Ne pas
faire ce qu’on dit que l’on va faire.
Encore une information confirmée la semaine dernière,
sans faire « trop de vagues »…
Pourtant, elle devrait interpeller tout le monde et on
devrait tous exiger la fin de cette méthode de gouvernance absolument
dictatoriale et démentielle.
Je vous explique…
Nous nous doutions bien, au moins moi-même quand je
créchais encore en « Gauloisie-corrompue », qu’en matière de
répression de la délinquance et « contrevenance » routière, il y a d’un
côté le discours de vos « sachants » et autres « politiques »,
et puis … des pratiques peu avouables en tout cas pas très recommandables
pour être contradictoire avec les dires et intentions affichées.
De « gros mensonges », quoi.
D’ailleurs, l’histoire des « délégations de
services publics » quant aux barrières d’éco-taxe-poids-lourds, signées
ici, dénoncées peu après et l’affaire des radars automatiques qui alimentent la
caisse du concessionnaire chargé du recouvrement des amendes automatiques, nous
avait déjà mis la puce à l’oreille…
Elle gratte encore plus, la puce-à-l’oreille, quand l’État
joue avec vos sous (que vous n’avez pas encore en poche, mais que vous paierez
tôt ou tard), quand il concède, « en votre nom », des réseaux
autoroutiers (mais c’est exactement pareil pour les réseaux ferrés, les ports
et aéroports, les ponts et viaducs), moyennant « péage » (l’arrière-petit-fils
des barrières d’octroi, des « droits de pontage », des « droits
de circulation » de l’Ancien régime qui s’est terminé dans l’épisode
fameux et sanglant de la « Terreur »… et même des droits de douanes
actuels)…
Un jour, il encaisse un droit de concédant, le
lendemain, il nationalise, le surlendemain, il privatise et actuellement, il
envisage de dénoncer lesdites concessions…
Avec quel argent au juste ? 800 millions par-ci
(les barrières d’éco-taxe), 20 milliards par là (les autoroutes) ?
Toujours le vôtre, d'argent, ne vous trompez pas.
Que même, finalement, c’est à se demander si ce ne
sont pas les sociétés concessionnaires d’autoroute qui poussent les députés à
réclamer qu’elles fassent leurs « profits & plus-values » le plus
tôt possible, plutôt que de s’emmerder à collecter et distribuer des dividendes
sur de longues décennies pour dédommager les « investisseurs »…
Passons, parce que la semaine dernière, me saute aux
yeux les résultats de l’enquête de la LDC (Ligue de Défense des Conducteurs…
pas des taxis : Ils se démerdent assez bien tout seuls pour ne plus savoir
qui fait quoi dans leur métier, et dans quelles conditions), sur l'utilisation
de l'argent de vos PV et autres amendes issu de la répression routière.
L'association a mis sur la table des documents
parfaitement officiels mais dont la physionomie peu avenante ne permet pas de
tirer aisément des conclusions.
Ce n’est qu’au terme d'un long et patient travail de
décryptage qu’ils sont parvenus à débusquer quelques énormités quant à
l'affectation du produit de vos amendes.
Et il en ressort que dire qu'il y a « détournement
de fonds », n’est même pas usurpé, au moins au sens géographique du terme.
Dans le grand aiguillage des ressources de l'État
provenant de la route, il est permis de dire que les usagers sont manifestement
spoliés : Sur les 1,7 milliard d'euros tirés des 24 millions de contraventions
dressées en 2012 (70 € en moyenne…), bien peu sont revenus en 2013 à des
investissements concernant la route et sa sécurité comme il en avait été
justifié, au moins à chaque « nouveauté tarifaire » en la matière.
Sur ce pactole qui fait rêver le ministre de la
Finance, l'attribution des subsides de toutes sortes ressemblerait, hélas, à un
inventaire à la Prévert et échoirait surtout à des organismes sans aucun
rapport avec la route.
Vous avez bien lu.
