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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 3 novembre 2019

Changement de fuseau horaire…

Encore une fois, je me suis planté !
 
Vous l’avez peut-être noté. D’habitude je poste mes « billets » la veille au soir (ou plus tôt dans la matinée) pour une mise en ligne le lendemain à 6 heures et une minute.
Pourquoi cette habitude ?
Bé parce que je me lève à cette heure-là et que je peux alors basculer sur « Fesses-book » un lien que va lire ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer quand même…) une demi-heure plus tard, avant de courir vers son taff.
Ça fait au moins une lectrice.
 
Une habitude, notamment depuis que « Gogol-blog » a effacé toutes les adresses « d’abonnés » les avertissant d’un nouveau post-en-ligne.
Ils font le ménage sans prévenir que tout le monde doit se réinscrire à la « newsletter », quand ce tout le monde y pense.
Les dégâts au niveau de l’audience, je ne vous dis pas : Mais ça n’a aucune importance pour mon égo-personnel…
 
Ceci dit, j’ai quand même eu un problème quand je divaguais en « Grande-Britannie », parce que le décalage horaire est quand même de l’ordre d’une heure bien sonnée entre le continent et les anglais, même si les deux pays sont globalement alignés sur la même longitude.
En « Gauloisie-horaire », on aime bien se rappeler que nous en sommes restés à l’heure de Berlin, une scorie persistante de l’occupation nazie.
Depuis, je persiste à me caler sur le méridien de « Paris-sur-la-Plage ».
Sauf que…
 
Sauf qu’au dernier basculement de l’heure d’hiver à l’heure d’été, j’ai regardé mon éphéméride qui m’indiquait de retirer une heure.
Ce que j’ai fait : Au lieu de 6 heures du mat’, j’ai programmé bien sagement mes « posts du lendemain » à 5 heures du mat’.
Logique avec moi-même.
L’éphéméride initial est restée en « Perfide Albion » et dans celui que j’utilise sur le continent, il est marqué « – 1 h ».
Ce qui est juste : À 3 heures il était tout d’un coup 2 heures du mat’.
Et moi, konnement dois-je avouer, j’ai programmé mes posts une heure avant, soit 4 heures 01 du matin !
Ce qui ne change rien à mes « petites-manipes » sur « Fesses-book »…
Que je remets donc ma complainte biannuelle : Quand donc vais-je finir avec l’heure d’Honolulu à ce rythme-là ?
 
Heureusement, « ils » ont pensé à moâ et se sont décidés, je ne sais pas quand, de plus jouer avec les horloges.
Seulement voilà, comme dans les années 70, ça vire au cauchemar !
 
La suppression du changement d’heure annoncée depuis plus d’un an ne passe pas. Car c’est compliqué de supprimer ce changement d’heure.
Pas avant 2021 en théorie, parce que l’année prochaine encore, on va passer à l’heure d’été en mars prochain !
Diabolique…
 
Le changement d’heure est contesté, pour ses conséquences sur la santé et son faible impact sur les économies d’énergie, la Commission européenne s’était prononcée en 2018 pour la suppression du changement d’heure en 2019, après une consultation publique. 4,6 millions d’Européens y ont répondu et 84 % se sont déclarés en faveur de la suppression du changement d’heure saisonnier.
Bé c’est parti pour durer au moins autant que les délires du Brexit…
Ou peut-être moins…
Car en mars 2019, le Parlement européen s’est lui aussi prononcé en faveur de la suppression du changement, mais à l’horizon 2021, pour laisser le temps aux États de choisir leur fuseau horaire, pour conserver l’heure d’été ou l’heure d’hiver. Un choix que les membres doivent notifier avant le 1er avril 2020.
 
« Mais pour l’instant rien n’est adopté, le texte est toujours en négociation entre le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne » explique une députée « LREM-même-pas-en-rêve » qui préside aux destinées de la commission des affaires européennes à l’Assemblée nationale.
C’est donc toujours la directive 2001, obligeant les États européens à changer d’heure le dernier week-end de mars et le dernier week-end d’octobre, qui s’applique. Un système qui permet aujourd’hui à 73 % d’européens de vivre sur le même fuseau horaire en dit-elle.
Elle ne doit pas beaucoup voyager…
 
