Je vous prie de bien
vouloir me pardonner…
Avertissement : Vous l’aviez compris,
ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle »,
sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des
actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie
lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc
purement, totalement et parfaitement fortuite !
… d’avoir bâclé la fin de ce roman : il me
sortait par les yeux !
Un vrai supplice…
Je vous explique : normalement il avait été conçu
comme ne devant faire « que » moins de quarante chapitres d’environ 2
à 3.000 mots chacun et son objectif était de reprendre les suites des
détournements massifs d’argent « public » des acteurs de la guerre du
Koweït de 1990/1991.
Rapidement, je me suis rendu compte qu’il dépasserait
les 60 chapitres, tel que j’ai commencé sa mise en ligne le 5 juin 2016 pour
terminer de façon prévisionnelle – à l’époque – autour du début septembre 2016.
Pas de chance de 60, puis 64, puis 70 et enfin 77
chapitres, même en faisant des chapitres de plus de 5.000 mots, on en est
arrivé à la mi-janvier 2017 !
Pas croyable…
C’est qu’à force de vouloir être
« complet », il a fallu rajouter quantité d’informations qui n’étaient
pas prévues à l’origine, jusqu’à aboutir, en final, à l’explication du titre
lui-même, « Laudato si… » qui fait directement référence à
l’encyclique du Pape François.
Je l’ai lue et c’était une évidence : celui-là
parlait de l’avenir, de l’homme sur sa planète, de sa planète.
Alors certes, ce n’est pas la première fois qu’un pape
catholique nous cause de l’homme, de la vie spirituelle de la « créature
Divine », mais pas comme ça de l’avenir de son « jardin
d’Éden ». Il était forcément « inspiré ».
Pour le Chrétien-croyant, l’Esprit-Saint inspire les humains au
moins depuis la Pentecôte, le troisième personnage de la Sainte-Trinité (le
Père, le Fils, le Saint-Esprit).
Quand on n’est pas croyant (en tout cas « pas croyant »
comme moi au dogme officiel résumé dans le Credo…), c’est qu’il y a une autre
explication logique.
Certes, l’intelligence-en-marche peut
« construire » une explication à cette encyclique, comme il peut déjà
exister nombre de « spéculations » ésotériques par ailleurs, je n’en
disconviens pas, mais comme par ailleurs j’avais introduit dans le précédant
volume des « Enquêtes
de Charlotte » la notion que de « Mains invisibles » venues
du futur pour « inspirer » les hommes du présent (comme probablement
de notre passé qui est aussi le leur et qui aboutit à construire « leur
présent ») – pas tous, mais quelques poignées – le lien était donc assez
facile pour un « auteur-plumitif » comme moi, sans imagination
aucune, de faire la liaison…
Par ailleurs, il manquait une explication rationnelle
à toutes ces corruptions qui surgissent au fil de l’actualité, un peu partout
autour de la planète : elles ont pour origine des « pillages »,
illégaux, mais qui s’auto-légitiment les uns les autres au fil du temps :
un comportement largement partagé jusqu’aux « élites » qui me
questionne tous les jours.
C’est que des pillages, au fil de mes recherches, je
me suis aperçu qu’il y en a eu bien plus que je ne l’avais imaginé de prime
abord avec « Opération
Juliette-Siéra ».
En revanche, il fallait se tenir prêt à une révélation
anté-campagne électorale qui devait bouleverser « l’ordre naturel des
choses » de la politique à travers une révélation, au moins en « Gauloisie-contemporaine »
et s’étendre sur toute la planète à travers l’affaire des
« Panama-papers » qui surgissait « par hasard » au fil de
l’écriture.
Un élément de plus, qui en rajoutait à intégrer dans
le corpus en cours…
Car, nous avons pu (nous, enfin… surtout le « Capitaine haddock »
tellement ma propre contribution reste modeste) reconstituer les événements au
moins en « Gauloisie ».
Je vous explique en deux quelques mots :
Premier
épisode : L’Irak de Saddam Hussein se croit autorisé à envahir le Koweït en
août 1990, la faute à une « maladresse » de l’ambassadrice US à
Bagdad, les puissances occidentales s’inquiétant au moment même où le mur de
Berlin vient de tomber.
– Analyse servie à l’opinion : on ne peut
pas laisser en l’état une violation flagrante du droit international
public ; il faut réagir.
