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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 22 novembre 2019

Et si nous passions à une question fondamentale ?

A-t-on a tous besoin de sourire tous les jours ?
 
C’est un couple sans problème qui roupille.
Il est près de 2 heures du matin et ils sont plongés dans un profond sommeil.
Ils sont en train de rêver, quand tout à coup la femme qui devait faire un cauchemar s’écrie :
« Ciel ! Mon mari !!! »
Alors, son époux endormi, pris de panique, saute du lit et s’enferme dans le placard.
 
Ce matin sur l’A86, je regarde sur ma gauche, et je vois une femme au volant d’une décapotable roulant à 100 km/h.
Le visage collé au miroir, elle se met du mascara avec une main sur le volant.
Je regarde devant moi pendant quelques secondes, et quand je la regarde à nouveau, elle est à cheval sur la ligne blanche, s’approchant dangereusement de ma voiture tout en continuant sa session de maquillage, le visage collé sur le miroir de son rétroviseur.
Je ne suis pas peureux de nature, mais cette femme m’a fait peur.
Sur le coup, j’en ai laissé échapper mon rasoir électrique qui a volé sur mon gobelet de café posé entre mes cuisses.
Dans la confusion qui a suivi, j’ai essayé de redresser l’auto avec mes genoux contre le volant, le pantalon détrempé de café brûlant.
Dans l’énervement, j’ai lâché mon téléphone portable qui a glissé dans le reste de mon café, qui a fini de m’ébouillanter les couilles et tâché jusqu’à mes pompes en daim.
Pendant quelques longues secondes, j’ai quitté la route des yeux, et VLAN !
Je suis entré dans le kul de la voiture des policiers devant moi…
Tout ça par la faute d’une femme au volant !
Des dangers ambulants…
 
« – Maman, maman ! Raconte pour moi une histoire !
– Écoute, non, je ne peux pas, je dois préparer le dîner…
– Maman, maman ! Raconte pour moi une histoire !
– Bon, bon… Il était une fois…
– Maman, maman ! Est-ce que toutes les histoires commencent par ‘‘il était une fois’’ ?
– Non ma puce, parfois elles commencent par ‘‘Chérie, j’ai une réunion ce soir et je dois rester tard au bureau…’’ »
 
Deux religieuses, curieuses de la profession, discutent avec une prostituée de la rue.
« – Ainsi, les hommes, pour pouvoir coucher avec vous, ils vous paient ?
– Oui.
– Combien ?
– Ça dépend… 50 €, 100 €.
– Ah oui ? Ah le salopard ! Le curé nous a bien eu, avec ses deux barres de chocolat. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ça fait 17 ans que je suis marié et je suis toujours amoureux de la même femme. C’est-y pas merveilleux ça ?
– Oui, mais si ta femme l’apprend, qu’est-ce que tu vas prendre ! »
 
Les mêmes « philosophent » entre eux.
Comment comprendre les femmes ?
 
« Un point c’est tout » : C’est l’expression favorite utilisée par la femme pour finir une discussion quand elle a raison.
L’homme a alors le devoir de se taire.
 
« 5 minutes » : Si la femme est en train de s’habiller, « 5 minutes » signifie une demi-heure.
« 5 minutes » signifie vraiment 5 minutes si elle a donné à l’homme 5 minutes pour regarder la télé avant de l’aider à ranger la maison.
 
« Rien » : C’est le calme avant la tempête.
Cela signifie « quelques chose ».
L’homme doit rester très prudent.
Les discussions qui commencent par « rien » finissent généralement par « un point c’est tout ».
 
« Vas-y » : C’est un défi pas une permission !
Surtout, ne faites rien.
 
Long soupir : Bien qu’il ne soit pas un mot, le long soupir n’est souvent pas compris par l’homme.
Un long soupir signifie que la femme pense que l’homme est un idiot et qu’elle se demande pourquoi elle perd son temps à discuter avec lui de « rien »
 
« Bon d’accord » :  C’est l’expression la plus dangereuse qu’une femme puisse adresser à un homme.
« C’est d’accord » signifie qu’elle va longuement réfléchir pour savoir quand et comment vous faire payer très cher votre faute.
 
« Merci » : C’est le mot le moins souvent utilisé dans le vocabulaire féminin.
Si une femme vous remercie, ne posez pas de question, prenez seulement conscience de votre chance et quittea la pièce sans un bruit.
 
Jean-Marc raconte à Jean-Paul que :
« L’autre jour, j’arrive à la maison et je suis accueilli par ma femme, habillée seulement de sous-vêtements très sexy et elle tenait deux petites cordes en velours.
‘‘Attache-moi, m’a-t-elle ronronné, et tu peux faire tout ce que tu veux…’’
Donc, je l’ai attachée et suis allé jouer au golf. »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Mon fils m’a demandé ce qu’on devenait une fois qu’on mourrait.
Je lui ai répondu qu’on était enterré, puis que les vers venaient nous bouffer tout entier.
J’aurais peut-être dû lui dire la vérité à savoir que la plupart d’entre nous allait en enfer et brûlait pour l’éternité, mais j’avoue que je n’ai pas voulu lui faire peur. »
 
C’est Germaine, l’épouse de Jean-Marc, qui se plaint à sa copine d’enfance que son mari rentre à la maison trop tard la nuit sans qu’elle ne puisse rien y faire.
La copine lui dit alors :
« Je vais te donner un bon conseil, tu vas faire ce que j’ai fait avec mon mari : Une fois qu’il ouvrait la porte de la chambre pour se coucher alors qu’il était plus de trois heures du matin, je lui ai dit ‘‘C’est toi Jean-Bernard ?’’ »
Alors Germine, incrédule, demande :
« – Et ça, ça a suffi pour le guérir de ses escapades nocturnes ?
– Oui, oui. Il faut dire qu’en fait il ne s’appelle pas Jean-Bernard. Il s’appelle Georges. »
 
On fêtait le 25ème anniversaire du Père Gauthier par un souper d’adieu de sa paroisse.
Un politicien, membre du comité, fut invité pour donner un bref discours.
Comme il tardait à arriver, le prêtre décida d’énoncer quelques paroles pour passer le temps.
« Ma première impression de ma paroisse je l’ai eue avec la première confession que j’ai eu à écouter. J’ai tout de suite pensé que l’évêque m’avait envoyé dans un lieu terrible alors que la première personne me confessa qu’elle avait volé un téléviseur, qu’elle avait volé de l’argent à son père, qu’elle avait aussi volé l’entreprise pour laquelle elle travaillait en plus de tenir des relations sexuelles avec l’épouse de son supérieur. Aussi, à l’occasion, il s’adonnait au trafic de stupéfiants. Et pour terminer, il me confessa qu’il avait transmis une maladie vénérienne à sa propre sœur.
J’étais atterré, apeuré, mais avec le temps, je connus plus de gens et je m’aperçus que tous n’étaient pas ainsi. J’ai vu une paroisse remplie de gens responsables, avec de bonnes valeurs, croyant en la foi. Et c’est pourquoi j’ai vécu les 25 années les plus merveilleuses de mon sacerdoce. »
Au même moment arrive le politicien, qui alors prit la parole. Bien sûr, il s’excusa de son retard et commença son élocution : « Jamais je n’oublierai le premier jour de l’arrivée du Père dans notre paroisse. En fait, j’ai eu l’honneur d’être le premier à me confesser à lui ! »
 
Ça aurait pu être de Vanina (l’épouse de Dumé)
« – Moi, je ne veux pas travailler, et je n’ai pas l’intention de travailler.
– Alors, tu vas faire quoi pour vivre ?
– Je vais me marier…
– Facile. Mais si ton gars ne gagne pas assez d’argent, ou s’il perd son emploi ?
– Je vais prendre deux maris alors… »
 
Jean-Marc, pour sa santé, fait de longues marches, tous les jours.
Son fils, âgé de six ans, reçoit son meilleur ami.
Quand celui-ci voit Jean-Marc partir pour sa marche, il se retourne et dit à son copain : « Toi aussi ton papa n’a plus d’argent pour acheter de l’essence ? »
 
Pépé…
« Moi ma femme ne simule jamais l’orgasme : On ne baise pas. »
 
Une « revenue » :
Une femme nue monte dans un taxi.
Le chauffeur, la regarde intensément, et n’avance pas.
« – Quoi ? T’as jamais vu une femme nue ?
– Si.
– Alors, on avance… »
Le chauffeur ne bouge pas.
« – Hé, c’est quoi ton problème ?
– Ben je ne vois pas où tu vas prendre l’argent pour me payer… »
Dans l’originale, la femme nue commandait un verre au barman.
 
Un gamin, perpétuellement inquiet, demande à ses parents :
« – Est-ce que j’ai été adopté ?
– Pas encore, nous n’avons mis l’annonce qu’hier ! »
 
Jean-Marc et Germaine :
« – Chérie, nous sommes mariés depuis 23 ans, et dès que j’ouvre la bouche, tu me corriges.
– Non ! 24 ans… »
 
Jean-Marc au restaurant :
« – Garçon ! Ça fait une heure que j’attends après mon potage !
– Ah monsieur ! La vie serait tellement belle si tout le monde avait votre patience ! »
 
« La vie est comme un rouleau de papier de toilette ; plus on arrive vers la fin, plus ça va vite ! »
 
Tu sais que tu vis en l’an 2019 quand :
– Par accident, tu tapes ton mot de passe sur le micro-ondes.
– Ça fait des années que t’as pas joué au solitaire avec des vraies cartes.
– T’as une liste de 15 numéros de téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
– T’envoies un mail à ton collègue de bureau juste à côté du tien.
– T’as perdu le contact avec tes amis ou ta famille, parce qu’ils n’ont pas d’adresse courriel.
– T’arrives chez toi après une longue journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au bureau.
– Tu fais le zéro sur ton téléphone du domicile pour prendre la ligne.
– T’es à ton poste de travail depuis 4 ans mais t’as travaillé pour 3 entreprises différentes.
– Toutes les pubs télé ont une adresse web en bas de l’écran.
– Tu paniques si tu sors de chez toi sans portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
– Tu te lèves le matin et la première chose que tu fais c’est de te connecter à Internet avant même de prendre ton café.
– Tu inclines ta tête sur le côté pour sourire 🙂
– Tu lis ce texte et tu souris : Tu sais déjà à qui tu vas renvoyer ce message.
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : Pour votre culture, la bibliothèque de « mon Gardien »
 

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