Il y a une autre lecture possible du personnage
Je vous l’indiquais déjà dans le
post de jeudi dernier.
Derrière ses « clowneries » apparentes, il se peut qu’il ait
« un ordre du jour » beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur
la politique étrangère et les affaires intérieures, à défaut « d’un
calendrier ». Et pour atteindre ses objectifs, sa stratégie est si
raffinée et si subtile que presque personne ne peut la voir.
C’est là qu’il toucherait au « pitre de génie ».
Son objectif global serait effectivement si ambitieux qu’il doit suivre
des parcours elliptiques aléatoires en utilisant des schémas qui déconcertent
les gens sur leur compréhension du bonhomme.
Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les analystes-experts,
ainsi que les grands médias occidentaux et une grande majorité de la population
qui le regardent et commentent, parfois stupéfaits.
En fait, il pourrait être le premier et le seul président US à s’être
jamais attaqué au pire défaut collectif de l’humanité : Son ignorance de
la « réalité vraie ».
Parce que les médias et l’éducation sont tous deux contrôlés par la
poignée de milliardaires qui dirigent la planète, nous ne savons plus rien de
notre Histoire qui est déformée par les médias et du coup nous ne savons pas
vraiment grand-chose de notre monde actuel.
Qu’il faut parfois démêler à l’infini les « fils-rouges » de
l’actualité pour tenter de comprendre…
Car, dès qu’il est entré dans l’arène politique, vous aurez noté que « McDonald »
aura popularisé l’expression « fausse nouvelle » (fake-news) pour convaincre ses
citoyens et la population mondiale que les médias mentent toujours.
« Mentir » est peut-être « exagéré » (mais exagérer
n’est pas mentir en disait ma Grand-mère), mais « déformer » par
omission, c’est assez courant.
J’ai pu maintes fois le constater dans les mondes des affaires que j’ai pu
fréquenter : On te disait blanc, ça voulait dire noir.
C’était d’ailleurs une de mes spécialités que de décrypter d’excellents
bilans pour en faire ressortir la misère et la vermine.
Et inversement : Planquer des résultats exceptionnels dans les
comptes pour pouvoir pleurer misère (auprès du fisc), j’adorais.
L’expression « fake news » est maintenant devenue banale et les « mensonges »
des médias façonnent notre fausse perception sur des sujets comme l’économie,
l’alimentation, le climat, la santé, etc.
Or, aux USA, 44 présidents se sont enchaînés sans même dire un mot sur ce gros
problème de manipulation de la conscience collective, avant que le 45ème
ne vienne.
Celui-là sait que libérer les gens de cette ignorance insondable est le
premier pas vers la liberté totale, alors il a commencé à nommer les
journalistes mainstream pour ce qu’ils sont : Des menteurs pathologistes !
Je n’invente rien, vous pouvez vérifier.
Soyons encore plus clairs : Pour l’establishment, « McDo-Trompe »
n’est pas mentalement déficient, mais il est certainement considéré comme un
ennemi potentiel de leur monde. Depuis qu’il a emménagé à la Maison-Blanche, il
a été dépeint comme un narcissique, un raciste, un sexiste et un sceptique
climatique, chargé d’histoires passées louches et de problèmes mentaux. Même si
environ 60 % des Américains ne font plus confiance aux médias, beaucoup ont
avalé l’histoire qu’il pourrait être un peu fou ou inapte à diriger, et les statistiques
sont encore plus élevées quand on sort des États-Unis : Vous en êtes toutes
et tous d’ailleurs persuadés, vous aussi.
Même moâ ! Quoique…
Lui-même, curieusement, ne fait rien de spécial pour changer la perception
profondément négative que tant de journalistes et de gens ont de lui. Il est
ouvertement scandaleux et provocateur sur « Twister », il se montre
impulsif et stupide la plupart du temps, agit de façon irrationnelle, ment tous
les jours, et lance des sanctions et des menaces comme si c’était des bonbons.
