Suite…
Une femme est au lit avec son amant quand
soudain le téléphone sonne.
Elle décroche et dit :
« –
Allô ? Oui, ça va. Non, je ne m'ennuie pas trop, je bricole… Bon, eh bien ne
rentre pas trop tard.
– Qui
c'était ?
– Mon
mari. Il est en train de prendre un verre avec toi. »
À la campagne, le voisin demande à la
fermière :
« –
Et votre mari, comment va-t-il ?
– Oh,
il va de pis en pis.
– Ah
bon ? Il est gravement malade ?
– Non,
il est en train de traire les vaches. »
Un couple va faire du tourisme en Espagne. Au
cours du séjour, Jean-Marc, le mari
a une crise d'appendicite aiguë qui nécessite un hospitalisation d'urgence.
Le lendemain après-midi, sa femme est
autorisée à lui rendre visite.
Elle le découvre avec la tête bandée.
Très étonnée, elle demande des explications à
l'infirmière de service.
« Ah
oui ! » dit l'infirmière, enthousiaste, « le chirurgien l'a tellement bien opéré qu'on lui a accordé les deux
oreilles. »
Le plombier vient de finir son travail :
« –
Et voilà, ma petite dame, votre robinet est réparé. Ça vous fera trente euros.
– Je
peux vous faire un chèque ?
– Bien
sûr.
– A
quel ordre ?
– Victor
Hugo.
– Oh
ben dites donc, vous portez un nom célèbre !
– Je
pense bien ! Depuis trente ans que je suis dans la plomberie… »
L'épicier de quartier surprend un petit
garçon en train de pisser contre la vitrine de sa boutique :
« –
T'as pas honte, sale garnement ? Qu'est-ce que tu dirais si je faisais pareil
contre la fenêtre de ta chambre ?
– Je
trouverais ça vachement rigolo, j'habite au quatrième. »
Un Anglais joue au golf avec un ami, quand
passe soudain un long cortège funèbre.
L'Anglais ôte sa casquette et fait une
courte prière. L'ami, impressionné, lui dit :
« –
Voilà la chose la plus attentionnée qu'il m'est arrivé de voir.
– Vous
savez, nous étions tout de même mariés depuis trente ans. »
Le fils d'un syndicaliste rentre de l'école
en courant et va voir son père :
« –
Papa, j'ai fait une bêtise. Avec mon lance-pierres, j'ai cassé quelques
carreaux aux fenêtres des voisins.
– Et
t'en as cassé combien ?
– Trois
selon moi, neuf selon la police. »
Deux enfants surdoués discutent :
« –
Comment le médecin s'est rendu compte que tu étais surdoué ?
– Eh
bien, quand je suis né, j'ai été mis en couveuse, et elle est tombée en panne.
– Et
alors ?
– Alors,
je l'ai réparée. »
Un peintre expose ses toiles. Une dame lui
demande :
« –
Ça marche, vos affaires ?
– Oh,
je vends mes tableaux comme des petits pains.
– Si
vite ?
– Non,
au même prix. »
Deux explorateurs sont perdus en pleine
jungle.
Tout à coup, les rugissements d'un tigre se
font entendre.
Un des types sort aussitôt de son sac à dos
une paire de chaussures de course et les enfile à la vitesse grand V. L'autre
le regarde avec étonnement :
« –
Tu penses qu'avec ça, tu vas courir plus vite que le tigre ?
– J'ai
pas besoin de courir plus vite que le tigre, j'ai juste besoin de courir plus
vite que toi. »
Dans une prison de Pékin, un jeune étudiant
chinois demande à un autre qui vient d'être arrêté et mis dans la même cellule
:
« –
T'en as pris pour combien ?
– Dix
ans.
– Et
t'avais fait quoi ?
– Rien
!
– Impossible
! Rien, c'est cinq ans. »
Sa femme dit à son mari, Jean-Marc :
« –
Mon chéri, je t'avais demandé une voiture pour mon anniversaire, pas un manteau
de vison !
