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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 septembre 2023

Retour d’estives de Jean-Marc

Le niveau ne s’est pas amélioré…
 
Le jour de sa reprise, il rentre chez lui très fatigué et, de peine et de misère, il se traîne à sa chaise préférée et s’y laisse tomber.
Germaine, sa gentille épouse, lui demande :
« Est-ce que tu veux un breuvage mon chéri ? »
Et tout en essayant de le réconforter, lui demande :
« ― Une dure journée aujourd’hui ?
― Oui, ne m’en parle pas, l’ordinateur a planté, et nous avons dû penser nous-mêmes, toute la journée… »
 
« Quel est le comble pour un dentiste ?
Faire une prothèse pour une bouche de métro !
Et le mâle dedans »
 
Un professeur demande à ses élèves :
« Quelle est la partie du corps qui va au ciel la première ? »
La petite Nathalie répond :
« ― C’est le cœur… parce que le petit Jésus aime s’entourer d’amour.
― C’est bien ma petite Nathalie. Et toi Jean-Sébastien ?
― Je crois que c’est les pieds, Monsieur.
― Les pieds ? Eh bien pourquoi donc ?
― Parce qu’hier, j’ai vu ma Maman au lit. Elle avait les pieds dans les airs et elle criait : « Mon Dieu, je viens ! je viens ! » »
 
C’est l’histoire d’un vieux monsieur qui essaie de mâcher son steak, mais ça n’a pas l’air facile.
À la fin, excédé il retire son dentier, le pose à côté du steak et s’exclame : 
« Arrangez-vous tous les deux ! »
 
Dans un train Jean-Marc mâche du chewing-gum.
Une vieille dame assise en face lui dit :
« Pas la peine de me faire la conversation, je suis sourde. »
 
Jean-Marc entretenait un petit lopin dans un jardin communautaire.
Sa voisine était surprise par la belle couleur rouge de ses tomates.
Alors un jour elle insista auprès de notre homme pour connaître son secret.
Celui-ci finit par lui avouer que le matin, très tôt, il se promenait tout nu devant ses tomates et que c’était ainsi qu’elles devenaient si rouge.
La fille très surprise par sa technique se dit qu’elle allait l’essayer.
Quelques semaines plus tard Jean-Marc rencontre sa voisine :
« ― Alors comment vont tes tomates depuis que tu pratiques ma technique à poil ?
― À vrai dire mon cher, l’effet sur mes tomates n’est pas évident du tout mais si tu voyais la longueur de mes concombres… »
 
C’est un pasteur qui se balade dans la campagne avec son petit garçon.
Il tente de lui inculquer la morale chrétienne et le respect de la nature.
Soudain, un pigeon lâche une fiente sur le chapeau du papa « SPLATSCH ».
« ― Oh papa, ton beau chapeau est tout sale, maman ne sera pas contente !
― Ce n’est pas grave mon fils. Remercions plutôt le Seigneur de ne pas avoir donné d’ailes aux vaches. »
 
Parlant du retour de l’ancien dans la mode avec une petite copine de son âge, une fillette de 11 ans fait remarquer :
« Tu sais, il paraît que maman a aussi porté des chaussures à talon compensé, à l’époque ! »
Sa petite sœur, 4 ans, intervient pour demander :
« C’est où, les Pokes ? »
 
Après l’avoir créé au paradis terrestre, Dieu dit à Adam :
« ― Je vais concevoir pour toi une femme, cette compagne sera pour toi, un complément dont tu ne pourras te passer.
Elle t’accompagnera partout, fera ce que tu voudras et vous ferez l’amour, aussi souvent que tu en as envie.
― Combien cela me coûtera ?
― Les yeux de la tête !
― Ouais, qu’est-ce que je pourrais avoir pour une côte ? »
 
Une histoire de Dumè.
C’est un vieil homme qui est sur son lit de mort, au village.
Son fils est à son chevet.
Soudain, une délicieuse odeur de tarte aux pommes lui vient aux narines.
« ― Veux-tu aller m’en chercher un morceau, Ô mon fils ?
― Bien sûr, Babu ! »
Il se rend à la cuisine, puis revient vers son père les mains vides en disant :
« Non. Pas de tarte. Maman a dit que la tarte c’est pour la réception après l’enterrement. »
 
C’est l’heure de partir pour l’école. Jean-Marc traîne interminablement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » lui demande sa mère.
« Je cherche mon sac d’école », répond Jean-Marc.
« Il est là ! » lui dit sa mère en lui montrant où est le sac d’école.
« Oh ! S’il te plaît, maman, laisse-moi le chercher encore un peu ! »
 
Deux jeunes sont à l’hôpital.
Le premier dit :
« ― Tu es ici pourquoi ?
― Pour me faire enlever les amygdales !
― Oh ce n’est rien ça. Ils me les ont enlevés l’année dernière ! Quand tu te réveilles, ils te donnent de la crème glacée autant que tu en veux !
― Et toi, pourquoi tu es ici ?
― Pour me faire circoncire !
― Oh ce n’est rien ça : Ils m’ont circoncis quand j’étais bébé !
― Et alors ?
― Rien : J’ai pas pu marcher avant un an… »
 
Ne dites pas : « Et tu sais, tu es le premier. » Car il feindrait assurément de le croire, mais ce serait courtoisie pure.
Mais dites : « Avant de te connaître, je ne savais pas ce que c’était. »
Car cela, les hommes le croient toujours.
 
