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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 3 septembre 2023

Opération Juliette-Siéra (17/33)

Dix-septième chapitre : L’opération « bravo »
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Et tout ça éloigne encore plus Paul de sa recherche. Il tente alors, toujours son ordinateur sous le bras, de reconstituer la chronologie de l’affaire des « Frégates », puisque c’est par-là que ses lectures des dossiers le guide, un peu seulement, il est vrai. 
Affaire étonnante à plus d’un titre… 
Et l’affaire des frégates de Taïwan commence par celle de « Thalès », ex-Thomson CSF dont le patron d’alors est Alain Gomez. En janvier 1990, sous la pression de la Chine, le gouvernement français met d’abord son veto à un projet de vente par « Thomson CSF » de 6 frégates militaires de la classe « La Fayette » à Taiwan, pour 14 milliards de francs. 355 millions d’euros le bout, 2,1 milliards pour l’ensemble ! 
Qui finiront à 2,5 milliards d’euros pour le tout et d’occasion, mais armés en 2004 au moment du rachat des frégates… L’inflation des coûts des programmes de maintenance… 
Un ancien conseiller à la présidence d’un « pétrolier national » aujourd’hui absorbé par son concurrent direct, Alfred Sir-Veine, propose la médiation de son groupe pétrolier, par le biais d’un homme d’affaires chinois, Edmond Kwan pour lever le veto. Et effectivement en août 1991, Paris lève son veto.
Le contrat de vente prévoit la livraison de bâtiments non armés qui seront équipés sur place par « Thomson CSF », une fois livrés.
Le 15 août 1991 le contrat est signé par Taïwan pour six frégates à Thomson CSF mais au prix de 16 milliards de francs soit 2,439 milliards d’euros : un surcoût de 304,892 millions d’euros en 21 mois de négociation pour lever le veto, nonobstant la fureur de Pékin qui d’un coup se calme malgré la tempête qui aurait dû être déclenchée.
Des frégates réputées furtives, c’est plutôt une arme offensive dont la République de Formose n’a normalement pas besoin pour défendre son territoire… 
Entre-temps s’engage la « première guerre du Golfe », puis quelques mois après, en 1992, l’affaire de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït, « l’affaire Ferrayé » et l’accord « Pétrole contre nourriture » dont une grande banque française encore nationale, pour ressortir de la politique du « ni-ni », l’année suivante à l’occasion de la deuxième cohabitation à la tête de l’exécutif national, porte l’essentiel des mouvements de fonds sous couvert de l’ONU…
Entre-temps également, 60 Mirage 2000 sont livrés à la Chine nationaliste, en 1992. 
 
