« Titi
Laine », « Big-moustache », « E-Cat » & les pétrodollars
Le « grand ménage » a commencé.
Je vous raconte : Les dernières semaines passées
ont été riches. Très riches.
Et cette fois-ci, je ne cause même pas des
hallucinations collectives de l’actualité politique de la
« Gauloisie-prospère & délirante », ni même de son
personnel-fantasmagorique pourtant dense.
Non, le 8 octobre 2014 a « fuité » un
rapport sur les dernières expériences de « fusion froide »
en cours depuis mars dernier, l’E-Cat.
Rapport qui est arrivé sur mon bureau, 5 jours plus
tard, le 13, après que mon boss » l’ait dévoré.
« Ice-Cube,
faut que tu lises ça ! »
Vous
avez le droit d’en prendre connaissance, naturellement puisqu’il
est encore disponible en ligne : C’est un PDF en anglais (pour les si doués qui
que comme moi en langage « chèque-spire-rien »).
Je peux déjà vous dire que je n’ai pas compris
grand-chose : Une énième étude sur la fusion froide, après les épures
diverses et controversées sur le sujet, plus quelques réalisations bien réelles
sur les « énergies-libres » qui ne font toujours pas la fortune de
leurs géniaux « découvreurs », dont le Sieur Minato que donc, que donc
je vous
en avais déjà causé il y a bien longtemps.
Là, ça semble être du sérieux, puisqu’avec un peu de
nickel, de
lithium, de fer, de l’aluminium en poudre fine plus de l’hydrogène comme
catalyseur, plus un peu d’oxygène et du carbone, le nouveau « bidule »
est beaucoup plus spectaculaire de ce qu’on appelait la « fusion froide »,
découverte par Pons et Fleischman en 1989, avec un montage d’électrolyse d’eau
lourde et de palladium.
Un petit réacteur de 20 cm de long, contenant 1 g de ce « carburant »
en poudre chimiquement et électriquement neutre, testé pendant 32 jours, en
deux phases : Le réacteur a dégagé 3,2 fois plus d’énergie sous forme
thermique que l’énergie électrique fournie pour le démarrer, et après avoir
augmenté la puissance de l’élément chauffant au 10ème jour, il s’est
dégagé 3,6 fois plus d’énergie thermique que l’énergie électrique nécessaire à
le faire fonctionner.
Pour mémoire, on obtient avec ce dispositif une
puissance nette de 1,6
million de kwh/kg. L’essence de vos « tas-de-boue-à-roulettes » en
contient 12 kwh/kg, soit 133.333 fois moins pour le même poids, qui elle-même
contient 75 fois plus d’énergie par kilogramme qu’une batterie Li-ion.
Vous situez mieux le problème, là, comme ça ?
On n’en sait pas beaucoup plus, sauf que si c’est bien
une réaction nucléaire (les isotopes du nickel qui en ressortent n’ont pas les
mêmes proportions qu’au démarrage – globalement les isotopes 58 et 60 en
quantité conséquente dans la nature se retrouvent pour l’essentiel dans le 62…
– augurant d’une transmutation de quelques neutrons qui vont se réfugier dans
la molécule voisine), mais elle ne dégage aucun rayonnement de type
radionucléaire et il n’y a aucune explication scientifique à proposer en l’état
actuelle de nos connaissances.
De plus, le nickel final ne perd aucune de ses
propriétés physiques, électriques et chimiques : On peut toujours l’allier
à du fer et du coke pour en faire de l’acier.
Toutefois, on apprend que le brevet a été
acquis pour 20 millions de dollars quand même, en janvier dernier par la
société Industrial Heat LLC (IH), une entreprise américaine basée à Raleigh,
North Columbia, qui fabrique et vend des pompes à chaleur dans le monde entier.
Propriétaire de « la propriété
intellectuelle et les droits de licence » de l’E-Cat, Andréa Rossi, le
codécouvreur, abandonne l’université de Bologne et devient le directeur de
recherches de la boutique, asphyxié qu’il a été par le manque de crédits.
Et on sait aussi qu’une douzaine de compagnies
travaillent déjà dans le monde sur des projets concrets de fusion froide, les
principales étant Defkalion et Brillouin.
On en saura plus d’ici la 19ème conférence
annuelle (ICCF-19) sur le sujet, qui se tiendra cette année à Padoue en Italie
du 13 au 17 avril 2015 et où on attend plus de 500 scientifiques qui vont
s’échanger le sel de leurs travaux.
