Extraordinaire !
Celui-là, il sait très bien qu’il dit que des
konneries à longueur de journée.
Et c’est nouveau : IL ASSUME !
« Je suis
la girouette-dogmatique du socialisme-Gaulois : Normal, je m’appelle
« Valse » et avec moi ça tourne, ça tourne, ça tourne à en perdre
l’équilibre ! »
En 2011, il s’était affirmé « favorable » à la GPA,
qualifiée d’ « évolution incontournable » lors de la
primaire socialiste en 2011.
Aujourd’hui il se dit résolument contre…
Et il explique, pour ceux qui restent avoir des « idées
fixes » :
« J’assume évidemment ces évolutions,
c’est aussi l’honneur du débat public que de faire évoluer des positions. Je
crois qu’on ne peut pas aller vers ce type de procréation qui remettrait en
cause nos valeurs et nos principes ».
« J’ai toujours
dit que c’était un sujet délicat parce qu’il y a une
demande d’enfant. Et j’avais souligné moi-même combien l’intérêt de l’enfant et la
lutte contre la marchandisation doivent être des
priorités », a-t-il précisé.
Qu’il en
disait effectivement en 2011 : « Je comprends
que certains au PS aient peur d’une dérive vers une marchandisation du corps des femmes qui
pourrait se révéler immaîtrisable. Mais au-delà de ces précautions, c’est une évolution qui
est incontournable, à condition qu’elle soit encadrée », avait-il
alors déclaré dans un entretien à l’association
Homosexualité et socialisme et au magazine Têtu.
« Contrairement à ce que disent
ceux qui sont par principe hostiles à la GPA, je
crois que si celle-ci est maîtrisée, elle est acceptable, et j’y suis donc
favorable. À terme, je suis favorable à une évolution législative, mais
contrairement au mariage, ce n’est pas la position du PS ».
Voui, voui ; c’est c’là !
Diagnostic tronqué : S’il y a une « demande
d’enfant » bien réelle, la GPA n’est pas la bonne réponse !
La GPA, c’est d’abord répondre à un « déni de
grossesse ».
Un « déni de procréation ».
Ou une « impossibilité du genre » contournée…
Parce qu’entre la PMA et l’adoption, d’autres
solutions existent.
« Je suis « le chef » … du gouvernement et je m’exprime au nom
de ce gouvernement, je m’exprime au nom de la France. Et puis moi-même j’ai réfléchi : on peut évoluer, on
peut changer, on peut confronter les idées. Par
ailleurs, je pense que dans ce moment de crise, de crise sociale, de crise de
confiance, de crise d’identité, de pertes de repères, il est essentiel de
donner précisément des points de repères à nos compatriotes ».
Et un chef, c’est fait pour « cheffer » !
Et quand on est conscient de ses devoirs envers la Patrie,
il y a quand même des urgences plus urgentes à « cheffer ».
Passons.
Dans un entretien à « La Croix » publié
vendredi dernier, il a ainsi réaffirmé la position de « François III pourcent » :
La GPA « est et sera interdite en France ».
Il indique que la France « exclut totalement » d’autoriser « la transcription automatique » des actes de
filiation d’enfants nés par mère porteuse à
l’étranger, « car cela équivaudrait à accepter et
normaliser la GPA ».
On ne doit pas avoir les mêmes sources d’inspiration.
Car après les 2 avis du mois dernier de la Cour de
Cassation, qui sait encore lire les traités internationaux en cours de validité
sur le sujet, saisie par les juges du fond qui voient déferler des demandes de
Gaulois partis jusqu’en Ukraine (budget 9.900 à 12.000 € : On y reviendra
peut-être) pour revenir avec un rejeton biologiquement « leur », qui
indiquent simplement qu’on ne peut pas laisser ses « enfants-portés »
sans état-civil, au risque d’avoir deux sortes de citoyen (les « reconnus »
et les « inexistants »), il va falloir qu’il change encore d’avis, n’est-ce
pas !