En décembre 1993, un haut responsable des forces navales qui s’apprêtait à révéler le scandale financier, le capitaine de vaisseau Yin Chin-Feng, est retrouvé mort dans la baie de Taipeh. C’est à ce moment-là que le scandale éclate à Taïwan.
En août 1996, Thomson SA est condamnée par la commission internationale d’arbitrage de Genève à payer 160 millions de francs (24,392 millions d’euros) à l’intermédiaire Edmond Kwan. 
Dans la foulée, le 26 février 1997, Thomson SA dépose plainte pour « tentative d’escroquerie » et se constitue partie civile. Le 7 mars 1997 est ouverte une information judiciaire contre X pour « tentative d’escroquerie » concernant l’intervention d’un « réseau » pétrolier dirigée par « Sir-Veine » qui justement réclame 160 millions de francs pour son intervention supposée dans le contrat des frégates, après une plainte de Thomson CSF décidée par Alain Gomez.
L’affaire est alors confiée à la juge Eva Joly, déjà saisie du dossier du pétrolier national, et le 5 mai 1997 la juge Vichnievsky est codésignée pour enquêter avec elle.
Le 7 novembre 1997 Leviers-Jonc-Court est mise en examen et placée en détention provisoire. Il lui est reproché d’avoir indûment perçu du groupe pétrolier de 1990 à 1993 environ 66 MF, constitués du paiement d’une commission occulte de 59 MF, de salaires de complaisance et de l’utilisation abusive d’une carte bancaire du groupe pétrolier. 
C’est ce qu’on appellera ensuite « l’affaire Dumât », qui poussera l’ancien ministre des affaires étrangère de l’union de la gauche, alors à la tête du Conseil constitutionnel, à la démission. 
Car dès 20 novembre 1997, l’ancien PDG du groupe au Gabon, André Tara-l’eau est mis en examen pour « abus de biens sociaux », notamment pour avoir signé le contrat d’embauche de la Miss « Jonc-court ». Et le surlendemain, le 22 novembre 1997, il révèle qu’un appartement acheté rue de Lille à Paris par « Madame » en 1992, a été financé par le groupe pétrolier : toujours un avatar de l’affaire concernant l’ex ministre des affaires étrangères, qui aimait les femmes brunes et maigres, un peu plus jeunes que lui, en tout cas celle-là pour avoir été sa maîtresse à l’époque.
Le 8 janvier 1998 : « Miss Christine » est à son tour mise en examen pour « complicité de tentative d’escroquerie ». Pas moins de 19 jours plus tard, le 27 janvier 1998, les juges perquisitionnent aux domiciles et aux bureaux de « Du-Mât », où ils saisissent des « documents bancaires ». Le 5 février de la même année « Miss Christine » est de nouveau mise en examen pour le versement sur un compte suisse de 42 MF (6,4 millions d’euros) de commissions occultes. 
En avril 1998, elle est remise en liberté et placée sous contrôle judiciaire. 
Entre 1998 et 2000, cinq personnes sont ainsi et tour à tour mises en examen, parmi lesquelles G. Miara, « Miss Christine », le PDG de la compagnie pétrolière, et Sir-Veine. Toutes sont intervenues dans le réseau pétrolier, dans son volet « collatéral » de l’affaire des frégates.
Il faut attendre le printemps 2001 pour que la justice Suisse découvre que d’importantes commissions ont été versées à un homme d’affaires du nom de Wang à l’occasion de la vente des frégates. Selon le magistrat de Genève, Paul Perraudin, les sommes ont été « blanchies sous couvert de membres de sa famille et de comptes ouverts notamment en Suisse ». 
Curieuse idée en effet… 
Bien trop repérable et immanquables suspicions d’enrichissement sans cause personnel à venir ! 
 
Le 22 juin 2001, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour « abus de biens sociaux et recel » et le versement de commissions occultes et rétro-commissions illégales.