– Analyse servie aux experts : le Pacte de
Varsovie ayant été dissout, le « gendarme du monde » que sont les USA
a les « mains-libres » et se cherche un nouvel « ennemi ». Or,
l’action de Saddam met en péril les monarchies pétrolières et donc menace les
intérêts américains et occidentaux, ce qui pourrait bouleverser le monde
émergeant à peine de la crise de 1974.
– Aspect resté secret : une partie du
trésor koweïtien est déjà entre les mains des occidentaux. 45 milliards de
dollars, répartis entre USA, GB et France. Dès le premier jour des assauts.
Ce qui paye par avance les frais d’une campagne
militaire en retour.
Il me fallait vous l’expliquer et vous décrire
comment.
J’ai donc recherché le déroulé complet des opérations (un
sacré boulot d’archiviste…) et y ai introduit mes
« personnages-en-action » en vous le rapportant.
C’est la première partie, purement
« romanesque » où je fais reprendre du service aux « mains
invisibles », de celles qui possèdent une technologie assez avancée pour
voyager sur la flèche du temps : l’avenir, notre avenir !
Facile puisque comme je viens de le dire, j’avais déjà
introduit cette possibilité … « futuriste » dans « Mains
invisibles – tome II » en explication du premier
« opus » de la série, sur une idée de mon « Beauf’ »,
le philosophe de la famille (qui lui s’en remet aux dieux grecs : il est
grec et très fier de l’être…).
Il me suffisait de faire « la liaison » avec
mes personnages « habituels ».
Pas trop compliqué jusque-là.
Sauf que sur ma lancée, je me mêle, comme à mon
habitude, de mélanger « faits réels » (et avérés) avec la fiction-romanesque
et je perds un temps fou à vous faire la relation des événements-terrain :
c’est qu’il est important, pour comprendre, d’arriver à février 1991, où, très
officiellement l’Émir
du Koweït fait un don d’un milliard de dollar à la France !
Et alors, là ?
Pourquoi à la France et pas aux autres membres de la
coalition que je vous demande-je un peu ?
Très logiquement, parce que ce milliard avait été
détourné par le président d’alors et que personne n’avait rien vu.
D’ailleurs, questionnés par des députés de divers
bords, les ministres actuels cherchent encore et toujours tout en étant bien
incapables d’en retrouver trace en comptabilité publique alors même qu’ils
admettent au moins implicitement et quasiment depuis les débats sur le budget
1992 que le pays a été largement défrayé (plus
de 10 milliards de francs de l’époque) : c’est marqué comme ça dans les JO des débats du
moment (et plus contemporains) que je vous reproduis au fil de ce récit.
Et pourquoi faire un don de ce que vous n’avez plus
puisqu’on vous l’a piqué ?
Mais parce que ces fonds détournés, le président ne
comptait pas les rendre : et le dénoncer l’aurait ridiculisé à la face du
monde, tel un gamin pris la main dans le pot-de-confiture !
D’autant qu’il n’était pas tout seul à l’avoir fait…
Il valait mieux, pour l’Émir, s’en faire un allié au
moins jusqu’à la libération effective de son pays et de son trône. Ce qu’il a logiquement
fait…
Et vous aurez noté que depuis, la France était comme
« en froid » avec l’émirat, sauf depuis la commande d’hélicoptères
toute récente obtenu un quart de siècle plus tard – alors que nos marchands de
canons équipent toute la péninsule – un autre mystérieux revirement à
expliquer.
Là, j’ai prolongé jusqu’à la récupération et la
restitution des diamants volés que je n’avais pas du tout envisagé au
démarrage. Le vol oui, par William River (une « fiction » bien
entendu) mais la restitution, non (les derniers chapitres récents) !
Deuxième
étape : l’escroquerie Ferrayé.
Là encore, une affaire fortement documenté sur le web
et par quelques ténors « avocalieux » dont un qui fait désormais
« député-BBR » : je n’invente rien.
Le procédé inventé par Joseph Ferrayé, pour éteindre
les puissants incendies de puits de pétrole en quelques mois, est pillé à
l’INPI par une compagnie pétrolière française aujourd’hui disparue, liquidée,
oubliée, enterrée et pour cause.
Et cette opération, là encore très documentée sur le site du camarade « Basanix » et quelques autres, fait
l’objet d’une double escroquerie : la première est un pur produit local,
je dirais même « en famille » aidée probablement par la CIA qui
faisait alors la loi dans le pays libéré ; et la seconde en France, via le
ministre de l’économie et de l’industrie de l’époque, futur écroué depuis un
Sofitel New-Yorkais pour un éjaculat raté, qui est partiellement dénouée en
Suisse.