Selon la « LDC », « l'argent directement issu des contraventions
échappe totalement à toute contrainte de répartition. Les sommes sont
distribuées selon le bon vouloir du prince en fonction. »
En toute légalité-démocratique et consentement à l'impôt par le
peuple, sans lequel il n’est plus d’autorité étatique…
Et ceux qui voudraient croire que ces sommes servent à
combler les nids-de-poule, à redresser les virages dangereux, à installer des
barrières de sécurité, à entretenir la signalisation horizontale, à retirer la
boue sur les chaussées et à gommer les points noirs en seront pour leurs frais.
Ils financent en réalité aussi bien les transports en
commun, largement déficitaires – la double peine pour les automobilistes qui ne
peuvent les utiliser –, que « le
remboursement de la dette de l'État, la construction de la ligne ferroviaire
grande vitesse Est, l'amélioration des transports en commun dans les
collectivités locales ou encore la modernisation du réseau fluvial » !
Mais si : C’est comme çà et pas autrement.
Que les conducteurs se rassurent, ils n'ont pourtant
pas été oubliés … mais seulement au titre du renouvellement des appareils radars
ou à leur entretien !
C’est forcément plus urgent…
Même si les recettes issues de la répression routière
servent déjà à financer le système lui-même, alors même que les dépenses
d'investissement pour les radars ont augmenté de 68 % cette année : C’est
qu’il s’agit d’une « affaire juteuse » !
« En 2014,
220 millions d'euros devaient ainsi être alloués au fonctionnement et à
l'entretien des radars, ainsi qu'au renouvellement du parc de ces coûteuses
machines.
19
millions d'euros devaient servir à financer le système de gestion des points du
permis de conduire, et 31,6 millions d'euros devaient être réservés au
déploiement des PV électroniques.
Ces
fonds, prélevés directement dans la poche des conducteurs, servent uniquement à
financer la pérennité du système répressif ».
Moi, j’aime bien la « logique » : Tu
payes plus pour qu’on puisse te faire payer encore plus !
C’est un peu comme du temps de l’Europe et de la PAC :
Tu payes des taxes pour qu’on puisse subventionner les agriculteurs en achetant
leurs produits à des prix dirimants que tu repayeras plus tard…
Et après ça, ils ne parviennent pas à comprendre ma
mauvaise humeur !
Mais tout cela n'est qu'une aumône en comparaison des
autres financements.
À la sortie de cette corne d'abondance, les mieux
servis n'ont qu'un lointain rapport avec la route.
Qu'on en juge :
– La plus richement dotée est l'Agence de financement
des infrastructures de transport de France (AFITF) la bien nommée.
Elle dispose d'un budget de 280 millions provenant
uniquement de la route (amendes des radars, taxe d'aménagement du territoire,
autoroutes…).
Or, les deux tiers (190 millions) de sa dotation
servent principalement … au transport ferroviaire et aux transports collectifs
d'agglomération, tous les deux largement déficitaires.
Faut vous dire que si un « usager » (pas un « client »)
devait payer réellement le prix de son train de banlieue, les tarifs
doubleraient et il resterait chez lui !
Ce qui creuserait encore plus les déficits…
Conclusion logique : Le système, en réprouvant
l'automobile, se nourrit de son bon fonctionnement pour rééquilibrer les
transports boiteux.
Déjà et encore la
double-peine !
Et « ce
soutien s'effectue au détriment de la modernisation et de l'entretien du réseau
routier. En 2013, toutes taxes confondues, la route a rapporté à l'État 37,4
milliards d'euros, soit autant que l'endettement cumulé de 40 milliards d'euros
de la SNCF et de Réseau ferré de France ».
– Mais cet organisme n'est que le premier d'une longue
liste de bénéficiaires où l'on trouve, en seconde position l'Antai (Agence
nationale de traitement automatisé des infractions), qui se livre à une « véritable activité industrielle ».
L'étude met surtout en lumière les dérives de cette agence.
« Soucieuse
des deniers publics, l'Antai affiche des objectifs dignes d'une entreprise
privée.
Croissance
à plusieurs chiffres et développement font partie de son vocabulaire.
Sa
conduite révèle son ambivalence et, plutôt que de se réjouir de la baisse du
nombre des infractions, elle planifie en permanence une hausse des sanctions.