Une vraie girouette, finalement.
Alors qu’il réaffirme que la GPA resterait interdite
et que le mariage homosexuel est finalement entré en vigueur sans remous (7.000
célébrations depuis la publication de la loi « T’oubliera », pas plus
de 3 % …), « La Manif pour
tous » (MPT) appelait,
à battre le pavé à Paris et à Bordeaux.
« C’était évident et nous
l’avions annoncé : après le mariage
pour tous, voilà la PMA, la GPA, le genre », annonce un
tract distribué à 1,6 million d’exemplaires. « La GPA doit être combattue à tout prix », martèle la présidente
de ce mouvement né en 2012 contre le mariage homosexuel.
Pour le cofondateur du collectif, « il y a un double discours hypocrite du gouvernement » qui « pousse à la fraude » : « Il est opposé à la GPA en
France mais dans le même temps il permet la régularisation des enfants nés de
GPA à l’étranger ».
En cause, la position du gouvernement qui n’a pas
contesté, dans le délai de trois mois dont il disposait, des arrêts de la Cour
européenne des droits de l’Homme ayant contraint en juin mon pays (celui que j’aime
tant) à reconnaître les enfants nés d’une mère porteuse à l’étranger.
De qui se fouterait-on ?
Des manifs’ qui interviennent juste après l’annonce
d’un coup de rabot généralisé aux prestations familiales, avec notamment une
division par trois de la prime à la naissance à compter du deuxième enfant.
Interrogée vendredi en marge des journées
parlementaires écologistes, « Emma-et-Cosse » s’est dite « étonnée que le
Premier ministre réaffirme des positions gouvernementales sur le sujet
alors que le premier message qu’il aurait à dire c’est qu’il reconnaît toutes les
familles, qu’il veut travailler pour l’ensemble de
ces familles et qu’il ne fait pas de distinction entre ces familles ».
Et cette question idiote : Peut-on abroger la loi
« T’oubliera » ?
Réponse : Pas rétroactivement (on ne peut pas
démarier les couples mariés).
Quoiqu’il soit toujours possible de les divorcer d’office
pour nullité.
Ce n'est d'ailleurs pas une revendication de la MPT.
Mais abroger n'est pas non plus possible parce que cela
créerait une « rupture d'égalité devant la loi » entre les couples
ayant pu se marier et ceux ne pouvant plus ce qui serait très probablement
sanctionné par la Cour européenne des droits de l'homme.
Bref, ils sont venus par milliers (77.500 personnes
selon la police, 530.000 selon les organisateurs : toujours cette manie de
ne pas compter les manifestants circulant sur les trottoirs et que quelques
tronçons des cortèges, de peur de compter deux fois les mêmes…) pour
revendiquer l’impossible.
Beaucoup de familles sont venus défiler pour témoigner
de leur opposition à la gestation pour autrui (GPA). Mais pas seulement.
Les manifestants veulent aussi affirmer leur
opposition à l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux
couples de femmes, au supposé enseignement d'une « théorie du genre » à l'école
(qui n’existe pas si l’on en croit le gouvernement, alors que j’ai eu en main
les livres de SVT de « ma nichée » qui y faisait allusion directe),
au coup de rabot de certaines prestations familiales…
Il paraît qu’en début de cortège, on a aussi pu voir une
banderole « L'humain n'est pas une
marchandise » portée par plusieurs élus UMP qui ne se seraient pas faits prier
pour répondre aux journalistes :
« Je suis là
pour défendre la politique familiale. Je demande à ce que soit inscrite
clairement dans la constitution l'interdiction de la GPA », déclare le
député de Haute-Loire, « Veaux-Qui-Est ».
« La famille est
en danger. La GPA est tolérée », renchérit, la députée européenne, « MAMa ».
« Matraquage
fiscal, malaise familiale, famille attaquée, société en danger ».
