Septième
chapitre : Musk
Avertissement : Vous l’aviez compris,
ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle »,
sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des
personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant
par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète
Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Dans l’esprit de « Junior n° 4 », il tient l’occasion de faire
rencontrer les Gates à Paul, voire d’y recroiser Paul Allen, peut-être
Richardson et quelques autres, mais surtout Elon Musk. C’est qu’il a
« quelques billes » dans ses projets.
Musk, c’est un fou à la baraqua insolente, qui n’a pas son pareil pour
lever des fonds pour ses projets industriels tout comme sa propre fondation, un
entrepreneur « hors normes », qui pense plus large et voit plus loin
que bien des politiques et des intellectuels de l’époque.
Une « star absolue » aux États-Unis et tout particulièrement sur
la côte ouest, un personnage sans limites. Après avoir fait fortune avec
PayPal, dont il fut l'un des fondateurs, c'est lui qui a créé Tesla Motors (de
sublimes voitures électriques) et SpaceX (des lanceurs de fusée low cost).
C'est lui qui construit des usines géantes de batteries au lithium-ion,
pour accélérer la transition vers des moyens de transport durables. C'est lui
qui veut installer, dans tous les foyers du monde, des batteries capables de
stocker l'énergie qui serait récoltée par des panneaux solaires installés sur
le toit de chacun, ou le jardin attenant.
Il veut résoudre à lui tout seule la question du réchauffement climatique
- grâce à la généralisation de la voiture électrique et au développement de
l'énergie solaire - et si ces efforts se révélaient insuffisants, alors il lui faudra
coloniser la planète Mars : « Si on peut
résoudre la question de l'énergie durable et devenir une espèce multi-planétaire
avec une civilisation autonome sur une autre planète pour pouvoir gérer la pire
des éventualités, je pense que ce serait vraiment bien. »
Il fait équipe avec un type d'origine sud-africaine qui débarque en 1995,
alors qu'il n'a que 24 ans, pour créer une petite société de cartographie
numérique, Zip2, qu'il revend en 1999 à Compaq, empochant 22 millions de
dollars de plus-value.
Il décide de réinvestir ce joli magot dans une start-up cofondée par Peter
Thiel, qui allait devenir PayPal.
C'est en 2002, à la faveur de son rachat par eBay pour 1,5 milliard de
dollars, qu'il fait fortune.
Au lieu de s'incruster dans la Silicon Valley et de serrer les fesses
comme ses pairs, Musk décampe pour Los Angeles. Il injecte 100 millions de
dollars dans SpaceX, 70 millions dans Tesla et 10 millions dans SolarCity.
Devenu à lui tout seul une société de capital-risque hyper-téméraire, il double
la mise en fabriquant des biens matériels hypercomplexes dans deux des endroits
les plus coûteux du monde, Los Angeles et la Silicon Valley.
Chaque fois que possible, en effet, les entreprises de Musk fabriquent
tout à partir de zéro en essayant de repenser une grande partie des conventions
admises, que ce soit dans l'industrie spatiale, l'industrie automobile ou
l'industrie solaire.
Avec SpaceX, Musk affronte les géants du complexe militaro-industriel
américain, en particulier Lockheed Martin et Boeing. Des pays, aussi, au
premier rang desquels la Russie et la Chine. SpaceX s'est fait un nom comme
fournisseur low cost dans son industrie.
Ce qui, en soi, n'est pas une garantie de succès.
L'industrie spatiale baigne dans un mélange de manœuvres politiques, de
flagornerie et de protectionnisme qui défie les règles du capitalisme. Steve
Jobs s'est heurté à des forces similaires quand il a lancé l'iPod et iTunes
face à l'industrie du disque.
Et les Luddites grognons de l'industrie musicale sont du menu fretin par
rapport aux adversaires de Musk, qui gagnent leur vie en fabriquant des armes
et des pays.
SpaceX teste des fusées réutilisables, capables d'emporter des charges
dans l'espace puis de revenir avec précision sur leur aire de lancement au sol.