Pour un
coût salarial moyen de 96.000 euros par an – près de 8.000 euros par mois et
par agent –, (les) 26 cadres de l'État veillent avidement à la
prospérité de cet organisme », vous rapporte la Ligue.
Vous aurez remarqué : Si ça vous en touche une,
ça n’émeut même pas l’autre.
Comme si tout était normal.
– Et ce n’est pas tout : Vu sa situation, l'État
aurait eu tort de s'oublier dans la grande redistribution et ce ne sont pas
moins de 452 millions d'euros qui sont officiellement affectés pour 2014 à son désendettement.
Ce qui représente tout de même 26,5 % de l'argent
sorti de la poche des seuls conducteurs !
Là encore, la double-peine…
– On retrouvera aussi des organismes comme l'Agence
pour la cohésion sociale, qui fait de la prévention de la délinquance et des
discriminations (45 millions d'euros), n’est-ce pas.
Comme si c’était aux seuls conducteurs d’assumer, même
partiellement, le coût des « petites-racailles » des banlieues :
Tout est logique pour un système à dépenses « affectées » !
– À ne pas confondre avec les collectivités
territoriales qui, à elles seules, récoltent 680 millions d'euros « pour l'amélioration des transports en
commun, de la sécurité et de la circulation routière ».
Là encore, c’est tellement évident que ça ne se
discute même pas, puisqu’on restait obligé plus qu’à son tour de se passer de
ce si magnifique réseau de tramway-parigot (et d’ailleurs) qui vous impose
quand même à user de votre véhicule personnel, tellement il reste « galère »
et tellement « malcommode ».
– D’ailleurs, 170 millions d'euros sont affectés à
l'amélioration des transports en commun et de la circulation, mais le reste se
noie dans un brouillard opportun où il n'est surtout plus question de
traçabilité ni de transparence démocratique.
« En
réalité, cet argent peut servir à améliorer les infrastructures routières comme
il peut servir aux équipements de la ville sans lien avec la sécurité routière
comme la construction d'une ligne de tramway », note la
secrétaire-générale de la LDC.
Quand je pense que dans le mot « secrétaire »,
il y a le mot « secret »…
Elle devrait se taire si elle veut éviter de se faire
pendre : On vit en dictature vêtue des habits de la démocratie…
Oui, la démocratie de seulement un dimanche tous les 5 ans, c’est vrai.
Celle-ci rappelle opportunément que le facteur « infrastructure »
est présent dans 40 % des accidents mortels !
À un moment où remontent les statistiques d'accidents
et alors que l'état des routes ne cesse de se dégrader faute d'entretien, la
LDC demande au gouvernement de mettre l'argent des conducteurs au service de la
sécurité routière.
Un vœu pieux qui laisse les usagers de la route sans
trop d'illusions ?
Finalement, il n’y a qu’un mot : On vous rackette,
mais ça vous le saviez déjà.
C’est d’ailleurs le métier que j’aurai peut-être dû
faire, au lieu de jouer au kon sur les autostrades italiennes : Il y a bien des radars aussi, mais ils ne fonctionnent pas pour la plupart…
Et ça ne vous émeut même pas : Vous y consentez,
finalement et moi je me suis tiré.
Mais ce qui me semble plus grave n’est pas là :
En « dérivant » ici où là des recettes « affectées », la
puissance étatique ne fait que scier la branche sur laquelle elle est assise… elle,
son « autorité » et jusqu’à sa « nécessité-existentielle ».
Réfléchissez encore deux secondes (et après je vous
lâche).
Ses actions, finalement toutes ses actions, ne visent
qu’à une seule chose : Modifier les cours des choses et les comportements
des citoyens qu’il sert aveuglément, pour leur plus « grand-bien »
bien compris, en dérivant les coûts et donc le prix des choses.
Vous me direz, c’est l’usage de tous temps, sa
vocation première et ultime : C’est vrai aussi.
Certes, mais alors, quand le « prix » n’est
plus le « vrai-prix », ni même le « juste-prix », plus rien
n’a de valeur !
C’est ce à quoi on assiste malgré nous.
