Ouverture du dimanche.
Cette histoire « Marque-Rond-nesque » et
bien « Franco-Gauloise » de passer de 5 à 12 dimanches d’ouverture
des magasins est totalement typique des âneries dogmatiques qui clivent totalement
le pays entre « progressistes & réactionnaires ».
Songez-y, SVP.
Pour les « réacs’ », telle
« Titine-Eau-Brie » la lilloise – je croisais son père et sa mère
sortant de l’église Saint-Jacques du Haut-pas après l’office dans le 5ème
Tiberien-parigot les jours d’élection – le dimanche ça sert à … vivre.
Et les autres jours de la semaine à crever, alors ?
Je suis persuadé que pour
« Marinella-tchi-tchi », ça sert à aller écouter les sermons du
curé-local (qui le lui rendra bien tôt ou tard).
Pour « J’en-Luc Mélangeons »,
à aller faire la fête des quartiers avec les kamarades de combat…
Etc.
Un indispensable « espace de lien social » nous
en diront tous.
Donc, chômé.
Perso, je n’ai jamais chômé les dimanches, ou alors
très rarement, depuis que je suis « en activité » (une habitude
d’étudiant « supérieur ») : Quoique je fasse, si je ne rattrape mon
travail en retard, je prépare forcément le suivant. Mais, mais, je ne suis pas payé … officiellement.
C’est une sorte de forfait « mensuel »
(depuis les accords de Grenelle, le premier et la disparition des semainiers et
autres journaliers) qui m’est appliqué : Je fais l’avance de mon boulot à
mes patrons : Ils ne me rétribuent que seulement si ils ont le pognon
nécessaire en fin de mois…
Passons : J’ai été patron, et dès le 15 du mois
c’est déjà l’angoisse de pouvoir faire ou ne pas faire les payes.
Merci bien !
Pour les « progressistes », il s’agit de
permettre ce qui est interdit jusque-là, de ne pas bosser 40 dimanches par
mois, et en plus d’encadrer la formule de telle sorte qu’elle ne sera
qu’exceptionnellement « attractive » (pour le « acteurs
économiques ») et intéressante (économiquement, naturellement).
Ou commercialement s’entend : Tout ce qui est
fait en plus le dimanche ne sera pas fait par d’autres en semaine, qui
n’ouvriront pas.
Et c’est toujours ça de pris sur la
concurrence-autiste.
Ce n’est que ça, la défense des « avantages-acquis » :
Interdire à d’autres ce que je ne veux pas faire moi-même (un peu comme ont obtenu les taxis-parigots)…
Ni plus, ni moins !
Y compris quand on sait que les sites de
« e-commerce », font justement jusqu’à 25 % de leur CA les… dimanches,
avec juste un bonhomme pour remettre du papier dans les imprimantes.
(Ça a quelques aspects positifs, le travail des
« robots »).
Et pas seulement quand il s’agit d’ordinateurs ou de
serveurs connectés : Il y a 20 ans de ça, j’en avais mis quelques-uns dans
un entrepôt ouvert 6 jours sur 7.
Le 7ème jour, y’avait seulement le gardien
en activité – en activité permanente quand il ne se faisait pas remplacer – qui
surveillait de loin les tondeuses automatiques, les arroseuses des « abords »,
et les transstockeurs qui bossaient tout seuls à déplacer des palettes de
marchandises « en temps masqué », pour « charger la
commande » du lundi en avance et réorganiser le palettier afin de
raccourcir les temps d’attente en début de semaine, gérer le FIFO, etc.…
Un superbe logiciel…
Qui tournait tout seul alors que les chiens chassaient
les intrus (les chats et les lapins) à l’extérieur.
Les chats, ils chassaient les souris et les pigeons à
l’intérieur et s’attaquaient parfois aux palettes de « bouffe à
chat » ou de lait, selon leur humeur et la population de rongeurs et de
moineaux restés prisonniers des locaux le samedi soir qui fientaient partout…
Remarquable « optimisation » finalement, qui
en plus a pu faire chuter le « taux d’erreur » (humaine) qui coûte la
peau du kul à corriger…
Ceci étant dit, les uns et les autres, savent-ils ce
qui se passe vraiment « au pays » ?
