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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 28 avril 2016

Nuit Debout.


Le vrai projet politique ?

D'après « Bling-bling », ils n'ont rien dans la tête : Encore l'effet de la trisomie ambiante mâtinée de cécité autistique !
Car quand « Freddie Lorgnon », « économiste » dans le civil et sociologue, directeur de recherche au CNRS et chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE), prend la parole, il dévoile une forme de nihilisme profond qui fait frémir.
C’est un gars qui est aussi membre du collectif « Les économistes atterrés » et serait « Le Guide » de ce mouvement « spontané » des zadistes de la Place de la République (et d’ailleurs).
Il ne s’en cacherait même plus : Un « fonctionnaire » subventionné qui « a une stratégie » !
Faut le faire et le dire haut & fort…

Ancien élève de l'École nationale des Ponts et Chaussées (promotion 1985) et de l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987), devenu MBA HEC, en disent mes « bases de données », il soutient sa thèse de doctorat en 1993 à l'EHESS (la prétendue plus haute densité de neurones au m², qu’ils en disent eux-mêmes, déménagée depuis Quai de France) sur les « Irrégularités des trajectoires de croissances, évolutions et dynamique non-linéaire. Pour une schématisation de l'endométabolisme » (un truc de « pro »), sous la direction de Robert Boyer. Parallèlement à ses études doctorales, il est chargé d'étude à l'Observatoire Gaulois des conjonctures économiques (OFCE) et chargé d'enseignement à l'IEP de Paris (Sciences-Pô-voilées).
Rien n’est trop beau pour ce « bobo-intello ».
Ses travaux comportent notamment un programme de recherche « spinoziste » en sciences sociales et en sociologie économique. Il vise à rapprocher étroitement la science économique de la sociologie.

Il décrit sa position dans le champ des sciences économiques comme « hétérodoxe ».
Il partage les thèses de l'école régulationniste et particulièrement celles qui considèrent le caractère ontologique des luttes au sein des faits sociaux.
Il fait sienne la formule de « Michel Faux-kult » lorsqu'il considère que « la politique est la guerre continuée par d'autres moyens », paraphrase retournée de la formule de Clausewitz : « La guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens. »
Il réinterprète le conatus spinozien (si !) et, ce faisant, se dégage de l'emprise du structuralisme althussérien pour réintroduire la dimension de l'action des individus-sujets au cœur des rapports sociaux et des sociétés m’en a-t-on affirmé.
Et de rappeler que considérés comme des élans de puissance, les individus spinoziens sont déterminés par des affects extérieurs qui orientent leur comportement. « Lorgnon » oppose cette thèse à l’humanisme subjectiviste autodéterminé qui forme le cœur de l’imaginaire néolibéral.
Ah, ça j’aime bien : Tout faux, là !

Dès lors, avec lui, Nuit debout a renouvelé le genre ancien du « culte de la personnalité ». On n’avait pas vu cela depuis les années Mao et révolution culturelle !
Signe qu’il n’est pas un Nuit debout comme les autres, mercredi en huit, il exige de disposer d’une chaise afin de pouvoir livrer sa parole aux fidèles assemblés à la Bourse du travail !
Et ses disciples s’empressaient d’obéir : Mieux que « Kim-tout-fou » de Corée du nord…
Pourtant, la règle commune veut qu’on parle debout à Nuit debout, mais elle souffre donc d’une exception pour le Guide-charismatique.
Privilège assumé d’autorité : « Je suis le représentant du courant l’université assise », autoproclamé !
À Nuit debout, tout le monde est à égalité mais le gourou est plus égal que les autres. En chaise à défaut d’être en chaire.

Sont rassemblés là, face au Guide, les têtes pensantes de Nuit debout, les éléments les plus actifs et militants, les permanents de la place de la République. C'est une minute de vérité. Paraît-il, il faut voir et revoir cette intervention, parce qu’elle livre la vérité sur Nuit debout. Qui le pense. Qui l’organise. Qui le manipule.
Je résume pour vous ce qu’on a bien voulu m’en rapporter.

Dans un premier temps, il désigne l’ennemi : Les médias et la presse.
Non pas les « journalistes de terrains, jeunes et précarisés » qui se reconnaissent en Nuit debout (pas complètement fou) mais « la chefferie éditocratique » qui « confisque la parole autorisée ».
Voilà qui me touche, pestant plus qu’à mon tour depuis 20 ans contre les mensonges de la pensée unique et participant activement depuis presque 10 ans à vous révéler et expliquer la signification des « non-dits » quand je les connais.