Là, je vous en ai fait « mon
premier-roman » qui explique comment a été financé le
« Grand-emprunt » de 35 milliards d’euros, annoncé en grande pompe
fin 2009, après un « plan de relance » de 26 milliards qui avait fait
« flop »…
Pourquoi un emprunt ? Pour en faire quoi ?
Pourquoi ce montant ?
Nous attendions 100 ou 50 milliards avec souscription
populaire. Non : 35 empruntés sur les marchés !...
Curieux le président du moment.
Pour en faire quoi ?
– Analyse servie à l’opinion : il le dit
lui-même, pour un tiers en remboursement
de dettes arrivées à échéance, un tiers pour investir dans des projets
d’avenir et un tiers… pour plus tard !
Il me suffisait de coller à sa déclaration pour
comprendre ce que personne n’a compris…
Et attend, il se mêle de faire le boulot quotidien de
l’agence France-Trésor, maintenant, le « boss » ?
– Analyse restée secrète : pour rembourser
les américains de l’avance faite au koweïtiens qui veulent bien payer une fois,
mais pas deux, le prix de l’extinction de leurs puits de pétrole en feu, pardi.
Ce que refusait de faire son prédécesseur et que son
premier ministre de cohabitation, promu à l’occasion d’une « divine-dissolution »
à froid, pourtant sollicité par les koweïtiens refusait également de faire, « sous
réserve d’inventaire », n’ayant pas du tout envie de très courageusement se
brûler les doigts avec cette patate-brûlante-là…
Là encore, en 2009 comme en 1992, puisque les fonds
ont été détournés par les quelques-uns dans « le secret », pas
question de les restituer autrement que de façon dissimulée, bien évidemment.
J’espère qu’après ça, vous comprendrez un peu mieux
les tréfonds de la vie politique de mon pays (celui que j’aime tant et qui me
le rend si mal…).
Dans « Mains
invisibles » (tome I), je vous explique qu’il y avait des queues et
des complicités, pas très nombreuses mais au plus haut niveau, de
« survivants » qui se font à leur tour dépouiller au profit de la
République.
C’est toujours un roman, mais uniquement basé sur des
faits réels et vérifiables par vous-même (souvenez-vous des 2 milliards que
devait ramener « Déesse-Khâ » dans sa nouvelle banque alors qu’il n’y
en aura rien été).
Le tome suivant n’apporte rien de plus, alors qu’il me
restait à régler le sort des « autres détournements ».
Qui n’est d’ailleurs pas définitivement réglé à
l’issue du présent volume, « Laudato si… » pour les raisons exposées
tout au long de ses chapitres.
Et
troisième étape : la série d’attentats qui déchire mon pays. Un, les
« Charlie », « l’hyper-cacher », admettons.
La réaction internationale a été brutale et unanime
dans sa démonstration de solidarité.
Souvenez-vous-en…
– Analyse servie à l’opinion : Daech est
l’ennemi déclaré. On va lui faire la guerre.
Ah oui, mais avec le temps, on se rend compte que ce
serait plutôt El Qaïda qui servait de fausse bannière. Or, l’EI est
salafiste-sunnite et El Qaïda plutôt chiite, notamment au Yémen (là, c’est
sûr) : en bref, si ces mouvements sont « cousins », ils ne
peuvent pas se supporter, notamment en Syrie et en Irak avec Al Nostra et
compagnie où ils ne se font pas de cadeau.
– Analyse servie aux experts : ce
terrorisme-là est armé avec des flingues qui viennent d’Europe de l’est, plus
exactement des Balkans, via des réseaux « nationalistes »…
L’enquête de police l’aura démontré.
– Analyse secrète : on est face à une
entreprise de déstabilisation beaucoup plus vaste qui vise au démantèlement de
l’Europe. Elle gêne quelques hyperpuissances contrariées dans leur sphère
d’influence.
Et le maillon faible, c’est le président français…
alors on en remet un dose et ce sera le 13 novembre 2015 et encore le 14 et sa « réplique »
du 26 juillet 2016.