Et c’est bien ce que l’autorité étatique semble aussi
vouloir corriger, en tout cas dans ses effets « non-désirés » (lesdits
« effets-pervers »), mais en rajoutant couche sur couche, au lieu de
se retirer…
Fabuleux « d’autisme-dogmatique »,
finalement !
Parce que ça conduit inexorablement à la faillite,
même non-consentie.
Remarquez, comme vous n’en dites rien et que « qui ne dit mot consent », ils
persistent…
Tant pis pour vous : Moi, je me suis tiré !
Vous apportez vous même la preuve qu'il faut, AU MINIMUM, tripler le montant des amendes en tout genre!
RépondreSupprimerIl faut créer une Caisse Nationale d'Amortissement des infrastructures routières, lesquelles doivent être NATIONALISEES. Ladite caisse, elle, doit être exclusivement alimentée par le produit des différentes recettes liées à la route, lesquelles doivent être augmentées à due concurrence de l'équilibre financier du régime ...
1. le carburant à, au moins, 3 euros le litre
2. la vignette de circulation à, au moins, 1 euro du kW de puissance motorisée multipliée par le poids total roulant autorisé mesuré en tonnes. Pour un véhicule de une tonne ayant une puissance de 100 kw, on aurait une vignette à 100 euros l'an. Pour un véhicule de 44 tonnes ayant une puissance de 500 kW , on aurait une vignette annuelle à 22.000 euros ... En contrepartie, les péages seraient GRATUITS entre 22H00 et 06H00 du matin ...
Le reste à l'avenant ... Faut ce qu'il faut!
Avec vous, je n'ai jamais su si vous étiez sérieux où s'il fallait lire au second degré...
SupprimerParce que vous n'êtes pas sans ignorer que plus on taxe, plus la recette totale diminue.
On en a la preuve tous les jours à lire le délire des taxes nouvelles et le niveau des recettes qui n'entrent pas dans les caisses...
Autrement dit, comme vous n'êtes pas mal du tout à voter soi-disant pour le contraire de ce que à quoi vous aspirez, ce que vous nous proposer c'est ni plus ni moins que de provoquer encore plus vite la faillite du système.
Quand même dommage pour une personne intelligente et "d'extrême-centre-modéré".
Je suis quand même part en exil à cause de gens comme vous, qui avez pu porter le FN en première place des partis de mon pays : Votre pour la peste brune afin d'éviter le SIDA du neurone, c'est franchement ignoble.
Or, ici, c'est normalement encore moi l'ignoble.
Mais notez, que comme je suis en exil, c'est vous et pas moi qui paierez vos propres délires !
Merci d'être passé.
C'est évidemment du premier degré, du "primaire" même! Je ne plaisante pas du tout ... A cette réserve près : il faut faire une étude sur l'élasticité de la pression fiscale ... afin de trouver le bon pivot, c'est à dire celui à partir duquel la recette globale diminue vraiment ...
SupprimerBien évidemment, les 22.000 euros de vignette de circulation pour les poids lourds sont "excessifs" ... mais plusieurs milliers ne le sont pas! Surtout si on met en place un bonus pour emprunter les autoroutes LA NUIT. Plus un poids lourd roulerait la nuit, moins la vignette annuelle baisserait ... Il faut que les poids lourds arrêtent de nous faire chier! Donc, la nuit, c'est bon pour tout le monde aux conditions que je viens d'indiquer....
A propos d'exil, je reviens, notamment, de l'Ile Maurice ... Mon hébergeur faisait de l'optimisation fiscale. Si ça vous intéresse, je vous refile l'adresse!
Hélas, trois fois hélas : C'est encore pire que ce que je croyais !
Supprimer1 / Les routiers ne sont pas là pour vous "faire chier", mais pour vous apporter de quoi becqueter à peu près frais : Je vous mal claquer votre retraite en essence pour aller chercher des œufs à la ferme, pondus sous la poule, ou votre tranche d'escalope en ramenant un veau entier dans votre coffre.
Va falloir vous habituer à vivre "en société" où les tâches sont partagées.
D'autant mieux si tout le monde en fait autant au prétexte de s'alimenter...