Si l'entreprise parvient à parfaire sa technologie après plusieurs échecs, elle
portera un coup terrible à tous ses concurrents ; presque certainement, elle
aura la peau de certains grands noms de l'industrie des fusées et fera des
États-Unis le leader mondial du transport de marchandises et de passagers dans
l'espace.
Un projet qui rejoint ceux d’Allen, de Richardson, voire de Paul de
Bréveuil, mais chacun avec un concept différent.
Virgin Galactic vise un double engin récupérable, Musk un seul tout comme
Paul, mais ce dernier, X-sup-aéro et ses Nivelle, avec des ailes, comme un
avion, alors que les fusées de Musk reviennent se poser à la verticale, comme
la fusée de Tryphon Tournesol de Hergé.
Du coup, il pense que cette menace lui vaut une foule d'ennemis féroces. «
La liste des gens qui aimeraient me voir
mort s'allonge. Ma famille
craint que je ne sois assassiné par les Russes » en dit-il.
Avec Tesla Motors, Musk tente de revoir la manière de construire et de
vendre des automobiles tout en créant un réseau mondial de distribution
d'énergie. Plutôt que des hybrides, qu'il considère comme des compromis
sous-optimaux, Tesla cherche à construire des automobiles tout-électriques qui
donnent envie et qui repoussent les limites de la technologie.
Tesla vend ses voitures non pas chez des concessionnaires mais sur le Web
et dans des galeries façon Apple au sein de centres commerciaux haut de gamme.
Tesla ne prévoit pas non plus de gagner beaucoup d'argent avec l'entretien de
ses véhicules, qui n'ont pas besoin des vidanges et autres révisions des
automobiles traditionnelles. Son modèle de vente directe est un affront majeur
pour les garagistes habitués à marchander avec les acheteurs et à gagner leur
vie grâce à des frais d'entretien exorbitants.
Ses stations de recharge sont présentes aujourd'hui sur beaucoup de
grandes autoroutes aux États-Unis, en Europe et en Asie. Les automobiles
peuvent y récupérer en une vingtaine de minutes l'énergie nécessaire pour
parcourir des centaines de kilomètres.
Des stations dites « Super-chargeurs » sont alimentées par l'énergie
solaire et les clients de Tesla s'y approvisionnent en électricité sans bourse
délier. Alors qu'une grande partie des infrastructures américaines se
dégradent, Musk construit tout un système de transport futuriste grâce auquel
les États-Unis devraient prendre de l'avance sur le reste du monde.
Avec SolarCity, Musk contribue à créer le plus important installateur et
financeur de panneaux solaires pour les entreprises et le grand public. Il a
participé à la naissance de l'idée et préside la société, gérée par ses cousins
Lyndon et Peter Rive.
SolarCity a réussi à court-circuiter des dizaines de compagnies
d'électricité et à devenir lui-même fournisseur ! À une époque où les
entreprises vertes faisaient faillite à un rythme alarmant, Musk a construit
deux des entreprises vertes les plus prospères du monde.
Son empire, avec ses usines, ses dizaines de milliers de salariés et sa
puissance industrielle, bouscule les acteurs installés et fait de lui l'un des
hommes les plus riches du monde, à la tête d'un patrimoine net d'environ 10
milliards de dollars.
Son discours sur la colonisation de Mars peut sembler délirant à certains,
mais il sert de cri de ralliement pour ses entreprises. C'est l'objectif
radical qui sert de principe unificateur à tout ce qu'il fait : les
salariés des trois entreprises savent qu'ils tentent, jour après jour, de
réaliser l'impossible. Quand Musk fixe des objectifs irréalistes, harcèle ses
salariés et les use jusqu'à l'os, il est entendu que cela fait plus ou moins
partie du programme martien. Certains salariés l'adorent pour cela. D'autres le
détestent mais lui restent étrangement fidèles à cause de son énergie et de sa
motivation.
Musk a ainsi créé ce qui manque à beaucoup de créateurs d'entreprise de la
Silicon Valley : une vision du monde qui ait un sens.