Combien sont-ils à ne pas être concernés pour
finalement ne bosser « que le dimanche » ?
J’entends nos saltimbanques qui font spectacle-archi-subventionné
deux jours par semaine dont … les dimanches, les cinémas, les théâtres, les
musées, mais tout autant les « curés, popes & pasteurs » ?
Nos autocaristes, contrôleurs du ciel, des ports, pilotes
et pilotines, nos éditeurs radiophoniques et autres animateurs de télé
(notamment pour les « directs » sur journal télé), nos services de
surveillance…
Quid des pompiers, des flics, des militaires, la
sécurité civile, les bénévoles de la Croix-Rouge, les animateurs de quartiers,
les pharmaciens de garde, les toubibs de même nature, les hôpitaux de veille,
les maisons de vieux ?
Et je ne cause même pas de tout le personnel des cantines,
restaurants, hôtels, cafés, brasseries : Pour eux, c’est encore au choix
des « boss » ou au gré des « obligations de services »…
Et encore, seulement dans quelques villes touristiques
pour les premiers.
Parlons un peu des activités sportives
professionnelles, des industries « à feu continue », SVP (le
verre, l’acier, les usines de raffinements divers), des pompistes, des stations
de ski ou les péages d’autoroute : Existent elles seulement encore, n’est-ce
pas ?
J’oublie les « plombiers urgentistes », les
serruriers et ascensoristes, les infirmières, les « dames de
compagnie » de nos seniors (sans même causer des
péripatéticiennes-patentées pour les un « peu plus jeunes »), les
gaziers et électriciens de centrales (nucléaires ou non) et autres « répartiteurs »
d’énergie…
On trouve aussi les boulangeries-pâtisseries, qui
restent parfois obligés d’ouvrir le dimanche par arrêté préfectoral (on se
méfie de la pénurie du pain même dans les campagnes depuis la descente des
femmes parigotes à Versailles réclamant de… la brioche dans un autre
millénaire !), les marchés des quatre saisons, quelques boucheries hallal
ou épiceries cascher.
Ah oui, parce que eux, ils ne sont pas
concernés : Ils ne bossent pas le vendredi de prière, parfois même dans
les rues, ou à shabbat, c’est bien connu.
D’ailleurs, un rabbin ou un imam, le dimanche, ils
s’en foutent… c’est un jour comme les autres pour leurs activités (pas comme
les « curés, popes & pasteurs »… Les prêtres bouddhistes, je ne
sais même pas : Excusez-moi, mes potes « exotiques & végétariens » à moi-même,
SVP !)
Notez que c’est comme pour les pilotes de la chasse
aérienne helvétique : Le dimanche, et tous les autres jours, ils veillent mais
seulement jusqu’à 16 heures 30.
Après, il fait nuit et la chasse Gauloise est là pour
faire éventuellement le ménage en cas d’urgence.
En bref, c’est globalement un bon quart des
« non-chômeurs & sans-dent » (5 à 6 millions de personnes) qui
bossent déjà 47 dimanches dans l’année, et ça ne gêne personne.
Sauf les « fats » qui connaissent si bien la vie d'autrui, naturellement…
Parce que ça serait assez drôle d’arrêter aussi de
« chômer » – ils ne sont que 6 millions dans ce pays qui est le mien
et que j’aime tant – qui seraient ravis de sortir de l’indigence, ne serait-ce
qu’un jour par semaine, imagine-je !
Passons : La « fracture » est bien là, « trans-partisane »,
non plus entre « droâte & gôche », mais bien entre « réac et
progressiste ».
Et elle apparaît en pleine lumière…
La faute aux dogmes et aux postures médiatiques, n’est-ce
pas !
D’ailleurs, les uns et les autres savent-ils au moins
comment ce sont organisées les ouvertures du dimanche chez nos voisins ?
