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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 juillet 2016

Recuites n° 8


Suite…

Une femme est au lit avec son amant quand soudain le téléphone sonne.
Elle décroche et dit :
« – Allô ? Oui, ça va. Non, je ne m'ennuie pas trop, je bricole… Bon, eh bien ne rentre pas trop tard.
– Qui c'était ?
– Mon mari. Il est en train de prendre un verre avec toi. »

À la campagne, le voisin demande à la fermière :
« – Et votre mari, comment va-t-il ?
– Oh, il va de pis en pis.
– Ah bon ? Il est gravement malade ?
– Non, il est en train de traire les vaches. »

Un couple va faire du tourisme en Espagne. Au cours du séjour, Jean-Marc, le mari a une crise d'appendicite aiguë qui nécessite un hospitalisation d'urgence.
Le lendemain après-midi, sa femme est autorisée à lui rendre visite.
Elle le découvre avec la tête bandée.
Très étonnée, elle demande des explications à l'infirmière de service.
« Ah oui ! » dit l'infirmière, enthousiaste, « le chirurgien l'a tellement bien opéré qu'on lui a accordé les deux oreilles. »

Le plombier vient de finir son travail :
« – Et voilà, ma petite dame, votre robinet est réparé. Ça vous fera trente euros.
– Je peux vous faire un chèque ?
– Bien sûr.
– A quel ordre ?
– Victor Hugo.
– Oh ben dites donc, vous portez un nom célèbre !
– Je pense bien ! Depuis trente ans que je suis dans la plomberie… »

L'épicier de quartier surprend un petit garçon en train de pisser contre la vitrine de sa boutique :
« – T'as pas honte, sale garnement ? Qu'est-ce que tu dirais si je faisais pareil contre la fenêtre de ta chambre ?
– Je trouverais ça vachement rigolo, j'habite au quatrième. »

Un Anglais joue au golf avec un ami, quand passe soudain un long cortège funèbre.
L'Anglais ôte sa casquette et fait une courte prière. L'ami, impressionné, lui dit :
« – Voilà la chose la plus attentionnée qu'il m'est arrivé de voir.
– Vous savez, nous étions tout de même mariés depuis trente ans. »

Le fils d'un syndicaliste rentre de l'école en courant et va voir son père :
« – Papa, j'ai fait une bêtise. Avec mon lance-pierres, j'ai cassé quelques carreaux aux fenêtres des voisins.
– Et t'en as cassé combien ?
– Trois selon moi, neuf selon la police. »

Deux enfants surdoués discutent :
« – Comment le médecin s'est rendu compte que tu étais surdoué ?
– Eh bien, quand je suis né, j'ai été mis en couveuse, et elle est tombée en panne.
– Et alors ?
– Alors, je l'ai réparée. »

Un peintre expose ses toiles. Une dame lui demande :
« – Ça marche, vos affaires ?
– Oh, je vends mes tableaux comme des petits pains.
– Si vite ?
– Non, au même prix. »

Deux explorateurs sont perdus en pleine jungle.
Tout à coup, les rugissements d'un tigre se font entendre.
Un des types sort aussitôt de son sac à dos une paire de chaussures de course et les enfile à la vitesse grand V. L'autre le regarde avec étonnement :
« – Tu penses qu'avec ça, tu vas courir plus vite que le tigre ?
– J'ai pas besoin de courir plus vite que le tigre, j'ai juste besoin de courir plus vite que toi. »

Dans une prison de Pékin, un jeune étudiant chinois demande à un autre qui vient d'être arrêté et mis dans la même cellule :
« – T'en as pris pour combien ?
– Dix ans.
– Et t'avais fait quoi ?
– Rien !
– Impossible ! Rien, c'est cinq ans. »

Sa femme dit à son mari, Jean-Marc :
« – Mon chéri, je t'avais demandé une voiture pour mon anniversaire, pas un manteau de vison !
– Oui, je sais, mais j'ai pas trouvé de fausse voiture. »

Le directeur d'une grande chaîne de télévision a rassemblé tout son staff :
« – Si je vous ai réunis aujourd'hui, c'est parce que la concurrence nous taille des croupières. Alors, dorénavant, pour faire plus d'Audimat, je ne veux que des programmes pour les 20-35.
– Oui, mais qu'est-ce qu'on fait des autres tranches d'âge ? » demande un présentateur-producteur.
« Je ne vous parle pas d'âge, je vous parle de QI ! »

Un groupe de chasseurs, dont un bègue, parcourt la savane.
Tout à coup, le bègue se met à hurler :
« Hip… hip… hip… ! »
Les autres s'écrient :
« Hourra ! »
Ils se font tous piétiner par un troupeau d'hippopotames.

À Marseille, un type à bout de nerfs frappe à grands coups sur la porte vitrée d'une cabine téléphonique où une dame âgée s'éternise.
Un passant s'arrête, indigné, et dit au bonhomme :
« – Vous n'avez pas honte ? Calmez-vous donc et laissez téléphoner en paix cette vieille dame.
– Vieille ? Tu parles ! Quand elle est entrée, elle était encore jeune. »

Pendant le cours de calcul, l'institutrice interroge Jean-Marc :
« – Tu es épicier et moi je suis une cliente. Je t'achète un potiron à deux euros, un artichaut à un euro et un kilo de pêches à quatre euros. Combien je te dois ?
– Vous en faites pas, m'dame, vous me paierez demain. »

Moshe Yacoubovitch décide de changer de nom.
Il se rend au bureau de l'état civil pour accomplir les formalités.
Au bout de quelques mois, sa nouvelle identité paraît au Journal officiel : Il est autorisé à s'appeler Pierre Dupond.
Sans plus attendre, il se présente de nouveau à l'état civil :
« – Bonjour, mon nom est Pierre Dupond. Je voudrais en changer et m'appeler Paul Durand.
– Mais monsieur, vous venez à peine de changer de patronyme…
– Je vous explique. C'est simple : Quand on va me demander mon nom, je vais dire : « Paul Durand ». Alors, on va me regarder en rigolant et inévitablement me demander : « Ah oui ? Paul Durand ? Et avant ? » Et alors là, je pourrai répondre : « Pierre Dupond ». »

C'est Jean-Marc qui va voir un psychanalyste :
« – Docteur, j'ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors je me relève pour regarder sous le lit, et là bien sûr il n'y a personne. Je me recouche, mais au bout d'un moment je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé.  Alors je me relève pour vérifier à nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens toujours le besoin de m'assurer que personne n'est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
– Hum… Je vois… obsessionnel-compulsif. Comptez quatre ans d'entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de votre obsession.
– Euh… Combien ça va me coûter, docteur ?
– 100 € par séance.
– Eh bien, je crois que je vais réfléchir. »
Six mois plus tard, le psy croise Jean-Marc dans la rue :
« – Alors ? Pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ?
– À 100 € la séance ? Mon livreur de pizzas a résolu mon problème pour seulement 5 €.
– Comment ça ?
– Il m'a conseillé de scier les pieds du lit. »

Un chaton demande à sa mère :
« – Dis, m'man, ça vit combien de temps, une souris ?
– Ça dépend de toi, fiston. »

Un petit garçon reste planté au pied de l'escalator d'un grand magasin, l'œil fixé sur la main courante.
Un vigile s'approche et lui demande gentiment :
« – Quelque chose ne va pas, mon petit ?
– Si, ça va. J'attends seulement que mon chewing-gum revienne. »

Sa femme est en train de faire la vaisselle quand Jean-Marc entre dans la cuisine :
« – Qu'est-ce que tu fais, chérie ?
– La vaisselle, tu le vois bien.
– Mais enfin, pas aujourd'hui ! C'est ton anniversaire !
– Mon chéri…
– Laisse, tu la feras demain. »

