Et
vous ne le savez pas…
Celle de venir de temps à autres lire mes
« petits-posts » sans importance.
Le premier, c’était sur l’autre blog.
Le 28 mars 2012, je me fendais d’une petite analyse
des déclarations de patrimoine d’avant et de fin de mandat de notre « ex-Ô
combien vénéré Président », « Bling-bling » soi-même pour ne pas
le nommer, pour vous signaler que globalement, ce type-là s’était enrichi de
10.000 €/mois sur votre dos, tous les mois, et pendant 5 ans : On parle bien de 600 K€ sur la période.
Donc, tous les mois…
En principe, son salaire, son « traitement » comme
on dit dans la fonction publique, parce qu’il ne peut pas s’agir d’un salaire
entraînant de facto l’existence d’un
lien de subordination qui n’existe juridiquement pas pour son ex-fonction à lui,
est quasiment du double quand on compte tout autant ses indemnités dites
« de fonction ».
Et de rappeler que l’un est imposable, les autres non
puisqu’il s’agit … d’indemnités de frais et autres, des remboursements de
dépenses préalables, quoi.
Rappelons aussi que « Bling-bling », il a été
marié trois fois, qu’il doit des indemnités et pensions diverses à ses épouses
délaissées et/ou cocufiées (pas comme vous hein, juste les épouses… quoique…),
plus quelques autres pour les « bons soins » dus aux enfants mineurs
de ses couches successives.
Et que tout cela se déduit de l’assiette fiscale de l’impôt,
même si pour l’essentiel, ça reste plafonné.
Admettons donc qu’il ait pu se débrouiller pour ne jamais
payer d’impôt sur le revenu (hors CSG et CRDS).
Il en reste donc assez pour « s’enrichir » de son
travail « +++ » au niveau qu’il ressort en comparant les deux
déclarations de patrimoine, à une condition impérative toutefois : Ne
jamais rien payer de son train de vie !
C’est manifestement ce qu’il a fait, pingre comme il a su l’être
(même pas son dentifrice, ni la moindre cravate ou paire de chaussette) et
c’est sans compter tous les avantages en nature dont il a pu bénéficier, parce
que ça aurait dû rentrer dans l’assiette imposable, même au titre d’une
évaluation forfaitaire comme pour tous citoyens (hors les mandataires sociaux
de sociétés commerciales).
On est assez loin d’un Général De Gaulle payant sa facture d’électricité
personnelle de l’Élysée sur ses propres
deniers quand il était en poste à la même fonction…
Tout se perd, même chez les soi-disant gaullistes !
Passons !
Vous avez aussi eu la chance, fin août dernier, de
comprendre comment a pu être sauvé l’UMP… Voir les posts précédents pour
comprendre le contexte du moment, comment on en arrivé-là et, si ça vous amuse,
les suivants également…
Notez que ceux-là, je les ai mis en ligne le 17 juillet 2014.
Même s’ils étaient déjà écrits fin juin.
Parce que depuis décembre 2012, on savait déjà que le
Conseil constitutionnel, il avait non seulement rejeté les comptes de campagne
de mai 2012 dudit candidat déchu, mais avait également infligé une amende
« à titre personnel » à « Bling-bling », tout comme en
avait été victime Cheminade en 1995…
Cheminade en avait vendu sa maison, s’était endetté auprès
de ses copains et de sa famille pour faire face et il a mis 10 ans pour s’en
remettre.
« Bling-bling », à qui tout est dû, pas du tout.
386 K€, il n’en avait strictement rien à cirer : Le
parti paiera !
Ce qui a été fait.
Tu penses bien que quand on passe sa vie à claquer le
« pognon des autres », position pour le moins des plus confortables,
on ne s’arrête pas à ce genre de détail là !
D’ailleurs, l’information est tombée le 1er
juillet et j’en fais mention dans le post du 4 septembre 2014. Vous n’aviez qu’à lire (cf. 3ème §)
!
Boum, en plein dans « l’abus de confiance » où une
personne morale assume les dettes d’une personne physique, contrairement à son
objet social.
Encore, un FDD (Fond de dotation) qui le prévoirait dans ses
statuts fondateurs, passe.
Mais un parti politique, financé par l’impôt en plus des
cotisations et dons des particuliers (dont le fameux « Sarre-kon-thon »,
dont je vous explique comment il a été financé : suivez les liens
ci-dessus, SVP), il y a franchement de quoi attirer n’importe quel
procureur bien-né…
Eh bien même pas, figurez-vous !
Pas du tout jusque-là…
Il faut que ce soit « Le Point » (pour le nommer),
qui en fasse une pleine page que j’ai reçu en l’Île d’Elbe (version
« export », sans pub et en papier-toilette : Super !), pour
qu’enfin ça attire l’attention du grand-public.
