Collectées pour vous !
Tard en fin d'après-midi, un gynécologue attend une
dernière patiente qui n'arrive pas.
Au bout de trois quarts d'heure, il conclut qu'elle ne
viendra pas et se sert un gin tonic pour se détendre de sa journée avant de
rentrer chez lui.
Il s'installe confortablement dans un fauteuil et
commence à lire son journal lorsque la sonnette retentit.
Sa patiente arrive et se confond en excuses pour son
retard.
« – Ce n'est pas
très grave chère Madame ! Vous voyez, je vous attendais en dégustant un
gin tonic.
Désirez-vous
en prendre un également avant que je vous examine ?
– Volontiers »,
répond-elle.
Il lui sert un verre, s'assied en face d'elle et ils
se mettent à discuter.
Soudain un bruit de clé se fait entendre à la porte
d'entrée.
Le médecin sursaute, se lève brusquement et dit :
« Ciel ! Ma femme
! Vite, déshabillez-vous et écartez les jambes ! »
Deux amies papotent…
« – Alors,
ta soirée d'hier, bien ?
– Non
c'était un désastre. Mon mari est arrivé à la maison, a avalé en quatre minutes
le dîner que j'avais passé l'après-midi à préparer, a fait l'amour en trois
minutes, s'est retourné sur le côté et est tombé endormi en deux minutes.
Et toi
?
– Oh
c'était incroyable !
En
arrivant à la maison, mon mari m'attendait, il m'a invitée pour un dîner très
romantique. Après le dîner nous avons marché pendant une heure.
Rentrés
chez nous, il a allumé toutes les bougies dans la maison et nos préliminaires
ont duré une heure !
Après,
nous avons fait l'amour pendant une heure !
Et
après, on a discuté pendant une autre heure.
C'était
merveilleux ! »
Au même moment, les deux maris discutent dans la pièce
d’à-côté :
« – Alors,
ta soirée d’hier, bien ?
– Ouais
génial ! Quand je suis arrivé, la bouffe était prête.
J'ai
mangé, on a baisé et je me suis endormi.
Et toi
?
– L'enfer
! J'étais rentré tôt pour fixer l'étagère de la cuisine, en démarrant la
perceuse, le courant a sauté, impossible à remettre.
Quand
elle est rentrée, la seule solution pour ne pas me faire engueuler, c'était de
l'emmener au resto.
Le dîner
a coûté tellement cher que je n'avais plus assez d'argent pour payer le taxi du
retour.
Il a
fallu marcher une heure pour rentrer !
Arrivés
à la maison, forcément, toujours pas d'électricité, j'ai dû allumer des putains
de bougies pour qu'on y voit quelque chose dans la baraque.
Cette
histoire m'a foutu tellement en rogne que ça m'a pris une heure pour bander et
après ça m'a pris une autre heure pour jouir.
Finalement,
encore énervé ça m'a pris une heure pour réussir à m'endormir et pendant ce
temps-là, l'autre n'a pas arrêté de parler… »
Deux jeunes hommes commencent à rénover le magasin
qu'ils viennent d'acquérir.
Ils sont assis pour prendre leur café.
Tout est vide à l'intérieur, il n'y a que quelques
tablettes sans aucune marchandise…
L’un dit alors à l’autre :
« Je te
parie que d'ici quelques minutes un con va mettre le nez à la vitrine et
demander ce qu'on vend ! »
Il n'a pas fini sa phrase que, comme prévu, une vielle
dame met le nez à la vitrine et demande :
« – Que vendez-vous
ici, jeunes gens ?
– Des
trous du cul, madame… »
Et du tac au tac la vielle dame répond :
« Nom d'une
pipe ! Ça a l'air de bien marcher : Il n'en reste plus que deux ! »
Un policier patrouille de nuit et aperçoit une voiture
stationnée, éclairée par la lumière intérieure.
Il s'approche de l'auto et voit un couple
tranquillement installé.