Alors, il aurait mis ses troupes en garde : La « chefferie éditocratique » veut pousser Nuit debout à débattre dans un cadre démocratique, afin d’imposer encore et encore « le citoyennisme intransitif, qui débat pour débattre, mais ne tranche rien, ne clive rien, et est conçu pour que rien n’en sorte ».
Vous m’expliquerez ce que ça veut dire, mais lui tranche : Il faut refuser cette démocratie « All inclusive » (Tout inclus, ou tout compris, jusqu'aux apéritifs ?).

À Nuit debout, on ne débat pas, on combat. Pour « Lorgnon », le débat démocratique, c’est l’impasse qu’entendent imposer « la secte malfaisante, la secte de l’oligarchie néolibérale intégrée », celle des « médias organiques de l’ordre social ».
Ouh-là : Un véritable manifeste anarchiste, là ! 

Et de justifier l’intimidation physique infligée à Alain Finkielkraut, l’ennemi suprême : « Nous voilà sommés d’être inclusifs, violence du capital et violence identitaire raciste, violence dont Finkielkraut est peut-être le propagateur le plus notoire ».
Lui, l’académicien et plein d’autres n’en revenaient pas qu’il eut été molesté !
Et de réitérer le refus de la confrontation avec l’ennemi désigné : « Ces médias nous demandent d’accueillir Finkielkraut et bien non ! Pas d’animation citoyenne all inclusive comme le voudraient Laurent Joffrin et Najat Vallaud Belkacem ! »
C’est qui, ces deux-là ?
Et de conclure avec des mots lourds de sens : « Nous ne sommes pas ici pour être amis avec tout le monde, et nous n’apportons pas la paix, nous n’avons aucun projet d’unanimité démocratique ».
Voilà qui est balancé : Les ékoles d’élite produisent décidément des monstres !
On s’en doutait un peu depuis quelques temps avec nos énarques se pavanant actuellement dans les salons de la République, sous leurs ors immérités, mais quand même…

Convenons qu’il est au moins cohérent. Et transparent. Le voici qui précise ensuite comment Nuit debout doit désormais mener le combat, hors du champ démocratique.
D’abord en dépassant le cadre revendicatif traditionnel des luttes sociales, qui n’est pas révolutionnaire : « Revendiquer est une nécessité, parfois même vitale », mais de portée limitée, « ceci n’aura pas de sens tant que nous ne mettrons pas en question les structures du néolibéralisme ».
Un vrai facho en herbe…
En vérité, il veut casser le cadre dans lequel évolue les rapports de forces entre partenaires sociaux : « S’il n’y a plus d’alternative dans le cadre, il y a toujours possibilité de refaire le cadre. C’est de la politique, pas du revendicatif. On chasse les gardiens du cadre ».
Je dirais même qu’il peut casse le cadre.
C’est l’ékole « sup-de-co » de Toulouse qui avait inventé le slogan : « Sortez du cadre » pour se faire mousser aux impétrants de ses MBA … et payer les droits d’inscription hors de prix de l’accès « au savoir-élitiste ».
Beau recyclage pour ce MBA sorti d’HEC-ISA, encore plus cher d’accès !

Et il a de la suite dans les idées : Une fois le but assigné, il passe à la méthode, dite « des grains de sable » : « Il faut mettre des grains de sable partout » lance-t-il, illustrant cette stratégie à l’aide d’exemples concrets !
« C’est débouler dans une réunion d’Anne Hidalgo, c’est débouler dans la conférence d’une association d’étudiants à l’ESCP qui invite Florian Philippot ».
Et de scander : « C’est faire dérailler le cours normal des choses, les harceler, leur ôter toute tranquillité ! »

Et de compléter le discours de la méthode : Grâce à la stratégie des « grains de sable », s’opérera « la jonction »,  autrement dit la coagulation du « militantisme de centre-ville, des classes ouvrières et de la jeunesse ségrégée des quartiers », et « cette force sera irrésistible » !
Ne vous en faites pas, le Rhin lui fera barrage, comme pour le nuage de Tchernobyl dont on vient de fêter le 30ème anniversaire…
Constituée, elle se lancera à l’assaut du « cadre à refaire », notamment « les traités assassins, les traités européens et le TAFTA ».
Il fait dans le prophétique et ne cache pas à ses ouailles que « La nuit debout, la grève générale, la république sociale, c’est loin ».