C’est le génie habité de la quête la plus ambitieuse jamais imaginée. Il
n'est pas tant un PDG aspirant à faire fortune qu'un général menant ses troupes
à la victoire. Là où Mark Zuckerberg veut vous aider à partager des photos de
bébés, Musk veut... eh bien, sauver l'humanité d'une disparition accidentelle
ou auto-infligée !
Pour gérer toutes ces entreprises, il s'est aménagé une vie délirante. Sa
semaine normale commence dans sa demeure de Los Angeles, dans le quartier chic
de Bel Air. Le lundi, il passe toute la journée chez SpaceX. Le mardi, il
commence chez SpaceX puis file d'un coup de jet vers la Silicon Valley. Il
travaille pendant deux jours chez Tesla, dont les bureaux se trouvent à Palo
Alto et l'usine à Fremont.
Musk ne possède pas de logement en Californie du nord : il descend au
Rosewood, un hôtel de luxe, ou chez des amis. Le jeudi, retour à Los Angeles et
à SpaceX. Quatre jours par semaine, il a la charge de ses cinq jeunes fils – des
jumeaux et des triplés – en garde partagée avec Justine, son ex-femme.
Pour se faire, il est entouré de ses cousins, les frères Rive, qui ont
joué un rôle décisif dans la stratégie globale de l'entrepreneur, sa « théorie
du champ unifié » qui va du panneau solaire à la Model S. Leur aventure commune
commence en 2004, quand Musk part avec eux dans le désert du Nevada pour
participer au festival libertaire du « Burning Man », une semaine de spectacles
déjantés et d'expériences transgressives, qui s'achève par l'incendie d'une
sculpture de bois géante (le fameux « burning man »).
Dans la voiture, cet été-là, il leur lance l'idée d'investir dans
l'énergie solaire…
Les frères Rive forment une sorte de « gang technologique ». À
la fin des années 90, sillonnant les rues de Santa Cruz sur leurs skateboards,
ils allaient toquer à la porte des entreprises pour leur proposer de les aider
à gérer leurs systèmes informatiques.
Les jeunes gens, qui avaient tous été élevés en Afrique du Sud avec leur
cousin Elon, se dirent bientôt qu'il devait y avoir plus facile que le
porte-à-porte pour faire connaître leurs compétences technologiques.
Ils écrivirent un logiciel qui leur permettait de prendre le contrôle des
systèmes de leurs clients à distance et d'automatiser beaucoup de tâches
ordinaires mais indispensables, comme l'installation des mises à jour
d'applications, un programme qui a inspiré Charlotte, la vraie, celle dont le
bout du nez bouge de haut en bas quand elle parle, pour sa boîte californienne
de télé-sécurité informatique…
Autour de ce logiciel naquit une entreprise appelée Everdream.
En 2004, Lyndon Rive ainsi que ses frères Peter et Russ étaient en quête
d'un nouveau défi. Vers la fin de l'été, Lyndon loua un camping-car pour aller
participer avec Musk à la « folie du Burning Man » dans le désert de Black
Rock. Sans lâcher le volant, Elon se tourne vers Lyndon et lui suggère de jeter
un coup d'œil sur le marché de l'énergie solaire.
Musk et les Rive quittent le Burning Man enthousiasmés. Les Rive décident
alors de devenir experts ès-industrie solaire et de trouver l'opportunité du
marché. Pendant deux ans, ils étudient la technologie et la dynamique de son
économie, potassant des rapports scientifiques, interrogeant des gens,
participant à des congrès. Ce fut lors de la conférence Solar Power
International qu'ils mirent vraiment le doigt sur ce que pourrait être leur
modèle économique.
À la question : « Que
faites-vous pour mettre vos panneaux solaires plus à la portée des
consommateurs ? Tous donnèrent la même réponse », raconte Lyndon.