Un jeune homme, assis au volant du véhicule,
feuillette un magazine d'informatique tandis qu'une jeune femme, assise sur la
banquette arrière, tricote.
Curieux devant cette drôle de situation, le
fonctionnaire s'approche et cogne à la vitre.
Le jeune homme baisse sa vitre…
« Que
faites-vous là ? » demande le policier intrigué.
« Eh
bien... Je lis un magazine ! »
Et pointant du doigt la jeune femme, le policier
demande :
« – Et
elle, que fait-elle ?
– Je
crois qu'elle tricote un chandail. »
Le policier est totalement confus.
Un jeune couple seul dans une auto la nuit… et il ne
se passe rien d'immoral !
Hallucinant.
Le policier demande :
« – Quel
âge as-tu, jeune homme ?
– J'ai
22 ans, m'sieur...
– Et
elle, quel âge a-t-elle ? »
Le jeune homme consulte sa montre et dit :
« Elle aura
18 ans dans 20 minutes ! »
C'est un vieux monsieur qui va se confesser.
Il rentre dans le confessionnal et le curé commence :
« – Allez-y
mon fils. Confessez vos péchés...
– Eh
bien voilà mon Père. Ce que j'ai à vous avouer n'est pas joli, joli…
Pendant
la guerre de 40-45 j'ai reçu la visite, dans la ferme, d'une jeune fille juive
qui voulait se cacher des Allemands.
Alors
je l'ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n'ont jamais pu la trouver.
– Mais
c'est très bien ça ! C'est même un acte de résistance. Ce n'est pas un péché et
ça pourrait même vous valoir une médaille...
– Mais
je n'ai pas fini, mon Père… À l'époque, j'étais jeune et plutôt viril si voyez
ce que je veux dire…
Alors
je lui ai dit qu'en échange de cette cachette que je lui offrais, elle devrait
m'accorder ses faveurs… sexuellement parlant… »
Le curé réfléchit une minute puis reprend :
« – Eh
bien, les temps étaient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un
très gros risque en la cachant chez vous… Je suis sûr que Dieu dans son infinie
sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l'âme charitable plutôt
que le simple profiteur d'une situation dramatique…
– Oh
merci mon Père. C'est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez.
Est-ce
que je peux vous poser une autre question ?
– Mais
bien sûr, mon fils.
– Est-ce
que je dois lui dire aussi que maintenant la guerre est terminée ? »
Un très vieil homme pleure tout seul sur le trottoir.
Un agent de police passe à côté de lui et le regarde
pleurer.
Finalement il lui dit :
« – Mais
qu'y a-t-il monsieur ? Pourquoi pleurez-vous comme ça ? Vous avez mal ?
Vous êtes blessé ?
– Ben,
non ! Voyez-vous, Monsieur l’agent, j'ai 71 ans et je suis marié à une
jeune femme de 30 ans.
– Mais
c'est très bien, ça ! Il n'y a aucune raison de pleurer.
– Mais
ma femme est superbe, elle est si belle, si bien faite avec des formes splendides
et un visage d'ange… »
Et le vieux monsieur pleure de plus belle.
L'agent de police lui dit :
« – Arrêtez
de pleurer voyons !
– Et
quand je rentre chez moi elle me prépare des plats succulents.
Elle
cuisine tellement bien. »
Le flic commence à s'énerver :
« – Mais
Bon Dieu ! Arrêtez de pleurer !
– Et au
lit, »
dit le vieil homme entre deux sanglots, « elle me fait des trucs, c'est fou…
– Ca
suffit maintenant, » dit le flic sur un ton sévère. « Vous n'avez aucune raison de vous plaindre !
– Mais
si ! Je ne sais plus où j’habite… »
Bon week-end à toutes et à tous…
I3
Vraiment très bonnes !...
RépondreSupprimerVous avez bien fait rire la "Baronne" !....
Notez que c'est aussi fait pour en rire, justement.
RépondreSupprimerEt j'ai un faible pour la première et la dernière, avoue-je !
Bon week-end à la Baronne