Histoires de bébés… & autres.
« – Votre
enfant, vous l'avez allaité ?
– Non,
je l’ai eu cet hiver. »
Marcel à son
épouse :
« Nos
voisins doivent être vraiment très pauvres. Ils paniquent parce que leur bébé a
avalé une pièce 2 centimes ! »
« – Mon
fils est parfait.
– Ah
oui ?
– Oui.
C'est le fils rêvé, vraiment.
– Est-ce
qu'il ne mange pas trop de bonbons de temps en temps ?
– Non.
– Il ne
boit pas trop de boissons sucrées ?
– Non
plus.
– Il
n'arrive pas tout le temps en retard à l'école ?
– Non.
Parfait je vous dis !
– Apparemment,
oui, vous avez le fils parfait. Il a quel âge ?
– Il
vient d'avoir 6 mois… »
Un bébé pleure depuis un moment à la plage.
Un passant dit à Marcel,
son père :
« – Quand
ma fille était petite, mon épouse chantait des berceuses pour calmer notre
bébé.
– Oui,
c'est-ce qu'elle faisait aussi…
Mais
les voisins sont venus, et ils nous ont dit qu'ils préféraient entendre le
gosse pleurer ! »
Une madame parle à sa voisine :
« – Ma
fille a deux passions, le chant et la danse. Elle hésite en quoi choisir...
– Elle
devrait choisir la danse.
– Pourquoi
? Vous l'avez-vue danser ?
– Non,
mais je l'ai entendue chanter ! »
Au restaurant :
« – Garçon,
quel est le plat du jour ?
– De la
langue de bœuf, monsieur.
– Mmmmh,
non, je ne veux pas manger quelque chose qui sort de la bouche d'un animal.
Apportez-moi
plutôt des œufs… »
Marcel et Mario
travaillent au centre-ville et depuis des années. Ils vont toujours déjeuner
dans le quartier chinois, toujours au même restaurant.
Depuis des années, ils ont le même garçon de table, un
petit chinois qui s'appelle Wong.
Marcel et Mario vont au même restaurant non seulement
car la soupe est bonne, mais parce qu'en plus, ils peuvent jouer pleins de
petits tours à Wong.
Tout pour énerver Wong.
Un jour Marcel dit à Mario :
« Ça a
assez duré. On devrait arrêter de martyriser Wong et on devait s'excuser et lui
donner un bon pourboire pour nous faire pardonner tout ce qu'on lui a fait. »
Et ce midi-là, quand Wong apporte la soupe, Marcel et
Mario lui disent :
« Écoute
Wong, sa fait des années qu'on t'énerve ; aujourd'hui, on veut se faire
pardonner et on te donne un gros pourboire pour te prouver notre sincérité. Dorénavant
on va être des clients modèles. »
Wong est très touché de leurs excuses et, les yeux
pleins de larmes, il leur dit :
« Je vous
remercie beaucoup et je vous promets que de mon côté, je ne ferai plus jamais
pipi dans votre soupe. »
« – Garçon,
donnez-moi la carte.
– La
voici, monsieur…
– En
toute confiance, que me recommandez-vous ?
– De changer
de restaurant, monsieur… »
« – Garçon
! Mon café est d'hier ! C'est un scandale, appelez-moi le patron !
– Bien,
monsieur. »
Le patron arrive.
« – Le café
que vous me servez n'est pas frais, il est d'hier, ça se sent !
– Oui,
effectivement monsieur, c'est vrai, ce café a été préparé hier.
– Mais
j'exige un café d'aujourd'hui, moi !
– Pas
de problème. Monsieur, revenez demain, et nous vous le servirons ! »
Diverses :
Un garde-pêche se fâche :
« – Hé !
Vous n'avez pas le droit de vous baigner ici !
– Mais
je ne me baigne pas, je me noie !
– Ah
bon ? Mais c'est différent, excusez-moi.
Bonne
journée monsieur ! »
En plein été, dans un magasin de tissus, une jeune
fille en minijupe s’adresse à un vendeur :
« – Je
voudrais prendre de ce tissu pour me faire une nouvelle robe.
Combien
vaut-il ?
– Cela
sera un baiser le mètre, pour vous, jolie demoiselle !
– Très
bien ! Vous m’en couperez 5 mètres, alors. »
Tout rougissant et rapidement, le vendeur prend les
mesures du tissu et fait la découpe. Puis il emballe le tissu et le pose sur le
comptoir en regardant la fille avec insistance.
À ce moment-là, la fille se tourne vers le trottoir et
appelle :
« Grand-père,
tu peux venir payer le monsieur ? »
« – Pépé,
tu ne veux pas que j'apporte tes lunettes ?
– Pour
quoi faire ? Je n'ai pas besoin de lunettes pour regarder la télé, quand-même !
– Si,
pépé ! Parce que là, ça fait une demi-heure que tu regardes le four… »
Marcel dit à l'un de
ses collègues de bureau :
« – Ça
t'intéresse deux places de théâtre ce soir ?
Moi je
ne veux pas y aller. Ma femme a invité je ne sais plus quel imbécile à dîner
sans me demander mon avis…
Tu les
veux ?
– Non
merci, ce soir je suis pris… Je dîne chez toi ! »
Un camionneur roule tranquillement sur la route dans
son camion et tout à coup il distingue au loin un homme vêtu de rouge des pieds
à la tête.
Le camionneur s'approche rapidement et le gars ne
s'écarte pas.
Il fait clignoter ses phares, mais rien, le gars ne
bouge pas.
Alors le camionneur appuie à fond sur les freins et
arrive à s'arrêter à à peine un mètre du gars.
Il descend du camion fou de rage et l'homme en rouge
lui dit :
« Je suis
l'homosexuel rouge, aurais-tu quelque chose à manger ? »
Le camionneur, étonné, le regarde et lui dit :
« Mais,
t'es un grand malade ou quoi ? Tu ne vois pas que j’ai failli t'écraser ? »
Le camionneur remonte dans son camion et poursuit sa
route.
Tout à coup, il distingue de nouveau un gars
complètement vêtu de blanc et aussi debout en plein milieu de la route.
Il fait de nouveau clignoter ses phares et le gars ne
bouge toujours pas.
Le camionneur freine de nouveau brusquement descend du
camion et l'homme en blanc lui dit :
« Je suis
le gay blanc, aurais-tu quelque chose à boire ? »
Le camionneur lui dit :
« Mais
saleté d’homo tu n’as pas vu que j'ai failli t’écraser ? T'es vraiment malade ou
quoi ? »
Le camionneur, une fois de plus, remonte dans son
camion et poursuit son chemin, lorsque, au loin, il distingue un autre homme,
cette fois en bleu.
Il refait clignoter les phares mais rien, il ne s’écarte
pas, il freine de nouveau comme un malade, s'arrête à un demi-mètre du gars,
descend du camion, très vexé, et lui dit :
« – Alors,
putain d’homo-bleu de merde ! Qu'est-ce que tu veux, connard ?
– Pour
commencer, le permis de conduire et les papiers du véhicule… »
Marcel rentre chez
lui la figure en sang, avec un œil au beurre noir et plein de bleus.
Sa femme s'inquiète :
« – Mais
qu'est-ce qu'il s'est passé mon chéri ?
– Ah !
En sortant du travail, y'a un petit minable qui m'a bousculé.
– Et
alors ?
– Alors ?
Ce n'était pas un petit minable ! »
Marcel et un ami
alpiniste escaladent une montagne, quand l'un d'entre eux tombe dans une
crevasse.
L'autre lui crie :
« – Est-ce
que ça va ? Tu as mal, Marcel ?
– Non,
non ! »
répond une voix lointaine.
« – Tu as
pourtant l'air d'être tombé très bas ! Tu es sûr que tu n'as pas mal ?
– Non, » répond
la voix encore plus lointaine.
« Mais
c'est parce que je n'ai pas encore fini de tomber ! »
« – Papa,
ou se trouve l’Afrique ?
– Demande
à ta mère, c'est elle qui range tout… »
Marcel dans un
cinéma, la femme de devant lui se retourne et dit poliment :
« – Si vous
voulez, je peux enlever mon chapeau s’il vous dérange.
– Non,
non, gardez-le ! Il est plus drôle que le film. »
Le petit garçon de Marcel demande à son père :
« – Papa,
c'est loin l’Italie ?