Ils dirent : « Nous attendons que le
coût des panneaux baisse. Aucun d'eux n'avait pris le problème en main. »
SolarCity est ainsi devenue la pièce capitale, la clé de voûte de
l’ensemble de l’empire de Musk. Toutes ces entreprises sont interconnectées à
court et à long termes : Tesla fabrique des batteries que SolarCity peut
vendre à ses clients. SolarCity fournit les panneaux solaires des stations de
recharge où les conducteurs de Tesla peuvent s'approvisionner gratuitement. Les
nouveaux propriétaires de Model S choisissent régulièrement d'adopter le mode
de vie de Musk et équipent leur maison de panneaux solaires. Tesla et SpaceX
s'aident aussi mutuellement. Ils échangent des connaissances sur les matériaux,
les techniques de fabrication et les arcanes du fonctionnement d'usines construites
à partir de zéro.
« Junior n° 4 » reste intarissable sur le sujet, presque subjugué :
« Au début des années 2010, les
succès de SolarCity, Tesla et SpaceX commencent à inquiéter les concurrents
d'Elon Musk, qui décident d'activer leurs contacts à Washington pour le
discréditer.
Musk a cultivé les démocrates pendant
des années. Plusieurs fois reçu à la Maison-Blanche, il a l'oreille du
président Obama. Mais ce n'est pas un partisan inconditionnel. Il défend
d'abord et avant tout les convictions de Musk & Cie en se servant des
moyens pragmatiques dont il dispose pour faire avancer sa cause. Il joue les
industriels brutaux et les capitalistes féroces mieux que la plupart des
républicains ; il a toutes les références pour y prétendre et obtenir des
soutiens. Les hommes politiques d'États comme l'Alabama ou le New Jersey
voudraient protéger les emplois industriels de Lockheed ou le groupe de
pression des concessionnaires automobiles ? Ils doivent désormais affronter le
patron d'un empire dont les emplois et les usines sont répartis à travers les
États-Unis. »
Depuis, SpaceX possède une usine à Los Angeles, un centre d'essais au
milieu du Texas et vient de commencer la construction d’un spatio-drome au sud
du Texas.
SpaceX travaille aussi beaucoup avec des sites de lancement existants en
Californie et en Floride.
Tesla a son usine d'automobiles dans la Silicon Valley, le centre de
création de Los Angeles et est en train de construire une usine de batteries au
Nevada. « Les hommes politiques du
Nevada, du Texas, de Californie, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona l'ont
courtisé pour obtenir l'usine de batteries Tesla, qui a finalement échu au
Nevada, moyennant 1,4 milliard de dollars d'aides. Cet événement a confirmé non
seulement la célébrité montante de Musk, mais aussi sa capacité inégalée à
lever des fonds. »
Un simple « chasseur de subventions » gouvernementales en traduit Paul…
SolarCity a créé des milliers d'emplois de cols bleus et de cols blancs
dans les technologies propres et va créer des emplois industriels dans une
usine de panneaux solaires en construction à Buffalo, dans l'État de New York. « L'un dans l'autre, Musk & Cie employait
environ 15.000 personnes fin 2014. Loin de s'arrêter là, son plan prévoit la
création de dizaines de milliers d'emplois supplémentaires grâce à des produits
encore plus ambitieux. »
La priorité de Tesla tout au long de l'année 2015 aura été l'achèvement de
la Model X. Musk espère que ce SUV se vendra aussi bien que la Model S. Il veut
que Tesla soit capable de construire 100.000 voitures par an fin 2015 pour
répondre à la demande des deux véhicules. Le principal problème de la Model X
est son prix. Il commencera aux mêmes tarifs salés que la Model S, ce qui
limite sa clientèle potentielle. L'espoir est cependant que la Model X devienne
le véhicule de luxe préféré des familles et consolide la relation entre la
marque Tesla et les femmes.
« Et puis il y a l’Hyperloop,
alors même que les premiers kilomètres d’une ligne TGV, sur fonds publics,
viennent d’être tracés entre L.A. et San Francisco : j’aimerai bien que
vous me donniez votre sentiment sur ce phénomène », demande Junior n°
4 à Paul.
« Si je peux vous rendre
service, ce sera avec plaisir… »
Mais déjà, du pressentiment de Paul, c’est qu’il y aura des morts…
« – Comment ça ?
