Mais je
plains bien les résidents de la « Socialie-Gauloise » !
Une halte sur leurs « malheurs-communs »
avant de revenir sur les « votations » du week-end dernier.
Parce qu’on y songe bien : Depuis deux ans et
demi, « François III » s’est enfermé dans le « déni de bon sens »,
que ça en devient de la « trisomie-appliquée » doublée
« d’autisme-acéphale ».
Bref incompréhensible pour le « genre
humain », finalement.
Au lieu de « réformer » la boutique qui lui
a été confiée, de lui faire subir une cure d’amaigrissement au rythme qu’il
aurait souhaité, ce que tout le monde attendait, lui pousse la logique du
« plus d’impôt-plus de recette » jusqu’à épuisement de la
vache-à-lait, qui tue la croissance et alimente seulement les courbes du
chômage, des déficits et de l’endettement commun.
D’ailleurs, les traites forcées donnent désormais
toujours moins de beurre…
Le « toujours plus d’État » est en train de
tuer l’État dans un divorce sans nom d’avec les électeurs-citoyens, dans des
zones de « non-droit » toujours plus larges et profondes, dans des
démagogies populistes toujours plus denses.
Et les « soces » iront encore crier
« au feu » dans quelques mois, alors que ce sont eux qui ont soufflé
sur les braises après y avoir bien remis le feu grâce à leurs
« dogmes-poubelles ».
Quand même pas croyable !
Qu’on en juge devant l’Éternel et tous les dieux et
esprits-sains du ciel et de la terre : Pas une semaine sans qu’ils n’en
rajoutent une couche.
Pas d’impôts nouveaux ? Mon œil (pour rester
poli).
« My ass is chicken », comme on dit en
Auvergne.
« Mein arsch ist huhn », comme on éructe chez
les teutons.
« Mi culo es el pollo », comme on dit en
chantant.
« Il mio culo è pollo », comme on dit par
chez moi…
– D’abord cette « news » ahurissante et
locale :
Le Progrès du 22 novembre 2014 nous a appris que le
fisc de l’Ain a commis une erreur dans l’avis d’imposition concernant la taxe
foncière qui a été envoyée à 21.000 contribuables locaux.
Plusieurs personnes, s’apercevant de l’erreur, ont
naturellement pris contact avec les services fiscaux pour se faire rembourser.
Que croyez-vous qu’il arriva ?
Réponse immédiate des services fiscaux : « L’erreur
» d’imposition est de quelques euros par contribuable et inférieure à 8 €. C’est
donc « Niet » comme aurait dit « Poux-tine ».
Pourquoi 8 € ? Mais tout simplement parce que le Code
Général des Impôts, dans son
article 1965 L, prévoit que : « Les
dégrèvements ou restitutions de toutes impositions ou créances fiscales d’un
montant inférieur à 8 € ne sont pas effectués. »
Pas un coup de feu n’a été tiré : Le montant du
butin s’élèverait à 126.000 €… Le braqueur c’est l’État (vous tous, quoi !).
L’arme du crime, c’est la taxe foncière.
Mieux que d’aller « se faire » une
bijouterie de luxe dans le 15ème !
Et en plus, c’est légal, il n'y a aucun risque de poursuite, de ce qu’en ont décidé les
élus du peuple qui ont voté il y a très longtemps la mesure de
« simplification » (1992, revisité au moment du passage à l’Euro).
Et pas de « Class-action » à redouter pour
ce prix-là, ni même de compensation légale (autre légalité de l’article
1289 du code civil, Loi n° 1804-02-07 promulguée le 17 février 1804,
déjà), puisqu’il n’y a pas de dette formelle !
C’est-y-pas merveilleux ?
Demandez-y voir d’oublier ne serait-ce qu’un seul euro
à votre quittance d’IR, tiens… juste pour en rire.
« Kaka-Zut-Hack », l'ex-ministre de la fraude fiscale se marre. « T’es-venu-d’où »
l'ex-ministre et sa « phobie administrative » est plié de rire. « Le Gang », secrétaire
d’État aux relations avec le parlement qui avait minoré sa déclaration de
patrimoine, s’en tape sur le ventre à s’arracher les tripes. « François
III », le Président qui avait annoncé qu’il n’y aurait plus d’impôt supplémentaire sur
qui que ce soit s’en dilate encore la rate de rire !
Demain, attendez-vous à ce que tous vos impôts et
taxes, bout par bout, soient majorés de 7,99 € : Vous n’aurez qu’à fermer
vos gueules !
Je m’en contre-cogne le coquillard : Je ne suis
plus concerné.
– Parce que si encore il n’y avait que des
« erreurs », mais non, ils s’y entendent pour vous racketter en
« bande organisée ».
Prenez « l’écotaxe-poids-lourd » :
Craché, juré, elle est suspendue « sine
die », avant de l'annuler complétement. Que même ça va coûter 800 millions.
Eh bien maintenant elle va être en expérimentation en
Alsace et en Lorraine.
« Non mais allo quoi ? »
« Non mais allo quoi ? »
Mais si chérie, ils sont devenus totalement fous,
schizophrènes déclarés et assumés.
