Les
« petites affaires » de « Marinella-tchi-tchi »…
L’info est tombée lundi soir. Et puis plus rien !
Sans vouloir être plus « délirant » que je
ne le suis déjà, voilà qui est quand même curieux, m’interroge-je depuis lors.
Je vous explique…
Alors qu’hier un sondage donnait 28 % de suffrages aux
prochaines cantonales au parti de « Marinella-tchi-tchi », au
printemps dernier, la présidente du Front venait d'apprendre que la justice
allait se pencher sur les petits arrangements financiers de son parti.
Elle traitait alors « l'affaire » par le
mépris et écrivait sur son compte « Twister » : « Tout cela se terminera comme à chaque fois
par un non lieu ou une relaxe dans quelques mois, mais la calomnie aura rempli
son rôle… »
Sauf que huit mois plus tard, l'information judiciaire
ouverte initialement pour « escroquerie en bande organisée » et
« faux et usage de faux », vient d'être élargie aux faits de « blanchiment
en bande organisée ».
D’après l’AFP (jeudi 4 décembre dernier) l'enquête
judiciaire porterait sur un système de prêts massifs vendus à de nombreux
candidats FN lors des dernières élections législatives et locales par le
micro-parti de « Marinella-tchi-tchi », « Jeanne », et aurait
aussi été élargie dès le mois de septembre à la présidentielle de 2012, où elle
s'était hissée à la troisième place au premier tour, avec 17,9 % des voix, puis premier parti du pays aux européennes.
La campagne présidentielle de « Marinella-tchi-tchi » n'était
jusque-là pas visée.
La justice se demande si la présidente du Front n'est
pas la bénéficiaire d'un système conçu pour détourner de l'argent public :
Prêts à taux élevés accordés aux candidats, vente plus ou moins forcée de
matériel de campagne à prix fort, omniprésence d'affairistes issus de la
mouvance néo-fasciste : Les enquêteurs seraient sur la piste d'un vaste réseau
de fraude présumée au financement public des partis politiques.
Qu’on se rappelle : Pour soutenir le train de vie
du parti, « Marinella-tchi-tchi » privilégierait maintenant le
recours à des banques russes à travers un emprunt de 9 millions d'euros mis en
place par la First Czech-Russian Bank.
Et au centre du premier dossier, une association loi
1901 baptisée « Jeanne », en référence à Jeanne d'Arc. Cet organisme est
une très hermétique association de financement, créée en 2010 par des proches
de la présidente du FN.
C'est ce que l'on appelle dans la vie politique
française un « micro-parti ».
Nombre de leaders politiques Gaulois y ont recours
pour détourner légalement le plafonnement des dons de particuliers aux partis
politiques, fixé par la loi à 7.500 euros par an et par personne.
Tout comme tous les autres, elle y a donc recours,
elle aussi : Bienvenue au « Club » des
« micro-rien » !
Mais là, ça va largement au-delà…
Le cas de « Jeanne » serait très différent.
Cette structure de l'ombre ne recueille pratiquement pas de donations de
sympathisants.
Seulement 5.500 euros de dons sont arrivés dans les
caisses en 2012.
Autant dire rien par rapport aux 9,6 millions d'euros
de recettes affichées la même année par « Jeanne » !
Glops !
D'où vient alors tout cet argent ?
« D'affaires » très rentables que cette
officine conduit discrètement.
Car si « Jeanne » est bien un micro-parti,
c'est surtout une « boutique-juteuse », avec comme clientèle captive
les candidats frontistes aux élections.
Le produit phare qu'elle leur vend est le « kit
de campagne », un assortiment d'affiches, de tracts, de sites internet et
de journaux de campagne personnalisés pour les candidats.
Ce package de « Jeanne » n'est pas
donné : Il coûte 16.500 euros pièce.