Et encore…
Comme quoi, ces meks-là, ils lisent aussi mes
« petits-posts », finalement.
Car depuis, il a coulé de l’eau sous les ponts et tout le
monde a oublié, même l’intéressé.
Mais lui c’est normal : Il oublie tout.
La preuve, il va même faire la bise à
« Vil-pain », il caresse le poil de la choucroute de
« Bernie », il refait encore des promesses qu’il a déjà oubliées et
il ne sait même plus ce qu’est « Big-pig-ma-lion ».
Celle-là, je la trouve très bonne : Affirmer qu’il a
découvert ce nom-là dans la presse il y a peu, alors que tout le dispositif de
sa campagne de 2012 tournait autour du système de dépassement de ses frais de
campagne grâce à cette agence de « communicants » noyautée par les
potes à « Coop-pet » et même quelques-uns des siens…
Passons z’encore.
Dans l’art de prendre des gens pour des « Kaas-toi-pôv’-kon »,
on n’a pas fini d’en voir, dans le registre !
On retiendra le mot de
« Xav’-Berre-transe » : « Il faisait campagne, il avait autre chose en tête. »
Sûr que ce n’est pas lui qui signait les chèques… Mais des
gars comme « La-Vireux » et Cie.
Et ce qui me fait aussi bien rire, c’est que j’anticipe déjà
le jour où il va nous raconter qu’il ne savait même pas qu’il était en campagne
en 2012 pour sa propre succession.
Déjà qu’en 2007, c’était les « événements » qui
l’y avait poussé, là, pour 2017, il l’a toujours affirmé : Il n'ira que si
on le lui demande gentiment, et il est seulement près à payer de sa propre personne
que pour le pays (qu’il aime tant lui aussi… ah l’amour de la Patrie, il en
voit de toutes les couleurs en ces époques !), après l’avoir bien ruiné.
Et pour en revenir au côté fiscal des choses, y’a vraiment
un redressement d’assiette assez fabuleux qui chauffe pour le directeur des
services (Dossiers sensibles, Direction Fiscalité des particuliers, Direction
Services Fiscaux Paris-Ouest, 12, rue George Sand – Paris ; 01.44.30.50.03 :
J’y ai encore des « potes », qui quand ils voient mon nom sur un
dossier de « leur client » à tondre, ils classent aussitôt pour
s’éviter des emmerdements sévères).
Parce que comme Al Capone, ne pas déclarer un avantage, même
indu, à son percepteur, même s’il n’a pas été encaissé – mais bien décaissé –
c’est de la fraude fiscale en barre !
Après le « halte aux menteurs et aux tricheurs », s’il s’agit de reconduire un
« fraudeur », quitte à ce que soit aussi un délinquant, j’imagine que
je ne serai pas tout seul à quitter le pays, refusant le racket organisé et
généralisé.
Un appel à la grève de l’impôt, rappelle-je par ailleurs,
est un délit sévèrement réprimé (Art. 1746 du CGI) : Il vous faudra déménager.
Prenez donc vos jambes à votre cou et filez au
Nigéria : C’est moins risqué pour votre santé, malgré Ebola.
Vous êtes prévenus, parce que j’en ai quelques-uns qui
chauffent dans ce sens-là, la grève contre l’impôt (même que la presse gauloise
en cause de plus en plus…)
Ceci dit, pour l’heure il paye effectivement de sa personne
à se faire applaudir par des bêlants acéphales et trisomiques, mais triés sur
le volet : Je sais, j’ai des « cousins-pinzuti » qui caftent…
Et alors, chose crevante, plus il cause, plus il dévisse
dans les sondages !
Y compris chez les « militants ».
C’est dire si, au moins inconsciemment, le
« Gaulois-moyen » sent bien que celui-là et tous ceux de sa bande,
ils sont définitivement grillés.
Au moment où le pays s’enfonce toujours plus profond dans la
faillite, c’est quand même dommage.
D’autant que plus on attend, plus on se noie collectivement
dans ce pays qui est le mien et que j’aime tant, moi.
Tant pis pour ceux qui restent : Personnellement, je me
suis fait inscrire sur les listes électorales locales (et européennes) à
Portoferraio.
Et je ne reviendrai que quand les « Gaulois » les
auront tous virés, ras-le-bol de devoir les supporter plus que de raison et de ferrailler avec mon seul bon sens contre toute cette armée de fats-là.
Autrement dit, les ignominies de l’UMP, ça ne me concerne
plus vraiment…
Mais ça me fait toujours autant rire.
Pas vous ?
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