On
touche presque à la fin… de ma saison !
Deux amies discutent :
« –
Tu sais, ma mère conserve précieusement dans un médaillon une mèche de cheveux
de papa.
– Ah
bon ? Ton père est mort ?
– Non,
il est chauve. »
Deux amis, un Écossais et un juif vont manger
dans un restaurant très chic.
Le repas est copieux et les mets raffinés.
Lorsque la serveuse arrive avec l’addition,
bien salée, l’Écossais dit :
« C'est
pour moi. »
Et il paie effectivement.
Le lendemain matin, on peut lire à la une du
journal local :
« UN
VENTRILOQUE JUIF RETROUVÉ ASSASSINÉ DANS UNE RUELLE »
Le directeur d'une entreprise vient de mourir
d'une crise cardiaque.
Jean-Marc voit dans ce triste
événement l'occasion inespérée d'une promotion.
Il demande un rendez-vous au PDG et lui dit
sans détour :
« –
Je prendrais bien la place de mon défunt collègue.
– Cela
ne dépend pas de moi, cher ami. Arrangez-vous avec le responsable du
cimetière ! »
Une patiente s'énerve :
« –
Mais enfin, docteur, je vous dis que je suis malade et vous vous contentez de
me répondre que j'ai juste besoin de repos, tout cela sans même m'examiner ni
me demander de tirer la langue...
– Je
n'ai pas besoin de voir votre langue. Je suis sûr qu'elle aussi a besoin de
repos. »
Un papy se rend à la mairie du village.
Le gardien de la paix en faction lui dit :
« –
Hep ! Monsieur ! Ne garez pas votre vélo ici, Monsieur le maire va arriver !
– Rien
à craindre, mon gars, j'ai mis l'antivol. »
Deux clochards discutent devant un litron de
vin :
« –
T'habites où, toi ?
– Nulle
part.
– Ah
bon ? Alors on est voisins ! »
Après l'avoir ausculté attentivement, un
médecin annonce à Jean-Marc :
« –
Il faut envisager une opération.
– Une
opération ? Jamais de la vie, docteur ! Plutôt mourir !
– Mais,
cher monsieur, l'une n'empêche pas l'autre. »
Un acteur arrive au studio de tournage où il
voit Jean-Marc une personne qu'il ne
connaît pas :
« –
Qui êtes-vous ?
– Je
suis votre doublure pour les scènes dangereuses.
– Ah ?
Ça tombe bien. Allez donc voir ma femme et expliquez-lui où j'étais la nuit
dernière. »
Après un combat de boxe amateur, un manager
vient voir le vainqueur qui a les yeux au beurre noir, une oreille arrachée et
le nez explosé :
« –
Ça vous dirait de devenir professionnel
?
– Oh
non ! »
dit Jean-Marc en épongeant le sang
qui coule de son menton.
« Je
préfère continuer à boxer pour le plaisir. »
Jean-Marc contemple la plaque
commémorative fixée sur la façade de la maison natale d'un écrivain célèbre.
Il dit à Jean-Paul qui l'accompagne :
« –
Je me demande bien ce que l'on inscrira sur ma maison après ma mort.
– Maison
à vendre ! »
Jean-Marc consulte son
médecin.
« –
Docteur, je crains de devenir sourd. Je n'entends plus ma femme quand elle me
parle.
– Eh
bien, je pense que vous devriez sortir plus souvent, passer vos soirées au
bistrot ou bien courir les filles.
– Et
vous croyez que j'entendrai mieux ?
– Non,
mais votre femme criera plus fort. »
« Qui
a inventé la cédille ? » demande Jean-Paul à Jean-Marc.
« M.
Groçon. »
Relevé pour vous dans un journal local de
province qui publiait le compte rendu du grand bal donné dans les salons de la
mairie :
« Au
cours de cette prestigieuse soirée, Mlle Caroline-Ursule Lopez portait une robe
si courte qu'on lui voyait les initiales. »
Une jeune femme, pas très heureuse en ménage,
se rend en désespoir de cause chez une voyante, qui consulte sa boule de
cristal :
« –
Je vois… je vois que vous serez malheureuse jusqu'à l'âge de 35 ans.
– Et
après ? »
demande la jeune femme, pleine d'espoir.
« Après…
vous vous habituerez. »
Entendu, il y a longtemps dans un bar de
Toulon, deux marins éméchés discutent :
« –
Nous autres, marins allemands, vous nous donnez quelques tôles et on vous
fabrique un cuirassé !