– Allemagne : 10 dimanches autorisés, mais avec
des variables par länder. Berlin est ainsi la seule autre grande capitale européenne
à fermer les boutiques le dimanche, hormis 10 dimanches par an ;
– Belgique : 6 dimanches légaux, plus 3 par
convention collective. Mais c’est de plus en plus théorique, parce que la côte
belge et ses 70 villes dérogent et s’élargissent de plus en plus, notamment
pour les zones commerciales de type « magasins d’usines » ;
– Royaume-Uni : 52 dimanches par an, mais à
amplitude horaire réduite de 6 heures-chrono et encore, pour les seuls magasins
de plus de 280 m².
Pour les autres, c’est libre, comme l’épicerie
magrébine-parigote…
Notez que pendant les jeux olympiques de 2012, tout le
monde pouvait ouvrir comme il l’entendait. Une autorisation limitée aux 8
semaines de Jeux mais qui a pu servir d’expérimentation, le gouvernement
cherchant depuis 2006 à élargir davantage les plages horaires d’ouverture
dominicale ;
– Espagne : 52 semaines d’ouverture pour les commerces
de moins de 300 m² et pour tous les commerces à Madrid et dans les zones
touristiques de Barcelone.
En fait la loi espagnole autorise tous les petits
commerces à ouvrir le dimanche mais pour les grandes surfaces et les grands
magasins, chaque région est libre de légiférer.
À Madrid, tous les commerces peuvent ouvrir le
dimanche.
Même règle dans les zones touristiques de Barcelone
qui dispose d’une dérogation vis à vis de la loi catalane qui n’autorise que 11
dimanches d’ouvertures par an ;
– Finlande : Les commerces de moins de 400 m²
peuvent ouvrir sans restriction alors que les surfaces de plus de 400 m²
restent limitées à des ouvertures dominicales entre 12 et 18 heures (jusqu’à 21
heures en novembre et décembre) ;
Notez qu’il fait nuit depuis midi ou une heure, là-bas
à ces moments-là…
– Italie : 52 semaines d’ouvertures dans tout le
pays.
Depuis le 1er janvier 2012, la loi autorise
tous les commerces et restaurants d’Italie à être ouvert 24 heures sur 24 et 7
jours sur 7, jours fériés inclus…
– Pas de législation « avancée » en Suède,
en République Tchèque, en Croatie et en Irlande sur le travail du
dimanche : Ceux-là sont des « vils-libéraux-avancés » et les
pubs restent ouverts comme tout le monde !
– Idem à New-York, Rio, Moscou (le Gum est ouvert de 10
heures à 22 heures), comme à Pékin (pour les « Galeries-Farfouille »
locales)…
Mais c’est chez nous, les « Gaulois de Gauloisie-laïque »
qu’on se cramponne encore à préserver la « prière du dimanche » dans
les campagnes…
Que je trouve finalement ça très drôle pour son
contre-sens intrinsèque évident !
Notez d'ailleurs qu'à Jérusalem, du temps où j'y suis passé, une moitié de la ville était fermée le vendredi et l'autre moitié le samedi, justement...
À Paris, « Sœur-Âne » fait de la
résistance : Le Louvre, le musée d’Orsay, la Tour Eiffel et Versailles sont ouverts le
dimanche et se préparent à ouvrir 7 jours sur 7.
Les touristes sont donc les bienvenus toute la semaine
dans nos musées, théâtres et stades, mais pas dans nos boutiques.
Le dimanche à Paris, seules 7 zones touristiques sont
autorisées à ouvrir… zones qui excluent les grands magasins.
Ces derniers, les « Galeries-farfouille »,
le Printemps, le BHV-marais et le Bon Marché (qui ne l’est pas), réunis en
Union du grand commerce de Centre-Ville, ont fait le calcul :
« L’impact de
l’ouverture dominicale des 4 grands magasins parisiens est évalué à un
supplément de chiffre d’affaire net de 5 %, soit environ 160 millions d’euros
par an » pour une amplitude horaire qui augmenterait de 64 à 72 heures
d’ouverture hebdomadaire.