En 2012, la quasi-totalité des candidats frontistes
l'ont acheté sans broncher ! Nicolas Crochet, l'homme qui connaît le mieux les
petits secrets financiers de la nébuleuse Le Pen, révèle ainsi que : « Sur les 572 candidats du Front, 567 y ont
souscrit. »
Et celui-là, il sait de quoi il cause : Ancien candidat
frontiste dans le Nord, il est à la fois l'ancien commissaire aux comptes de « Jeanne »
et l'actuel expert-comptable attitré de presque tous les candidats FN.
Donc les troupes du Front achètent les kits en masse
car elles savent que l'État leur remboursera toutes leurs dépenses électorales
dès lors qu'elles auront atteint le seuil de 5 % des voix. Ça ne leur coûte
donc en principe rien que de la sueur dans les chaussettes à arpenter les
marchés locaux quelques semaines seulement.
Évidemment, le micro-parti ne conçoit ni ne fabrique
lui-même ce matériel électoral : Il se contente de le revendre après
s'être approvisionné chez un seul et même fournisseur, une société de communication
nommée « Riwal ».
Une société « amie », évidemment.
Son fondateur, Frédéric Chatillon, est un ancien camarade
de fac de « Marinella-tchi-tchi » : Rien à redire, j’en ai plein aussi pour
avoir fréquenté la même fac !
À la fin des années 1980, lorsque « Marinella-tchi-tchi »
était encore étudiante en droit à Assas, lui était le leader du GUD (Groupe
Union-Défense), l'organisation regroupant les étudiants néo-fascistes (où j’ai
gardé un « contact », mon « pote » le chinois… de Taïwan,
avec lequel je disputais des parties d’échecs enragées).
Riwal ne publie pas d'éléments, ni sur son chiffre
d'affaires ni sur son bénéfice.
Mais, avec des bureaux douillettement installés dans
le 16ème arrondissement de Paris, la société semble en très bonne
santé.
Selon des documents comptables de septembre 2013 que « l'Obs »
s'est procurés, elle réalise une marge bénéficiaire moyenne de 2,4 millions
d'euros par an.
Pourquoi Riwal, qui fournit déjà de son côté du matériel
de propagande supplémentaire à certains candidats FN sous son propre nom, ne
vend-elle pas également ce kit électoral directement ?
Pourquoi « Jeanne » joue-t-elle les intermédiaires
obligés ?
La vente de ces kits, remboursés aux candidats sur
fonds publics, rapporte-t-elle plus d'argent que de raison ?
La Commission nationale des Comptes de Campagne et des
Financements politiques (CNCCFP), via une dénonciation au parquet à l'origine
de l'actuelle enquête judiciaire, et après vérification des comptes des candidats
FN, a tiqué sur le prix élevé de certaines prestations du kit « Jeanne ».
Pourquoi, par exemple, le micro-parti de « Marinella-tchi-tchi »
fait-il payer à chaque candidat des « frais de conception » des
affiches, tracts et sites internet alors que, justement, la conception semble
avoir été effectuée une seule fois pour tout le monde pour harmoniser
l'identité visuelle dans toutes les circonscriptions ?
Un mandataire financier frontiste précise en réponse :
« On m'a toujours dit que le kit
servait justement à éviter les phénomènes « plumes d'oie », ces
candidats un peu originaux qui conçoivent eux-mêmes des affiches baroques. »
Les kits de campagne « Jeanne » seraient-ils
lourdement surfacturés ?
« Il n'y a
aucune raison, puisque nous avons vérifié que son fournisseur Riwal pratiquait
les prix du marché », proteste Wallerand de Saint- Just, le trésorier
du FN, qui avoue aussitôt n'avoir jamais été consulté sur le système « Jeanne ».
De l'avis unanime des professionnels auxquels ont été
présentées les prestations du kit, « Jeanne » aurait la main lourde
au moment de le facturer aux candidats.
Si les 1.200 euros qui leur sont demandés pour
l'établissement de leurs comptes de campagne et les 1.800 euros pour leur site
internet n'appellent pas de remarques, ils estiment que le reste du matériel
est vendu cinq fois son prix réel.
Les affiches, tracts et journaux de campagne
généreraient ainsi une surfacturation totale de l’ordre de 5,8 millions d'euros…
Main-basse sur le pactole de l’argent « pue-blic » ?
Tous le font plus ou moins, en devine-t-on depuis
l’affaire « Pig-Maillon ».
Mais autant les uns y vont avec leurs gros sabots et
quelques 33 millions d’euros, autant « Marinella-tchi-tchi » fait
figure de « petite-fourmi » qui multiplie les coups et tente de
passer inaperçue…
« L'Obs » prétend avoir épluché les factures
d'une dizaine de comptes de campagne du FN pour les législatives de 2012.
Première conclusion : Passer commande à « Jeanne »
est plus coûteux que de passer commande directement à Riwal.
« Marinella-tchi-tchi » elle-même peut en
témoigner : Dans le kit « Jeanne » qu'elle s'est elle aussi
offert, elle a payé ses 10.000 cartes postales électorales 15 centimes l'unité,
conception et impression comprises.
Elle a également passé commande directement à ses amis
de Riwal d'une autre carte postale au même format brocardant Jean-Luc
Mélenchon, son rival de l'époque à Hénin-Beaumont.
Et elle a réglé celles-là seulement 3 centimes l'unité,
soit cinq fois moins cher… !
Bienvenue au « Club » !
Riwal affiche d'ailleurs déjà, sous sa propre marque,
des tarifs bien peu compétitifs par rapport à la concurrence.
Membre du bureau politique du FN, Thibaut de La
Tocnaye, l'a expérimenté : Candidat à Avignon en 2012, il commande 150
grandes affiches électorales de 8×6 mètres chez Riwal et les paie 2,01 euros
l'unité.
Le candidat frontiste passe également une autre
commande de 300 grandes affiches très similaires chez Provence Offset Continu,
une entreprise nîmoise.
Et là, il réalise une économie substantielle : Chaque
affiche lui revient seulement à 45 centimes, quatre fois moins que chez Riwal…
Pourquoi, dès lors, ne pas avoir érigé l'entreprise
nîmoise comme fournisseur exclusif de ces affiches ?
Les candidats ordinaires, eux, semblent contraints de
faire travailler les amis de Riwal !
Thibaut de la Tocnaye s’en justifie : « Moralement, nous sommes un peu obligés de
passer par eux pour une question d'harmonisation de la charte graphique pour
tous les candidats. »
Malgré une telle différence de prix ? « Oui, bon, Riwal fait une marge. Mais il n'y
a rien d'illégal là-dedans », s'énerve-t-il.
Officiellement, Riwal justifie ses prix élevés en
mettant en avant un travail onéreux de conception d'affiche originale.
L'explication reste très fragile, comme le montre le
cas de Bruno Gollnisch, un poids lourd du parti qui s'est présenté à Hyères
(Var) en 2012.
Comme tous les candidats du FN, le député européen a
dû payer à Riwal 250 euros de frais de conception pour son affiche officielle.
Mais le candidat frontiste s'est également adressé à
un entrepreneur local établi à Hyères pour d'autres affiches similaires : Il a
payé la conception et la réalisation deux fois et demie moins cher…
Un malin !
En fait, le FN serait une organisation à deux
vitesses : Il y a d'un côté « la troupe », caporalisée et
corvéable à merci, et de l'autre la famille régnante, à qui tout est dû.
Pour les proches de « Marinella-tchi-tchi »,
l'imprimeur d'extrême droite sait faire des prix : Ainsi Louis Aliot,
candidat à la mairie de Perpignan et « PBI » (Producteur de Bonheur
Intérieur) de « Marinella-tchi-tchi » dans la vie-civile, a payé ses
grandes affiches officielles chez Riwal 2,53 euros pièce.
La même société a facturé les mêmes affiches, par
exemple à Christian Bouchet, le candidat du FN à Nantes, 3,54 euros pièce.
Un euro plus cher : Bienvenu qui paye !