– Ben
nous autres, marins français, tu nous amènes ta sœur et on te fabrique
l'équipage. »
Jean-Marc
entre
dans une église au milieu du sermon du vieux curé.
Il s'assied au dernier rang.
Au bout d'un moment, il se penche vers son
voisin, un paroissien à cheveux blancs, et lui demande :
« –
Il prêche depuis combien de temps ?
– Oh,
trente ou quarante ans, facilement.
– Alors
je vais rester, il doit bientôt avoir fini. »
Jean-Marc va déjeuner dans un
restaurant italien et commande un plat de spaghettis.
« –
Ce sera long ?
– Oh,
dans les 25 centimètres, monsieur. »
La femme de Jean-Marc emmène son mari à un défilé de mode.
Un sublime mannequin passe, portant une
ravissante robe en soie.
La dame, tout excitée, se penche vers Jean-Marc
:
« –
Chéri, tu ne trouves pas qu'elle serait parfaite pour la soirée que nous
donnons la semaine prochaine ?
– Tu as
raison. On n'a qu'à l'inviter. »
Jean-Marc téléphone à sa femme
:
« Chérie,
on m'a invité à un voyage de pêche avec mon patron et quelques-uns de ses amis.
On sera partis pour une semaine. Pour moi, c'est une chance d'obtenir cette
promotion que j'attends depuis si longtemps, alors est-ce que tu peux me faire
une valise avec assez de vêtements pour une semaine entière et préparer ma
ligne et mon coffre de pêche ? On partira directement du bureau et je passerai
juste à la maison pour prendre mes affaires. Oh, s'il te plaît, n'oublie pas de
mettre dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu. »
L'épouse trouve bien étrange l'histoire de
son mari, mais elle fait exactement ce qu'il lui a demandé.
La semaine suivante, le mari revient à la
maison, un peu fatigué mais content de son voyage.
« –
Alors, » lui dit sa femme, « tu
as pris beaucoup de poisson ?
– Oh
oui, beaucoup de saumons, des truites et quelques espadons… Mais au fait,
pourquoi tu n'as pas mis dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu comme
je te l'avais demandé ?
– Je
l'ai mis. Il est dans ton coffre de pêche. »
Jean-Marc à son médecin :
« –
Dites-moi la vérité, docteur, je suis assez fort pour l'affronter.
– Eh
bien… c'est le moment de penser à mes honoraires. Demain, il sera trop tard. »
Une femme entre dans un bureau de tabac et
demande en hurlant :
« –
Un carnet de timbres, s'il vous plaît !
– Pas
la peine de crier comme ça », répond le buraliste agacé. « Je ne suis pas sourd.
Avec ou
sans filtres ? »
Au commissariat de police, un inspecteur
établit la fiche d'identité d'un prévenu.
« –
Nous disons donc : Nez aquilin, bouche moyenne...
– Non,
non, »
rectifie le prévenu : « Né à
Marseille, Bouches-du-Rhône. »
Un archevêque allemand rend visite à
l'archevêque de Paris.
Ils se promènent sur le parvis de Notre-Dame
tout en bavardant, lorsqu'une très jolie demoiselle en mini-jupe les croise.
« Schön
! » s'exclame le prélat allemand.
« Et
abstinence ! » ajoute tristement le Français.
Deux petites « revenues » pour finir :
Une inattendue au passage :
Jean-Marc entre dans une
pharmacie :
« –
Je voudrais une boîte de Viagra, s'il vous plaît.
– Bien
sûr, monsieur. Je peux voir votre ordonnance ?
– Euh… À
vrai dire, je n'en ai pas. Mais j'ai apporté une photo de ma femme. »
Il y a plusieurs variantes : Celle où
Jean-Marc veut acheter de la mort-aux-rats pour sa femme, et celle où c’est la
femme de Jean-Marc qui en fait autant en montrant une photo de son mari en
situation « non-équivoque » avec la femme du pharmacien.
Après une journée de travail qui s'est
terminée très tard, Jean-Marc rentre chez lui à pied, sous une énorme averse.
Arrivé chez lui, il se déshabille entièrement
pour ne pas tremper le parquet afin de ne pas faire crier sa femme.
En montant l'escalier, il croise un autre
homme, nu lui aussi, qui lui dit :
« Dépêche-toi
! Son mari va bientôt arriver ! »
Dans l’originale, ils ne sont pas nus,
mais se croisent à potron-minet dans le vestibule…
Bon week-end à toutes et à tous !
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