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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 juillet 2016

Les recuites n° 7


En vrac !

Jean-Marc entre dans une épicerie.
« – Je voudrais du papier toilette, s'il vous plaît.
– Quelle couleur ?
– Vous n’avez qu’à me donner du blanc, je mettrai la couleur moi-même. »

Un mendiant frappe à la porte d'une maison bourgeoise. C'est la maîtresse de maison qui lui ouvre. Il tente de l'apitoyer :
« – Ma bonne dame, j'ai perdu un œil !
– Désolée, mon brave, il n'est pas ici. »

Jean-Marc va voir son médecin :
« – Docteur, j'ai un conseil à vous demander. Un de mes amis a couché avec une fille qu'il ne connaissait pas et il a peur d'avoir attrapé une maladie sexuellement transmissible. Il est très inquiet. Qu'est-ce qu'il doit faire ?
– Hmmm… Ouvrez donc votre braguette et montrez-moi votre ami. »

C'est Sarah qui dit à David :
« Chéri, depuis dix ans que nous sommes mariés, tu ne m'as jamais rien acheté. »
David lève le nez de son journal, l'air étonné :
« Mais tu ne m'as jamais dit que tu avais quelque chose à vendre ! »

Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Tu sais quoi, je viens d'essayer un nouveau traitement en suppositoires pour mes insomnies.
– Et c'est efficace ?
– Tu m'étonnes ! Ce matin, je me réveille, j'avais encore le doigt dans le cul. »

C’est Jean-Marc qui entre dans un bistrot et commande un whisky.
Il siffle son verre et demande :
« – Combien je vous dois ?
– Dix euros », répond le serveur.
« – Dix euros ! Ça a encore augmenté !
– Ça n'a pas augmenté : C’est vingt euros assis en terrasse, quinze euros assis dans la salle, et dix euros debout au comptoir. »
Le lendemain, Jean-Marc se présente au comptoir et tend au barman un billet de cinq euros.
« Un whisky, s'il vous plaît. Vous me l'apporterez aux chiottes, je le boirai debout sur une jambe. »

Une dame de plus de 90 ans, mais encore fringante, entre dans une pharmacie.
« – Bonjour monsieur, avez-vous de l'aspirine ?
– Oui, sans aucun doute.
– Et des antidouleurs ?
– Oui, aucun problème.
– Des antirhumatismaux ?
– C'est certain que nous en avons.
– Et du Viagra ?
– Oui, bien sûr.
– Des pilules antirides?
– Oui, nous en avons.
– Du gel pour les hémorroïdes ?
– Évidemment.
– Du bicarbonate ?
– Certainement.
– Des médicaments pour le foie ?
– Bien sûr.
– Et des antidépresseurs ?
– Oui, sans aucun doute.
 Des somnifères ?
– Oui, oui, nous en avons.
– Des produits pour la mémoire ?
– Oui… quelques-uns.
– Des béquilles?
– Évidemment.
– Des couches pour adultes?
– Mais certainement.
– Avez-vous…
– Enfin, madame… nous sommes une pharmacie professionnelle. Nous avons tous les produits. Quel est votre problème ?
– Eh bien, je dois épouser mon Léon, 95 ans, à la fin du mois, et nous aimerions savoir si nous pouvons déposer notre liste de mariage chez vous. »

Sur un petit aéroport africain, un avion est immobilisé depuis plus d'une heure. Un passager impatient demande à l'hôtesse ce qui se passe.
« Nous avons un problème technique. Le pilote pense qu'il y a une pièce défectueuse dans l'un des réacteurs. Il refuse de décoller. »
Deux heures plus tard, l'avion décolle enfin.
Le passager demande à l'hôtesse :
« – Alors, la pièce a enfin été remplacée ?
– Non, juste le pilote. »

Pendant les années 30 en Allemagne, David se balade dans la rue.
Tout à coup, une voiture s'arrête à son niveau dans un crissement de pneus :
C'est Adolf Hitler lui-même.
Il descend de la voiture et dit en pointant un pistolet vers David :
« Juif ! Couche-toi par terre et mange la crotte de chien qui est là ! »
Alors David, qui ne veut pas se faire tuer, s'exécute et commence à manger.
Hitler est tellement content de ce spectacle qu'il se met à rire, mais rire…
Tant et si bien qu'il en lâche son arme.
David se précipite et la ramasse. Il la pointe sur Hitler et lui demande de finir la crotte de chien.
Pendant qu'Hitler est occupé, David prend ses jambes à son cou et s'enfuit sans demander son reste.
Lorsqu'il arrive chez lui tout essoufflé, sa femme Sarah lui dit :
« – Tu rentres bien tard.
– Ah ! Chérie, tu ne devineras jamais avec qui j'ai dîné ! »