Mais faire de l'argent sur le petit candidat bleu
Marine grâce à la revente de matériel de propagande ne serait que le premier
étage de la fusée « Jeanne ».
Le micro-parti leur vend d'autant plus facilement le
kit de campagne d'une main qu'il finance lui-même les achats en prêtant
l'argent nécessaire aux candidats.
« Jeanne » n'est pas qu'une « boutique » :
C'est aussi une banque proposant un emprunt standard de 16.500 euros… soit
exactement le prix du kit !
« L'emprunt
et le kit sont évidemment liés », reconnaît le responsable « études
et argumentaires » du parti, Thibaut de La Tocnaye.
Accordés à un taux d'intérêt annuel de 6,5 %, les
prêts de « Jeanne » sont beaucoup plus onéreux que ceux que proposent
les banques en général pour des emprunts d'un an.
« Marinella-tchi-tchi » ne peut l'ignorer,
puisque pour financer sa propre campagne à Hénin-Beaumont, elle a elle-même
préféré éviter de passer par son propre micro-parti !
Elle a d'abord puisé dans les réserves de « Jeanne »
pour s'octroyer un don de 19.100 euros.
Puis, elle s'en est remis pour le reste, à une bonne
vieille banque bien classique, en l'occurrence la Société Générale, qui lui a
ainsi accordé un prêt au taux plus raisonnable de … 5 % !
« Sans
doute », réagit le candidat du FN à Nantes qui, lui, avait souscrit un
prêt « Jeanne ». « Mais
Marine Le Pen a un patrimoine personnel qui lui permet de présenter des
garanties à la banque. D'autres plus petits candidats comme moi, qui suis
enseignant, n'ont pas de telles références. »
« Jeanne » viendrait donc seulement suppléer
la réticence des banques classiques, peu enclines à financer des politiciens
frontistes sans le sou alors qu'ils seront pour la plupart remboursés de leurs frais de campagne par la République Fromagère (RF) ?
C'est l'explication officielle que donnent les
hiérarques du Front pour justifier de la martingale.
Car son activité de prêt permet aussi à l'officine « Jeanne »
de s'enrichir.
Sur fonds publics.
La structure de financement de « Marinella-tchi-tchi »
aurait ainsi gagné pendant les législatives de 2012 environ 400.000 euros
d'argent public grâce aux intérêts. Un profit qui vient s'ajouter aux 5,8
millions d'euros de surfacturations déjà évoquées sur le matériel imprimé…
Selon certaines informations, 566 candidats ont
souscrit un prêt standard chez « Jeanne » lors des législatives de
2012.
Chacun était donc redevable de 1.072,50 euros d'intérêts,
soit une manne totale de 607.035 euros pour « Jeanne ».
Et en vérifiant les comptes des candidats, la CNCCFP a
considéré que les intérêts dus ne pouvaient légalement commencer à courir qu'à
compter de la remise effective des fonds aux candidats et non à compter de la
date – antérieure – de signature du contrat de prêt comme l'avait demandé
l'expert-comptable du FN.
Sur l'échantillon de comptes que « l'Obs » a
étudié, la CNCCFP a donc minoré les intérêts à rembourser sur fonds publics de
370 euros en moyenne par candidat. « Jeanne » aurait donc touché en
réalité environ 397.615 euros de la finance publique.
Une partie de ces profits semble d'ailleurs totalement
indue.
C'est ce que semble indiquer au moins un des dossiers
de financement, celui de Bruno Gollnisch, justement.
Pour boucler son budget des législatives à Hyères dans
le Var, le candidat a contracté un emprunt de 16.500 euros chez « Jeanne »,
début avril 2012.
Le micro-parti a mis à sa disposition non seulement le
capital, mais également les intérêts précomptés (c'est-à-dire payable en une
fois) sur un an.
Son mandataire financier, Pierre-Laurent Chable, le
confirme : « « Jeanne »
nous a effectivement versé 17.732,25 euros sur le compte ouvert pour la
campagne chez BNP Paribas. »
Le 12 juin 2012, Bruno Gollnisch solde le prêt Jeanne
par anticipation.