Le rideau « Nuit debout » s’est enfin déchiré. En réalité, l’évènement initié par François Ruffin et ses camarades dispose d’un cerveau qui montre le chemin, établit la feuille de route et fournit le prêt-à-penser des objectifs et de la méthode.
« Nuit debout » est bel et bien pensé, monté et organisé par des professionnels de la politique.
Là où il y a organisation, il y a direction. Là où il y a direction, il y a guide. Et ce guide, c’est donc lui, dont les interventions savamment mises en scène le hissent au-dessus du bruit médiatique.
À Nuit debout, tout le monde parle, mais on entend que lui.
Rassurons « Totodd », qui s’inquiétait de l’avenir du mouvement « Pas de révolution sans organisation » selon un vieux principe léniniste, l’organisation de Nuit debout, pour qui veut bien la voir, est bien là.
Présente. Active. Et menaçante. Révolutionnaire, même, en tout cas en marche pour le devenir, jusqu’à l’effusion de sang si nécessaire…

Le sous-texte de son intervention, applaudie à tout rompre, est empreint de sentiments qui ont peu à voir avec la gauche de « Tonton-Jo-Jaurès » ou « Blumblum » (j’avais un informaticien assez génial qui s’appelait comme ça : C’est resté !) : Refus du débat démocratique organisé ; haine de l’Europe du libre-échange ; promotion du populisme souverainiste ; négation de la liberté de la presse ; rejet de l’autre à raison de sa différence de pensée ; appel à des perturbations de réunions publiques… 
Tout y est, hors l’appel à l’Action-Directe et violente… au moins pour l’heure !
Est-ce vraiment un programme politique destiné à libérer les opprimés ?
À apaiser le pays ? À libérer les consciences ?
Demain, s'il se trouve des esprits pour passer à l'acte selon ces préceptes, quelle sera l'étendue des dégâts à constater ?

Le Nuit debout est bien loin de la vision idyllique que certains tentent de présenter pour adoucir la pilule du chaland à qui on confisque ses belles place-publiques, déclarant (sans rire), dans le « Figaro-ci Figaro-là » (cet autre torchon de frangins-trois-points) : « Il y a plutôt une forme de joie de vivre Place de la République… qui tranche justement avec la hantise du déclin commune à nos sociétés » !
Cet éclairage fait honneur à la politologie contemporaine, autrement dit à la cécité des trisomiques qui vous gouvernent encore un temps. 

Eux déclarent : « Nous n’apportons pas la paix » et « nous n’avons aucun projet d’unanimité démocratique ».
Est-ce assez clair ? Après nous, qui n’avons pas d’avenir mais juste un présent à assumer jusqu’au bout, seulement le chaos que nous aurons semé !
C’est tellement évident : « Nuit debout », c’est du fun !
Et la « politologie » est devenue un sport de combat…

Bienvenue à bord d’un nouveau-monde qui détruit et déconstruit à tour de bras.
Parce que quelle que part, c’est exactement le jeu des « Maîtres du monde », qui usent décidément de tous les leviers, y compris extrémistes, voire terroristes pour imposer sa domination sur les peuples.
Et à ce jeu-là, « Nuit debout » me semble tenir le rôle de « l’idiot utile », également cher à Lénine…

9 commentaires:

  1. Pour le coup, je suis vraiment déçu, je m'attendais à mieux de votre part...
    Étrange ressemblance : http://www.challenges.fr/politique/20160425.CHA8346/quand-frederic-lordon-devoile-l-inquietant-projet-de-nuit-debout.html

    Avez-vous déjà lu l'un de ces livres ?

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    1. Non, juste des "fiches de lecture", il y a quelques temps déjà bien lointains, qui ne sont que des synthèses auxquelles je n'ai rien compris (je n'ai qu'un seul neurone en fonction : Celui du nerf-honteux !)

      Et puis je vous rappelle que je ne suis pas sur place pour "témoigner" en direct : Je suis coincé à Venise.

      Ceci dit, quand il s'agit de rapporter des "dires & comportements", on ne se plagie pas vraiment les uns les autres : Je me suis inspiré effectivement
      de plusieurs articles sur le sujet pour tenter d'en faire une synthèse : Les "torchons" (Monde, Figaro-ci-figaro-là), la Tribune, Valeurs actuelles, La Stampa, le courrier du soir (en langue ritale) et quelques blogs qui en parlaient déjà, mais je ne connaissais pas le papier de Challenge's : Comme quoi, il y a une certaine convergence qui reste à retenir et il faut que je m'abonne !

      Merci de l'avoir signalé !

      Et bien à vous !

      I-Cube

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    2. Et puis... Notez que ce texte est programmé depuis au moins mardi dernier.
      Et aujourd'hui, je constate qu'il est repris, sous plusieurs formes par d'autres médias et blogueurs : C'est manifestement le thème qui "mousse".

      Je préviens tout de suite, les prochains de la semaine prochaine, auront pour thème le chômage, "Bling-bling", juste évoqué ici, et les "Luxleaks".
      Par ailleurs, j'ai un article en réserve mais en espagnol (il va falloir que je trouve un traducteur...) sur les "Panama-Pampers".
      A reprendre une prochaine fois (ou sur le prochain roman, je ne sais pas encore), parce qu'entre-temps, il faut quand même que je bosse.

      Bien à vous !