– Oui,
je sais, mais j'ai pas trouvé de fausse voiture. »
Le directeur d'une grande chaîne de
télévision a rassemblé tout son staff :
« –
Si je vous ai réunis aujourd'hui, c'est parce que la concurrence nous taille
des croupières. Alors, dorénavant, pour faire plus d'Audimat, je ne veux que
des programmes pour les 20-35.
– Oui,
mais qu'est-ce qu'on fait des autres tranches d'âge ? » demande un
présentateur-producteur.
« Je
ne vous parle pas d'âge, je vous parle de QI ! »
Un groupe de chasseurs, dont un bègue,
parcourt la savane.
Tout à coup, le bègue se met à hurler :
« Hip…
hip… hip… ! »
Les autres s'écrient :
« Hourra
! »
Ils se font tous piétiner par un troupeau
d'hippopotames.
À Marseille, un type à bout de nerfs frappe à
grands coups sur la porte vitrée d'une cabine téléphonique où une dame âgée
s'éternise.
Un passant s'arrête, indigné, et dit au
bonhomme :
« –
Vous n'avez pas honte ? Calmez-vous donc et laissez téléphoner en paix cette
vieille dame.
– Vieille
? Tu parles ! Quand elle est entrée, elle était encore jeune. »
Pendant le cours de calcul, l'institutrice
interroge Jean-Marc :
« –
Tu es épicier et moi je suis une cliente. Je t'achète un potiron à deux euros,
un artichaut à un euro et un kilo de pêches à quatre euros. Combien je te dois
?
– Vous
en faites pas, m'dame, vous me paierez demain. »
Moshe Yacoubovitch décide de changer de nom.
Il se rend au bureau de l'état civil pour
accomplir les formalités.
Au bout de quelques mois, sa nouvelle
identité paraît au Journal officiel : Il est autorisé à s'appeler Pierre
Dupond.
Sans plus attendre, il se présente de nouveau
à l'état civil :
« –
Bonjour, mon nom est Pierre Dupond. Je voudrais en changer et m'appeler Paul
Durand.
– Mais
monsieur, vous venez à peine de changer de patronyme…
– Je
vous explique. C'est simple : Quand on va me demander mon nom, je vais dire : « Paul
Durand ». Alors, on va me regarder en rigolant et inévitablement me
demander : « Ah oui ? Paul Durand ? Et avant ? » Et alors là, je
pourrai répondre : « Pierre Dupond ». »
C'est Jean-Marc
qui va voir un psychanalyste :
« –
Docteur, j'ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai
l'impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors je me relève pour
regarder sous le lit, et là bien sûr il n'y a personne. Je me recouche, mais au
bout d'un moment je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier à nouveau,
sans résultat bien entendu. Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens
toujours le besoin de m'assurer que personne n'est caché sous le lit. Docteur,
tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
– Hum…
Je vois… obsessionnel-compulsif. Comptez quatre ans d'entretiens de
psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de
votre obsession.
– Euh…
Combien ça va me coûter, docteur ?
– 100 €
par séance.
– Eh
bien, je crois que je vais réfléchir. »
Six mois plus tard, le psy croise Jean-Marc
dans la rue :
« –
Alors ? Pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ?
– À 100
€ la séance ? Mon livreur de pizzas a résolu mon problème pour seulement 5 €.
– Comment
ça ?
– Il
m'a conseillé de scier les pieds du lit. »
Un chaton demande à sa mère :
« –
Dis, m'man, ça vit combien de temps, une souris ?
– Ça
dépend de toi, fiston. »
Un petit garçon reste planté au pied de
l'escalator d'un grand magasin, l'œil fixé sur la main courante.
Un vigile
s'approche et lui demande gentiment :
« –
Quelque chose ne va pas, mon petit ?
– Si,
ça va. J'attends seulement que mon chewing-gum revienne. »
Sa femme est en train de faire la vaisselle
quand Jean-Marc entre dans la
cuisine :
« –
Qu'est-ce que tu fais, chérie ?
– La
vaisselle, tu le vois bien.
– Mais
enfin, pas aujourd'hui ! C'est ton anniversaire !