Selon eux, cela permettrait la création de 1.000
emplois directs et 1.000 emplois indirects (personnel des marques, animation,
sécurité, nettoyage,…).
Les touristes seraient les principaux bénéficiaires : Ils
représentent déjà 40 % du chiffre d’affaires des grands magasins parisiens mais
ce chiffre montrerait à 70 % du chiffre d’affaires le dimanche.
Même s’il faut tempérer les flambées de chiffres en
rappelant que dans une note de 2007 le Conseil d’analyse économique estimait
que la libéralisation du travail le dimanche induisait « des créations d’emploi, comprises entre 3 et 10 % de l’emploi du
secteur » (en se basant sur les législations mises en place au Canada, aux
États-Unis et aux Pays-Bas), c’est dire ce qui reste « sous le pied »…
À noter aussi qu’une étude australienne estimait que
si les échanges le dimanche pouvaient représenter jusqu’à 25 % du chiffre
d’affaires de la semaine, les bénéfices pouvaient se révéler négatif à cause
d’un coût du travail supérieur le dimanche.
« Un pactole sous le pied » qui reste « exportateur »,
puisque si « Paris-ville-lumière » reste la première destination
touristique mondiale, elle est en deuxième position quand on retire les
« nationaux », derrière Londres (36,7 millions de nuitées en 2013)
devant Berlin, Rome et Barcelone…
Qui restent autrement plus « accueillantes » aux
acheteurs « touristiques-internationaux » !
C’est là que les « progressistes » dont « Marque-Rond »
tentent de marquer des points. Pas grand-chose, et pas comme vous le croyez, mais tout de même.
Paris, c’est compliqué par la distinction faite entre
« zones touristiques » décidées par la municipalité et les PUCES (périmètres
d’usage de consommation exceptionnel) décidées par la région et où la
rémunération est doublée le dimanche.
À cela, la future loi propose aussi de rajouter
un troisième type de zone, des « zones touristiques internationales », décidée
par arrêté ministériel, devant permettre au gouvernement de « reprendre la
main » sur la politique de la ville-lumière.
Une énième couche dans le mille-feuille administratif
qui rajoute au maquis de la « simplification », alors que pour
remédier une fois pour toute à la question du travail le dimanche, la logique
serait de lever totalement l’interdiction à Paris.
Et voilà ce qui explique finalement les « postures »
aberrantes entre « réac » là où on ne les attendait pas, en libres
défenseurs du « dimanche de prières » laïcards (merci pour les « curés,
popes & pasteurs »), d’une société qui se veut tout autre que de « consommation »…
et les « progressistes » qui proposent d’essayer des solutions « qui
marchent ailleurs », tout en reprenant la main sur ce qui leur échappe encore…
Avouez qu’elle n’est pas mal, celle-là, question « trisomie-appliquée »,
n’est-ce pas ?
Mais du coup, ça fait penser invariablement à cette
blague ancienne (qui a déjà fait le tour du monde plusieurs fois depuis que
je l’avais lancée sur l’autre blog, celui « d’avant ») :
C’est le « Chi » qui se balade au QG de l’Otan
où il croise « Blaire » et « Bou-bouche » en grande conversation,
le nez au-dessus d’une table à cartes.
« – Vous
faites quoi, là, les gars ?
– On prépare
la troisième guerre mondiale.
– Ah oui,
et ça va se passer comment ?
– On massacre
100 millions de chinetoques, autant de popov, 50 chez les arabes et les
indiens. Plus un dentiste !
– Un dentiste ?
Mais pourquoi un dentiste ?
– Ah tu
vois ! »
dit Boubouche à Blaire. « Je t’avais
dit : 300 millions de morts nucléarisés, ça ne pose aucun problème à
personne ! »
Là, c’est pareil : À cause de cette querelle du
dimanche, le projet de loi tout entier est remis en question !
