Il est comme ça : Intarissable !
Un célèbre comédien remarque dans la rue une jeune
femme, plutôt jolie, qui fait la manche.
Il l'aborde et la décide de l'accompagner chez lui.
Là, ils font férocement l'amour à cinq reprises.
Au petit matin, avant qu'elle ne s'en aille, il lui
dit :
« – Tu mérites
une récompense. Tiens : Voici deux places d'orchestre pour me voir dans une
pièce qui fait courir le Tout-Paris.
– Excusez-moi », dit
la jeune femme, « mais je suis à
bout de ressources et affamée. Si je me résigne à ce genre de chose, c'est pour
avoir un peu de pain pour mes enfants.
– Du
pain ! »
grommelle le comédien. « Mais si tu
voulais du pain, il fallait coucher avec un boulanger ! »
C'est un vieil homme de 80 ans qui rentre dans une
pharmacie.
« Bonjour,
je voudrai du viagra »
Le pharmacien lui demande :
« – Combien
en voulez-vous ?
– Ho,
seulement la moitié d'un !
– Vu
votre grand âge, il vous faudra plus d'un pour faire plaisir à votre dame !
– Mais
vous vous trompez jeune homme ! C'est que lorsque je vais faire pipi, je
veux bander suffisamment pour ne pas arroser mes chaussons ! »
Marcel et un copain
discutent sur les différentes façons de faire l’amour…
« – Et le
sexe-rodéo, t’as essayé ?
– Sexe-rodéo
? Non… c’est comment ?
– Tu te
mets sur ta femme, tu la caresses et puis tu lui dis à l’oreille : Ton parfum
est le même que celui de ma secrétaire !
– Et
après ?
– Après ?
Tu essayes de rester 5 secondes dessus… »
Marcel : « L'autre jour, alors que j'étais allongé sur
le divan de mon psy, il me demande ce que je préfère chez une femme.
Spontanément, je lui réponds :
– Des
gros seins.
Mais la
réponse ne le satisfait pas et il précise :
– Non,
je voulais dire, qu'est-ce que vous recherchez pour une relation sérieuse ?
Et là
je persiste :
– Sérieusement,
ce que je recherche, c'est des gros seins…
– Non,
non, non. Je vais préciser ma pensée : Qu'est-ce que vous allez rechercher chez
la femme qui sera celle avec qui vous voudrez passer le reste de votre vie ?
Et
disant cela, il me regarde d'un œil curieux et inquiet, alors que moi je suis
là, en train de me tordre de rire sur son divan. Finalement je lui réponds :
– Passer
le reste de ma vie avec une femme ?
Aucune
femme n'a des seins assez gros pour ça ! »
« Toi, oui
toi mec ! Tu connais le Viagra ?
Tu connais le Prozac ? (antidépresseur)
Mais connais-tu le PROGRA ?
Non ?
Ça ne te dit rien ?
Normal, ça vient de sortir !
C'est révolutionnaire !
Tu bandes mou mais tu t'en fous ! »
Un jour Marcel rentre
chez un droguiste :
« – Bonjour
je voudrais un insecticide.
– C'est
pour les moustiques ou pour les mites ?
– C'est
pour moi… J'ai le cafard ! »
Une toute petite fille demande à sa maman :
« – Maman,
pourquoi la nuit n'a-t-elle qu'un œil ?
– Qu'est-ce
que tu racontes ?
– Ben
oui, Papa a dit qu'il n'a pas fermé l'œil de la nuit ! »
Le petit Marcel
a une bonne idée pour sécher l'école :
« – Allo,
c'est la maîtresse ?
Je vous
téléphone pour vous dire que Marcel est malade.
– Et
qui est à l'appareil ?
– C'est
mon papa ! »
Une petite sardine regarde passer un sous-marin.
Sa maman lui explique :
« Tu vois, ça,
ce sont des hommes en boîte ! »
Deux bonnes-sœurs vont aux États-Unis pour rencontrer
leurs sœurs américaines.
Le soir de leur arrivée, elles veulent se restaurer et
voient un stand de hot-dog :
« – Regarde,
ils vendent des hot-dog, ça veut dire chien chaud. Ils mangent leurs chiens sur
ce continent.
– T'as
déjà mangé du chien ? C'est peut être bon.
– Allez,
on en commande pour goûter. »
Elles passent leur commande et la plus âgée des deux
regarde dedans pour savoir ce qu'il y a, et, elle se met à rougir et demande à
l'autre :
« T'as eu
quel morceau, toi ? »
Une voyante se présente au commissariat :
« Je viens déposer
plainte.
Je vais
être cambriolée demain matin ! »
Marcel va à confesse :
« – Mon
père, je m'accuse d'avoir péché… J'ai fauté avec une femme qui n'était pas la
mienne.
– Était-ce
contre son gré, mon fils ?
– Oh
non ! Contre le mur, mon père. »
Un concurrent du Paris-Dakar tombe en panne avec sa
voiture dans le désert.
Il a beau chercher la panne, il ne trouve pas.
Il est seul… Tout à coup, un cheval se trouve à côte
de lui.
« Salut,
t'es en panne ? » lui demande le cheval.
L'homme croit rêver.
C'est le début de la folie se dit-il, les effets de la
déshydratation qui commence.
« Pas de
problème » lui dit le cheval en plongeant la tête sous le capot pour
examiner le moteur.
« Mets-toi
au volant et tourne la clé. »
Le mec s'exécute.
Tourne la clé, le moteur démarre du premier coup.
Sans demander son reste il fonce jusqu'au premier
village.
Arrivé là, il s'arrête devant le premier bistrot et
réclame une bière.
Au barman qui le sert, il raconte son histoire.
Sans broncher le barman retourne à ses occupations.
Alors notre homme se tourne vers un autre consommateur
à qui il raconte à nouveau son aventure.
« De quelle
couleur était le cheval ? » lui demande le type.
« Blanc,
tout blanc ! »
Le type fini son verre, lui tape sur l'épaule.
« – On peut
dire que vous avez eu de la chance. Si vous aviez rencontré le cheval noir vous
seriez toujours là-bas ne train de mourir de soif…
– Pourquoi
? »
demande l'homme affolé.
« Le cheval
noir ? Il est nul en mécanique. »
Marcel visite une
île paumée.
On y entend sans cesse un rythme de batterie.
Il demande aux autochtones-locaux la raison et ils lui
répondent :
« – Très
mauvais quand batterie stoppe.
– Ah
bon, pourquoi ?
– Le
solo de basse commence… »
Justement le bassiste se plaint :
« – Le
batteur m'a désaccordé une corde, c'est dégueulasse !
– Ben,
t'as qu'à la réaccorder !
– Ouais,
mais il ne veut pas me dire laquelle. »
Lu pour vous le Dauphiné-libéré :
« Son
menton a soudainement quitté la paume de sa main droite posée grâce à un coude.
Et sa tête est venue frapper lourdement le bureau.
Une
fois de plus, un fonctionnaire s'est tué au travail. »
Un compositeur célèbre :
« – J’ai
mis plus de 15 ans à écrire
cette berceuse.
– Pourquoi
si longtemps ?
– Eh
bien, à chaque fois que je la jouais au piano, je m’endormais. »
Après être allé chez son médecin, Marcel revient à la maison.
Sa femme, voyant qu'il est inquiet, lui demande :
« – Alors,
comment ça s'est passé ?
– Il
m'a dit de prendre une pilule par jour jusqu'à ma mort.
– Une
pilule seulement ? … Ce n'est pas la fin du monde quand même !
– Je
sais… Mais il m'en a donné que quatre ! »
C’est un commercial de Coca qui revient du
Moyen-Orient très remonté.
Il y était parti pour développer la marque là-bas.
Son ami Marcel
lui demande alors :
« Pourquoi
n’as-tu pas réussi avec les Arabes ? »
Il lui répond :
« – Quand
j’ai été envoyé au Moyen-Orient, j’étais très confiant de pouvoir faire de
bonnes ventes car Coca-cola n’est pas connu là-bas.
Mais le
problème était que je ne parlais pas arabe.
J’ai
donc fait passer le message à travers 3 images…
La 1ère
image présentait un homme allongé dans le sable chaud du désert, totalement
faible et épuisé…
La 2ème
présentait un homme buvant du Coca…
La 3ème
photo montrait notre homme totalement rafraichi…
Et ces
panneaux furent publiés dans toute la ville…
– Ben
ça aurait du bien marché ? », lui répond Marcel…
« Un putain
d’enfer ouais !!!! », lui répond le commercial…
« Les
arabes lisent de droite à gauche… »
Le jeune Mohamed a 20/20 dans toutes les matières,
sauf en histoire …
Ses profs, qui ne comprennent pas pourquoi, décident
de convoquer ses parents.
Et là … son père leur explique :
« J'y dis à
mon fils, ti travaille bien à l'icôle, i sirtou, sirtou, ti fi pas d'histoire ! »
De Marcel,
supporteur de l’AS-Monaco :
Un supporter de l'OM, un du PSG et un de Strasbourg,
perdus au cœur de la jungle, se voient contraints de traverser à la nage une
rivière infestée de crocodiles.
Le Marseillais, bien sûr, se jette à l'eau le premier
mais, arrivé au milieu de la rivière, se fait dévorer par un crocodile.
Puis le Strasbourgeois se lance et se fait
immédiatement bouffer par un autre crocodile.
Puis c'est au tour du Parisien.
Prudent, celui-ci sort un marqueur de sa poche et
écrit en grand sur son tee-shirt :
« MARSEILLE CHAMPION DE FRANCE 2015 »
Puis il se jette à l'eau et traverse la rivière sans encombre.
Moralité : OM champion de France, même un crocodile ne
peut pas avaler ça !!!
« La
tragédie du Canada c'est qu'ils auraient pu avoir la culture britannique, la
cuisine française et la technologie américaine.
Mais
ils ont eu la culture américaine, la cuisine britannique et la technologie
française. »
C'est Marcel,
qui arrive en vacances en Bretagne, et ce jour-là il pleut !
Le lendemain il va sur le pas de la porte, et il pleut
!
Le surlendemain, idem !
Au bout d'une semaine, il se décide de sortir de sa
villégiature et chemin faisant, sous la pluie, il rencontre un jeune-homme et
lui pose la question :
« – Ça fait
combien de temps qu'il pleut comme cela en Bretagne ?
– Je ne
sais pas, moi, je n'ai que 18 ans ! »
La ministre de la santé visite un hôpital
psychiatrique et demande au directeur :
« – Comment
pouvez-vous dire si une personne a besoin d'être internée ou si elle peut sortir
totalement soignée ?
– Nous faisons
un test. On remplit une baignoire avec de l'eau et nous leur offrons 1 petite-cuillère,
1 tasse ou 1 seau, en leur demandant de vider la baignoire.
– Je
vois… Une personne normale aurait choisi le seau parce qu'il est plus gros,
c'est ça ?
– Non.
Une personne normale retirerait le bouchon de la baignoire… Vous voulez une
chambre avec ou sans fenêtre ? »
Dans un superbe appartement de Madison Avenue, à New
York, quatre fils de milliardaire font un poker.
La nuit est déjà avancée, et il y a pas mal d'argent
sur la table.
Un des joueurs ouvre à 5.000 $.
Le suivant relance de 10.000 $ et les deux autres
passent.
L'ouvreur met 25.000 $, son adversaire 50.000 $.
« Plus 100.000 »,
dit l'ouvreur.
« – Pardonnez-moi »,
fait l'autre, « j'ai promis à mon
père de ne plus dépasser 100.000 $. Mais j'aimerai beaucoup jouer ce coup.
Acceptez-vous que nous mettions nos jeux sous enveloppe, le temps d'aller
réveiller mon père pour lui demander la permission de continuer ?
– Pas
de problème. »
On met les cartes sous enveloppes cachetées, et le
jeune homme va dans la chambre paternelle.
« Qu'est ce
qui se passe ? » fait le milliardaire en se secouant.
« – Papa,
je fais un poker avec des amis, Bob viens de me relancer de 100.000 $, je
voudrais ta permission pour continuer…
– Qu'est-ce
que tu as comme jeu ?
– As de
cœur, roi de cœur, dame de cœur, valet de cœur et dix de cœur…
– Quoi
? Un flush royal ? Passe-moi mon pantalon et ma chemise, j'arrive ! »
Un instant plus tard, il entre en trombe dans le
salon.
« Bonjour,
Bob ! Puisque c'est moi qui finance mon rejeton, vous permettez que je joue
pour lui ? Merci, passez-moi son enveloppe… »
Il ouvre, regarde les cinq cartes et dit :
« Vos 100.000
$ plus un million de dollars… »
Bob, qui a un carré de neufs, blêmit, se met à
transpirer à grosse gouttes, et après avoir pesé le pour et le contre,
abandonne et jette son jeu.
La partie est finie et les perdants paient.
Chacun rentre chez soi.
À peine la porte refermée que le père saisit son fils
par le revers du veston et lui dit :
« Toi,
imbécile, la prochaine fois que tu confonds la dame de cœur et la dame de
carreau, je te colle une trempe ! »
Bon week-end à toutes et tous !
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