2/ Quel que soit les niveaux d'impôts et de taxes, même sur le pet des vaches (qui émettent tant de méthane, gaz à haut effet de serre qui s'envole à ... "faire serre" dans la stratosphère), de toute façon, ce ne sont pas elles qui payent.
Pas plus la vignette des poids-lourd, mais bien le konnard qui becquette, consomme, use et utilise ce qu'il se fait livrer.
C'est soit ça, soit les heures supplémentaires de nuit à payer en sus.
Déjà que la plupart des camionneurs stationnent sur les BAU avant l'ouverture des Halles, pour espérer rentrer chez eux en soirée, vous me faites donc marrer.
Et je ne raconte même pas tous les autres qui livrent sur entrepôt ou directement en magasin de meubles et de vêtements...
En conséquence de quoi, avec vos délires frontistes, de "modéré", vous vous volez vous-même et votre retraite ne suffira même pas pour vous payer vos médicaments.
Faut-il être débile ?
Suite ->
... 3/ La dite "élasticité" de la pression fiscale, vous n'avez pas besoin d'en trouver le pivot par "une étude" : Vous la vivez depuis un peu plus 3 ans.
SupprimerPlus les taux montent, plus le nombre de taxes s'accroit, plus les assiettes s'élargissent, moins les encaissements augmentent.
Inversement, quand "Bling-bling" faisait paraît-il des "cadeaux" aux entreprises et aux particuliers richissimes, les recettes fiscale ne diminuaient pas pour autant.
Le système fiscal dans son ensemble est complètement fossilisé : Il faudrait tout repenser.
4/ Mais c'est impossible tant qu'on n'aura pas réduit les dépenses publiques : Alors qu'un tiers ne servent à rien pour le confort des "usagers", un autre tiers est finalement gaspillé bêtement et seulement un troisième tiers permet au reste d'exister.
Je caricature, naturellement, mais c'est dans cette ordre de grandeur-là et depuis bien longtemps.
Et seulement sur le plan fiscal, mais nationale comme local...
Parce que sur le plan "social", c'est encore pire : Au lieu d'être juste une caisse de redistribution généralisée, où il ne sort pas plus qu'il n'entre, il faut 8 à 12 % pour la faire fonctionner alors que l'objectif est de ne pas dépasser 2 % (quand c'est bien géré) et de ne surtout pas faire de déficit, ce qui n'est pas le cas, loin s'en faut !
Plus il y a de déficit, plus "on s'énerve", plus on s'énerve, plus il y a de la fraude et des erreurs, qui coûtent la peau des fesses à corriger cahin-caha...
Ceci expliquant cela.
Suite ->
... 5/ Et explique aussi le "pillage" de la recette des amendes routières, qui devraient aller à l'élargissement des chaussées et pas au désendettement de la Nation...
SupprimerPassons, quand vous payez de l'impôt régional (Ile de France), pour aller claquer 300K€ d'une statue à la gloire d'Allende, posée au Chili, pas rue de Babylone à Paris, ça enrichit qui au juste sinon le sculpteur ?
Et ça appauvrit qui qui ne peut pas bosser dans l'attente d'un agrément rendu par le conseil régional, faute de moyens et de crédits ?
Il y a comme un sens des priorités qui reste inversé (comme dans les ronds-points, d'ailleurs, après avoir financé plein de feux-rouges... avec le même pognon inutilement utilisé).
Conclusion : Vous pouvez toujours taxer "en plus", ça ne sert à rien.
6/ Quant à l'optimisation Mauricienne, elle n'est pas mal, c'est vrai. Mais je suppose que celui-là comme beaucoup d'autres, ne sait faire que sur le "patrimoine" des plus riches !
Nous sommes une dizaine à faire sur les revenus du travail, ce qui accélère la constitution d'un patrimoine épargné...
Et si vous avez le sou, vendez votre bicoque parigote et déménagez donc à l'Ile Maurice sous les cocotiers tant que les niches fiscales totalement hors du droit commun y existent encore : Ils seront contents de vous voir venir avec votre "taxe-poids-lourd" à "quelques milliers d'euros" pour rouler la nuit !
Moi j'aime bien la perspective, finalement.
Bonne journée à vous !
I-Cube