Où il y a fort à parier que d’ici l’été, vous ne
pourrez plus entendre parler du dispositif, n’est-ce pas…
Bide annoncé ou non, « mon boss » s’est mis
en tête de surveiller de près les cours des valeurs pétrolières et des minières.
Parce que si le procédé doit déboucher sur une
« rupture technologique » d’ici quelques années (l’US Navy aurait
déjà commandé un modèle à 1 MW/h pour un de ses navires et un autre est prévu
en Suède comme vitrine de l’université locale, co-découvreuse), il s’agit d’anticiper :
Prix du nickel = 16,70 US$/kg…
Notez que chez nous (je veux dire en « Gauloisie-lumineuse »), certains se déclarent déjà contre, « car cela irait dans le sens d’une fuite en avant d’une civilisation consommatrice d’énergie… ».
Notez que chez nous (je veux dire en « Gauloisie-lumineuse »), certains se déclarent déjà contre, « car cela irait dans le sens d’une fuite en avant d’une civilisation consommatrice d’énergie… ».
J’admire les « déclinistes » et vous laisse
deviner qui, n’est-ce pas…
En revanche, ce que je notais déjà, c’est que la
société citée comme détentrice des « droits d’auteur » et de développement
est probablement une officine de la CIA ou de quelques lobbies
« pétroleux » : Une activité parfaite pour des
« faux-nez » internationaux et secrets.
Et jusque-là, rien de spécial à signaler sur
« les marchés ». Juste les habituels parcours erratiques du dollar,
la crise ukrainienne, la crise irakienne, la crise syrienne et une descente aux
enfers du cours du baril de pétrole qui a tendance à s’effondrer depuis
quelques mois : Ne vous en faites pas, ça ne va pas durer, les déstockages sont
simplement ralentis avec l’activité générale en berne et « la
crise », en plus d’un hiver qui ne pointe pas encore son nez.
Idem sur le marché des « financières », sauf
exception, on va y revenir.
Parce que l’autre jour, contre toute attente, huit
jours après exactement, on apprend que dans la nuit le Falcon 50 de « Big-Moustache »
s’écrase au décollage de l'aéroport de Vnoukovo le 20 octobre 2014 vers 23 h 57.
L'accident met en cause un engin de déneigement et
cause la mort du président-directeur général de Total et de tous les membres de
l'équipage.
Je rappelle que le sieur est un ESCP (ce n’est pas
HEC, mais c’est une « top 4 ») noyé dans un milieu d’ingénieurs
« X-Mines », issue d’une famille illustre et notoirement richissime
de « Gauloisie-des-sans-dents ».
Les imbéciles auront retenu que Total ne paye pas d’IS
en « Gaulosie-miraculeuse » pour y faire des pertes, mais partout
ailleurs dans le monde où la compagnie fait des bénéfices, et se souviendront
aussi de l’Erika qu’elle affrétait pour mieux polluer les macareux-bretons.
Passons : Personnellement, j’ai souvenir que le
bonhomme était déjà Dégé-Moyen-Orient en 1995 au moment des escroqueries
relatives à l’accord « Pétrole contre nourriture » en Irak, qui
perdure encore de nos jours avec quelques assouplissements, pour financer le
remboursement des « frais de guerre » de 1991 contre le Koweït, via
la CINU de Genève…
Bon, lui s’en est tiré avec un non-lieu en 2013 :
Il n’aurait rien vu, rien compris.
Curieux déroulement : On nous explique que le
Falcon 50 heurte un engin de déneigement après le début de sa procédure de
décollage.
Et puis, contre toute attente, on apprend que l'appareil
est parvenu à décoller, mais que le pilote a envoyé un signal de détresse et a
fait demi-tour dans le but d'atterrir d'urgence. Et l'avion s'est écrasé sur le
tarmac et a pris feu après une
explosion.
Les médias russes indiquent même que des débris ont
été retrouvés à plus de 200 mètres. Le passager et les trois membres de
l'équipage du jet privé dont la charmante hôtesse meurent sur le coup, tandis
que le conducteur du chasse-neige est en vie, sans une égratignure.
Il paraît qu’il était « bourré » : 0,6
g d’alcool par litre de sang.
Quand on connaît la nature humaine d’un russe-bien-né-de-chez-eux,
qui tient debout et reste opérationnel avec plus de 2 g, on peut en rester coi.