– Plusieurs projets qui éclosent en
même temps, avec des objectifs similaires, forcément, il y en aura au tapis…
Votre Musk, finalement, il se finance
comment ? J’ai entendu dire qu’il n’avait pas vendu la moindre voiture,
mais les loue seulement ? Qui perçoit les crédits d’impôt gouvernementaux
sur ses véhicules électriques ?
Qui achète ses fusées ? Le
gouvernement ou des sociétés privées financées par qui ?
Leurs clients ou
des fonds de pension, voire des organismes paragouvernementaux ? »
Parce qu’après tout, Google se veut aussi présent dans la conquête
spatiale, la voiture autonome et électrique…
« Ah Google, les GAFA, là
encore, c’est une autre histoire. Il faudrait que nous en parlions également. »
En attendant, quand Melinda et Bill Gates organisent une « sauterie »
de soutien pour leur fondation, ils ne font pas les choses à moitié :
presque 2.000 couverts dressés dans les salons du Hilton, à 1.000 dollars le
siège, avec pour tête d’affiche le sénateur, le gouverneur et le maire de la
ville, un chinois local dont les parents avaient migré dans les années 30, tous
démocrates (les américains sont en avance quant au
« grand-remplacement »…), et un vaste aéropage de fortunes locales.
Et à la grande surprise de Paul qui donc fait l’animation musicale sur la
scène dressée pour les discours ?
Emily Lison en personne, sa voix éraillée, un répertoire approfondi, une
scénographie enrichie et une chorégraphie déjantée qui inspirera sans doute Christine
and the Queens : en bref, la première épouse de Paul de Bréveuil, au moins
pour une courte période, avant que « les services » français, le
SDECE et la sécurité militaire en l’occurrence, aient poussé à une rupture
rapide, elle était un agent du NSA (cf. épisode « Opération
Juliette siéra », publié aux éditions I-Cube), à peine vieillie, aura
« rebondi » et revient lui faire fondre le cœur !
Désopilant.
C’est dire si des objectifs de ladite fondation, Paul n’a pas retenu
grand-chose de l’exposé détaillé des activités de l’année fiscale et des
projets en cours, tout à la recherche du regard de la voix rauque de la
chanteuse, qu’il finit par perdre de vue.
« Dans les pays en
développement, nous concentrons nos efforts sur l’amélioration de la santé et
du bien-être des populations, en aidant les personnes à s’arracher à la famine
et à la pauvreté extrême. Aux États-Unis, nous cherchons à offrir à tous, et en
particulier à ceux ayant les ressources les plus limitées, un accès aux
opportunités dont ils ont besoin pour réussir à l’école et dans la vie.
Chaque année des millions de personnes
parviennent à s’extirper de la pauvreté, en adoptant notamment de nouvelles
technologies d’exploitation agricole, en investissant dans de nouvelles
opportunités professionnelles ou en trouvant de nouveaux emplois. Nous savons
que les femmes et les filles ont un pouvoir unique quand il s’agit de forger de
nouvelles sociétés. Un investissement dans la santé et l’émancipation d’une
femme a un effet multiplicateur, car il aide les familles, les communautés et
les pays à obtenir des bénéfices de longue haleine.
De concert avec des partenaires, nous
fournissons des vaccins, des médicaments et des diagnostics efficaces et nous
créons des approches novatrices qui permettent la fourniture des services de
santé à ceux qui en ont le plus besoin. Et nous effectuons des investissements
considérables dans le développement de nouveaux vaccins afin de prévenir les
maladies infectieuses qui imposent le plus lourd fardeau.
Nous savons que nos ressources à elles
seules ne suffisent pas ; c’est pourquoi nous travaillons pour changer les
politiques publiques, les attitudes et les comportements en vue d’améliorer les
conditions de vie.
Nous œuvrons aux côtés des
gouvernements et des secteurs public et privé à promouvoir une sensibilisation
accrue aux questions mondiales les plus pressantes… »
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerDésolé, c'est "hors sujet" avec ce post : Je censure ce commentaire, Oleg !
RépondreSupprimerBon retour aux réalités !
I-Cube