2
décennies…), alors nous sommes allés au café/tabac en face de la station
« Volontaires ».
Et là, comme je me fichais de leurs têtes à les moquer sur
les errements des caciques et des « chapelles » sis au dit siège, les
couacs et les peaux de banane qu’ils se jettent tous plus ou moins en travers
de leur chemin qu’ils m’en rapportaient même les « meilleurs
morceaux », que je finis par les traiter de
« débile-trisomique » (ça fait « mal », ce qualificatif, je
ne sais pas pourquoi…), ils m’ont renvoyé dans « mon exil » surtaxé
de « déserteur » !
Ouais, et fier d’avoir pu le faire avant l’orage, quand
c’était encore possible.
Bon, en représailles, on m’en raconte des vertes et des pas
mûres sur les « ritaux » (pluriel de « rital »), qui
glissent comme sur une plaque de verglas tellement je ne veux rien dire de mal
sur mes « accueillants » mangeurs de spaghettis et autres pasta, trop
content d’avoir trouvé un « abri » pas trop loin de mes côtes Corses,
de mes vignes et de mes clémentiniers et des odeurs de maquis, même si, même
si… ils ne sont finalement pas mieux que chez nous, on finit par me mettre au
défi de « contribuer » à former « la ligne »…
« Attend
donc ! Si c’est pour voir ma contrib’ sabotée par l’autre pantin à
talonnettes et ses cerbères, je ne vais pas me crever le kul pour si peu ! »
D’autant que je sais mieux ce qu’il ne faut pas faire –
c’est assez facile : Globalement tout ce qui n’a jamais marché – que ce
qu’il faudrait faire !
« Eh bien
commence par ça, le grand « Yaka-Faux-Kon » ! Ce ne sera pas
plus mal ! »
Vrai ?
Alors : « Déjà,
virer tous les « ratés » qui ont échoué si brillamment, du chef à
tous les sous-chefs qui ont pu être ministres, députés ou sénateurs, ainsi que
leurs équipes : Qu’ils retournent donc tous dans leurs municipalités ou
leurs administrations d’origine, au contact, un peu au moins, avec la réalité
et laissent « la base » travailler ! »
À des lendemains qui chanteraient mieux…
Casus-belli immédiat : C'est qu'il y a deux députés à m’écouter
et trois « conseillers de Paris » en exercice.
Et puis, une armée sans chef, elle ne sait pas comment se
battre, ni où, ni quand.
« Ni contre qui
non plus ! » en rajoute un autre.
« Tu auras noté
qu’avec ou sans patron, on ne voit pas trop la différence, là ! »
Et puis des « chefs », ils en ont tellement qu’à
côté, l’armée mexicaine c’est de tout repos pour le biffin de base…
Que de toute façon, ce n’est quand même pas croyable de
voter pour « un chef » qui ne cheffe qu’à mi-temps, et encore, juste
pour retirer son téléphone à celle-là, pour engueuler l’autre, la voiture à
celui-ci mais pas à celui-là, piquer le bureau d’un tel au profit de telle
autre, attribuer la place de parking à celui-là ou à l’autre, avant d’en faire
autant avec les « investitures ».
Pas un pour rattraper l’autre, dans ce tohu-bohu !
« C’est quoi
ça ? Depuis qu’il a été élu « chef », on ne l’entend plus, ni
dans la critique de l’autre kouillon d’autiste et de son gouvernement de
bras-cassés, ni même sur l’actualité ! »
Or, c’est tellement facile, finalement : Même moi j’y
parviens, c’est dire !
On dirait qu’il fait tout ce qu’il faut pour se faire fouetter
au sang par « Marinella-tchi-tchi »…
« Vous savez les
meks, parti comme c’est parti, elle va passer au premier tour en 2017, l’autre
blondasse, je vous l’ai déjà dit ! »
Leur vrai adversaire, celle-là, quoiqu’ils en pensent de
travers.
Tollé autour de la table !
D’abord il y a des régionales et des cantonales (en mars) à
préparer et qu’il s’agit pour « leurs champions » de se mettre à
l’abri (et de « toucher »…), pour faire corps et masse, le
« vrai » travail d’opposition proche des foules délirantes du
peuple et taper sur tout le monde, tous azimuts.
« Et puis plus
rien jusqu’en avril 2017 », date putative du premier tour… fais-je
remarquer, comme pour mieux qu’ils persistent à se tourner les pouces avec l’argent
des militants : Et ils savent y faire.
« Et que
croyez-vous que vous aurez le temps de nettoyer vos écuries d’ici les
primaires de 2016 ? Vous déballez quand les histoires de corruption
nationale avant qu’on ne le fasse pour vous ? »
Moi et mes histoires de « délirant »…
Pourtant, le centième anniversaire du
« grand-homme » en la personne de « Mythe-errant », c’est
le dimanche 16 octobre 2016 et ils
restent actifs à préparer leur dernier coup d’éclat. Et ils vont nous faire
caguer pendant des mois, avec ça !
Après, il sera trop tard.
Les histoires de corruptions et de détournements, ça ne
semble pas vraiment les concerner : Ils doivent tous avoir des dossiers sur tout le monde, pas possible autrement.
Et de toute façon, ils sont pourtant tous plus ou moins au courant, mais tous se
sont tus.
Je reste un pessimiste : En 2017, « n’importe qui, même un cheval pour reprendre
ton expression, sera élu contre le sortant… », poubelles de l’Histoire
déballées ou non sur la chaussée.
C’est sûr : Même la « blondasse » !
« Parce que elle,
elle a déjà un programme et vous rien ! »
Et c’est l’élu-local de me reprendre au mot : « Fais-nous un programme qu’on te dit, ou au
moins une esquisse, au lieu de râler ! »
Simple : Il faut dégonfler le rôle de l’État et tout de
suite.
« Il ne peut pas
s’occuper de tout, parce qu’il n’est pas compétent pour discutailler et décider
de ce que je mange ou bois ! Si tu le laisses faire, il ne fait que des
konneries. »
Quand on songe que désormais, les « fonctionnarieux »,
non contents d’avoir droit de vie ou de mort sur une molécule médicamenteuse et des années de recherche en
sont à pondre des pratiques recommandées en matière de soins !
Demain, la secrétaire-médicale pourra se passer de son
toubib de patron, qu’on aura remplacé par un robot, après tout !
La dernière idée en date, c’est encore cette décision de
priver de téléphone « Rachida-Mimi », justement. Je ne l’aime pas
vraiment, mais c’est stupide au moins autant que « Sœur-Âne » de
préempter le siège de l’UMP…
Et pourtant, elle, quand elle se jette à mon cou, j’aime
bien : Elle sent bon !
D’ailleurs, il faut que je lui fasse savoir que je suis « en
ville », avant que je ne reparte vers la méditerranée : Elle ne
crèche finalement pas très loin, à quelques carrefours d'ici vers la porte de
Versailles, à peine deux stations de « métro-puant », avec son
mek-à-elle qui fait « députacrouille-soce » « Eau-brilliste », dans le civil.
L’État, c’est la sécurité pour tous : L’intérieur, la
défense, la justice, la diplomatie, sans ça, il ne sert à rien.
L’État, c’est la garantie des Libertés, sans ça, c'est le retour au far-west : Le bon
fonctionnement des institutions représentatives
– tant qu’on n'en aura pas trouvé d’autres – la garantie des
« droits-sacrés » pour tout le monde, vivre, en bonne santé de
préférence, communiquer, débattre, échanger, manifester, la propriété
individuelle, l’accès aux savoirs, à tous les savoirs, y compris scientifiques
et le droit de se déplacer par les moyens à sa portée.
Rien de plus.
Je veux bien qu’il s’occupe de l’éduction, de la santé
publique et de l’aménagement des territoires, mais seulement là où il y a
carence de l’initiative privée.
« Ce qui te nous
fait 9 ministères, pas plus. 1. Le chef du gouvernement (et des relations
avec le Parlement) ; 2. Le ministre de l’intérieur, de la sécurité civile et
des libertés publiques ; 3. Le patron de la diplomatie et des relations
européennes ; 4. Son pendant, le ministre de la guerre ; 5. Le
« garde-des-sots » et d’une justice qui ne rend de compte qu’à
elle-même et au « kon-tribuable » ; 6. Le ministre du budget et de la
fonction publique, ses personnels, pensionnés et anciens-combattants ; et trois
« sous-ministres » : 7. L’instruction publique, « les arts et
sciences », 8. La santé et, 9. L’équipement et les territoires.
Le reste, c’est superflu
et bien trop coûteux ! »
En quoi avoir un ministre à plein temps de l’industrie, de
l’économie, du travail, des régimes sociaux améliore-t-il la situation du
« kon-citoyen » ?
On peut même affirmer que c’est complétement
contre-productif, au moins autant que le ministre de la SNCF, de la poste ou de
la « culture & des divertissements »…
Et les autres j’en fais quoi ?
« Je dégonfle les
effectifs, quitte à leur offrir le même traitement que les militaires réformés,
les aider et les former à un métier « productif », parce qu’un
fonctionnaire de plus, c’est un chômeur de plus et inversement.
Tu peux vérifier, ils sont
désormais en quantité égale et ne produisent rien ni les uns ni les autres,
sauf des emmerdements et des normes, pour vivre au dépend de tous les autres.
Et que du coup, je peux
réduire l’impôt et la taxe, redonner du grain à moudre à l’économie, aux
entreprises, à leurs salariés, qui vont devoir bouffer et cotiser pour produire
ce que l’État et ses démembrements ne pourront plus faire. »
Mais comme d’habitude, ce que j’en dis ou rien.
Passons… : Ils ne sont toujours pas mûrs !
Je leur ai promis d’essayer de faire un effort … plus
tard : Ma « Môman-à-moi-même » m’attendait pour dîner ce soir-là.
Et là, nouvelle surprise désagréable : Comme c’est une
abonnée du premier blog, je découvre sur sa machine les « pubs
promises » par l’hébergeur qui vous sautent aux yeux avant même d’accéder
au « chapeau » de présentation !
Moi, quand je visite, je n’ai rien : Inconnu au
bataillon, pas de profil très fixé et j’efface toutes les cookies dès que je
ferme une session internet (une option offerte par
« Internet-Explorer »).
Elle, pas du tout : Elle se prend une palanquée de pubs
idiotes pour des fringues ou des
produits de beauté !
J’imagine que chez d’autres, ce doit être des offres de
voyage, « d’alcools & chocolats », des sites porno ou de
rencontre…
Imaginons que mon « cousin-fachot » (celui qui
fait mégrétiste-dur dans le civil) soit lui-même « catalogué » par
les robots : Il doit être très fier d’avoir des pubs pour des sites
proposant des insignes nazillons !
Même que ça doit le renforcer dans son « autisterie »
à lui que demain, sa fille finira ministre de « Marinella-tchi-tchi »…
et que j’en suis déjà un adepte !
Lamentable : Comme si je pouvais contrôler le choix de
ces pubs imposées.
Vraiment un « pays dégueulasse » et qui ne
sent décidément pas bon !
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