C’est en octobre 2001 que le futur « plus jeune premier ministre de la France » qui ira s’empêtrer dans une affaire de sang contaminé au virus du Sida, à l’époque ministre des finances du pays qui refuse de lever le « secret défense » sur cette affaire, « coinçant » définitivement les juges dans leurs investigations sur cette affaire.
Pour quelle raison, n’est-ce pas ? 
 
Entre-temps, le juge Van Ruymbeke tente de se rendre au siège de Thalès le 13 février 2002 pour saisir les documents relatifs aux frégates.
En vain. 
Après les élections, et la seconde cohabitation, c’est au tour de Francis Mer, le nouveau ministre des finances de refuser à nouveau, le 9 juin 2002, la levée du « secret défense ».
19 jours plus tard, 28 juin 2002, les deux dossiers relatifs aux frégates, ainsi que ceux visant plusieurs morts inexpliquées, sont joints dans une même procédure. 
En octobre 2003, Taïwan se constitue partie civile au motif que la société Thomson aurait violé un point du contrat interdisant tout paiement d’intermédiaires notamment en l’article 18 dudit contrat.
Le juge Suisse Paul Perraudin accepte enfin de communiquer les résultats de son enquête sur les comptes d’Andrew Wang, l’intermédiaire chinois, aux juges français le 8 décembre 2003, ce qui déclenche immédiatement un recours de ses avocats !
Un mois plus tard, le 15 janvier 2004, un rapport de synthèse parvient au ministère de la justice, celui qu’a eu Paul entre les mains le soir où on lui a tiré dessus. La France risque de devoir payer près de 600 millions de dollars à l’État de Taïwan (environ 590 millions d’euros) en vertu de l’article 18 du contrat qui interdit le versement de commissions occulte et prévoit des indemnités en cas de sa violation.
Par ailleurs, en mai 2004, le Tribunal fédéral Suisse se prononce en faveur de l’entraide avec la France.
Le Tribunal fédéral écrit ainsi à propos de pièces découvertes dans plusieurs institutions bancaires : « Thomson a fait verser (sur des comptes de Wang) un montant total de l’ordre de 920 millions de dollars, dont environ 520 millions proviendraient de commissions liées au contrat des frégates. Ces éléments constituent des indices suffisants de l’accusation selon laquelle M. Wang aurait joué un rôle de récipiendaire, de gestionnaire et de redistributeur des pots-de-vin versés par Thomson pour obtenir que le contrat des frégates soit conclu (...). Il apparaît que les comptes en question ont servi à des transactions que l’on peut objectivement tenir pour suspectes. ». 
Toutefois, la procédure est aussitôt bloquée par ses avocats, le dénommé Wang s’étant réfugié en Angleterre, qui saisissent le ministre de la Justice Helvète. 
Au mois de septembre 2004, la réponse, à une commission rogatoire du juge Van Ruymbeke, afin de vérifier si les numéros de comptes susceptibles d’intéresser son enquête sur les frégates de Taïwan, est positive quant à l’existence effective chez « Clearstream » des comptes visés par la commission rogatoire du juge.
Néanmoins, le 24 juillet 2008, le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, signe un réquisitoire aux fins de non-lieu général, le même qui fait appel de la décision de relaxe d’un ancien-premier ministre dans le volet « Clearstream 2 », adressé aux juges du pôle financier.
Drôle d’affaires que ce même procureur qui plaidera dans « l’affaire Clearstream 2 » contre les falsificateurs du listing qui porte ombrage à des personnalités politiques de haut rang, sous la « houlette » du dernier premier ministre gaulliste.
  
Le contrat portait sur 2,5 milliards en 1988, et il a fallu en fait, c’est de notoriété publique, trois réseaux d’intermédiaires pour faire aboutir son dossier. 
Le réseau A cible Taïwan et est animé par Andrew Wang ; le réseau B cible la Chine populaire ; le réseau C, animé par Alfred Sir-veine et Edmond Kwan, cible Taïwan et la France.
Ces trois réseaux apparaissent dans une série de notes internes de Thomson-CSF saisies par les juges français en 2000. Ces intermédiaires ont distribué des sommes que Roland Dumât avait publiquement estimées en 1998 à « 2,5 milliards de francs environ », avant de réévaluer ce chiffre à « 5 milliards de francs », le double, dans un entretien accordé au Nouvel Observateur le 9 mars 2000. 
Soumis à une « autorisation de transfert » signée le 17 septembre 1991 de la part de la Direction Générale des Douanes du Ministère du Budget, alors dirigé par Michel « Char-Asse[1] », les « rémunérations » consenties se montèrent à près de 3 milliards de francs pour le réseau A et à quelque 80 millions de francs pour le réseau B, selon les informations confiées en 1998 à la brigade financière par l’ancien directeur de Thomson pour l’Asie, Alain Fribourg.
À en croire Alain Fribourg, la disproportion entre les deux commissions s’expliquait par le fait que les « négociations » menées à Taïwan par Andrew Wang avaient « permis d’obtenir » l’augmentation du volume du marché conclu avec Taipeh, passant de 12 milliards initialement prévus à 16 milliards de francs lors de la signature finale.
Le réseau « A », appelé « réseau traditionnel », doit traiter l’administration et la présidence taïwanaise. 
Dans une note de 1991, l’ancien directeur général de Thomson-CSF, Jean-François Briand, précise que ce réseau a « fonctionné efficacement, étant bien entendu motivé par la structure politique de Taïwan et son désir ardent de signer cette affaire ». Il repose sur le trésor de guerre d’Andrew Wang, qui s’élève à 1 milliard de francs suisses. Les comptes suisses d’Andrew Wang ont probablement été bloqués avant que les rétro-commissions n’aient été distribuées en Europe. 
Les juges français exigent alors les contrats de commissions, qui faisaient l’objet d’autorisations au plus haut niveau chez Thomson et au ministère des Finances.
Le « secret défense » leur est opposé par deux ministres successifs de l’Économie. En avril 2001, 250 millions de francs suisses (1 milliard de francs) sont bloqués lors d’un transfert bancaire effectué par le fils d’un autre intermédiaire.
Quant à l’enquête suisse, confiée au juge Paul Perraudin, elle continue, mais l’argent des Wang n’a pas été redistribué. Contractuellement interdites, les commissions ont fait gonfler le prix. Taïwan engage alors une procédure pour se faire rembourser.
Avant Jean-Louis Gergorin, un ancien banquier français avait expliqué au juge Renaud Van Ruymbeke que l’argent des commissions avait pu passer par des comptes « Clearstream » qui auraient servi d’écran. Les Suisses ont vérifié sans succès cette piste « Clearstream ».
Le réseau B, c’est celui qui a pour animatrice une femme d’affaires chinoise de Hongkong, Lily Liu, uniquement désignée par son prénom dans les notes internes, et qui aurait également des compétences artistiques de chant et de danse.
« À cheval sur Taïwan et Pékin », ce deuxième réseau « ne pouvait être mis en œuvre que de manière ponctuelle et discrète », note l’ancien directeur général de Thomson-CSF, Jean-François Briand. Une note de synthèse établie à l’intention du PDG de l’époque, Alain Gomez, précise qu’entre mars et octobre 1990 « une série d’actions » a été lancée par Lily Liu « pour préparer les rencontres d’octobre 1990 avec les dirigeants chinois, au niveau essentiellement du ministère de la défense et des commissions politiques correspondantes du comité central du Parti communiste chinois ».
La note ajoutait que, « au cours du voyage d’octobre 1990 à Pékin, une réponse positive avait été obtenue des responsables chinois rencontrés dans le contexte difficile d’après Tiananmen ». Soulignant la complémentarité des différentes filières, Jean-François Briand précisait que le réseau « B » avait « permis de valider l’action du réseau A au niveau le plus élevé de Taïwan ». Dans un courrier daté du 19 décembre 1991, Alain Gomez affirme lui-même que le réseau de Lily Liu avait « prouvé son efficacité ».
Quant au réseau « C », il repose sur Kwan et Sir-Veine, dirigeant du groupe pétrolier disparu aujourd’hui. « Mis en place (…) par mesure d’assurance » et « dans des conditions non rigoureuses », écrira Jean-François Briand, l’ancien directeur général de Thomson-CSF, ce réseau suscitait plus de doutes que de certitudes chez les dirigeants de la compagnie pétrolière.
Aux policiers, ce dernier a expliqué qu’au moment où le projet de vente des frégates était bloqué par l’Élysée et le Quai d'Orsay, il était apparu utile d’« utiliser les relations que le groupe avait en Chine », signalant que de telles synergies existaient déjà  « entre Thomson CSF et le pétrolier, en Afrique ».
Mais s’il rencontra bien « Sir-Veine », Jean-François Briand semble avoir été tenu dans l’ignorance du rôle joué par « Miss Jonc-court », a fortiori de sa proximité avec le ministre des Affaires étrangères « Roland Dumât ». Et lors de son voyage en Chine, Jean-François Briand n’aurait entendu parler d’aucune intervention de ce prétendu, qu’était censé incarner sur place l’homme d’affaires Edmond Kwan.
Après la conclusion du marché taïwanais, en août 1991, les « doutes » du dirigeant de Thomson se changèrent en inquiétudes. Peu avant de quitter le groupe, en raisons de désaccords persistants avec son PDG, Jean-François Briand bloque le paiement du réseau « C », derrière lequel il entrevoyait « le financement d’un parti politique », ce que l’un de ses collaborateurs, Alain Fribourg, interpréta comme le soupçon d’un « financement du PS » . » 
C’est depuis le 4 juillet 1991 que « Sir-Veine », opportunément décédé d’un arrêt cardiaque le 12 février 2005, lui aussi, le énième « mort naturel », et « Jonc-court » auraient mis en place un dispositif bancaire destiné à accueillir la commission espérée. La compagne du ministre devait entreposer sa part sur un compte à Lugano. L’autre part devait être transférée vers le Luxembourg, sous couvert d’une société de droit britannique, « Travlane Haulage Limited ». Nul n’a su où la piste conduisait ensuite.
Or, « TH Limited », Paul se souvient en avoir vu quelque part sa trace dans les listings de la conseillère de la Cour des comptes régionales. 
Vérification faite, il ne s’agit que d’un compte de transfert vers un trust londonien, « SJ trust ».
  
« SJ », « SJ ». Il a déjà entendu ça quelque part…
« SJ », Sierra Juliet en code international aéronautique ! 
Pourquoi donc le civil de Kandahar avait-il « imposé » ce nom d’opération au sauvetage des deux équipages américains, il y a moins d’un mois, dans les montagnes afghanes ?
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] Un « membre d’ouverture » du Conseil constitutionnel, nommé en mars 2010 par le Président de la République alors en exercice à ce moment-là…




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