A-t-on a tous besoin de sourire tous
les jours ?
C’est un couple sans problème qui
roupille.
Il est près de 2 heures du matin et ils
sont plongés dans un profond sommeil.
Ils sont en train de rêver, quand tout
à coup la femme qui devait faire un cauchemar s’écrie :
« Ciel ! Mon mari !!! »
Alors, son époux endormi, pris de
panique, saute du lit et s’enferme dans le placard.
Ce matin sur l’A86, je regarde sur ma
gauche, et je vois une femme au volant d’une décapotable roulant à 100 km/h.
Le visage collé au miroir, elle se met
du mascara avec une main sur le volant.
Je regarde devant moi pendant quelques
secondes, et quand je la regarde à nouveau, elle est à cheval sur la ligne
blanche, s’approchant dangereusement de ma voiture tout en continuant sa
session de maquillage, le visage collé sur le miroir de son rétroviseur.
Je ne suis pas peureux de nature, mais
cette femme m’a fait peur.
Sur le coup, j’en ai laissé échapper
mon rasoir électrique qui a volé sur mon gobelet de café posé entre mes cuisses.
Dans la confusion qui a suivi, j’ai
essayé de redresser l’auto avec mes genoux contre le volant, le pantalon
détrempé de café brûlant.
Dans l’énervement, j’ai lâché mon téléphone
portable qui a glissé dans le reste de mon café, qui a fini de m’ébouillanter
les couilles et tâché jusqu’à mes pompes en daim.
Pendant quelques longues secondes, j’ai
quitté la route des yeux, et VLAN !
Je suis entré dans le kul de la voiture
des policiers devant moi…
Tout ça par la faute d’une femme au
volant !
Des dangers ambulants…
« – Maman, maman ! Raconte
pour moi une histoire !
– Écoute, non, je ne peux pas, je dois
préparer le dîner…
– Maman, maman ! Raconte pour moi
une histoire !
– Bon, bon… Il était une fois…
– Maman, maman ! Est-ce que toutes
les histoires commencent par ‘‘il était une fois’’ ?
– Non ma puce, parfois elles commencent
par ‘‘Chérie, j’ai une réunion ce soir et je dois rester tard au bureau…’’ »
Deux religieuses, curieuses de la
profession, discutent avec une prostituée de la rue.
« – Ainsi, les hommes, pour pouvoir
coucher avec vous, ils vous paient ?
– Oui.
– Combien ?
– Ça dépend… 50 €, 100 €.
– Ah oui ? Ah le salopard ! Le
curé nous a bien eu, avec ses deux barres de chocolat. »
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ça fait 17 ans que je suis
marié et je suis toujours amoureux de la même femme. C’est-y pas merveilleux ça
?
– Oui, mais si ta femme l’apprend,
qu’est-ce que tu vas prendre ! »
Les mêmes « philosophent »
entre eux.
Comment comprendre les femmes ?
« Un point c’est tout » :
C’est l’expression favorite utilisée par la femme pour finir une discussion
quand elle a raison.
L’homme a alors le devoir de se taire.
« 5 minutes » : Si
la femme est en train de s’habiller, « 5 minutes » signifie une demi-heure.
« 5 minutes » signifie vraiment 5
minutes si elle a donné à l’homme 5 minutes pour regarder la télé avant de
l’aider à ranger la maison.
« Rien » : C’est
le calme avant la tempête.
Cela signifie « quelques chose ».
L’homme doit rester très prudent.
Les discussions qui commencent par «
rien » finissent généralement par « un point c’est tout ».
« Vas-y » : C’est
un défi pas une permission !
Surtout, ne faites rien.
Long soupir : Bien qu’il ne soit
pas un mot, le long soupir n’est souvent pas compris par l’homme.
Un long soupir signifie que la femme
pense que l’homme est un idiot et qu’elle se demande pourquoi elle perd son
temps à discuter avec lui de « rien »
« Bon d’accord » : C’est l’expression la plus dangereuse qu’une
femme puisse adresser à un homme.
« C’est d’accord » signifie qu’elle va
longuement réfléchir pour savoir quand et comment vous faire payer très cher
votre faute.
« Merci » : C’est
le mot le moins souvent utilisé dans le vocabulaire féminin.
Si une femme vous remercie, ne posez
pas de question, prenez seulement conscience de votre chance et quittea la
pièce sans un bruit.
Jean-Marc raconte à Jean-Paul que :
« L’autre jour, j’arrive à la
maison et je suis accueilli par ma femme, habillée seulement de sous-vêtements
très sexy et elle tenait deux petites cordes en velours.
‘‘Attache-moi, m’a-t-elle ronronné, et
tu peux faire tout ce que tu veux…’’
Donc, je l’ai attachée et suis allé
jouer au golf. »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Mon fils m’a demandé ce qu’on
devenait une fois qu’on mourrait.
Je lui ai répondu qu’on était enterré,
puis que les vers venaient nous bouffer tout entier.
J’aurais peut-être dû lui dire la
vérité à savoir que la plupart d’entre nous allait en enfer et brûlait pour
l’éternité, mais j’avoue que je n’ai pas voulu lui faire peur. »
C’est Germaine, l’épouse de Jean-Marc,
qui se plaint à sa copine d’enfance que son mari rentre à la maison trop tard
la nuit sans qu’elle ne puisse rien y faire.
La copine lui dit alors :
« Je vais te donner un bon
conseil, tu vas faire ce que j’ai fait avec mon mari : Une fois qu’il ouvrait
la porte de la chambre pour se coucher alors qu’il était plus de trois heures
du matin, je lui ai dit ‘‘C’est toi Jean-Bernard ?’’ »
Alors Germine, incrédule, demande :
« – Et ça, ça a suffi pour le
guérir de ses escapades nocturnes ?
– Oui, oui. Il faut dire qu’en fait il
ne s’appelle pas Jean-Bernard. Il s’appelle Georges. »
On fêtait le 25ème anniversaire
du Père Gauthier par un souper d’adieu de sa paroisse.
Un politicien, membre du comité, fut
invité pour donner un bref discours.
Comme il tardait à arriver, le prêtre
décida d’énoncer quelques paroles pour passer le temps.
« Ma première impression de ma
paroisse je l’ai eue avec la première confession que j’ai eu à écouter. J’ai
tout de suite pensé que l’évêque m’avait envoyé dans un lieu terrible alors que
la première personne me confessa qu’elle avait volé un téléviseur, qu’elle
avait volé de l’argent à son père, qu’elle avait aussi volé l’entreprise pour
laquelle elle travaillait en plus de tenir des relations sexuelles avec
l’épouse de son supérieur. Aussi, à l’occasion, il s’adonnait au trafic de
stupéfiants. Et pour terminer, il me confessa qu’il avait transmis une maladie
vénérienne à sa propre sœur.
J’étais atterré, apeuré, mais avec le
temps, je connus plus de gens et je m’aperçus que tous n’étaient pas ainsi.
J’ai vu une paroisse remplie de gens responsables, avec de bonnes valeurs,
croyant en la foi. Et c’est pourquoi j’ai vécu les 25 années les plus
merveilleuses de mon sacerdoce. »
Au même moment arrive le politicien,
qui alors prit la parole. Bien sûr, il s’excusa de son retard et commença son
élocution : « Jamais je n’oublierai le premier jour de l’arrivée du Père
dans notre paroisse. En fait, j’ai eu l’honneur d’être le premier à me
confesser à lui ! »
Ça aurait pu être de Vanina (l’épouse
de Dumé)
« – Moi, je ne veux pas
travailler, et je n’ai pas l’intention de travailler.
– Alors, tu vas faire quoi pour vivre ?
– Je vais me marier…
– Facile. Mais si ton gars ne gagne pas
assez d’argent, ou s’il perd son emploi ?
– Je vais prendre deux maris alors… »
Jean-Marc, pour sa santé, fait de
longues marches, tous les jours.
Son fils, âgé de six ans, reçoit son meilleur
ami.
Quand celui-ci voit Jean-Marc partir
pour sa marche, il se retourne et dit à son copain : « Toi aussi
ton papa n’a plus d’argent pour acheter de l’essence ? »
Pépé…
« Moi ma femme ne simule jamais
l’orgasme : On ne baise pas. »
Une « revenue » :
Une femme nue monte dans un taxi.
Le chauffeur, la regarde intensément,
et n’avance pas.
« – Quoi ? T’as jamais vu une
femme nue ?
– Si.
– Alors, on avance… »
Le chauffeur ne bouge pas.
« – Hé, c’est quoi ton problème
?
– Ben je ne vois pas où tu vas prendre
l’argent pour me payer… »
Dans l’originale, la femme nue commandait
un verre au barman.
Un gamin, perpétuellement inquiet,
demande à ses parents :
« – Est-ce que j’ai été adopté
?
– Pas encore, nous n’avons mis l’annonce
qu’hier ! »
Jean-Marc et Germaine :
« – Chérie, nous sommes mariés
depuis 23 ans, et dès que j’ouvre la bouche, tu me corriges.
– Non ! 24 ans… »
Jean-Marc au restaurant :
« – Garçon ! Ça fait une heure
que j’attends après mon potage !
– Ah monsieur ! La vie serait tellement
belle si tout le monde avait votre patience ! »
« La vie est comme un rouleau
de papier de toilette ; plus on arrive vers la fin, plus ça va vite ! »
Tu sais que tu vis en l’an 2019 quand :
– Par accident, tu tapes ton mot de
passe sur le micro-ondes.
– Ça fait des années que t’as pas joué
au solitaire avec des vraies cartes.
– T’as une liste de 15 numéros de
téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
– T’envoies un mail à ton collègue de
bureau juste à côté du tien.
– T’as perdu le contact avec tes amis
ou ta famille, parce qu’ils n’ont pas d’adresse courriel.
– T’arrives chez toi après une longue
journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au
bureau.
– Tu fais le zéro sur ton téléphone du
domicile pour prendre la ligne.
– T’es à ton poste de travail depuis 4
ans mais t’as travaillé pour 3 entreprises différentes.
– Toutes les pubs télé ont une adresse
web en bas de l’écran.
– Tu paniques si tu sors de chez toi
sans portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
– Tu te lèves le matin et la première
chose que tu fais c’est de te connecter à Internet avant même de prendre ton
café.
– Tu inclines ta tête sur le côté pour
sourire 🙂
– Tu lis ce texte et tu souris : Tu
sais déjà à qui tu vas renvoyer ce message.
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : Pour votre culture, la
bibliothèque de « mon Gardien »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire