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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 octobre 2016

Recuites : Les dernières


Un peu de rab ?

Jean-Marc rentre chez lui le vendredi soir, le visage défait, et dit à son épouse :
« – J’ai des problèmes…
– Je sais, » répond sa femme.
« – Je me suis accroché avec le boss (c’était moi, à cette époque-là…).
– Je sais.
– Il m’a viré.
– Je sais.
– Mais comment tu sais tout ça ?
– Il me l’a dit.
– Il te l’a dit, ce fumier ? Qu’il aille se faire baiser !
– C'est fait. Tu reprends ton travail lundi. »
Vous comprenez mieux pourquoi on se l’est farci durant des années, maintenant ?

Un homme marche sur la plage quand tout à coup il aperçoit une lampe.
Il la frotte, un génie en sort et lui propose de faire un vœu.
« J’aimerais avoir un sexe qui traîne par terre. »
Alors le génie lui coupe les deux jambes.

Une jeune femme rencontre une de ses amies d'enfance, qu’elle n'avait pas revue depuis le primaire.
« – Alors, qu'est-ce que tu deviens ?
– Eh bien, après le C.E.P. j'ai eu mon B.E.P.C. et ensuite mon bac. Entrée en I.U.T. j'en suis sortie avec un D.U.T. qui m’a permis d'entrer à la fac où j’ai obtenu un D.E.U.G. Ayant pris goût aux études, j’ai fait un M.B.A. et maintenant je suis P.D.G. d’une P.M.E. Je crois pouvoir dire que j’ai pas mal réussi.
Et toi, qu’est-ce que tu deviens ?
– Moi ? J’ai assez bien réussi aussi, mais juste avec mon C.U.L. »

Jean-Marc et Jean-Paul discutent accoudés au comptoir :
« – Moi, quand j'ai trop bu et que je veux me faire vomir, je me mets un doigt au fond de la gorge et un autre bien profond dans le trou du cul. Ça marche pratiquement à tous les coups.
– Ah ouais ? Et quand ça ne marche pas ?
– J’inverse. »

Deux petites vieilles se croisent dans la rue :
« – Tiens, bonjour !
– Bonjour.
– Tu as passé de bonnes vacances ?
– Ah ! Ne m'en parle pas ! J’ai été quinze jours dans le coma.
– Et tu as eu beau temps ? »

Dans un petit village, une fillette arrive en retard à l'école.
« – Tu as vu l’heure ? » lui dit la maîtresse. « J’espère que tu as une bonne excuse.
– Ben j'ai dû mener la vache au taureau.
– Comment ? Ce n'est pas ton père qui s’en charge, d’habitude ?
– Si, mais la vache préfère le taureau. »

Jean-Marc est au lit, le sexe dressé sous les draps, lorsque son fils entre dans la chambre.
« C'est quoi, ça, papa ? » demande-t-il en désignant la bosse.
« Euh… Va donc voir ta mère. Dis-lui que le chapiteau est dressé et que la représentation va commencer. »
Le gamin sort. Il revient quelques instants plus tard et dit à son père :
« Maman dit que la représentation est annulée : Le petit clown saigne du nez. »

Le fils de Jean-Marc déboule dans la cuisine :
« – Maman, maman ! L’armoire de ma chambre est tombée !
– Oh mon Dieu, va vite prévenir ton père !
– Il le sait déjà, il est dessous. »

Toujours le fils de Jean-Marc qui annonce à son père :
« – Papa, j'ai eu zéro parce que je ne sais pas où se trouve le col du fémur.
– Ce n’est pas bien du tout, ça ! Va donc réviser ta géographie. »

Le même demande à son père :
« – P’pa, tu veux bien jouer au chien avec moi ?
– D'accord, fiston. »
Et Jean-Marc se met à quatre pattes.
« Maintenant, aboie ! »
Jean-Marc aboie, et son fils lui refile un grand coup de pied au cul :
« Mais c'est qu'il me mordrait, ce con-là ! »

Encore le fils de Jean-Marc qui rentre à la maison, les vêtements tachés de boue.
« – T’as pas honte ? » lui dit sa mère. « T’as l'air d'un vrai goret ! J’espère que tu sais ce que c’est au moins ?
– Oui, m’man. C'est le petit d’une truie. »

Deux marseillais se croisent sur la Canebière.
« – Eh con ! Tu connais pas la nouvelle ? Je vais marier ma fille.
– Oh là ! Putaing !
– Non, pas celle-là. L’autre. »

Jean-Marc téléphone à une hotline informatique :
« – Bonjour, j’ai un ordinateur sous Windows 10.
– Oui, d’accord, » dit le technicien.
« – Je vous appelle parce que mon PC fonctionne très mal.
– Je sais, vous venez de me le dire. »