Pendant la conquête de l'Ouest, un couple d'immigrants s'installe sur un terrain du Colorado.
Comme la région n'est pas très sûre, l'homme décide d'installer une grosse cloche devant la maison.
Puis il dit à sa femme :
« Si quelque chose de grave arrive alors que je suis dans les champs en train de labourer, sonne la cloche très fort, et j'accourrai aussitôt. »
Le jour suivant, alors qu'il est en train de labourer, il entend la cloche et rentre en courant.
Sa femme lui dit :
« – Je t'ai appelé parce que les enfants étaient vraiment insupportables. Ils n'arrêtent pas de se chamailler !
– Quoi ! Tu m'as fait courir plus de deux bornes juste pour ça ! Mais t'es folle ! »
Quelques jours plus tard, rebelote.
La cloche sonne, le fermier accourt aussitôt, tout essoufflé.
Il voit sa femme en train de pleurer devant sa tarte aux mûres toute brûlée.
« Bon sang ! Tu veux ma peau ou quoi ? » dit-il en colère. « J'ai dit : des choses graves. Je te préviens, si tu m'appelles encore pour des conneries, ça ira mal ! »
Le jour suivant, la cloche sonne à nouveau.
Cette fois encore, il rentre à la ferme en quatrième vitesse.
Lorsqu'il arrive, sa femme est morte, plantée sur le porche et transpercée par une lance.
La ferme est en feu, les animaux ont tous été tués à coups de flèches, et de la mule il ne reste que les os.
Contemplant le carnage, le fermier dit :
« Eh ben voilà ! Là, d'accord. »

Au cours d'une réception, Jean-Marc glisse à l'oreille d'un invité :
« – Qui c'est, cette grande girafe là-bas ?
– C’est la fille d'un milliardaire américain.
– Comme elle est fine et élancée ! »

C'est un inspecteur du fisc qui débarque au domicile d'un patron de PME :
« – Comment se fait-il que vous déclariez si peu à nos services alors que vous avez là une voiture qui coûte au bas mot 100.000 euros ?
– Je me contente de peu. Le matin, je ne mange pas grand-chose. Une barre de chocolat, et hop c'est fini.
– Hmmm… Et cette belle villa ?
– Ben, vous savez, le midi c'est pareil. Une barre de chocolat fait mon repas.
– Et ce magnifique bateau ?
– Le soir aussi, juste une barre de chocolat. »
L'inspecteur, agacé d'être pris pour un con, lui lance :
« – Dites-moi, avec tout ce chocolat, vous devez être méchamment constipé ?
– Oh non, pas du tout. Il y a toujours des gars comme vous pour venir me faire chier. »

À la fin d'un dîner chic, la maîtresse de maison se met au piano et interprète une sonate de Mozart.
Le mari, avec un brin de fierté, glisse à l'oreille de son voisin, critique musical renommé :
« – Qu'est-ce que vous pensez de son exécution ?
– Je suis pour. »

Une dame d'un âge certain dit à son esthéticienne :
« – J'aimerais que mes rides soient moins apparentes le matin quand je me regarde dans le miroir.
– Dans ce cas, utilisez cette crème », dit l'esthéticienne en lui tendant un tube.
« – Ah, très bien. Et je l'applique sur tout le visage ?
– Non, juste sur le miroir. »

C'est Jean-Marc qui entre dans un bar.
Il s'assoit près d'un type qui boit une bière, avec un gros chien à ses pieds.
« – Il mord, votre chien ?
– Non. »
Jean-Marc se penche pour caresser le chien, mais l'animal lui plante ses crocs dans la main. Il hurle de douleur :
« – Putain ! Vous m'avez dit que votre chien ne mordait pas !
– Ouais. Mais lui, c'est pas mon chien. »

Un prêtre fait son sermon sur les ravages de l'alcool.
« Je vous le dis, mes frères, qu'y a-t-il de pire que la boisson ? »
Une voix traînante s'élève du fond de l'église :
« La soif ! »

Un couple a décidé de faire repeindre son appartement. Le soir, en rentrant du bureau, Jean-Marc, croyant que la peinture est sèche, met la main sur la porte de la chambre et y laisse des traces de doigts.
Son épouse, dès que le peintre arrive le lendemain matin, lui dit :
« – Venez dans la chambre, je vais vous montrer où mon mari a mis la main hier soir.
– Si ça ne vous dérange pas, je préfèrerais un bon café. »

À trois heures du matin, dans la rue, un ivrogne braille d'une voix lamentable :
« Faut me pousser !… Faut me pousser !… »
Réveillée par les cris, une femme secoue son mari.
« Chéri, réveille-toi ! Quelqu'un a besoin d'aide dans la rue. »
Jean-Marc se lève en maugréant, passe une robe de chambre et sort dans la rue.
Là, l'ivrogne hurle toujours :
« – Faut me pousser !… Faut me pousser !…
– Je ne vous vois pas ! Où êtes-vous ?
– Sur la balançoire ! »

Le gardien de prison s'adresse à un détenu :
« – Alors Bébert, tu as pris une douche ?
– Non, pourquoi ? Il en manque une ? »

Pendant les soldes, une dame entre dans une boutique de vêtements et demande à une vendeuse :
« – Est-ce que je pourrais essayer la robe dans la vitrine ?
– Vous ne préférez pas l'essayer dans une cabine ? »

Un jeune étudiant fait un sondage dans la rue :
« – Que pensez-vous du traitement aux hormones des veaux et des poulets ?
– Oh, personnellement, ça ne me dérange pas.
– Merci monsieur.
– Non, madame. »

Bon week-end à toutes et tous !

I3

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