Selon la presse locale et néanmoins russe, « Big-Moustache »
revenait d'une réunion avec le Premier ministre russe Dimitri Medvedev, pas vraiment un ami du dollar, dans sa
maison de campagne, près de Moscou. L'entrevue aurait été consacrée aux
investissements étrangers en Russie.
En qualité de pédégé de notre seul
« pétroleux » national, effectivement il avait pour mission de
protéger les sources d’approvisionnement de la
« Gauloisie-estivale » et d’en rechercher de nouvelles, off-shore,
africaines, dont nigérianes affligées par Ebola, ailleurs encore et pourquoi
pas dans le grand-Nord arctique et ses promesses d’eldorado pétrolifères.
Avouez qu’en pleine crise diplomatique autour de
l’Ukraine et du gaz russe sous menaces d’embargo et de mesures de rétorsion,
c’est une démarche « intéressante » et pour le moins … intéressée.
De premier abord, on ne comprend pas bien comment le
pilote de la déneigeuse a pu heurter un avion au décollage lancé à 250 km/h,
d’autant qu’il n’était même pas sur la piste, mais à côté.
Ni comment le pilote aurait pu décoller dans les
conditions sous-entendues.
Mais tout le monde part en taule, de la stagiaire
aiguilleuse du ciel, son patron direct dans la tour de contrôle, le directeur
de l’aéroport, son adjoint et quelques autres.
Sûr que les autorités russes en savent plus qu’elles
ne veulent bien le dire, ce n’est pas possible autrement.
Déjà qu’on attend toujours les photos-satellites du
tir au pigeon sur le MH 17, le rapport sur les boîtes noires, la
retranscription des écoutes des AWACS et des services russes, le rapport des
services secrets allemands, là, manifestement, ils prennent la précaution de
mettre au secret tout le monde pendant quelques mois… comme le veut la
procédure : On verra après.
Et c’est là que mes « potes-locaux », les
« ritaux » qui gardent mon voilier à Portoferraio quand je ne suis
pas à bord mais fais le clown sous les yeux du Prince Albert, ils me racontent
l’histoire d’Enrico Mattei, alors PDG de l’Ente Nazionale Idrocarburi, l’ENI,
une société d’État italienne et de la compagnie l’Azienda Generale Italiana
Petroli (Agip), la pétrolière nationale créée sous Mussolini.
Le soir du 27 octobre 1962, en pleine tempête, l’avion
privé qui le ramène de Catane, en Sicile, à Milan, s’écrase à la suite d’une
déflagration dans un petit village de Lombardie quelques minutes avant l’heure
prévue pour son arrivée.
Selon les conclusions cumulatives de plusieurs
enquêtes dont la dernière remonte au milieu des années 1990, l’ouverture du
train d’atterrissage de l’appareil a déclenché le détonateur d’un engin
explosif placé subrepticement à bord avant le décollage.
Tiens donc…
Comme le mec qui revient se poser en urgence à
Moscou ?
De l’épisode de 1962, il n’en reste qu’un film que
vous pouvez aussi découvrir sous-titré en anglais, du réalisateur italien de
grand talent et maître de l’école du néo-réalisme, Francesco Rosi, intitulé «
Il caso Mattei », en « francilien-natif », « L’Affaire Mattei », qui
sortira en salles en 1972 après avoir gagné la palme d’or au Festival de
Cannes.
Au lendemain de sa sortie, les droits sont rachetés
par la Paramount, un géant américain de la distribution, qui le présente
quelques jours dans un cinéma de Manhattan, avant de le retirer.
Aucune cassette VHS ni aucun DVD de ce film n’a jamais
été produit.
Juste un lien
internetique, d’une heure cinquante, pour les curieux seulement
(tant que ce n’est pas censuré par YouTube).
Étonnant, mes « potes-locaux » : Ils
n’oublient vraiment rien !
Et puis hier, 26 octobre, je mouille dans la rade de
Naples depuis la veille au soir sous le Vésuve, avec la ferme intention d’aller
visiter Pompéi (ce que je n’avais pas fait cet été tellement il y avait de
monde) et j’ouvre mon portable qui se met à vibrer.
« Mon boss » qui ne m’oublie pas, même un
dimanche : « Leyne s’est
suicidé hier ! »
Suicidé, ça reste à voir, parce ce franco-israélien a
une maison dans le coin et comme par hasard il tombe de la fenêtre d’une
chambre d’hôtel grande-hauteur, vous savez, de celles où on ne peut même pas
passer un bras…
(Pour tout vous dire, il y a un « truc »,
une petite manipulation, pour les ouvrir en grand. Mais quand on n’est pas
chargé de les nettoyer, on oublie vite…)
Alors, de là à mettre un pied au-dessus de rien par
hasard et de se laisser aller…
Enfin, passons.