Le père François fait visiter sa ferme à une jeune Parisienne vêtue d'une petite robe bien légère. Il est de plus en plus émoustillé. Quand ils arrivent dans le grand champ où il veut lui montrer son troupeau, le taureau est en train d'honorer une jolie vache. Le fermier marmonne alors :
« Vingt dieux ! J’en ferais bien autant, moi… »
La jeune fille réplique :
« – Ben allez-y. Ça ne me dérange pas, faites-le donc.
– C'est pas vrai, vous voulez bien ?
– Bien sûr. Après tout, qui vous en empêche ? Elle est à vous cette vache. »

Un couple a invité quelques amis à dîner.
Avant leur arrivée, Jean-Marc le mari, contrôlant que tout soit bien au point, dit à sa femme :
« Ah ! Au fait, il ne faut pas que j'oublie les parapluies. »
Il prend tous ceux qui se trouvent dans l'entrée et part les cacher dans l'armoire de leur chambre.
Surprise, sa femme lui demande :
« – Tu penses que nos invités pourraient les voler ?
– Non. Mais ils pourraient les reconnaître. »

Jean-Marc roule en voiture sur une petite route escarpée de montagne. Dans l'autre sens, arrive une femme en voiture.
Au moment de le croiser, elle ouvre sa vitre et lui crie :
« Cochon ! »
Furieux, Jean-Marc baisse illico sa vitre et hurle :
« Salope ! »
Et au virage suivant, il emboutit un énorme cochon qui se trouvait au beau milieu de la route.

Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Tu sais, la télévision ne pourra jamais remplacer les journaux.
– Qu'est-ce que tu en sais ?
– Ben… essaie donc d'écraser un moustique avec un poste de télé. »

Une jeune femme confie à l'une de ses amies :
« – Moi, pour être toujours impeccable, je change de linge quatre fois par jour.
– Ah bon ? C'est ce que j'ai fait jusqu'à l'âge de deux ans, mais après ça s'est arrangé. »

Un touriste texan visite Paris pour la première fois. Arrivé au pied de la tour Eiffel, il se tourne vers sa femme et lui dit :
« Ils sont quand même pas doués, ces Français ! Depuis cent ans qu'ils ont construit ce truc-là, ils en ont pas encore tiré une goutte de pétrole. »

Jean-Marc rappelle le commissariat :
« – Allô, ici Monsieur Durand. Je vous ai signalé hier la disparition de ma femme. Vous pouvez abandonner les recherches.
– Vous l'avez retrouvée ?
– Non, j'ai réfléchi. »

Jean-Marc et Jean-Paul se racontent leurs malheurs :
« – Quand je rentre à la maison, c'est toujours la même chose. À chaque fois, ma femme regarde la pendule.
– Ben moi, c'est encore pire : Elle regarde le calendrier ! »

Jean-Paul rend visite à Jean-Marc.
Il remarque dans le salon un beau buffet :
« Dis donc, il est magnifique ! Il est de quelle époque ? »
L'autre soupire :
« De l'époque où j'avais de l'argent. »

Au moment de quitter la vallée pour la saison de transhumance, un berger dit à l'apprenti qui doit l’accompagner :
« Je te préviens, je suis pas très causant. »
Tout se passe bien et, la saison terminée, ils quittent l’alpage.
De retour dans la vallée, l'apprenti dit alors :
« Moi non plus. »

Deux jeunes mariés viennent de s’installer dans un tout petit studio et, comme ils sont fauchés, ils n’ont pas de meubles.
Un soir, ils invitent un copain à dîner.
Celui-ci s’étonne :
« Jean-Marc, comment tu fais pour manger ? Il n’y a pas de table.
– Ma femme se met à genoux et je dîne sur son dos.
– Ah ? Et comment tu fais pour dormir ? Je ne vois pas de lit.
– Ben c’est simple, je retourne la table. »

Allez ! Bon week-end à toutes et à tous !
Meilleurs souvenirs aux juilletistes : J’ai hâte de prendre le relai.

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