La déconstruction en cours de la politique familiale
est désastreuse et cette déconstruction s'accélère.
« La femme
n'est pas une machine à bébé » pouvait-on lire sur une pancarte ;
« tous les trois jours, un bébé GPA
est importé en France ».
Avec la PMA, ici, on estime que l'on « va vers l'eugénisme. On va pouvoir choisir
les donneurs en fonction de critères très précis ».
Si elles savaient : C’est pire que ça !
D’abord, avec le génie génétique et le séquençage de l’ADN,
on ne pourra plus naître sans être de « bonne constitution ».
C’est dès aujourd’hui, d’ailleurs…
Et puis il faut être clair : Il y a trop d’humains
sur cette planète et de plus, ils sont trop nombreux à vouloir la saccager,
pour toujours consommer plus d’énergie et de produits-finis énergétivores.
Ce n’est pas une phobie, ce sont justes des faits
avérés : Chacun a le droit au bonheur et au niveau de vie le meilleur.
À défaut d’aller saccager une autre planète, on nous
rabat les oreilles depuis des décennies des dégâts causés à l’environnement par
nos modes de vies.
Ça avait commencé par la couche d’ozone. Désormais, il
s’agit du CO2, celui qui plus lourd que l’air irait dans la
stratosphère engendrer un « effet de serre » catastrophique.
Alors quoi, quand les chercheurs de « Gogol »
sont financés à outrance pour inventer un « homme connecté » dont on
pourrait soigner les maladies avant même les premiers symptômes dès 2030 ou
2040, voire même de faire naître le premier « petit-d’homme »
potentiellement immortel en 2050, il y a de quoi s’inquiéter, non ?
L’immortalité à portée de main… Pensez donc…
Naturellement, ce ne sera pas pour vous, faut pas
dékonner non plus. Ni même vos gosses à vous ou les gosses de vos gosses !
D’abord, il n’y aura pas assez de travail pour tous
ces bras désœuvrés, remplacés qu’ils seront par des armées de robots et de
logiciels-experts.
Ensuite, si on démultiplie le nombre de
consommateur-chômeur, on démultipliera le pillage de la planète en ressources irremplaçables.
Et il y a urgence : C’est désormais une question
de quelques décennies !
Il faut d’ici là trouver le moyen de réduire la
population humaine de façon drastique (une guerre, une contagion) et
massivement (division par 10 ou par 20), tout en étant capable de faire face
pour une élite prévenue et pré-protégée.
Reste la survie de l’espèce : La GPA, dans l’attente
de l’Utérus Artificiel, couplé à des mesures eugénistes et la mise en place,
voire la généralisation, d’une « licence » mondiale de naissance est
la seule solution « acceptable ».
D’ailleurs, les mariages infertiles par nature,
union-gay et lesbienne, sont vivement encouragés après avoir été autorisés et
généralisés partout dans le monde « avancé ».
Alors va pour l’interdiction de la GPA, n’est-ce pas,
après avoir prétendu le contraire.
On note que depuis des années le préservatif est déjà
quasi-obligatoire (Sida, MST, etc.), alors même que des politiques antinatalistes
autoritaires ont été expérimentées en Chine et en Inde : Chez nous, très
en retard sur le sujet, on rabote, on rabote … les budgets destinés aux familles.
C’est en cours.
Et comme disait « Menuet-Valse » en 2011 :
« Contrairement à ce que disent
ceux qui sont par principe hostiles à la GPA, je
crois que si celle-ci est maîtrisée, elle est acceptable, et j’y suis donc
favorable. À terme, je suis favorable à une évolution législative. »
Une « évolution incontournable ».
Je viens de vous décrire ce qu’elle sera dans les
prochaines années.
Et les raisons de ces « évolutions
incontournables ».
Avouez : Finalement, elle n'est pas belle la vie ?
Avouez : Finalement, elle n'est pas belle la vie ?
Bonne journée à vous quand même.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire