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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 18 novembre 2019

Quand la réalité rattrape « mes fictions »

Notez, ce n’était pas bien difficile à anticiper…
 
J’avais ainsi pu noter en 2016 quelques « informations orphelines » parfaitement étonnantes en amont de l’attentat de Nice. Les « autorités » semblaient prévoir un attentat islamique jusqu’à Calvi (Balagne – « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») pourtant hautement improbable.
C’est tombé sur Nice… de l’autre côté de la mer.
 
Comment avaient-elles fait ?
La réponse ne pouvait que se retrouver dans l’exploitation d’un « big-data » agencé de telle façon qu’il en soit prédictif d’actes « majeurs » de nature terroriste (ou criminelle).
Je vous ai inventé le logiciel « BBR » dans le « roman » suivant « Laudato si… » que vous retrouverez probablement en « format-papier » quand Alexis Dubois aura fini de patauger avec mes « originaux »…
Et je tombe sur un « papier », des années plus tard, qui relate les perspectives balancées par le Procureur Général US, William Barr, relatant dans un mémorandum la mise en place prochaine d’un nouveau programme nommé « précrime » exactement inspiré des tactiques de « guerre contre le terrorisme ».
C’est probablement pour 2020…
 
La semaine dernière le « Proc’ général » annonçait en effet la mise en œuvre imminente d’un nouveau « programme national de perturbation et de participation précoce » visant à détecter « les tireurs de masse » potentiels avant qu’ils ne commettent un crime.
Selon ce mémorandum, il a « ordonné au ministère de la Justice et au FBI de mener un effort pour améliorer notre capacité d’identifier, d’évaluer et d’engager des tireurs de masse potentiels avant qu’ils ne frappent ».
Il s’agit d’« une stratégie efficiente, efficace et programmatique pour perturber par tous les moyens légaux les personnes qui se mobilisent vers la violence ».
 
Il a demandé que ceux qui ont reçu le mémorandum envoient leurs « meilleurs et plus brillants » membres à une conférence de formation au siège du FBI en décembre prochain où le Département de la Justice (DOJ), le FBI et les « partenaires du secteur privé » (probablement des sociétés comme Palantir qui servent aussi la DGSI Gauloisienne) pour se préparer à la mise en œuvre complète de la nouvelle politique.
L’aspect peut-être le plus troublant de la note de service est l’admission franche de ce « PG » que bon nombre des tactiques « d’engagement précoce » que le nouveau programme utiliserait étaient « nées de la posture que nous avons adoptée à l’égard des menaces terroristes ». En d’autres termes, les fondements de bon nombre des politiques utilisées à la suite de la « guerre contre le terrorisme » après le 11 septembre 2001 sont également à la base des tactiques « d’engagement précoce » qu’il cherche à utiliser pour identifier les criminels potentiels dans le cadre de cette nouvelle politique.
Bien que ces politiques de « guerre contre le terrorisme » aient largement ciblé des individus à l’étranger, son mémorandum indiquerait clairement que certaines de ces mêmes tactiques controversées seront bientôt utilisées au niveau national US.
 
Le mémorandum fait allusion aux pratiques actuelles du FBI et du Département de la Justice utilisées par les groupes de travail conjoints sur le terrorisme qui « comprennent le recours à des psychologues cliniques, à des professionnels de l’évaluation des menaces, aux équipes d’intervention et aux groupes communautaires » pour détecter les risques et suggère de fonctionner selon la même veine.
Il y fait également allusion à cette approche « communautaire » dans un autre cas, lorsqu’il écrit que « lorsque le public » dit quelque chose « pour nous alerter d’une menace potentielle, nous devons faire quelque chose ».
Autrement dit la délation proposée par « Jupiter » dans son « tous ensemble » et « en même temps » à l’oraison funèbre des policiers assassinés à la préfecture de police de « Paris-sur-la-plage » par l’un des leurs…
Convergences, convergences…
 
Toutefois, le mémorandum établit une distinction entre les terroristes présumés et les individus que ce nouveau programme s’apprête à poursuivre. Barr y affirme que, contrairement à de nombreux cas historiques de terrorisme, « bon nombre des menaces à la sécurité publique d’aujourd’hui surviennent soudainement et avec parfois seulement des indications ambiguës d’intention » et que plusieurs de ces personnes « présentent des symptômes de maladie mentale et/ou ont des problèmes de toxicomanie ».
Aux USA peut-être.
Ailleurs, on sait que le Captagon (la « pilule d’Allah ») fait des merveilles…
 
On est bien dans le « délit d’intention ». Et pour cerner ce délit (qui n’existe pas en droit), il envisage d’accroître la surveillance de masse des citoyens ordinaires et d’utiliser des algorithmes pour analyser ces données en vrac à la recherche de symptômes vaguement définis de « maladie mentale ».
Il faut dire que depuis Staline, on sait tous qu’il faut être « fou à interner » pour s’opposer à un régime politique qui vise le bonheur absolu de tout le genre humain.
Donc, donc…
 
Il note que, dans le passé, des personnes considérées comme une menace violente ou terroriste avant de commettre un crime étaient soumises, entre autres mesures, à la détention, à un traitement de santé mentale ordonné par le tribunal, à des services d’aide en matière de toxicomanie et à une surveillance électronique. Apparemment, le nouveau programme appliquerait alors ces mêmes pratiques à des personnes aux États-Unis qui, selon les autorités fédérales, se « mobilisent vers la violence » : Logique.
 
Évidemment, vous n’en entendrez pas beaucoup parler dans vos médias habituels, mais l’un des rares a été publié mercredi par le Huffington Post, qui a qualifié la nouvelle initiative de largement positive et a affirmé que les « tactiques anti-terroristes » pourraient « aider à contrecarrer les tireurs de masse ». Aucune mention n’a été faite dans l’article de la menace qu’un tel programme est susceptible de faire peser sur les libertés civiles…
 
Ce procureur général-là a été nommé par « McDo-Trompe » et est le fer de lance de nombreux efforts en vue de vous mettre sous surveillance, notamment à travers la promotion d’une porte dérobée du gouvernement dans les applications ou appareils de consommation qui utilisent le cryptage de données et pour une augmentation spectaculaire des programmes de surveillance électronique sans mandat qui existent depuis longtemps mais qui sont controversés.
Le 23 juillet dernier, il a prononcé le discours-programme à la Conférence internationale sur la cybersécurité (CIEC) de 2019 et s’est principalement concentré sur la nécessité pour les produits électroniques grand public et les applications qui utilisent le cryptage de données d’offrir une « porte dérobée » pour le gouvernement, en particulier pour les services de police, afin d’obtenir un accès aux communications chiffrées pour des raisons de sécurité publique.
Et d’ajouter que « le cryptage de données sécurisé nuit gravement à notre capacité de surveiller et de combattre les terroristes nationaux et étrangers. »
« Les petits groupes terroristes et les acteurs solitaires – tels que ceux impliqués dans la série de fusillades de masse en Californie, au Texas et en Ohio dans les semaines qui ont suivi son discours – se sont de plus en plus tournés vers le cryptage ».
Et de faire référence explicite aux « produits et services de consommation tels que la messagerie, les smartphones, le courrier électronique et les applications vocales et de données »…
 
Notez qu’avec le logiciel « BBR » de Paul de Bréveuil (dit « Charlotte ») de sa CISA, la technique est la même, mais il n’y a pas besoin de « porte dérobée » pour savoir ce qui se prépare : L’utilisateur d’un matériel cryptant une conversation, un message, ou l’accès à des sites Internet et « sorti du lot » par la machine. Ils sont « Bleu » s’ils sont autorisés de par leur fonction, ils sont « Rose » dans le cas contraire. Les autres, tout le monde, reste « Blanc ».
D’où « BBR ».
Et deviennent « Orange » et toute une série de nuances en fonction de la dangerosité de leur trafic jusqu’au « Rouge-vif ».
Je note pour ma part que ces informations auraient pu prévenir l’assassinat du Préfet Érignac et depuis, mes « cousins-natios » n’utilisent plus leur portable ni même leurs ordinateurs, même cryptés : Ils préfèrent la bonne vieille méthode de la chopine de bière (Corse) sur une terrasse…
 
Pour vaincre la résistance de certaines entreprises privées – qui ne veulent pas renoncer à leur droit à la vie privée en donnant au gouvernement un accès clandestin à leurs appareils – et des consommateurs, le PG Barr anticipait de façon éloquente : « Un incident majeur peut survenir à tout moment et galvaniser l’opinion publique sur ces questions ». Or, peu après ce discours, plusieurs fusillades de masse, dont une au Walmart d’El Paso, ont eu lieu, ce qui a remis la question au premier plan du discours politique.
Sa prédiction étrange et une litanie d’autres bizarreries liées à la fusillade d’El Paso ont laissé de nombreuses réponses aux questions sur la connaissance préalable de l’événement par le FBI.
De plus, la tragédie aura été l’événement « galvanisant » qu’il avait anticipé, puisque la solution offerte par le président « Trompe » à la suite des fusillades a été la création d’une porte dérobée gouvernementale dans le cryptage et l’appel au même « système précrime » officiellement annoncé depuis.
 