Parce que « Titi
Laine », outre que d’être
banquier légalement au Luxembourg, c’est d’abord un type soupçonné d’être un
agent dormant du Mossad depuis bien longtemps, et c’est aussi l’associé de
« Déesse-khâ »
dans une opération annoncée l’année dernière qui m’avait déjà fait frémir en
mars 2014.
Le ruineux banquier-ruiné des États-failliteux de ce
monde, obligé de vendre ses parts à « petit-prix » de la SCI qui
porte son loft de la place des Vosges à son ex (« Âne-Seins-Clairs »)
pour faire ses fins de mois, il avait pris des parts majoritaires dans la banque
du banquier du grand-duché (cotée à Paris) en vue de rapatrier 2 milliards de
dollars de Chine.
Même qu’il en avait fait des tonnes à cette occasion.
Et puis, de 2 milliards, on était passé à 500 millions
à produire fin octobre 2014.
Nous y sommes et hop, un saut sans parachute avant
l’échéance met fin à l’expérimentation du plus grand-économiste de tous les
temps en la personne de l’ex-avocat « Déesse-Khâ ».
Notez que ceux qui ont lu mon roman de l’été dernier, en
ligne sur ce blog (ce post-là et les suivants), ils auront compris le
pourquoi du comment de ce qui devait arriver.
Parce que, parce que, depuis 2 mois environ, on
suivait aussi la chute du titre de ladite banque (une « financière »)
depuis les ordinateurs et salle de marché de « mon boss », attaqué à
la baisse par des anonymes bien renseignés.
Assez incompréhensible, même si on livrera au bon peuple cette version classique du banquier ruiné qui se suicide, pour un type dans la force de
l’âge (46 ans), multimillionnaire de son état, qui en a sûrement vues d’autres
dans sa vie, sauf à se dire que les 2 milliards promis, ils avaient bel et bien
disparu, comme prévu dans « mon » roman.
Confirmation, post-mortem,
donc, puisque l’opération de récupération de cet argent volé a été réalisée par
« Charlotte » en
février 2014…
Avouez que mon unique neurone reste « assez-génial »
finalement, pour ne disposer en plus que d’informations « ouvertes »,
au moins autant que vous les avez aussi, sauf que je n’avais pas prévu que les
règlements de compte seraient aussi saignants et d’une telle brutalité.
(Cf. la série des cinq derniers
« chapitres » de cette histoire-là)
Et moi qui me plaignais de ne pas être
« inspiré » pour le prochain tome II de « Mains
invisibles », me voilà servi !
Dire qu’il y a déjà eu la décapitation d’Hervé
Gourdel, mi-septembre…
Encore un « truc » compliqué, vous verrez
comment je vous l’amènerais l’été prochain (si je vis encore à ce moment-là,
bien sûr !)
Passons aussi, car sauf à être borgne, acéphale et/ou
aveugle, voire autiste-total, il n’y a pas à dire : « Ils » ont
décidé de faire le ménage avant de mourir.
Ça crève les yeux, même pour mon unique neurone qui suit
la piste de l’odeur âcre de l’hémoglobine répandu.
Parce que quoi, « Big-Moustache »,
« Déesse-Khâ », Mattéi il y a longtemps, plus proche, « Kad-à-Phi »
exécuté par des commandos « Gaulois », ces quatre-là avaient en
commun de souhaiter, et ils le disaient haut & fort, vouloir stopper
l’hégémonie du dollar, des « pétrodollars », installée après-guerre
et renforcée depuis 1974 et la guerre du Yom-Kippour sur la vie financière du
globe.
Ce que « le monde d’avant » ne peut décidément
pas accepter.
À aucun prix.
Quitte à éliminer ses adversaires et même ses « bons
soldats », ce qui met le Mossad sur les dents…
Le prochain sur la liste, ce serait
« Déesse-Khâ ».
Je serai lui, je me planquerai dans un quartier de
haute sécurité d’une centrale pénitentiaire perdu au milieu de rien.
Mais je ne suis pas « lui »…
Et on ne sera pas étonné d’apprendre un beau matin
qu’il a bandé trop fort, si fort que son gland a en explosé le long des murs, surchargé
jusqu’à saturation létale de viagra, et qu’il en est décédé de « mort
naturelle ».