« Ségololo » la ministre de l'écologie lundi dernier, lors d'une
conférence à Paris, revient sur l'écotaxe, confirmée à Florange par
« François III » (ou inversement) qui a prévu « un test »
grandeur nature, en 2015 ou 2016, histoire de dégager les autoroutes locales du
trafic poids-lourd venu d’Anvers et de Rotterdam vers le sud de l’Europe :
C’est que l’écotaxe existe déjà depuis plusieurs années pour les gros-kuls,
outre-Rhin … Juste à côté.
Et de nous expliquer qu'en fait, nous sommes vraiment tous
que des kons irrécupérables, qui n’ont jamais rien compris à rien.
L'écotaxe, en fait, elle n'avait jamais disparu :
Ce qui est dans la loi c’est « la
suspension du contrat avec Ecomouv' qui n'est pas la suspension de l'écotaxe
» a déclaré la ministre.
Et très sérieuse d’insister : « Il y a beaucoup de confusion sur ce sujet …
»
En attendant, elle a mis en place un groupe de travail
qui est chargé de définir les modalités par lesquelles les transporteurs
peuvent financer les infrastructures selon le principe « pollueur/payeur » que vous retrouverez dans votre assiette en bout de chaîne.
Je vous le dis : Un jour, ils vont taxer le
soleil et l’air qu’on respire.
Déjà, l’huile de palme et les autres, tout ce qui vous
nourrit, votre eau ou la vodka qui lave les dents, c’est fait…
Notez, je m’en contre-cogne le coquillard : Je ne suis
plus concerné.
– Et puis pas seulement… La dernière trouvaille
« soce », elle nous vient de « Sœur-âne »,
la mairesse « andalouse-parigote ».
Pas mécontente de pouvoir surtaxer à la fois les
hôtels de la kapitale et les « résidences secondaires d’entre les
murs » (les garçonnières des « petits-patrons de province » dans
l’enceinte des « fortifs’ »), furieuse de n’avoir pas pu taxer (très provisoirement) le
périphérique, elle s’attaque au stationnement des VP (voiture particulière) le
long des trottoirs de « sa ville » merveilleuse.
Globalement, Paris compte 142.000 places de
stationnement payant, sur la voie publique, en surface.
La définition juridique du stationnement payant est sans
équivoque : Il s'agit d'une « contribution
financière destinée à compenser l'occupation du domaine public à titre privatif »,
autrement dit une taxe, que vous vous devez de payer en garant votre voiture
sur la chaussée, plutôt que de vous l'enfoncer dans le kul … qu’ailleurs !
L'équipe de « Sœur-Âne » travaille depuis
quelques semaines sur une modification substantielle des tarifs de
stationnement à Paris.
Les résidents : Si avoir une voiture à Paris est
déjà héroïque (plus de la moitié des parisiens n'en ont pas), cela va devenir suicidaire.
Le stationnement résidentiel pourrait en effet passer de 3,25 euros par
semaine (un peu plus que la moitié du futur prix du Pass-Navigo), afin d'inciter les parisiens à ne pas prendre leur voiture pour
circuler dans Paris, mais les cages à lapin des transports en communauté de sueurs,
odeurs dégueulasses, poux, puces, microbes et virus, à 9 euros la semaine.
9 euros, multiplié par 47 semaines, si l'on considère
que notre parigot à encore les moyens de partir en vadrouille au moins 5
semaines par an, cela fait tout de même 423 euros/an !
Un mois de bouffe à trois (en comptant ma bouteille de
vodka hebdomadaire)…
Plus qu’un aller-retour vers la
« Corsica-Bella-Tchi-tchi » par le ferry au tarif des « heures
d’été ».
Auxquels il faudra rajouter une carte de stationnement
résidentiel payant, 45 euros à l'année, ou 90 euros pour trois ans, là où elle
était encore gratuite pour ceux qui justifiaient d’une taxe d’habitation
« abattue » (et non pas de résidence secondaire surtaxée « en-les-murs d’enceinte »).
Les non-résidents : Ils ne votent pas là et d'après le projet de
délibération qui pourrait être voté en décembre, pour s'appliquer au 1er
janvier, le stationnement deviendrait payant non plus jusqu'à 19 h 00, mais
jusqu'à 20 heures.
Le mois d'août, gratuit dans certaines rues serait
aboli. Pareil pour les samedis gratuits dans les mêmes zones.
Les tarifs ? Dans le centre de Paris, où l'heure
atteint déjà des sommets à 3,60 euros, le stationnement passerait désormais à 4
euros, soit 11 % de hausse.
Mais dans les zones où le stationnement payant est
facturé 1,20 euros, le tarif passerait à 2,40, soit 100 % d'augmentation !
Le but avoué et revendiqué par les élus parisiens de
la « gôche-soce-déjantée » est de pousser leurs administrés à enlever
leur voiture de la chaussée, pour aller se garer dans les parkings souterrains.