      I-Cube

      I-Cube

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  2. Enfin ! On peut se dire que cette kermesse hyper médiatisée de glandeurs affalés va se terminer avant les congés payés.
    La révolution, je me marre, c’est décidément la vielle antienne de l’individu gauchiste, sa petite allumette à lui quoi.
    Cet idiot utile l’est en effet pour les médias qui dans le creux de l’actualité peuvent le recycler.

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Peut-être, chère Comtesse au pied dénudé, mais pas certain !
      Et je loue votre optimisme que j'ai du mal à partager...

      D'abord parce Jordon crache véritablement sur la presse en général : Elle devrait le boycotter, en toute bonne logique.
      Mais comme sa "tactique du grain de sable" va faire du bruit s'ils s'en occupent adroitement, le mouvement peut ne pas s'éteindre avec le retour des beaux-jours, les poussées d'hormone et l'acné qui va avec.

      On a vu "les indignés" et ils se sont transformés à un moment en "Podemos" (nous pouvons) troisième force politique en Espagne, 7 villes emportées et jusqu'à Madrid, Barcelone et j'en passe parmi les 8 plus grandes, et réussir à bloquer la vie gouvernementale de telle façon qu'on parle désormais d'élections anticipées...

      A minima, il me semble qu'il faille d'abord être vigilant, aux aguets.
      Parce qu'on ne peut pas dire qu'on aie un Marcelin ou un De Gaulle à la tête du gouvernement comme en 1968 : Je ne leur fais pas confiance du tout pour déminer la situation si elle dégénère ou contrôler d'éventuels débordements...
      Ils n'ont pas l'étoffe, ni le background, et sont tous coincés dans leurs dogmes autistiques, leur cécité trisomique aux souffrance du pays, qui rappelez-vous "va mieux" de leur point de vue !
      C'est dire le divorce d'avec les réalités.

      Des idiots utiles qui jouent au jeu d'autres qu'on ne voit pas encore, mais qu'on devine bien.

      Merci d'être passée et bien à vous !

      I-Cube

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  3. Je ne pense pas être optimiste, je possède uniquement une dose minimum de bon sens.
    C’est juste que pour être un grain de sable qui enraye la machine, il faut avoir plusieurs qualités et vertus, comme le courage dans le sens premier, c’est à dire avoir du cœur, n’avoir rien à perdre (or ce sont des nantis qui habitent à Paris Intra muros et qui visiblement ne se lèvent pas le matin pour aller bosser), il faut avoir de l’intelligence et leur glose n’est qu’un ramassis de conneries sans queue ni tête qui ne fédèrent qu’eux mêmes, il faut avoir une vision et ils sont aveugles et dogmatiques. Il faut avoir de la persévérance or ce ne sont que des opportunistes de petite envergure, fainéants de surcroît.
    Ce qui les fait frétiller comme un poisson au bout de la ligne du pêcheur, c’est leur ¼ d’heure de gloire sur les réseaux sociaux et à la tv. Les médias qu’ils feignent de haïr passeront dans leur course à l’audimat à autre chose de plus jouissif. Et que feront-ils alors ces petits noctambules vacillants ? Ils rentreront à la niche tout simplement….

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    1. Peut-être et nous n'avez globalement pas tort, Anonyme (que je salue au passage).
      Mais comme dans tout regroupement, d'intellos ou de konnards, il y a toujours la même proportion de tarés et de génie.

      Là, si Jordon et sa garde rapprochée sont des "z'élites" (HEC ce n'est pas que de la crotte), l'essentiel des troupes, se sont des zadistes, les mêmes que Notre-Dame-des-landes.
      Et eux ont déjà de la bouteille, ont réussi à bloquer depuis 4 ans un projet (débile, mais bon) et obtenu d'avoir un référendum local : Sacrée démarche !
      Ils ont aussi la campagne de l'autre zad sur le barrage de je ne sais plus où à leur actif.
      Autrement dit, question "grain de sable", ils savent de quoi ils parlent et mesurent très bien leur puissance de nuisance.

      Moi aussi, je sais bien que pour l'heure ce sont des "va-nu-pied". Mais je me rappelle qu'on disait ça aussi de "Konne-benne-dite" en avril 1968.
      Ils ne peuvent pas prendre le pouvoir (comme Podemos en Espagne comme je le rappelais dans ma réponse précédente), d'ailleurs, ils n'en veulent pas.
      Ils veulent juste foutre la merde sur les pavés.
      Histoire de bien secouer le paysage politique...

      Des nihilistes, comme je le prétends dans le post.

      Une affaire à suivre, finalement.
      En espérant qu'elle s'effondrera toute seule.

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. J'ai oublié de signer, mille pardons.
      ComtesseÔPiedNu

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    3. Vous êtes infiniment pardonné, puisque tout le monde vous adore, ici !

      Bonne journée à vous !

      I-Cube

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