– Ça ne
doit pas l’être. L'année dernière, je travaillais en Belgique avec un italien qui
il allait se coucher chez lui tous les soirs ! »
« – Hier, j'ai
regardé le match de foot à la télé.
– Ah
oui ? Et quel a été le score ?
– À la
fin du match c'était 0 à 0.
– Ah !
Et à la mi-temps, c'était combien ? »
C'est Marcel
qui est dans un bar.
Tout à coup, il a extrêmement envie de faire un gaz.
Tandis que la musique est vraiment forte, il décide de
suivre le tempo.
Après deux chansons il commence à s'épuiser.
Puis il se rend compte que tout le monde la regarde.
C'est à ce moment-là qu’il se souvient que la musique
venait de ses écouteurs.
Une déjà revenue (et améliorée) :
Pendant un repas de famille, une des filles se lève et
dit à son père :
« Papa faut
que je te dise quelque chose.
Eh bien
voilà : Je suis lesbienne. ».
Puis la seconde fille dit à son tour :
« Moi aussi
papa, je suis lesbienne ».
Marcel en reste choqué, puis commence à s'énerver et crie
:
« Mes deux
filles sont lesbiennes ! Mais il n'y a donc personne dans cette maison qui aime
les garçons ! »
À ce moment-là son fils lève la main en disant : « Si ! Moi ».
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Elle semble pas finie la blague du camioneur car rouge/blanc/bleu c'est l'inverse du drapeau tel que raconté par wikipedia français: "le bleu et le rouge pour les couleurs de Paris qui entourent le blanc de la royauté, identiques aux trois couleurs utilisées par les différents pavillons français d'Ancien Régime."
RépondreSupprimerJe ne vois pas le rapport mais si tu dis que c'est des "débiles" :-)!
Par contre on commence a entrevoir un autre sens si on se base sur le wikipedia américain: "The royal government used many flags, the best known being a blue shield and yellow fleur-de-lis on a white background, or state flag. Early in the French Revolution, the Paris militia, which played a prominent role in the storming of the Bastille, wore a cockade of blue and red,[citation needed] the city's traditional colours. According to Lafayette, white, the "ancient French colour", was added to the militia cockade to create a tricolour, or national, cockade.[1] This cockade became part of the uniform of the National Guard, which succeeded the militia and was commanded by Lafayette.[citation needed] The colours and design of the cockade are the basis of the Tricolour flag, adopted in 1790.[citation needed] The only difference was that the 1790 flag's colours were reversed. A modified design by Jacques-Louis David was adopted in 1794. The royal white flag was used during the Bourbon restoration from 1815 to 1830; the tricolour was brought back into use after the July Revolution and has been used ever since 1830."
Ya parfois de ces subliminaux ... lol...
Oui, l'épisode de la restauration et son drapeau blanc aura été un erreur "politique".
SupprimerMais signifiait bien le retour à l'ancien régime et ses privilèges exorbitants.
15 ans plus tard, c'était la révolution de juillet.
Et puis l'arrivée du "neveu" : Il faut se rappeler que les meks qui ont voté lors de la seconde république, ils avaient combattu contre toute l'Europe liguée, que dis-je, coalisée (6 coalitions pour un coût de 6 à 7 fois le PIB mondial de l'époque, financé par emprunt) contre les Révolutionnaires portant les valeurs des "lumières" dont les aristocrates ne voulaient pas : C'était ça les vraies guerres napoléoniennes !
Et "les lumières", elles ont tenues 18 ans et ont rendues l'Amérique indépendante du joug des aristocrates anglais.
Maintenant, il y a une autre explication au "tricolore" : Le Bleu de Marie, le blanc de la virginité, de la pureté et le rouge de la vie.
Repris plus tard les communistes et imposé par les communards
Car il faut se rappeler de Lamartine concédant un bonnet frégien rouge au centre du drapeau, sur les balcons de l'Hôtel de Ville des parigots.
Mais tu n'étais pas né, tu ne peux pas savoir.
Ceci étant dit, elle est débile cette blague-là, parce qu'on a la même avec un ambulancier qui fait kaka.
Jamais reprise ici.
Alors quand je l'ai entendue la première fois, je me suis dit que si le gars était rouge, c'était le père-noël.