D’ailleurs, depuis que le président a annoncé qu’il
renonce à un second mandat, on change de pays-cible et on s’attaque au maillon
fort de l’Europe qu’est l’Allemagne…
Là, deux explications qui se complètent :
1) La pression est retombée, les élections qui viennent
sont de toute façon « sous influence » et plus personne n’envisage de
faire remonter les affaires de détournement des années 1990 et 1991 : pas
la peine et trop dangereux ;
2) Le dispositif de surveillance anti-terroriste s’est
considérablement renforcé et gêne les opérations terroristes qui ont dégénérées
jusqu’en Belgique…
Par ricochet.
Ceci dit, quatrième
épisode, je suis personnellement témoin de plusieurs faits qui n’auront reçu
aucune explication.
Pas des explications « suspectes », non, « aucune »
explication !
1) – Le 4 décembre 2015, je suis en déplacement à
Londres malgré ma
longue cicatrice toute neuve qui me déchire le flanc. Et là, sur le
Westminster-Bridge, je suis le témoin étonné d’une opération de police qui
déplace plusieurs hélicoptères, quantité de forces de l’ordre, plus des
pompiers et de nombreuses ambulances.
En soi, rien d’important, sauf qu’il n’en est
nullement fait une relation quelconque, même infime, dans les médias locaux…
Tous ne parlent que des inondations dans le nord du pays et de rien
d’autres !
Plus curieux encore, le lendemain, un cinglé
« islamiste » isolé agresse, comme d’une réplique et au couteau,
quelques « passants-qui-passent » dans le métro en banlieue nord-est
de la ville et là … on en a plein les journaux et médias durant plusieurs
jours !
Curieux, n’est-ce pas ?
2) – Début juillet 2016, un
de mes « cousins » sis à Calvi, gendarme réserviste en retraite
me dit, par hasard, qu’il est « rappelé » ! Urgence attentat
dans le sud de la France qui mobilise tous les effectifs disponibles…
C’est tellement urgent que le Maire de Calvi annule,
et le fait savoir, le tir du feu d’artifice du soir, pour soi-disant des motifs
météorologiques (trop de vent) et le reporte le lendemain (qui sera finalement
reporté au 15 août).
Le vent a bon dos : il tombe systématiquement
deux heures après le coucher du soleil.
Et le même vent à Nice n’annule d’ailleurs pas le tir
prévu et vous connaissez la suite…
Depuis, on peut comprendre l’attitude post-attentat du
maire de cette ville et de ses services de police municipale, qui seront furieux
d’avoir dû laisser la population à la portée d’un camion-bélier imprévisible…
Peut-être pas pour tout le monde, finalement.
Bref, dans les deux cas, il s’est passé quelque chose
que les autorités ne veulent pas dévoiler à l’opinion publique.
Et dans l’urgence, il me fallait « adapter »
mon récit à ces éléments nouveaux et inattendus.
Ce que j’ai fait vaille que vaille en
« inventant » la CISA (Charlotte Intelligence & Security Agency),
déjà amorcée depuis l’origine, et son logiciel de « croisement » de
données personnelles qu’il m’a fallu « inventer » sur le pouce dans
la plus grande improvisation.
Confirmé par la suite avec le grand fichage
« légalisé » par
voie de décret pris en catimini au profit des services de renseignements
(DGSI, DGSE et autres).
On peut dire que j’ai eu le nez creux…
Et alors là, délire de chapitres-nouveaux : tout d’un
coup, il a fallu en rajouter et en rajouter pour retomber « sur mes
pieds » avec la traque des tueurs lancés par River pour
« effacer » Paul, Jenkings et Harrison n° 4 et leurs informations
« sensibles » sur le sort du camion du billets de banque extrait du
Koweït 25 ans plus tôt.
Du coup et sauf à en rajouter encore une tripotée
(j’en ai environ 50 pages sous Word…), l’objectif de remettre la main sur
l’argent de ce « hold-up », forcément lié peu ou prou aux élections
présidentielles américaines, tombe à l’eau : ça tombe bien, malgré les
« Panama-papers », l’affaire n’est pas « sortie », pas plus
que celle des « milliards
volés de la division Daguet » à l’occasion des primaires et élections
françaises…
Deux objectifs loupés dans ce roman :
« l’inspiration » papale et le recel des milliards koweïtiens volés.
Je vous prie de bien vouloir m’en excuser définitivement,
SVP !
Ceci dit, le logiciel de la CISA dont il est encore
question jusqu’au bout de cet opus, m’ouvre de nouvelles perspectives que je
n’avais pas imaginées précédemment : enfin un outil « efficace »
contre le terrorisme et la possibilité de me consacrer dans le futur à ce que
j’ai toujours voulu écrire depuis mon adolescence, à savoir des résolutions
d’énigmes en tout genre.