Il verse le capital bien sûr, mais également tous les
intérêts.
Une somme ensuite remboursée par l'État début 2013,
après que son budget électoral a été contrôlé par la CNCCFP.
Les « sages » du financement politique ont
certes contesté une centaine d'euros d'intérêts pour une raison purement
technique. Mais l'État a globalement payé les intérêts d'un an réclamés par « Jeanne »
alors même que le prêt n'a été en vigueur que trois mois et demi…
Que votre banquier vous fasse ce coup-là, et je veux être
là pour voir votre tronche, tiens !
« Jeanne », gagne près de neuf mois
d'intérêts à 6,5 %, qui n'avaient pourtant pas lieu d'être, le tout sans que ça
ne coûte rien au candidat battu !
« Je n'ai
jamais entendu parler de cette opération qui me semble aberrante »,
réagit le trésorier du FN.
Il peut…
Dans le cas de Gollnisch – qui n'est pas en cause à
titre personnel – environ 800 euros d'argent public sont venus abonder
artificiellement le trésor de guerre de « Marinella-tchi-tchi ».
Une somme qui peut paraître minime.
Mais avec combien de candidats frontistes l'opération
a-t-elle été rééditée ?
« Gagne-petit », mais sur une échelle
démultipliée : On peut compter comme ça près de 6,2 M€ d’argent public en
partie remboursé de façon indue et légalement…
Un bon « business » et plus il y aura de
campagnes plus « ça va rentrer ».
Notez que d’autres font le même métier en trichant
encore plus gros, jusqu’à dépasser les plafonds autorisés de dépenses
publicitaires et attrape-gogo…
Mais ceux-là, ils font depuis la quête à la sortie de
la messe !
« Marinella-tchi-tchi », elle taxe les
« laborieux », ceux qui sont autant de nigauds à faire 5 % des
suffrages… et par ricochet, le « Gaulois-essoré » qui paye tout ça
avec ses « impôts & taxes ».
Avouez que j’ai bien fait de fuir, non ?
Là où je deviens paranoïaque, ce n’est pas tant que
cette « mayonnaise-là » soit au moins aussi écœurante que bien
d’autres : « Ma » République en a déjà vu tellement !
Non, c’est plutôt le fait qu’au moment où je rédige ce
billet (hier), je cherche des liens à vous mettre sous la prunelle pour que
vous puissiez vérifier par vous-même…
Malheur à moi : Je n’ai rien trouvé !
Suis-je déjà si bourré à mâtines que ça, ou bien une
fois de plus serait-ce une information ostracisée, censurée, tronquée, non-assumée
parce qu'éventuellement diffamatoire, mensongère, injurieuse et trompeuse ?
Oui pire ?
Comme d’une main qui drape ce sein qu’on ne saurait
voir.
Comme d’une trace de « complot » élitiste,
une de plus, qui mène sa propre musique à son rythme pour mieux nous faire
avaler des couleuvres…
Attendons donc d’en voir plus quand les résultats des enquêtes en cours
seront sur la place publique pour se faire une « opinion-éclairée ».
En fait, je suis partagé entre le dégoût et le fou
rire : Enfin quoi, l’égérie d’une « Gauloisie-altière », fière
de ses valeurs historiques et de son prolétariat épanoui, de ses enfants et de
la patrie réunis, épurée des racailles, des beurs, blacks et feujs et
des suppôts des « partis-de-l’étranger » et du libéralisme-contrôlé
de l’économie-mixte qui étrille le « gâteau-à-se-partager », se faire
prendre la main dans le sac de petites-magouilles à l’huile de noix de
cabestan…
Je n’en reviens pas moi-même !
Fou-rire & écœurement : Bienvenue au « Club »
des forbans !
Décidément pas un pour rattraper l’autre dans ce foutu
pays qui est le mien (et que j’aime tant…) !
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