Et puis non : On retombe sur un flic, et là, ça m'a fait rire !
Bien à toi !
I-Cube
Ce qui me fait cogiter....
SupprimerSi ce pays n'est pas capable de changer de drapeau, comment veux-tu que quoi que ce soit change?
La "révolution" dont on nous rabats les oreilles n'en étais pas et ne l'a jamais été.
Celà a juste été une prise de pouvoir par un autre groupe qui était du meme niveau que le premier.
Et là on vit la meme chose, toujours les memes!!
C'est pour ça que je n'ai jamais aimé les révolutions et toujours refusé d'en faire partie.
Car la vraie "révolution" est dans les tetes et quand on aura "abattu" les religions!
Certes, mais il y a vraiment eu une Révolution dans les têtes !
SupprimerAvant le Clergé et les Aristocrates se mêlaient de tondre le tiers état.
L'esprit des lumières et les bourgeois ont viré les deux premiers des "affaires" et se sont mis à tondre le prolo.
Ca change tout, n'est-ce pas !
Aujourd'hui l'aristocratie s'est reconstituée en gardant le principe de la laïcité de l'action publique, une neutralité issue des concordats et revue par la loi de 1905.
Cette aristocratie s'appelle "la technostructure" mais elle est bien là, aux commandes des affaires de la nation : Un vraie drame parce qu'elle au moins aussi incompétente que les "fins de race" de l'Ancien régime.
En tout cas elle ne montre pas vraiment plus de talent que n'importe qui d'autres.
Quant au "fait religieux", n'épiloguons pas, tu connais mon point de vue.
Et "MON" drapeau, je suis né avec alors j'y tiens. D'ailleurs je frémis encore quand je le voit en poupe d'une navire, figure toi.
Quant à la Marseillaise, ou le chant des partisans, je pleure quand je les entends.
C'est comme ça...
Bien à toi !
Tu frémirais a n'importe quel symbole quand tu sais ce qu'il représente vraiment. Ce n'est pas tellement le tissu mais les principes.
SupprimerS"attacher au tissu ça c'est "religieux".
ON sait ce qu'est le drapeau il représente des principes dépassés mais enjolivés dans les nouveaux principes.
Ca veut dire qu'on essaie de faire neuf en recyclant de veixu symboles en tentant de leur donner un autre sens.
L'ancien sens est toujours là et permets aux "anciens" de perdurer et étendre leurs influences.
C'est pour celà qu'il sera quasi impossible de changer quoi que ce soit en douceur si on n'est pas capable de se faire un oriflamme sur les nouveaux principes.
Et sur toute la planète c'est du meme accabit.
Quand on veut changer on ne s'attache pas à des "totems"!
Peut-être !
SupprimerMais on a aussi besoin de racines pour grandir, d'une Histoire commune à partager quand on veut avancer, progresser, comprendre !
Ne l'oublie pas : Je ne crois pas aux choses qui viennent toute seule de nulle part, que ce soit dans les principes de vie, individuelle comme collective (et tout a déjà été inventé par les antiques, qu'ils soient grecs ou plus récents, qu'ils soient chinois ou d'ailleurs) ou même de la monnaie issue de nulle part : Ca te revient forcément dans la gueule un jour ou l'autre !
Il est si simple de ne pas trop perdre de temps (la vie est si courte...) à réinventer la mathématique ou la géométrie à chaque génération : Tu puises dans ce qui existe et tu améliores.
C'est là les "vrais" changements pérennes.
Mais bon, on peut ne pas être d'accord et se réfugier dans le nihilisme.
Quoiqu'une fois "tout cassé", il faut bien proposer de reconstruire tout de suite après, non ?
@ DJ : Et puis c'est vrai que je chiale comme une Madelaine aux première mesures de la Marseillaise.
RépondreSupprimerMais aussi à celles du chant des partisan, au Dio vi Salvi Regina, au Requiem de Mozart, à la plupart des tubes des Pink-floyd et encore aussi à Patricia Kaas quand elle "chante pour ceux qui n'ont rien".
Je n'y peux plus rien : A chaque fois, ça eut été un moment particulier difficile de ma pôvre vie sans intérêt.
Alors, je chiale, c'est tout ce que je sais faire dans ces moments-là !