Et si le sujet peut paraître anecdotique, il pose tout un tas de questions complexes, biologiques, mais aussi culturels et économiques.
Lors du dernier Conseil européen, le 7 juin dernier, un document du service juridique a été mis en avant pointant l’absence d’étude d’impact de cette suppression, selon la présidente de la Commission transports au Parlement Européen.
« La commission transport a eu raison de repousser à 2021, il est nécessaire d’évaluer l’impact économique ». Autant de questions qui ont poussées la Commission à demander que les États se coordonnent, pour assurer le « bon fonctionnement du marché unique ».
Où ça va se nicher…
 
« Il y a effectivement besoin d’harmonisation, sinon on risque de se retrouver avec un patchwork de fuseaux horaires impossible. Il faut aussi éviter un cauchemar logistique pour le ferroviaire, l’aviation… (les horaires des bars, les navires et péniches) et puis faire attention aux salariés transfrontaliers qui ne peuvent pas vivre sur deux fuseaux ».
Mais si : Je l’ai bien fait. Et puis ils n’ont qu’à rester au chaud chez eux et faire bosser un robot à leur place, non ?
Mais les discussions entre États au Conseil de l’Union européenne patinent.
Si la majorité des États reconnaît le bien-fondé de la suppression, certains considèrent que la question sort des compétences de l’Union européenne, comme l’Italie.
D’un autre côté, certains membres ont déjà pris position publiquement en faveur de l’heure d’été, comme l’Allemagne, Chypre, la Pologne ou le Portugal, alors que les Belges, les Finlandais ou les danois sont favorables à l’heure d’hiver…
On ne sait pas pourquoi, à vrai dire.
 
C’est bien là que si situe le nœud de cet imbroglio européen : Chacun est supposé libre du choix de son fuseau, mais comment harmoniser les contraintes et les choix de chaque pays ?
Et alors quel fuseau horaire pour la « Gauloisie-atemporelle ?
Début 2019, l’Assemblée nationale a organisé une consultation publique ayant recueilli plus de 2 millions de réponses. Résultat : Les participants étaient 84 % à vouloir la suppression du changement d’heure et près de 60 % demandaient à rester à l’heure d’été.
Avec ses promesses d’apéros tôt au soleil en fin d’après-midi.
Les autres n’avaient qu’à pas rester muets…
Les bains de minuit se feraient alors à deux heures du matin, heure solaire…
Sympa !
 
Pour les partisans de l’heure d’été, un ensoleillement prolongé le soir en hiver aurait des effets bénéfiques : Lutter contre la dépression saisonnière, favoriser la pratique du sport, profiter des longues soirées d’été…
Mais pour les partisans de l’heure d’hiver, celle-ci permettrait de se rapprocher de l’heure solaire dans l’hexagone (une heure de décalage au lieu de deux pour celle d’été) et du rythme biologique humain.
Le vice-président UDI du sénat préfère d’ailleurs parler « d’heure naturelle ». « Parler d’heure d’été ou d’hiver perturbe le débat, les gens vont naturellement vers l’été », souligne-t-il. En heure d’été toute l’année, les habitants de la façade Atlantique verraient le soleil se lever à 10 heures en hiver comme je l’avais déjà souligné.
« Ce serait très compliqué pour les gens qui travaillent tôt, comme les agriculteurs ou dans le BTP ».
Mais pour l’instant la décision semble rester bloquée au niveau européen.
« J’aimerais bien comprendre le processus de décision. Le processus choisi par le gouvernement n’est pas assez clair et que tout le monde soit dans le flou ce n’est pas normal ».
« Je ne suis pas sûr qu’il y ait un vote au final. Je pense que la décision peut être prise au niveau du gouvernement » et probablement il s’attend au pire, comme d’habitude.
 
Pas sûr non plus que la situation se débloque d’ici le 1er avril prochain. « Ma commission va relancer le sujet. Pour l’instant il n’y a pas de commission européenne. Junker avait dit ‘‘oui l’Europe mettra fin au changement d’heure’’. On verra si la future Commission tient cet engagement », conclue de son côté l’eurodéputée.
 
En conclusion, je ne serai pas étonné de perdre encore une heure au printemps quant à la mise en ligne de mes posts.
Je vais finir comme « Le Monde » qui date du lendemain ses numéros du jour…
Dommage, j’exècre ce quotidien (une vieille histoire personnelle concernant l’auteur de mes jours, mon « Papa-à-moâ », celui qui me fait encore frémir quand je l’évoque…)
 
Bonne journée tout de même à toutes et tous !
 
I3

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