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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 20 septembre 2023

Opération Juliette-Siéra (34/33)

Annexes 
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Cette « affaire » est assez complexe et l’auteur s’est d’ailleurs « planté » à plusieurs reprises[1] pour devoir « remettre le couvert » et rester « cohérent ».
Aussi un petit résumé des mouvements de fonds a pu être reconstitué par la suite. Il vaut ce qu’il vaut et est donné à titre d’information à vérifier.
 
CHRONOLOGIE :
Novembre 1989 : chute du mur de Berlin.
Juillet 1990 : lancement des opérations de réunification des deux Allemagne. Le coût total est estimé à 2.000 milliards d’euros, dont 560 milliards de subventions directes aux länder de RDA (le reste étant dû à des écarts d’imposition et de compensation de niveau de vie des « Ossis[2] »).
Août 1990 : l’Irak envahit le Koweït sur un malentendu[3] malgré les missions « bons offices » de plusieurs diplomates de la région.
Février 1991 : voyage éclair du président français « Thierimant » à Ryad et Doha.
Annonce dans la presse du don d’un milliard de dollar du Koweït à la France pour sa participation aux frais des combats.
La « guerre des 100 heures » se termine par un cessez-le-feu général. L’armée irakienne est totalement défaite par les troupes de la coalition.
Avril 1991 : création de la BIRD à Londres. Son premier président, « ex-Sherpa » du Président « Thiermirant », est vertement critiqué pour le coût des travaux somptueux de son installation.
1992 : les taux d’emprunt allemands repassent brutalement au-delà 10 % pour enrayer une inflation qui culmine à 5 % à ce moment-là. La dette publique allemande dérape à 60 % du PIB, soit 24 points de plus que l’année précédente.
En France, les taux d’intérêt des OAT à 10 ans émis dépassent également les 10 % pour revenir à un peu plus de 5 % en 2000.
Premier semestre 1992 : Époque probable de la restitution de la seconde « escroquerie » du brevet « Ferrayé ».
 
FONDS ENTRANTS :
On retrouve assez facilement la trace du milliard de dollars « donné » par le Koweït en février 1991, probablement versés en compte courant numéroté (et anonyme) dans la banque de Lucerne dont il a été question puisqu’on ne le voit pas dans les comptes du Trésor public.
Contre-valeur : 1.259.508.000 CHF en février 1991.
 
De même, 3,5 milliards de dollars venus de Ryad (Arabie saoudite) et autant de Koweït-City (Koweït) sont parvenus sur ce compte numéroté un peu après. Pas de trace en comptabilité publique du pays (on cherche toujours…).
Contre-valeur : 10.216.486.000 CHF en avril 1991.
 
Comme il est indiqué, les traces des versements relatifs aux paiements des indemnités dues au titre du brevet « Ferrayé » sont les suivants[4] :
Étienne T… : Banca dei Gottardo (États-Unis), compte n° 191.974 : 5.263.000.000 US $ ; 
François C… : UBS (Genève), compte n° 248.466.71 : 710.000.000 US $ ;
VOLKSBANK (Fribourg), compte n° 240.075.7739 : 1.280.500.000 US $ ;
Bank America International (New-York), compte n° 393.72139 : 1.750.000.000 US $ ; 
Serge R… : BNP (Luxembourg), compte n° 63.114.887 : 1.320.000.000 US $ ;
BNP (Luxembourg), compte n° 52.195.582 : 50.000.000 US $ ;
BNP (Luxembourg), compte n° 165.964 : 3.363.600 US $
UBS (Genève), compte n° 564.911.DF : 380.000.000 US $ ;
UBS (Genève), compte n° 20.087 S : 410.000.000 US $ ;
Bankgesellschaft (Buelach), compte n° 80.5696.7 : 300.000.000 US $ ; 
Fouad H… : Lloyds Bank (Genève), compte n° 952.655 : 563.200.000 US $ ;
Kredietbank (Genève), compte n° 195.583 : 109.000.000 US $ ;
UBS (Genève), compte n° 22.633 M : 690.000.000 US $ ; 
Citibank (Londres), compte n° 400.515.018 : 130.500.000 US $ ; 
Victor G… : ABN AMRO Bank (Rotterdam), compte n° 18.157 : 29.500.000 US $ ;
SBS   (Genève), compte n° 15.018/C.3.112.957 : 650.000.000 US $ ;
SBS   (Genève), compte n° 16.287/C.3.112.957 : 715.000.000 US $ ;
SBS (Genève), compte n° 15.018/C.3.112.957 : 9.000.000 US $ ;
DANER HENTSEH & Cie (Genève), compte n° 10.465 : 13.000.000 US $ ;
ABN   AMRO (Basel), compte n° 1.068.635 : 1.420.000.000 US $ ;
BMB (Genève), compte n° 7915 : 2.485.000.000 US $ ;
Royal Trust (Toronto), compte n° 436.543 : 1.811.000.000 US $ ;
First Interstate Bank (New-York), compte n° 477.925 : 1.200.000.000 US $ ;
First Home Bank (Grand Cayman), compte n° 392.857 : 1.122.000.000 US $ ;
UBS (Genève), compte n° 231.215 : 381.987.200 US $
Pour un total hallucinant de vingt-deux milliards sept cent-quatre-vingt-seize millions et cinquante mille huit cents $ US ...
Contre-valeur (estimée : on ne connaît pas avec certitude les dates de ces paiements de 1991 à 1992) : environ 33.373.512.000 CHF.
 
Virement dans le Trust britannique en monnaie anglaise (probablement dès le courant de l’été 1991 et en plusieurs tranches pour éviter l’effondrement du Franc Suisse) : 44.849.506.000 CHF convertis en Livre Sterling : 17.466.999.000 GPB £ (soit à la même époque environ 29.405.588.000 US $ selon le taux de change du moment).
 
Notons que sauf le dépôt en billets de banque, tous ces mouvements sont compensés d’agence bancaire à agence bancaire quand il s’agit de la même banque passant même au-dessus des frontières politiques jusqu’en Extrême-Orient sans laisser de trace en banque centrale quand c’est nécessaire, de banque à banque en passant par la banque centrale du pays hôte, mais aussi par la plateforme ancêtre de « Clearstream » quand il s’agit de franchir une frontière avec une centralisation à la BRI (Banque des Règlements Internationaux) sise à New-York quand les fonds traversent un océan ou un continent.
Naturellement, aucun des mouvements ci-dessus n’entre jamais sur un compte de banque française (hors trois versements sur la BNP, mais sur des comptes ouverts aux Luxembourg), rendant aveugles les autorités monétaires (et fiscales) françaises.
 
VERSEMENTS :
On sait que 2 milliards de dollars ont été reversés à deux « proches » du Président « Thiermirant » en début de l’année 1992 comme d’une « commission de bonne-fin ».
L’un d’entre eux l’a réinvesti dans la « Banque Internationale du Développement Européen » (signalée ci-avant sous un autre sigle d’emprunt[5]) créée le 15 avril 1991 et dont le siège est situé à Londres, hors de France.
Sa mission aura été de financer la réunification des deux Allemagne avec des prêts à maturation longue (10 à 25 ans) et des taux minimaux de l’ordre de 5,5 à 6 % voire plus (taux de base de l’époque pour les « Bunds » du Trésor Allemand : 5,1 %, avant d’augmenter durablement en 1992), les remboursements et paiements d’intérêt ayant été probablement réinvestis en émission d’OAT françaises (à taux plus fort).
Le second aura acheté des lingots d’or stockés à Hong-Kong.
Qui vaudront le double quand il s’agira pour ce dernier de « partir en Chine lever 2 milliards… » pour sa nouvelle banque Luxembourgeoise (avec sa fille, professeur d’économie à l’ESSEC – Paris).
 
Le « pactole » du trust aura été amputé de l’équivalent de 7 milliards de dollars – le solde de liquidités encore disponibles fin 1992 – pour calmer les Koweïtiens qui venaient de se faire escroquer d’un deuxième paiement de 22 milliards de dollars par un des membres de la famille de l’émir, puisqu’on en retrouve la trace dans le premier « fonds souverain » du monde, ouvert au Koweït (souscripteurs : inconnus…) pour… 22 milliards de dollar d’un seul tenant !
Les Américains, via l’Otan, avancent forcément la différence, soit 15 milliards de dollar pour faire un compte rond (comme il est raconté à l’occasion de ce récit – qui n’est jamais qu’un « roman »…)
 
AU FIL DU TEMPS :
Dès lors, c’est sur 20,4 milliards de dollars qu’il convient de compter (29,4 – 2 – 7) au démarrage de l’opération.
Paul de Bréveuil ne voit aucun inconvénient à récupérer 35 milliards d’euros.
Mais son calcul (de tête) est faux : 20,4 milliards au taux de minimum de 5 % sur 16 ans (moyenne des « maturités »), c’est a minima 44,542 Md$, dont 24,142 Md$ d’intérêt.
Or, depuis le 1er janvier 2002, le Deutsch-Mark n’existe plus et on compte désormais en Euros.
Et l’Euro vaut alors 0,8813 US$ ce qui fait environ 39,254 Md€. Ce qui apparaissait cohérent avec l’évaluation à 35 Md€ effectuée et remise pour inventaire par le cabinet de Lady Joan, gérante du trust « SJ Trust »…
 