Marie-Chantal est une jolie dame fort distinguée, qui dans un restaurant très chic, et attend son ami.
Voulant que tout soit parfait, surtout son apparence, elle se penche vers le banc, pour prendre un miroir dans son sac resté à terre, et en se penchant, elle laisse échapper une caisse bien sonore au moment même où le garçon de table s’approche.
La dame maintenant assise bien droite et le visage empourpré, sachant que tout le monde dans le restaurant avait entendu ce « gros pétard », se tourne vers le garçon et lance, d’une voix hautaine…
« ― Garçon, voulez-vous arrêtez-ça !
― Bien sûr Madame. Dans quelle direction se dirige-t-il ? »
 
Le comble du macho : C’est un homme qui revient chez lui au pas de course après une vasectomie !
 
Quel est le comble de l’égocentrisme ?
C’est de crier son propre nom lors d’un orgasme.
 
Marie-Chantal est au lit avec son amant quand elle entend son mari arriver !
« Allons, » lui dit-elle, « vite, mets-toi debout là dans le coin. »
Elle enduit prestement le corps de son amant d’huile et le saupoudre de talc et elle lui dit :
« Ne bouge pas jusqu’à ce que je te le dise. Tu es une statue ! J’ai vu la même chez les Durand. »
Sur ce, le mari entre et demande à sa femme :
« ― Qu’est-ce que c’est ça ?
― Ça, c’est une statue. Les Durand en ont mis une dans leur chambre, et ça m’a tellement plu que j’ai acheté la même. »
Et il ne fut plus question de la statue.
À deux heures du matin elle dormait et son mari regardait encore la télé.
Soudain, il se lève, va à la cuisine, prépare un sandwich, prend une boîte de bière et retourne dans la chambre.
Là, il se dirige vers la statue et lui dit :
« Tiens, mange et bois quelque chose ! Moi, je suis resté bloqué deux jours comme un con, dans la chambre des Durand, même pas un verre d’eau ! »
 
Une revenue (de très loin) :
Le téléphone sonne.
La secrétaire répond puis se tourne vers son patron :
« ― Monsieur, je pense que cet appel est peut-être pour vous.
― Comment ça « peut-être » ? Cet appel est-il pour moi, oui ou non ?
― Je pense bien. Le type demande à parler à l’imbécile qui dirige notre entreprise ! »
 
Jean-Marc entre dans un bar à 16 heures et voit une belle grande blonde assise au comptoir.
En commandant une bière, il s’approche de la fille…
« ― Qu’est-ce qu’une belle fille comme toi fait dans un bar par un beau temps pareil ?
― Quinze cent à deux mille euros par semaine. Et toi ? »
 
Un gars achète un téléphone cellulaire à sa petite amie.
Il lui explique comment ça fonctionne.
« Tu composes le numéro, tu appuis sur la touche verte. Quand tu as fini, tu appuis sur la touche rouge »… bla…bla…bla…
Ça prend trois heures.
Le lendemain, pour voir si sa petite amie se souvenait de ce qu’il lui avait dit, il l’appelle.
Elle répond du premier coup de sonnerie.
« ― Félicitations, je vois que tu te souviens du fonctionnement.
― Je ne suis pas si conne que ça tout de même », lui répond-t-elle.
« Mais comment savais-tu que j’étais à faire des courses avenue Montaigne ? »
 
Une autre revenue, mais plus récente :
C’est un homme marche tout seul dans le désert, son chameau s’est enfuit avec l’eau et la nourriture.
Au bout d’un moment il voit un marchand. Il s’approche de lui et dit :
« ― De l’eau, s’il vous plait de l’eau !
― Désolé, moi je n’ai pas d’eau, je ne vends que des cravates ! » lui répond le marchand.
Alors l’homme reprend sa route, il est de plus en plus fatigué et le soleil brille encore plus haut dans le ciel.
Quelques heures plus tard l’homme voit un deuxième marchand.
Mort de soif il s’avance vers lui a genoux. Et il lui dit :
« ― De l’eau… s’il… vous… plait !
― Ah non, désolé, moi je ne vends que des cravates ! »
Alors notre homme reprend sa route.
Une demi-heure plus tard il tombe sur un troisième marchand.
Il s’avance avec difficulté (il rampe) et dit à bout de souffle :
« ― De l’eau… je…vous… en supplie…de l’eau !
― Ah désolé mon bon monsieur, je ne vends que des cravates moi. Mais un peu plus loin, dans cette direction il y a un bistro.
― Merci… Merci beaucoup ! »
Alors l’homme va en direction du bistro, cinq minutes plus tard il le voit enfin le bistro.
Il commence à courir et arrive enfin à l’entrée du bar, il s’écroule pratiquement sur le comptoir et demande :
« De l’eau s’il vous plait de l’eau ! »
Et le serveur lui répond :
« Ah désolé monsieur, mais ici on ne sert que ceux qui porte une cravate ! »
 
Un vieillard se meurt.
À côté de lui, son épouse le veille.
Elle lui parle…
« ― Chéri, voudrais-tu me dire ce qu’il y a dans le coffre au pied du lit, tu sais celui dont tu m’as toujours interdit l’accès ?
― Bien sûr. Tiens, voici la clé. »
Elle ouvre le coffre et découvre 2 bouteilles de bière et un billet de 50 €.
« ― Ben c’est quoi ton histoire. Je ne comprends pas…
― Eh bien ma chéri, toutes les fois où je t’ai trompée, j’ai placé une bouteille dans le coffre.
― Deux fois en 40 ans de mariage je te pardonne, mais le billet de 50 € quelle est sa signification ?
― Ça c’est l’argent que j’ai obtenu en vendant les bouteilles vides, pour ne pas encombrer le coffre. »
Dans l’originale, c’était la femme qui collectionnait les bouteilles…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : Vous aurez noté qu’avec ce post du vendredi, on reprend le cours normal de nos séries hebdomadaires après notre longue séparation estivale…
J’espère que vous avez passé d’excellentes vacances et que Jean-Marc ne vous a pas trop manqué…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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