C’est là où je me marre : On aurait pu y croire –
même sans avoir une mémoire de poisson-rouge – si « De-La-Nuée », le maire sortant du même parti qui est parti en laissant son fauteuil à sa pouliche de première adjointe, en
13 ans de mandature, avait signé au moins autant de niveau de parking
souterrain que de permis de construire.
Mais non : Les parkings dans les caves étaient
interdits se rappelle-t-on encore dans les chaumières !
Même que tous ceux délivrés par l’équipe du
« cousin-Jean » (Tiberi, qui lui exigeait deux places de parking sous
chaque logement), avaient dû être « révisés » dans l’urgence…
Et puis entre-temps, on avait inventé la réquisition
des chaussées pour laisser passer le tramway, les couloirs de bus centraux sur
les boulevards, les emplacements de livraison, les aires de parkings pour les
« vélib’ » et enfin les « auto-lib’ » : Autant d’espace
en moins pour la circulation de tous les autres et leur stationnement.
L’asphyxie est proche, hors quelques heures dans la
nuit, et les commerces en souffrent au point que nombre d’entre eux, même les
banques et les marchands de téléphone, sont désormais de plus en plus des
restaurants chinois qui blanchissent du pognon à travers leurs tontines-coutumières.
Le but véritable-vrai, ça reste de vous arnaquer un
maximum, parce que rappelez-vous que le tarif des amendes pour « défaut de
ticket » ou dépassement de l’horaire autorisé (deux heures maximum), ne
sera plus d’ordre pénal, mais « requalifiée » « d’indemnité compensatrice d’occupation
illicite du domaine public » au tarif non pas de 9 euros la journée,
mais de 35 euros.
Vous aurez déjà fait le calcul : 35 € les 13
heures d’occupation illicite, c’est moins cher que de payer 4 €/heure pendant toute
une journée.
Y’en a qui vont avoir des surprises, finalement, quant
à l’exécution de leur budget primitif.
Paris, à ce rythme-là, va se vider de ses
habitants : Il n’y aura plus que des bureaux, des ministères, des fonctions publiques, territoriales, hospitalières ou non, des
boutiques de luxe et des milliers de logements de fonction, plus ou moins
occupés, pour les fonctionnaires qui y viennent « travailler ».
Qu’on compensera comme on pourra avec des
« immeubles requis » à en devenir « logements sociaux »
pour des gueux qui n’ont pas les moyens de les entretenir.
Peut-être encore quelques ghettos de
« richards » au bout du compte ?
Nous avons sous le nez les grandes villes d’Europe,
comme Rome, désertée par ses « natifs ». Voire London ou Berlin, où
les « natifs » s’exilent dans la métropole adjointe.
Ou plus simplement Caen, Reims, Bordeaux, Lille, etc., celles-là des villes de rien, vides dès avant que le soleil ne se couche.
Comprenez-vous mieux le pourquoi du projet du
« Das Groβ Paris » qui doit mutualiser quelques coûts, maintenant, que ça leur tient tous tellement à
cœur comme d’une urgente nécessité ?
Comprenez-vous mieux pourquoi j’ai bien fait de
m’exiler … « ailleurs » ?
En tout cas, je ne suis pas près d’y revenir,
finalement…
Car de tout cela, je m’en contre-cogne le coquillard : Je ne
suis plus concerné.
Il faut comprendre que la France est inscrite dans une spirale négative qui n’est pas près de s’arrêter. D’un côté, avec la crise, les rentrées fiscales se font plus maigres. Les dépenses de l’État, au beau fixe, continuent pourtantd’augmenter, suffisamment pour inquiéter le Sénat. Les députés et le gouvernement, très vite à court d’idées, s’en remettent donc au matraquage fiscal pour remplir les caisses. La récente législhorrée du gouvernement (plus de 70 mesures législatives votées pour emmerder fiscalement les contribuables et les entreprises) montre encore une fois la profondeur avec laquelle est implantée l’idée qu’il faut tabasser les riches et les poursuivre avec tous les arsenaux du fisc.
RépondreSupprimer... Et après "les riches", ce sera les "moins-riches", puis les "pas encore pôvres", puis les "vrais pôvres" etc.
RépondreSupprimerOn connaît hélas, au moins depuis l'ancien-régime : "Les hauts taux tuent les totaux"...
D'ailleurs, ça s'est mal terminé sur la Place de la Concorde !
C'est effectivement ce qu'on attendait de "François III", qu'il remette au boulot son armée de 5 millions de fonctionnaires et/ou qu'il réduise la voilure des dépenses "pue-bliques" : Il n'a fait ni l'un ni l'autre et une autre équation (après celle de la courbe de Laffer), ça va être : 1 fonctionnaire de plus = 1 chômeur de plus.
Assez paradoxal, mais pas quand on sait qu'un fonctionnaire embauché coûte et coûtera 3,7 M€ étalés sur toute sa vie, il en faut de la création de valeur du labeur d'autrui et sur des décennies pour financer tout ça !...
Mais bon, ce qu'on en dit ou rien depuis tant de temps, n'est-ce, pas, c'est comme pisser dans un violon en espérant qu'il en ressortira des scalopines à la milanaise...