C’est le fils de Jean-Marc qui va chez le pharmacien :
« – Je voudrais des préservatifs, s’il vous plaît.
– Comment ? À ton âge ?
– C’est pas pour moi, c’est pour ma sœur.
– Ah bon… Quelle taille ?
– Toutes les tailles, elle part en vacances en auto-stop. »

Deux chèvres sont en train de brouter dans une décharge publique.
La première tombe sur une vieille bobine de film et commence à l'engloutir.
« Il est bon, ce film ? » demande l'autre.
« Oui, mais je crois que j’ai préféré le livre. »

Jean-Marc prête sa voiture neuve à son épouse.
Une heure plus tard, elle l’appelle au bureau :
« – Mon chou, tu ne vas pas être content. Je crois bien que j’ai noyé le moteur.
– Oh ! Mais c’est pas vrai !… Bon », ajoute-t-il en soupirant, « ce n'est pas trop grave, je m’en occuperai en rentrant. Où est-elle ?
– Dans la Seine. »

Un navire fait naufrage.
Deux irlandais rescapés se retrouvent sur un canot quand soudain, un génie leur apparaît qui leur propose de faire un vœu.
Sans même réfléchir, le premier homme dit :
« Je souhaite que la mer se transforme en bière. »
Et le génie accomplit son vœu.
Alors le second rouspète :
« T’es con ! Maintenant, on va être obligés de pisser dans le canot. »

Une jeune femme arrive en pleurs chez sa mère.
« – Qu’est-ce qui t’arrive, ma chérie ?
– Oh maman, quelle déception… Jean-Marc m’a battue !
– Ton mari ? Mais je le croyais en voyage d’affaires ?
– Moi aussi ! »

Deux homos se rencontrent :
« – Qu'est-ce que t’as fait ces jours-ci ?
– J’ai baisé une femme.
– Non ? Pas possible ! Comment t’as fait ça ?
– Ben je lui ai donné rendez-vous et j’y suis pas allé. »

Un magicien va voir un imprésario, qui lui demande :
« – Quel est votre meilleur tour ?
– Scier une femme en deux.
– C'est difficile ?
– Non, j’ai commencé tout jeune. Je me suis exercé sur mes sœurs.
– Vous êtes d’une famille nombreuse ?
Oui, j’ai huit demi-sœurs. »

C'est un entraîneur de foot belge qui rassemble ses joueurs :
« – Toi » dit-il, « tu vas jouer avant.
– Ah ben non, » proteste le gars, « moi je veux jouer avec tout le monde. »


Dans le cadre des « revenues » :


« Bling-bling » arrive devant les portes du paradis.
« Nom, prénom, profession ? » demande Saint Pierre.
« – Bling, Bling de Beau-sca, ex-président de Gauloisie.
– Trop facile ! Il me faut une preuve. Vous savez, tant de gens se font passer pour Einstein ou Picasso…
– Pour qui ?
– OK, vous pouvez entrer. »
Dans les originales, c’était plutôt, « Boubouche », ou « Ségololo ».
J’attends l’arrivée de « Camé-Rhône »…

Un soir, assez tard, une femme attend son mari qui n’est toujours pas rentré et n’a pas téléphoné.
Très stressée, elle téléphone à sa mère :
« – Maman, il n’est pas rentré ! Je suis sûre qu’il voit une autre femme !
– Pourquoi faut-il toujours que tu imagines le pire ? Peut-être qu’il s’est simplement tué en voiture. »
Une vieille…
En plus court que l’originale.

La femme de Jean-Marc se rend dans magasin de jardinage :
« – Bonjour, je voudrais une hache pour mon mari.
– Oui. Quelle taille ?
– Je ne sais pas.
– Il ne vous a pas dit quelle sorte de hache il voulait ?
– Vous voulez rire ! Il ne sait même pas que je vais le tuer. »
Toujours excellente…

Et puis celle-là, toute récente, mais qui m’est revenue bien vite :
Un type se présente au guichet du Pôle emploi :
« Quel est votre nom ? » demande le préposé.
« – Reggiano, sans P.
– Pardon ?
– Reggiano, sans P !
– Euh … excusez-moi, je ne comprends pas très bien.
– REG-GIA-NO, sans P !
– Mais… il n'y a pas de P dans Reggiano.
– C'est ce que je me tue à vous dire ! »
Ça ne vous dit rien ?
William sans « t »…
Elle date de cet été ! Et sera reprise dans un des chapitres suivants, au Koweït en 1990.
Pour une « revenue », le retour est express.

Bien à vous toutes et tous et bon week-end à venir !

I3

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