Il ne sera pas le premier : On pense à cet
instant précis à Benoît Duquesne, une pointure des enquêtes télévisuelles, qui
aura été retrouvé mort de « mort naturelle » le 4 juillet dernier dans sa
péniche des bords de Marne, sans que jamais personne n’en demande plus
d’information.
Mais pour d’autres raisons.
Un des « suivants » possible, ça reste d’ailleurs,
« Al Singer », Président de la Nationale Bank of Koweït depuis le 16
février dernier, si l’on suit les dires de Basanix
et si par hasard il s’agit bien d’un « grand-ménage » dans les rangs du
« monde d’avant » qui espère encore survivre en sacrifiant les uns et
les autres.
À suivre donc, et restez vigilants, SVP.
D'ailleurs, la suite est à lire ici :
http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/02/le-cat-et-les-petrodollars.html.
D'ailleurs, la suite est à lire ici :
http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/02/le-cat-et-les-petrodollars.html.
De l’énergie à gogo !...
RépondreSupprimerAbsolument génial la Fusion froide !...
Depuis le temps qu’on en parle…
J’en ai fait quatre notes sur le « Blog des Sciences Exopolitiques » :
http://euroclippers.typepad.fr/exopolitique/2014/10/e-cat-un-r%C3%A9acteur-%C3%A0-fusion-froide-%C3%A0-la-maison-i.html
Et avec quelques pourcents de la production mondiale il est possible d’avoir de l’énergie gratuite pour toute l’humanité.
Les conséquences sont incroyables et bénéfiques : quasi-arrêt de la prospection pétrolière, diminution considérable de la production qui sera destinée à la pétrochimie, effondrement du fret pétrolier, disparition progressive des raffineries, disparition des circuits de distribution.
Quant à l’accident du Falcon 50 de « Big moustache » à Vnukovo, je privilégie la thèse de l’accident dû au bordel russe !...
D’ailleurs, il suffit de reprendre le témoignage d’un pilote qui a vu l’accident : « A Vnoukovo, rien n'est aux normes internationales, confie au Parisien un co-pilote qui a assisté au crash. Les procédures de clearance [les autorisations de manoeuvre de la tour de contrôle, ndrl] sont brouillonnes." Selon lui, "les aiguilleurs parlent mal anglais et on entend des surperviseurs derrière eux comme s'il s'agissait de gens en formation. Enfin, le balisage et l'éclairage au sol sont défectueux."
En savoir plus sur :
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/mort-de-christophe-de-margerie-une-negligence-criminelle-a-l-origine-du-crash_1614105.html#wX584CM2QDH7Pymv.99
Nous en saurons plus dans le compte-rendu enquête accident.
Pour le suicide de « Titi-Laine » on peut effectivement faire un rapprochement avec la disparition de la « prime » de deux milliards de dollars du « Chimpanzé en rut » !...
Même pas capable de rembourser deux millions d’euros…
« Déesse-Kha » risque bel et bien d’être "suicidé" comme « Béré » ou « Gros-Souvre » ; il connait beaucoup trop de choses…
Le monde d’après risque d’arriver un peu violemment, avec une série de règlements de comptes…
Et avec un effondrement de tout un pan économique énergétique basé sur le pétrole, le gaz, le charbon, le nucléaire…
A suivre !...
Haddock
C'est en cours...
RépondreSupprimerCe qui reste étonnant, c'est la présentation qu'en font la presse et les médias !
Un vrai bourrage de crâne bien huilé.
"Laine" revêt les habits de l'image d'Epinal du banquier ruiné qui se suicide...
Il n'a rien de ruiné avec seulement une ardoise de 2 M$ quand on en gère plusieurs centaines. On reporte les échéances.
Et autant que je sache, le Luxembourg est aussi le théâtre de la ruine de la BES portugaise, de son dépeçage par tronçons, qui porte sur des centaines de M€, que même la banque centrale portugaise a remis au pot par quantité astronomique et il n'y a eu aucun suicide d'annoncé, si je ne m'abuse.
Pour "Big-moustache", je veux bien admettre que les procédures habituelles peuvent défaillantes.
Mais alors quid de plus naturel que d'y "loger" un accident ?
Et si je ne m'abuse là aussi et encore, l'avion a bien décollé sans rien heurter au sol...
C'est en revenant par surprise qu'il a explosé là : Il aurait dû exploser à Pontoise ou à proximité du Bourget si on en croit mes "potes-locaux" et néanmoins "ritaux".
Au moment de la sortie du train d'atterrissage, loin quoi !
Ca ne colle pas...
Convenez-en malgré ce qu'en dit la presse, ce qu'en dira l'enquête... et tout le bourrage de crâne qu'on en dit.
Notez aussi qu'il aurait eu des obsèques quasi-nationale à Saint-Sulpice (6ème arrondissement de Paris : je n'y étais pas) en présence des autorités constituées du ban et de l'arrière ban du moment, mais que fissa on nous parle de ce petit-gars qui se prend une grenade assourdissante (une grenade offensive n'est pas faite pour tuer, sans ça les assaillants qui la tirent seraient aussi en danger de mort, contrairement à une grenade défensive), pour mieux détourner les regards de la presse : Là on en fait une affaire d'Etat !
Pas pour "Big-Moustache". Curieux, non ?
Parce que ça aurait dû être l'inverse, finalement...
Absolument ahurissant pour ceux qui savent !...
RépondreSupprimerLa décébration continue…
Quelle était la position de « Big Moustache » sur la fusion froide ?...
Compte-tenu des investissements colossaux dans la recherche et l’exploitation pétrolière était-il de ceux qui sont prêts à tous pour refuser la transition énergétique qui condamne en quelques années l’industrie pétrolière sauf la pétrochimie ?...
A moins qu’il soit devenu dangereux pour les monopoles américains…
Parce qu’un "accident" peut avoir plusieurs causes !...
Et puis, quand voit le bourrage de crâne des médias, il ne faut pas compter sur eux pour connaître la vérité…
Et puis, il est aussitôt oublié…
Qu’est-ce que cela cache, effectivement ?...
Parce qu’il y a un "lock-out" complet sur la fusion froide…
Bonne soirée à vous
Haddock
Comment voulez-vous que je sache ce qu'il y avait dans la tête de "Big-Moustache" sur le sujet.
SupprimerC'était un "pétroleux", non ?
Et puis vous avez découvert comme moi que dans son Conseil d'Administration, il y avait aussi "Love-air-jonc", ex d'Areva, une "nucléaire"... Et sans doute quelques "avionneux" et électriciens-gaziers...
Bref tout ce qu'il faut pour avoir une "synthèse" de l'industrie de l'énergie qui se partage le fromage de l'avenir.
En revanche, ce que je sais, justement d'Areva, c'est que la fusion froide reste tabou.
Même les centrale au thorium, ils ne veulent pas en entendre parler, malgré 'avis de notre académie des sciences qui a alerté les autorités et industriels en 2012 : Ils en restent sur la filière du MOX et de l'uranium.
Je rappelle, le plutonium, c'est un noyau de 239 protons et neutrons. L'uranium, c'est 238 et 235, ce dernier étant instable et radionucléaire. Les Thorium, c'est 232 et ça reste stable mais "fertile" quand il est bombardé par un accélérateur de particules. Là, il devient radionucléaire pour passer à 233 et devenir de l'uranium 233.
Une technologie à portée de main des Indiens et des chinois (comme des américains) qui possèdent déjà et font tourner des réacteurs expérimentaux.
Alors la fusion-froide, c'est le prétexte d'étude de trois ou quatre laboratoires privés dans le monde.
Peut-être plus avec les chinois.
Parce que pour l'heure, il n'y a pas d'explication scientifiques au phénomène.
Notez qu'il en va autant pour le moteur Minato : On ne sait pas, donc ça n'existe officiellement pas !
De l'autisme (en barre), vous ai-je déjà dit.
Comment savoir ce qu’il y a dans la tête de « Poux-Tine » et de « Big moustache » sur la fusion froide ?...
RépondreSupprimerC’est simple !...
Les exportations de pétrole et de gaz en Russie représentent 50% des recettes de l’Etat.
Je ne vois pas « Poux-Tine » développer la fusion froide, même si la Russie possède les plus importantes réserves de la planète de Nickel.
De la même façon, la fusion froide rendrait soudainement ineptes tous les investissements de recherche pétrolière et de production de Total !...
Les pertes financières seraient considérables.
La société serait rapidement en faillite avec un effondrement du cours de l’action.
Impossible pour « Big Moustache » et ses successeurs !...
Le problème est aussi vrai pour les investissements en centrales nucléaires, ITER, l’EPR !...
Tout cela serait soudainement désuet et inutile avec des pertes financières considérables.
Sachant que le coût de l’énergie de la Fusion froide est de 20% de celui du charbon, du pétrole, du gaz, c’est l’apocalypse programmée pour toutes ces structures !...
Ils feront tout pour éviter la catastrophe.
Seuls les BRICS pourraient avancer sur ce sujet, notamment la Chine qui n’a pas de pétrole mais de la pollution et des réserves importantes de Nickel.
Merci pour le rappel sur les centrales au thorium qui sont aussi prometteuses.
Les résistances au changement et aux nouvelles technologies seront terribles et cela se fera dans la souffrance.
Comme toujours.
Quand je vois les résistances incroyables pour sortir le dossier des indemnités de la guerre du Golfe, qui est bien petit face à ces méga-problèmes de mutation énergétique, on n’est pas au bout de nos peines…
... Et pourtant, ça reste inéluctable : On va forcément y venir.
SupprimerDes empires financiers vont disparaître, d'autres vont se créer.
Et la géopolitique va être considérablement modifié.
Parce que bon, il n'y a pas que le nickel en terme de "fusion-froide". Encore un peu et vous devrez voir que c'est possible même avec le sable de nos plages...
Quant au stockage de l'électricité produite, on devrait tôt ou tard se servir de la supraconduction...
Pour remplacer nos batteries et autres condensateurs.
Ce qui va changer beaucoup, beaucoup de choses.
Enfin espérons-le : Ce sera le "monde d'après" !
Il semblerait que la fusion froide soit aussi possible avec le carbone.
SupprimerAvec la supraconduction, cela ferait disparaitre effectivement des empires financiers et économiques.
Les pays producteurs de pétrole et de gaz retourneront à une place plus modeste tandis que des régions entières où il est difficile de vivre deviendront habitables.
Un monde d’après assez difficile à imaginer finalement surtout si ces technologies permettent un fort développement du voyage spatial.
Un "monde d’après" qui émergent sous nos yeux…
Le voyage spatial, c'est la cerise sur le gâteau des énergies nouvelles.
RépondreSupprimerParce qu'en termes de développement économiques, de l'accroissement des niveaux de vies, d'une meilleure santé pour le plus grand nombre, ça n'aura pas d'impact que de voyager, pour quelques happy-few, jusque sur Mars ou ailleurs.
En revanche, avec de l'énergie à profusion et sans limite, on aura déjà réglé bien des problèmes, jusqu'à inonder d'eau potable beaucoup de déserts actuels.
En revanche, quand on va s'occuper de terra-former Vénus, là ça va être drôle pour quelques générations à venir.
Imaginez donc qu'on ensemence la planète vaporeuse de cyanobactéries, de celles qui bouffent le CO2 et rejettent autant d'O2 comme "cendre" ?
Un peu comme a été la Terre dans ses premiers âges...
En quelques siècles, l'atmosphère vénusienne pourrait "s'alléger", même si la pression n'est pas un problème en soi, et devenir respirable.
Faudra juste régler le problème de la température au sol (mais on peut vivre en altitude, dans de vastes villes "flottantes"), parce que la planète tourne moins vite sur elle même qu'autour du soleil.
Et en plus, le soleil se lève à l'ouest, pas à l'est : Il faudra s'y habituer.
Quoique la plupart de nos femmes étant systématiquement désorientées, partant à gauche quand il faut aller à droite, elles pourraient s'habituer plus vite que leurs hommes...
Bon, d'ici-là, on aura fini de piller la planète-mère et on aura déjà commencer à épuiser Mars, je n'en doute pas.
Personnellement, je serai mort, pour un repos éternel bien mérité.
Allons donc; transport + chauffage ne représentent que moins de 20% du pétrole. Le reste est en dérivés et le potentiel est de 100%. On peut donc très facilement se passer du pétrole comme carburant sans enlever un iota aux revenus du pétrole. Pas de quoi meme noyer un chat! Ou alors ce serait de la pure folie...
RépondreSupprimerComment faire de la fusion "froide" sans dégager du rayonnement? Impossible! Donc le papelard que tu cites me semble etre une bien fumeuse arnaque (comment des "scientifiques" peuvent aussi aisément mélanger kw kwh joules et température mesurée par rayonnement????). Ils sentent qu'il y a du potentiel et veulent juste se placer qu'ils ne feraient pas autrement. Il y a moyen de faire de la fusion froide via l'utilisation de réseaux cristallins qui obligeraient les atomes à se rapprocher mais c de la nano-technologie et nous n'y sommes pas encore vraiment...
D'ou le "sporadique" des expériences: par chance ces structures se forment (lors de l'usinage soit des poudres soit à la surface des cathodes) et donc démarrent des réactions mais le réseau se détruit aussi (par la réaction) donc ça ne durerait pas. Sacré challenge...
Pour le clampin ordinaire ça ne changerait rien; il paiera autant en ... "taxes" meme s'il fabrique dans son garage.
Dj.
Pour le clampin, c'est évident.
SupprimerPour la fusion froide, c'est quand même plus compliqué parce qu'il y a des tordus qui mettent des dizaine de millions de dollars sur la table pour pouvoir croquer du gâteau le moment venu.
C'est vrai que du point de vue scientifique (et technique), personne n'est encore capable d'expliquer de quoi il retourne, personne.
Il n'empêche, ce n'est pas la première fois qu'on nous explique que "ça marche".
Je te le dis DJ, en février prochain, ils se font même un congrès mondial sur le sujet en Italie !
Peut-être que je serai sur place d'ailleurs... Si "mon boss" veut bien et si il y a des démonstrations, naturellement.
Pour ma part, je pense qu'il est préférable de miser sur les centrales au thorium : Une technique devenue sûre, qui n'a pas les inconvénients des risques d'emballement des centrales à neutrons rapide ni même celles à l'uranium ou au MOX.
Sans même parler des déchets puisqu'elles les brûlent.
Renseignements pris, même Areva n'étudie pas le sujet (ou alors c'est bien planqué quelle que part et dans les comptes que j'ai pu examiner dans le détail).
Pour l'heure, il n'y a que les indiens qui font tourner des prototypes.
Et là, on peut "miniaturiser" à satiété, même si les rayonnements imposeront des protections "lourdes" pour une diffusion de masse.
Et tu as raison : dans l'avenir, le pétrole ne sera plus une source d'énergie, mais une matière première de la pétrochimie.
Le Shah d'Iran en était déjà convaincu à son époque à lui, figure-toi !
Bien à toi !
Le délire de la "fusion froide" ... Ah! Ah! Ah! C'est comme le "moteur à eau" ou la "mémoire de l'eau" ... N'importe quel étudiant en chimie sait bien que cela n'a absolument aucun sens ...
RépondreSupprimerOn trouve sur Internet des "expériences" (avec vidéos à l'appui, s'il vous plait!) qui nous démontrent que si on enfonce la prise de courant en inversant les pôles on fait tourner le moteur dans l'autre sens!
Il y a des joyeux drilles qui s'amusent à "produire" ce genre "d'étude" et qui en rigolent comme des fous. Plus grave : si ce genre d'élucubrations circule sur Internet, c'est parce qu'il y a des gogos qui y croient ...
De grâce, ne sombrez pas dans ces machins! Pas vous!
... Euh, en courant continu seulement, le coup de la prise électrique.
RépondreSupprimerLa fusion froide, je ne tombe pas dans le panneau, bien sûr, je reste dans l'attitude du mek qui attend pour voir.
On nous disait il y a encore moins de 10 ans que la supraconductivité, c'était pour des températures cryogéniques : On l'a fait pour des températures à peine polaires, désormais.
J'avais un prof de physique qui estimait qu'on ne pourrait jamais voir "plus-petit" que l'atome : On voit désormais bien plus petit dans les accélérateurs géants et les nanotechnologies sortent désormais des labos pour venir jusque dans vos médicaments...
On a même découvert des galaxies qui semblent plus vieilles que l'univers lui-même... Mais il ne s'agit peut-être que d'un leurre, je ne sais pas.
Par contre, on n'a toujours pas "peser une âme"...
En bref, il me semble que la démarche scientifique ça reste la "curiosité". Et si la mémoire de l'eau et le moteur à eau (une cendre chimique, effectivement) sont effectivement de gros gags, pour le reste, je ne ferme pas mon réseau de neurones "uniques" à beaucoup de choses, au contraire.
Et suis particulièrement sensible à ses recherches sur les forces du vide, l'effet casimir par exemple.
Savez-vous que si tout le monde claque un pognon pas croyable pour le bien-être de l'humanité à la recherche du graviton, personne n'a encore su expliquer ni rechercher le "monopole-magnétique", le magnéton.
Ce sont toujours des dipôles...
Curieux, non ?
Bien à vous !
I-Cube