Notez également que lui et le ministre de l’Intérieur du Royaume-Uni ont signé le 3 octobre un accord d’accès aux données qui permet aux deux pays d’exiger des données électroniques sur les consommateurs des entreprises technologiques basées dans l’autre pays sans restriction légale.
C’est le premier accord exécutif conclu dans le cadre du controversé Clarifying Overseas Use of Data Act ou CLOUD Act adopté par le Congrès US l’année dernière.
L’étau se resserre sur vos vies privées : C’est pour votre sécurité.
 
Le CLOUD Act a été critiqué par des groupes de défense des droits qui ont averti que la législation donne « une juridiction illimitée aux forces de l’ordre US sur toute donnée contrôlée par un fournisseur de services, quel que soit l’endroit où les données sont stockées et qui les a créées » et que cela s’applique également au contenu, aux métadonnées et aux informations des abonnés, notamment les messages privés.
Pourtant ils ont affirmé que l’entente anglo-américaine sur l’accès aux données « renforcera » les libertés civiles et ont affirmé que l’entente serait utilisée pour poursuivre les « pédophiles » et le « crime organisé », même s’ils ont montré un intérêt minimal à poursuivre les complices du pédophile et trafiquant sexuel Jeffrey Epstein qui a été lié au crime organisé et aux services de renseignements tant des États-Unis que d’Israël.
 
Jeffrey Epstein s’intéressait d’ailleurs aux technologies « précrime » et a été l’un des principaux bailleurs de fonds de la société technologique controversée Carbyne911, aux côtés de l’ancien Premier ministre israélien et proche associé d’Epstein Ehud Barak.
Carbyne911 est l’une des nombreuses entreprises israéliennes qui commercialisent leurs logiciels aux États-Unis dans le but de réduire les fusillades de masse et d’améliorer les temps de réponse des fournisseurs de services d’urgence.
Ces sociétés ont des liens nombreux avec les gouvernements et les services de renseignement des États-Unis et d’Israël. Epstein, lui-même lié aux appareils de renseignement des deux nations, a investi au moins un million de dollars dans Carbyne911 par l’intermédiaire d’une société « d’exploration de données » qu’il contrôlait.
Curieusement, il s’est suicidé dans sa cellule, c’est la thèse officielle, même si son frère excipe une contre-expertise affirmant l’inverse.
Et sachez que Carbyne911, et d’autres sociétés similaires, extraient toutes les données de vos smartphones quand vous faites simplement un appel d’urgence (le 911 aux USA, votre sécurité, quoi…) et les utilisent ensuite pour « analyser le comportement passé et présent de leurs appelants, réagir en conséquence et prévoir dans le temps les tendances futures », dans le but ultime de permettre aux appareils intelligents d’appeler les autorités à la place des êtres humains.
 
Rappelons qu’à la suite de la fusillade d’El Paso, le président US a réfléchi à la création d’un nouvel organisme fédéral connu sous le nom de HARPA qui collaborerait avec le ministère de la Justice pour utiliser « des technologies de pointe très spécifiques et sensibles pour le diagnostic précoce de la violence neuropsychiatrique », en particulier « des outils analytiques avancés fondés sur l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique », le bon alibi…
Et les données à analyser seraient recueillies à partir d’appareils électroniques grand public ainsi que des renseignements fournis par les fournisseurs de soins de santé pour identifier les personnes susceptibles de constituer une menace.
 
Grâce au plan déjà élaboré pour HARPA et à sa solution proposée pour identifier la « maladie mentale » (y compris les « théoriciens complotistes ») par le biais de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage automatique, ce programme « précrime » nouvellement annoncé aura les moyens d’analyser la masse des données recueillies à partir des appareils électroniques grand public de Carbyne et d’autres moyens en utilisant des « critères de santé mentale » vagues.
Façon Staline ?
 
Aujourd’hui, les mêmes politiques utilisées pour cibler les « terroristes » sont donc destinées à être utilisées contre les citoyens ordinaires, dont la vie et les communications électroniques sont désormais destinées à être fouillées à la recherche de preuves de « maladie mentale ». Si ces algorithmes opaques signalent un individu, cela pourrait suffire à conduire à un « traitement de santé mentale » ordonné par le tribunal ou même à l’emprisonnement, qu’un crime ait été commis ou non ou même planifié.
Votre avenir.
 
Le mien, il est derrière moi…
Alors je ne fais que de reprendre ces informations pour, plus tard, laisser la trace aux générations futures que nous n’étions pas dupes.
Car pour en revenir à la « Gauloisie-bienheureuse », les mêmes procédés (et lois liberticides), malgré le contrôle (bien léger) de notre CNIL, sont en cours ou en place à l’intérieur de nos frontières de la « Patrie des droits de l’Homme ».
Ce qui n’a jamais empêché quoique ce soit pour des « personnes décidées » et suffisamment préparées, soyez-en sûr.

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