Conséquence, on peut détruire un mythe médiatique persistant : L’image qu’il
projette de lui-même est autodestructrice et c’est justement le contraire de la
façon dont les narcissiques pathologiques agissent, car ils s’efforcent d’être
aimés et admirés par tous.
Or, lui ne se soucie tout simplement pas que vous l’aimiez ou non, ce qui
fait de lui l’anti-narcissique parfait, par définition psychologique.
Et ce n’est même pas une question d’opinion, c’est un fait vérifiable et
indéniable.
Alors quid ?
Il doit bien y avoir une explication : On ne parvient pas par hasard
dans le bureau ovale pour un bail de 4 ans renouvelable en se montrant aussi
« dérangé » que ça.
Ses électeurs ne sont pas si stupides, tout de même.
Eh bien justement, son plan général s’inspire d’une seules de ses devises
préférées : « Nous redonnerons le pouvoir au peuple » qui vient
après son « first America ».
Ah tiens ?
Peut-être parce que les États-Unis et leur toile impérialiste tissée à
travers le monde ont été jusque-là aux mains d’autres que le « monde
politique », comme par exemple quelques banquiers mondialistes,
industriels militaires et de multinationales pendant plus d’un siècle ?
Pour réaliser son plan de libération, il doit mettre fin aux guerres à
l’étranger, ramener les garçons, démanteler l’OTAN et la CIA, prendre le
contrôle de la Réserve Fédérale, couper tout lien avec les alliés étrangers,
abolir le système financier Swift, démolir le pouvoir de propagande des médias,
drainer le marais de l’État Profond qui dirige les agences d’espionnage et
neutraliser le gouvernement parallèle qui se cache dans le Conseil des
Relations Étrangères et les bureaux des Commissions Trilatérales…
Ce que finalement il fait avec des hauts et des bas.
Logique, non ?
Bref, en voulant détruire le « Nouvel Ordre Mondial » et son
idéologie mondialiste du « monde d’avant » il s’attèle à une tâche
immense et éminemment dangereuse.
Notez qu’il n’est pas le seul : Depuis Pierre le Grand, toute
l’histoire de la Russie, hors la période d’hégémonie communiste (quoique…
justement), a été une démonstration permanente de sa volonté de maintenir son
indépendance politique et économique vis-à-vis des banques internationales et
de l’impérialisme occidental, poussant cette nation à aider de nombreux « petits
pays » à conserver leur propre indépendance.
Rappelons que la Russie a d’abord aidé les États-Unis contre l’Empire
britannique au même titre que le Roy des Gauloisiens, en les soutenant
ouvertement pendant la guerre d’indépendance. Puis pendant la guerre civile,
lorsque Rothschild finançait les Confédérés pour démanteler politiquement la
nation et la ramener sous la coupe de l’Empire colonial Britannique.
N’oublions pas que les Russes ont également défait les nazis qui étaient
aussi financés par des banques internationales comme outils pour écraser les
nations économiquement indépendantes et rouvrir l’ère de leur « balkanisation ».
Mais ils ont aussi défait Napoléon qui lui libérait les peuples des
empires austro-hongrois et prussiens sur le continent contre la toute-puissante
Perfide-Albion et ses banquiers.
Après presque une décennie d’oligarchie occidentale qui a pris le contrôle
de l’économie russe après la chute de l’URSS en 1991, « Poux-tine » a
pris le pouvoir et a drainé le marigot russe.
Depuis lors, chaque geste qu’il a accompli vise à détruire l’Empire US, ou
l’entité qui a remplacé l’Empire Britannique en 1944, celui du « Nouvel
Ordre Mondial ».
Ce nouvel empire est fondamentalement le même modèle de banque centrale,
avec juste un groupe légèrement différent de propriétaires qui ont changé
l’Armée Britannique pour l’OTAN, dans le rôle de la Gestapo, transformée en
police économique, financière et monétaire, de ce monde-là.
« Poux-tine » était jusque-là tout seul à résister contre ce « Nouvel
Ordre Mondial » dont l’obsession séculaire est le contrôle du marché
mondial du pétrole, puisque le pétrole est le sang qui coule dans les veines de
l’économie mondiale. Le pétrole a cent fois plus de valeur que l’or : Les
cargos, les avions et les chars ne fonctionnent pas avec des batteries !
Par conséquent la Russie devait pouvoir protéger tous les producteurs de
pétrole indépendants comme la Syrie, le Venezuela et l’Iran…
Même si les banquiers centraux et le gouvernement de l’ombre US
s’accrochent toujours à leur plan, car sans une victoire en Syrie, il n’y a pas
d’élargissement d’Israël, mettant ainsi fin au fantasme séculaire d’unir la
production pétrolière du Moyen-Orient aux mains du « Nouvel Ordre Mondial ».
C’est d’ailleurs le véritable enjeu de la guerre de Syrie, et du chaos
vénézuélien (et de tous ses voisins, y compris jusqu’au Brésil et ses gisements
offshores…)
Parce qu’un gouvernement de l’ombre donne des ordres directs à la CIA et à
l’OTAN au nom des banques et des industries, « McDo » n’a aucun
contrôle sur ses militaires. L’État Profond, c’est un chapelet de
fonctionnaires permanents gouvernant Washington et le Pentagone, qui ne
répondent qu’à leurs ordres.
D’ailleurs, comment se fait-il qu’à chaque fois que « Trompe »
ordonne de se retirer de Syrie ou d’Afghanistan, des troupes supplémentaires débarquent
lourdement équipées ?
Certains en disent que « McDo-Trompe » n’est jamais que le
quatrième président dans l’histoire des États-Unis à se battre pour le peuple.
Il y a d’abord eu Andrew Jackson qui a été abattu après avoir détruit la Second
Bank des États-Unis qu’il accusait ouvertement d’être contrôlée par les
Rothschild et la City à Londres.
Abraham Lincoln a été assassiné après avoir imprimé ses « billets verts »,
monnaie nationale que l’État a émise pour payer les soldats parce que Lincoln
avait refusé d’emprunter de l’argent à Rothschild à 24 % d’intérêt.
Ensuite, il y a eu JFK, qui a été tué pour une bonne demi-douzaine de
raisons qui allaient surtout à l’encontre des profits des banques et de
l’industrie militaire, et maintenant le 45ème qui a crié qu’il
allait « rendre l’Amérique au peuple ».
Et il a été élu…
Comme la plupart des hommes d’affaires, il déteste les banques, pour le
pouvoir formidable qu’elles ont sur l’économie. Les entreprises de « McDo-Trompe »
ont d’ailleurs beaucoup souffert à cause de ces institutions : Le contrôle
de la banque privée sur la création monétaire et les taux d’intérêt, à travers chaque
banque centrale de presque tous les pays, est un pouvoir permanent sur les
nations, bien au-delà du cycle éphémère des politiciens.
Puis est arrivé « McDonald ».
Au début de son mandat, il aura naïvement tenté l’approche directe, en
s’entourant de rebelles de l’establishment comme Michael Flynn et Steve Bannon,
puis en agaçant chacun de ses alliés étrangers, déchirant leurs traités de
libre-échange, imposant des taxes sur les importations et les insultant au
visage lors des rencontres du G7 de 2017 et de 2018.
La réaction a été forte et tout le monde s’est focalisé sur le « Russiagate »,
car il semblait que c’était la seule option pour arrêter l’homme.
Comme on pouvait s’y attendre, l’approche directe n’a mené nulle part :
Flynn et Bannon ont dû partir, et Trump était pris dans la nasse d’une poignée
d’enquêtes qui lui ont fait réaliser qu’il n’obtiendrait rien avec la
transparence.
Le « Russiangate » a fait « pschitt » et les
casseroles se sont accumulées, jusqu’à ce délirant coup de téléphone au
président ukrainien, non sans passer par « Diesel l’orageuse »…
Il se devait de trouver un moyen d’anéantir les personnes les plus
dangereuses de la planète, mais en même temps, rester au pouvoir et en vie…
D’où le choix de son vice-président, dès le départ, un encore « plus
dur » que lui qui fait franchement peur à l’establishment et aux
chancelleries.
C’est là qu’il aura complètement changé sa stratégie et son approche, et
qu’il a commencé à prendre des décisions absurdes, à « twister » des
déclarations scandaleuses. Aussi menaçant et dangereux que certains d’entre eux
puissent paraître, il ne les a pas utilisés pour leur signification au premier
degré, mais visait les véritables effets secondaires que ses coups pouvaient
avoir.
Il a même joué au bouffon sur « Twister », avec son air naïf,
fou ou carrément idiot, peut-être dans l’espoir de faire croire qu’il ne savait
pas ce qu’il faisait, et qu’il ne pouvait finalement pas être si dangereux que
ça.
Le premier test de sa nouvelle approche a été d’essayer d’arrêter le
danger croissant d’une attaque et d’une invasion de la Corée du Nord par
l’OTAN. « Trompe » aura insulté « Kim-tout-fou », l’a
appelé « Rocket Man » et a menacé de faire exploser la Corée du Nord.
Son incorrection politique déchaînée s’est poursuivie pendant des semaines
jusqu’à ce que tout le monde s’aperçoive que ce n’étaient pas de bonnes raisons
pour attaquer un pays.
Il aura ainsi paralysé l’OTAN !
Puis il aura ensuite rencontré « Rocket Man », et ils ont marché
dans un parc débutant une belle amitié, riant ensemble, tout en n’accomplissant
absolument rien dans leurs négociations, car ils n’ont rien à négocier.
Idem avec l’Iran et une frappe de représailles qui n’aura pas eu lieu.
Quant à son « pote » « Xigzi-le-chinois », il s’en
sert pour chahuter les indices boursiers, rien de plus…
Là encore, aucun accord en perspective : C’est ensemble vide…
Puis est arrivé le Venezuela : Il aura alors poussé cette tactique de
l’absurde un peu plus loin, pour s’assurer que personne ne puisse soutenir une
attaque contre un pays libre. Il a mis les pires néo-conservateurs disponibles
sur l’affaire : Elliott Abrams, anciennement condamné pour conspiration dans
l’affaire « Iran-Contras » dans les années 80 et John Bolton, célèbre
belliciste de premier plan.
Il a ensuite confirmé Juan Guaido comme son choix pour la présidence du
Venezuela. Une fois de plus, « McDo » aura menacé de réduire le pays
en cendres, tandis que la communauté mondiale regardait avec admiration le
manque total de subtilité et de diplomatie dans son comportement, avec pour
résultat le Brésil et la Colombie qui reculent et déclarent qu’ils ne veulent
rien avoir à faire avec une attaque sur le Venezuela.
La médecine de « Trompe » n’aura laissé que 40 pays satellites
dans le monde, avec des présidents et des premiers ministres en état de mort
cérébrale, soutenir timidement Guaido le bouffon. « McDonald » a
coché la case à côté de Venezuela sur sa liste et a continué de défiler vers le
bas.
Vinrent les deux cadeaux à Israël : Jérusalem en tant que capitale, et
plus récemment le plateau du Golan syrien en tant que possession confirmée. « Nette-anya-houx »
a sauté de joie, et tout le monde a crié que « McDo » était un
sioniste.
Le véritable résultat a été que l’ensemble du Moyen-Orient s’est uni
contre Israël, que plus personne ne peut soutenir. Même leur complice
historique, l’Arabie Saoudite, a dû désapprouver ouvertement cette énorme gifle
à l’Islam.
Ces deux cadeaux pourraient être en fait des coups de poignard dans le dos
de l’État d’Israël, dont l’avenir ne semble être devenu pas très prometteur
aujourd’hui, puisque l’OTAN va devoir quitter la région et que l’État hébreu
doit faire sa police tout seule au-dessus de la Syrie.
Case cochée à nouveau.
Et ce n’est pas tout ! Avec son manque de contrôle sur l’OTAN et l’armée, il
reste très limité dans ses actions. À première vue, la multiplication des
sanctions économiques contre des pays comme la Russie, la Turquie, la Chine (il
y a le feu à Hong-Kong), l’Iran (qui brûle), le Venezuela (en faillite) et
d’autres pays semble dure et impitoyable, mais la réalité de ces sanctions a surtout
poussé ces pays hors du système financier Swift conçu probablement pour
maintenir les pays esclaves de l’hégémonie du dollar (et son droit
extraterritorial), et ils échappent tous aux banques internationales…
Elle a forcé la Russie, la Chine et l’Inde à créer un système alternatif
de paiements commerciaux basés sur les monnaies nationales, au lieu du dollar
tout-puissant.
La réalité bipolaire du monde est maintenant officielle, et avec ses
prochaines sanctions à venir, « Trompe » poussera plus de pays du
système Swift à rejoindre l’autre camp, alors que d’importantes banques
commencent à tomber en Europe, peut-être même jusqu’en « Teutonnie ».
Même dans l’ouragan politique il trouve toujours le temps d’afficher son
humour arrogant et presque enfantin : Regardez ses moqueries alors qu’il
était assis avec des généraux aux traits tendus, pour prendre une photo dans
une « salle de situation » à l’occasion de la mort de Baghdadi… Il a même
poussé la mascarade à ajouter les détails d’un chien reconnaissant le calife de
Daesh en reniflant ses sous-vêtements !
Un héros médaillé, ce chien, pensez donc…
Après avoir fait plier la FED, il aura eu cette courte phrase : « Nous
avons sécurisé les champs de pétrole de Syrie », joignant sa voix à
celle du Général Smedley Butler qui a fait vibrer le monde il y a 80 ans avec
un petit livre intitulé « La Guerre est un racket » : Piller et voler
du pétrole n’est certainement pas aussi vertueux que promouvoir la démocratie
et la justice.
Comme je le disais la
semaine dernière, le deuxième et dernier mandat de « McDo-Trompe »
coïncidera avec le dernier mandat de « Poux-tine ». Il se peut qu’il
n’y ait jamais une autre coïncidence comme celle-ci avant longtemps, et les
deux savent que c’est maintenant ou peut-être jamais. Ensemble, ils doivent pouvoir
mettre fin à l’OTAN, à Swift, et l’Union Européenne devrait s’effondrer s’il
elle ne se consolide pas en urgence.
C’est un peu le message de « Jupiter » avant le sommet de l’Otan
de dans quelques jours…
Le terrorisme et le réchauffement climatique anthropique sauteront dans le
tourbillon et disparaîtront. Il devra drainer le marais de la CIA et du
Pentagone et nationaliser la Réserve Fédérale.
Avec Xi et Modi, ils pourraient mettre un terme définitif aux banques
privées dans les affaires publiques, en refusant de payer un seul sou de leurs
dettes (une montagne formidable de plusieurs milliers de milliards), et
relancer l’économie mondiale en se tournant vers les monnaies décrochées du
dollar : Les banques privées tomberont alors comme des dominos, sans plus personne
pour les sauver à vos frais.
Une fois cela fait, la paix et la prospérité pourraient enfin revenir sur
la planète, car vos impôts paieraient pour le développement de vos pays au lieu
d’acheter du matériel militaire inutile et payer des intérêts sur les prêts des
banquiers qui ne possédaient même pas l’argent prêté.
Naturellement, c’est une lecture « alternative » à la doxa
dominante et contrarie même mon premier post (de
jeudi dernier) sur le sujet.
Et on attend de voir se dérouler la suite, mais je ne vois pas d’autres
explications logiques pour comprendre ce qui se passe actuellement à
Washington.
En fait, je redoute (pour « ma nichée », parce que moâ, je ne
serai plus là pour le voir) le champ de ruines qui s’élargit au fil du temps.
Peut-être faut-il en passer par là pour qu’émerge enfin un monde meilleur,
celui d’après.
On y court : Un nouveau « présage du Hindenburg » vient
inquiéter les marchés.
Noël pourrait être « sportif » et 2020 Rock-Roll’…
À suivre.
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