LES BONNES SURPRISES :
Comme il est dit dans cet opus, il convient de gérer trois masses d’équivalente valeur prises comme d’un tout dans le « Grand-emprunt » du Président Krasosky.
Sauf que si les créances (liquides et à dates d’exigibilité courtes, OAT et Bund restants) sont correctement évaluées au jour le jour, les participations en actions et autres titres boursiers n’ont été comptabilisées qu’à leur valeur « historique d’achat » et revalorisées une fois par an (hors les cessions intermédiaires), à l’occasion des bilans annuels.
Or la dernière fois que cela a été fait, c’est au 31 décembre 2008.
Il y a donc des plus-values latentes à encaisser sur les acquisitions les plus dynamiques en cas de cession effectuées par Jean-Charles Huisne au cours du dernier mois de 2009.
En revanche, les acquisitions immobilières, en direct mais moins sur les titres côtés (SCPI, FIP, etc.) ne sont pas revalorisées tous les ans et sont comptabilisées à leur « valeur historique » d’entrée dans le patrimoine du trust.
Et on compte globalement un doublement des valeurs vénales tous les 7 à 10 ans (selon la nature de l’immeuble et son emplacement).
Ce sont donc autour de 18 à 20 milliards en plus qu’il faut compter après un « débouclage complet ».
Autrement dit, quand « Bush-Junior » annonce dès les premiers chapitres 60 milliards de dollars, il n’a pas totalement tort…
 
ULTIMES PRÉCISIONS :
– Comment connaît-on ces montants avec tant de précision ?
Tout simplement par la communication faite ultérieurement par la Caisse des Dépôts et Consignations qui gère désormais les trois « PIA » du pays et leurs successeurs [6] !
Souvenez-vous : « Doté de près de 57 milliards d’euros (en réalité et dans le détail 56,3 Mds€), le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), piloté par le commissariat général à l’Investissement, a été mis en place par l’État pour financer des investissements innovants et prometteurs sur le territoire, avec un principe de cofinancement pour chaque projet.
Les 57 Md€ consacrés par l’État aux investissements d’Avenir ont été mobilisés en trois temps : en 2010, 35 Mds€ ont été dédiés à la première vague (PIA 1) (Président Krasosky) ; en 2014, le PIA a été renforcé et s’est vu allouer une enveloppe complémentaire de 12 Mds€ (PIA 2) (Président Landau) ; en 2017, 10 Mds€ supplémentaires ont été dédiés au PIA (Président Makarond) », les queues des mêmes sommes.
Là, on redevient cohérent, puisqu’il s’agit des mêmes détournements mais dont le retour est étalé dans le temps.
L’affaire est close : le scandale des « milliards volés de la division Daguet » s’est évaporé dans les PIA successifs…
 
– Rappelons également les règles « constitutionnelles » de la dépense publique en France : tout passe par la loi votée par le Parlement. D’un côté les recettes (impôts et taxes, vente du patrimoine, déficit et « recettes exceptionnelles » – « REX »), de l’autre les dépenses (autorisations, engagements divers – service de la dette entre autres et donc… déficits autorisé financé par de l’emprunt sur les marchés !) le tout étant nécessairement à l’équilibre et un « tout unique ».
Ce sont les « lois de finances » (budgets et autorisations) rectifiées et corrigées au fil de l’année, les « collectifs budgétaires », qui « consignent » les dépassements ou les excédents (voire affectent les fameuses « cagnottes » dont on parle de temps à autre) jusqu’à la loi « d’exécution budgétaire » de mars suivant (N + 1) qui arrête les comptes de l’année passée.
 
Pour faciliter les arbitrages dans l’année quant aux dépenses, la loi de finances prévoit désormais des « missions », à charge pour le ministre compétent de trancher dans les écarts d’exécution : fonctionnement et investissement sont donc mélangés.
En revanche, les autorisations d’emprunt sont connues dès la fin octobre de l’année N – 1, avant même le vote de la loi de finances de l’année à venir.
Il s’agit d’établir le calendrier à l’adresse des « investisseurs institutionnels » (et internationaux) en coordination avec les émissions d’autres États (et entreprises) en toute transparence à l’égard des banques centrales : il faut des disponibilités « certaines » pour « placer » les emprunts et permettre aux « zinzins » (investisseurs institutionalisés) de venir y souscrire, la seule inconnue restant le taux offert à ce moment-là (éventuellement fixé « aux enchères »).
Il n’y a que le FMI qui dispose d’un « droit de tirages spéciaux » pour venir en aide et en urgence d’un État en état de cessation des paiements, hors tout programme.
L’Europe s’est d’ailleurs dotée d’un outil similaire après la crise de la dette Grecque.
 
Ce qu’il convient de retenir, c’est que les appels de fonds sur « les marchés » sont fixés en année N – 1 et que rien ne vient les perturber, ni un excédent de trésorerie, ni un « Plan d’Investissement » ou de relance « sorti du chapeau » en cours d’année.
C’est en tout cas ce qu’on a pu noter en France à l’occasion du premier Plan de Relance et des trois PIA successifs lors des trois derniers quinquennats (plus le quatrième par assimilation « France 2030 »).
Question de « bon sens » : ils ont été financés comment ? S’ils ont été financés…
Même si on retrouve bien au fil du temps, les 7 milliards de « coût » annoncé par le Président « Krasosky » et probablement les 10 milliards du Président « Makarond », en revanche pour celui de « Landau », c’est manifestement plus difficile. 
 
ARCHIVE tirée du Journal Officiel de la République Française :
 
Extrait Assemblée Nationale – première séance 4 décembre 1991
JO page 7135 : Il est fait mention de 10,5 milliards de Francs reçus au titre des dédommagements des opérations « Bouclier du désert » et « Tempête du désert » à l’occasion des débats parlementaires sur la loi de finances de 1992.
Soit 1.568.952.000 US$ au cours de l’époque…
C’est la seule « trace officielle » du milliard « reçu » du Koweït (même si les montants ne correspondent pas) en plus de la communication du ministère des affaires étrangères déjà mentionnée et reprise à l’époque par une partie de la presse.
 
Mardi 16 février 2016 – Séance de 17 heures. Compte rendu n° 35
Compte rendu Commission de la défense nationale et des forces armées 
— Audition de M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense, sur les conditions d’emploi des forces armées lorsqu’elles interviennent sur le territoire national pour protéger la population (on est en plein « état d’urgence »).
M. Michel Voisin : « Certains membres de la commission ainsi que les médias ont évoqué l’opération Daguet, affirmant qu’un milliard de dollars ne serait pas rentré dans les caisses de Bercy, ou bien se serait perdu depuis. Avez-vous des précisions à nous donner sur ce point ? »
(… Le ministre ne répond pas et parle d’autre chose…)
M. Michel Voisin : « Lorsqu’on se rapporte aux archives, un communiqué de M. Roland Dumas, Ministre des Affaires étrangères en 1991, affirme que l’émir du Koweït a annoncé que la France bénéficierait d’un milliard de dollars de dommages de guerre pour sa participation à la guerre du Koweït. »
M. le Ministre : « L’information n’est pas parvenue au ministère de la Défense. »
M. Michel Voisin : « Faut-il créer une commission d’enquête parlementaire pour comprendre où est passé ce milliard de dollars ? »
M. le Ministre : « Merci de m’avoir alerté sur le sujet ».
C’est devenu la position officielle du pays et de ses gouvernements successifs.
Depuis, l’essentiel des députés et sénateurs du pays ont d’autres préoccupations quand ils n’ont pas été remplacés…
 
Première édition : I3, avril 2010, Paris.
Achevé d’imprimer en octobre 2018.
Pour le compte des éditions BOOK ENVOL
 
Seconde édition : Reprise par Alexis Dubois, avril 2023, Courances.
Autorisé par I3 à l’ascension 2023, Paris ;
Validé par Charlotte en juin 2023 à « Chagos-City ».
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] Cf. épisodes « Mains invisibles – tome I & II », « Laudato sì » dans la série les « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3.
[2] Allemands de l’Est (RDA) par référence aux Wessis, Allemands de l’Ouest (RFA).
[3] Cf. épisode « Laudato sì » dans la série les « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3.
Dans la réalité historique, il se trouve que la nouvelle administration américaine souhaitait ne pas intervenir dans le contentieux de frontière entre l’Irak et le Koweït et l’avait fait savoir au dictateur Irakien. Celui-ci aura compris qu’il avait « carte blanche » et les mains libres pour envahir son voisin.
[4] Ces informations ont été confirmées par « Bassano », l’expert-comptable de la côte d’Azur impliqué, qui aura fait, grâce à un de ses clients banquier à Monaco, tout le travail de recherche.
Ils ont été confirmés à l’auteur par ses propres sources… et encore par Maître « Lardco »…
[5] Tous les patronymes « entre guillemets » dans cet ouvrage, sont transformés pour éviter toute confusion et rester à l’abri des poursuites pour diffamation…
C’est d’ailleurs pour cette raison que cet épisode est présenté comme un roman, une « pure construction intellectuelle » sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur qui n’a bien sûr aucune réalité dans « la vraie vie », cela va de soi !
[6] NdA : Il y en aura eu d’autres. Globalement, on retombe toujours sur les mêmes sommes (le plan « France 2030 » est doté de 34 milliards d’euros, qui viennent s’ajouter aux 20 milliards d’euros du programme d’investissements d’avenir (PIA 4) d’après les sites officiels du gouvernement : il s’agit du redéploiement des mêmes crédits des 3 PIA précédents, non encore dépensés.

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