Je ne sais pas aujourd’hui quelle forme cela va
prendre, mais depuis tout jeune, j’ai une sainte horreur de ces
« romans » dits « policiers » où, que ce soit chez
Agata-Christie, Simenon, Maurice Leblanc et Arthur Conan Doyle pour n’en citer
que quelques-uns parmi les plus talentueux, l’énigme proposée ne permet pas d’être résolue dès les
premières pages.
Ou alors elle est révélée dès les premières minutes,
comme dans la série Colombo, et tout le sel du récit tient seulement dans la
façon dont le coupable se fait piéger.
Moi, je rêve de vous donner tous les éléments dès les
premiers chapitres et de vous laisser suivre les méandres d’une enquête qui va
bien vous mélanger le fatras des indices laissés dès le début.
Un peu comme dans la série « Missions
Impossibles », sauf que celle-là n’est pas crédible : celui qui
réussit, ce n’est jamais celui qui est « parfait » pour avoir tout
prévu dès l’origine, mais seulement celui qui fait le moins d’erreurs.
La vie m’aura au moins appris ça…
Je vous laisse avec ça et on verra bien ce que je
pourrai en tirer.
Plus tard : là, il faut que je bosse un peu.
Bien à vous et merci à toutes et tous de m’avoir suivi
jusque-là.
I3
Vous n’avez pas à vous faire pardonner !...
RépondreSupprimerC’est à nous de vous remercier pour ce roman, et cette synthèse, et pour les multiples explications et analyses présentées sur la situation politique de notre pays, sur le fonctionnement de notre société dont de nombreux faits sont soigneusement cachés au public pour la tranquillité des mafieux qui nous gouvernent.
Parce que ce n’est pas brillant, et que si nous n’avions pas des interventions de « Mains invisibles », peut-être venant de notre futur à nous, l’avenir de notre pays, de notre planète, serait bien compromis.
Encore merci !...
C’est repris sur le site Alerte éthique :
http://www.alerte-ethique.fr/
Bien à vous !...
Haddock
Ah oui ! ... Je redécouvre votre second site, celui "expatrié" (pour échapper à toute censure, si je me souviens bien) : Pas mal, pas mal du tout !
SupprimerCeci dit, vous êtes gentil, mais si moi-même et mon pôvre unique-neurone peut vous présenter toute cette "mise en musique" officielle qui cache la réalité de ce monde contemporain, n'importe qui d'autre peut le faire, avec deux sous de bon sens et quelques informations "recoupées".
Pas compliqué : la preuve !
Les "romans" viennent là pour compléter et expliquer les incohérences qui traînent encore, mais comme c'est "invérifiable" en l'état, ça prend forcément le caractère d'un "roman-inventé"...
Aussi simple que cela !
Ce qui reste étonnant toutefois, c'est que l'emprise de "Big-Nrother" est telle sur l'opinion publique en générale - et dans bien d'autres aspects - que jamais personne ne tente de vérifier ne serait-ce que la cohérence des hypothèses que j'y émets, pour les conforter ou au contraire les détruire.
Et souvenez-vous, en revanche, "l'autorité" est capable de m'envoyer leur cyber-flics jusque sous mes fenêtres pour espionner mon clavier !
C'était en 2010.
Une époque où j'étais inquiet pour ma pomme et celle de "ma nichée", obligé de fuir provisoirement jusque sous les tropiques.
Depuis, je suis "insaisissable", basé en Ritalie, mais pas forcément à l'abri d'une balle perdue.
Et j'en pense que si je suis encore en vie, c'est que les "Maîtres de ce monde" de "mafieux" qui dépouillent les peuples pour se maintenir au sommet d'une hiérarchie "démocratique", ont dû juger que comme beaucoup, mes "petits-écrits" ne sont absolument pas dangereux puisqu'ils ne sont pas lus.
Au dernier comptage, plus de 37.000 personnes sont pourtant passés lire au moins un chapitre de ce roman, au moins une fois/jour.
Soit moins de 500 personnes au total sur la planète : Pas grand chose (et c'est tant mieux !).
Ceci dit, j'espère pouvoir "passer à autre chose" : Tout cela n'est ni ma vocation ni mon ambition.
A d'autres de prendre le relai !
Et merci à vous pour toutes "les pistes" que vous avez pu fournir, même sans le vouloir, à mon "unique-neurone" !
Bien à vous !
I-Cube