Le transport par autocars ouvert à la concurrence ; la
transparence des professions réglementées – commissaires-priseurs, greffiers
des tribunaux et autres notaires –, qui devrait pourtant entraîner, pour ceux
qui en ont besoin, une baisse des tarifs ; la modification de l'intervention de
l'État ; la rénovation des partenariats publics-privés ; l'échevinage des conseils de Prud'hommes, le raccourcissement de leurs procédures, la mise en place de plafond d'indemnités à la charges des entreprises ; la possibilité de contrevenir par un accord d'entreprise à la convention collective en se passant des syndicats (ce qui est une façon de détricoter le code du travail et de contourner les organisations bloquantes dans le même élan), tout cela risque d’être
jeté avec le ministre ou de passer en force pendant que tout le monde s'étrille avec vacarme sur le dimanche.
Magnifique !
Magnifique !
Finalement ce n’est pas très grave :
Les autocaristes faisant de la concurrence à la SNCF qui perd autant d’argent qu’en épongent
vos impôts et taxes, qui iront polluer et encombrer nos villes et nos campagnes
sans payer l’écotaxe, obligés de ramener leurs touristes même le dimanche soir…
peu importe !
Quant aux « professions-libérales » et assermentées,
leurs tarifs sont déjà fixés par l’autorité gouvernementale : Il suffit de
les baisser ... d’autorité !
Pour le reste, c’est de l’habillage de ce qui existe
déjà depuis tous-temps ou du temps perdu en vaines querelles depuis déjà trop longtemps.
Bref, le travail dominical, c'est « tempête dans un verre d’eau », pour amuser la galerie des autistes, mais
qui a le mérite de mettre à nu un peu plus les clivages-déments de nos « fats-publics ».
On y reviendra, nécessairement, puisque c’est l’époque…
Le dimanche (et samedi) comme les autres jours donc...
RépondreSupprimerOk à qques conditions:
- supprimer les 35h.
- autoriser les cumuls de jobs
- tarifs horaires variables suivant les heures du jour (genre 200% après 19h heure locale solaire).
- augmentation immédiate de tous les salariés pour compenser la perte du statut spécial du wend.
- droit au repos quotidien (les 8h obligatoires), hebdomaire (2j non obligatoires pour le salarié) et mensuel (3 à xx jours?), celui-ci pouvant etre cumulé et différé pour faire les "vacances classiques".
- évidemment les 35h sautent dans les 2 sens! Au choix du salarié et accords potentiels.
Justement, il ne s'agit toujours pas de faire sauter les 35 heures, même si ça les détricote :
Supprimer- Un salarié ne peut toujours pas travailler pour 2 employeurs différents, même en "temps-masqué".
- Il ne peut pas travailler plus de 48 heures par semaine.
- Il ne peut pas travailler moins de 26 heures par semaine.
- Il ne peut pas faire plus de 11 heures par jour.
- Il ne peut pas travailler plus de 47 semaines.
- Il ne peut plus cumuler un emploi, même à temps partiel, avec sa retraite.
En revanche, et il est encouragé à le faire, il peut être stagiaire dans le cadre d'études diplomantes reconnues par l'Etat et être payé avec un tire-bouchon...
Quand il n'est pas "apprenti" (régime encore pire que pire.)
Des fois, j'en rigole !
Vive la "liberté-surveillée"...
Un monde politique d’autistes qui abrutit les citoyens avec des faux problèmes et en entassant un peu plus les réglementations.
RépondreSupprimerPar contre, absolument rien, mais alors rien, sur le désarmement nucléaire sur la planète…
Par exemple.
Bé oui, c'est l'arme ultime à disposition d'une poignée de "galopin-Folamour" pour régler d'un coup tous les problèmes :
SupprimerElections, surpopulation, pollution, surexploitation des ressources, changement climatique (on en viendra à un "hiver-nucléaire), explosion démographique, etc.
En commençant naturellement par tout ce qui pourra être "un peu bronzé" ou trop barbu, ou encore avec des yeux de "gogol"...
Pourquoi croyez-vous que ceux-là sont interdits d'accès à la technologie nucléaire ?
On nous "manipule", c'est évident et en plus, on dira merci en applaudissant, parce que c'est pour notre bien-être, soyez-en sûr !