– Mon
chéri…
– Laisse,
tu la feras demain. »
Le père François fait visiter sa ferme à une
jeune Parisienne vêtue d'une petite robe bien légère. Il est de plus en plus
émoustillé. Quand ils arrivent dans le grand champ où il veut lui montrer son
troupeau, le taureau est en train d'honorer une jolie vache. Le fermier marmonne
alors :
« Vingt
dieux ! J’en ferais bien autant, moi… »
La jeune fille réplique :
« –
Ben allez-y. Ça ne me dérange pas, faites-le donc.
– C'est
pas vrai, vous voulez bien ?
– Bien
sûr. Après tout, qui vous en empêche ? Elle est à vous cette vache. »
Un couple a invité quelques amis à dîner.
Avant leur arrivée, Jean-Marc le mari, contrôlant que tout soit bien au point, dit à sa
femme :
« Ah
! Au fait, il ne faut pas que j'oublie les parapluies. »
Il prend tous ceux qui se trouvent dans
l'entrée et part les cacher dans l'armoire de leur chambre.
Surprise, sa femme
lui demande :
« –
Tu penses que nos invités pourraient les voler ?
– Non.
Mais ils pourraient les reconnaître. »
Jean-Marc roule en voiture sur
une petite route escarpée de montagne. Dans l'autre sens, arrive une femme en
voiture.
Au moment de le croiser, elle ouvre sa vitre
et lui crie :
« Cochon
! »
Furieux, Jean-Marc baisse illico sa vitre et
hurle :
« Salope
! »
Et au virage suivant, il emboutit un énorme
cochon qui se trouvait au beau milieu de la route.
Jean-Marc et Jean-Paul discutent
:
« –
Tu sais, la télévision ne pourra jamais remplacer les journaux.
– Qu'est-ce
que tu en sais ?
– Ben…
essaie donc d'écraser un moustique avec un poste de télé. »
Une jeune femme confie à l'une de ses amies :
« –
Moi, pour être toujours impeccable, je change de linge quatre fois par jour.
– Ah
bon ? C'est ce que j'ai fait jusqu'à l'âge de deux ans, mais après ça s'est
arrangé. »
Un touriste texan visite Paris pour la
première fois. Arrivé au pied de la tour Eiffel, il se tourne vers sa femme et
lui dit :
« Ils
sont quand même pas doués, ces Français ! Depuis cent ans qu'ils ont construit
ce truc-là, ils en ont pas encore tiré une goutte de pétrole. »
Jean-Marc rappelle le
commissariat :
« – Allô, ici Monsieur Durand. Je vous
ai signalé hier la disparition de ma femme. Vous pouvez abandonner les
recherches.
– Vous l'avez retrouvée ?
– Non, j'ai réfléchi. »
Jean-Marc et Jean-Paul se
racontent leurs malheurs :
« –
Quand je rentre à la maison, c'est toujours la même chose. À chaque fois, ma
femme regarde la pendule.
– Ben
moi, c'est encore pire : Elle regarde le calendrier ! »
Jean-Paul rend visite à Jean-Marc.
Il remarque dans le salon un beau buffet :
« Dis
donc, il est magnifique ! Il est de quelle époque ? »
L'autre soupire :
« De
l'époque où j'avais de l'argent. »
Au moment de quitter la vallée pour la saison
de transhumance, un berger dit à l'apprenti qui doit l’accompagner :
« Je
te préviens, je suis pas très causant. »
Tout se passe bien et, la saison terminée,
ils quittent l’alpage.
De retour dans la vallée, l'apprenti dit
alors :
« Moi
non plus. »
Deux jeunes mariés viennent de s’installer
dans un tout petit studio et, comme ils sont fauchés, ils n’ont pas de meubles.
Un soir, ils invitent un copain à dîner.
Celui-ci s’étonne :
« –
Jean-Marc, comment tu fais pour
manger ? Il n’y a pas de table.
– Ma
femme se met à genoux et je dîne sur son dos.
– Ah ?
Et comment tu fais pour dormir ? Je ne vois pas de lit.
– Ben
c’est simple, je retourne la table. »
Allez ! Bon week-end à toutes et à tous !
Meilleurs souvenirs aux juilletistes : J’ai
hâte de prendre le relai.
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