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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 juillet 2015

Au nom du père (Chapitre XXXI ; Tome I)

Naufrages 

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite ! 
 
Sur le moment, il n’en trouve pas, toujours « suivi des yeux » par la tâche de rousseur. 
Et ce n’est pas faute de parcourir les compartiments des différents étages en tous sens ! 
Il y a bien des « salles blanches » avec des tas de flacons et des morceaux de déchets humains un peu partout à l’étage encore supérieur, mais au mieux, il s’agit de réactifs chimiques aux propriétés aléatoires. 
Ils finissent par retrouver l’armurerie. Du beau matériel. Paul en profite pour refaire le plein de chargeurs, enfile les bretelles de deux Sam 7 aux épaules et se charge de quelques grenades. 
Ça va servir. 
Une radio grésille à proximité, un peu plus haut. 
 
L’hélicoptère de Risle s’annonce en approche et demande l’autorisation de se poser. 
« Autorisation accordée. On vous attend avec impatience ! Méfiez-vous quand même. L’hélico du bord est également attendu. Il a dû faire une sortie. Poussez votre machine au mieux. Vent huit nœuds au 250. Pression 1017 hectopascal sur la plateforme. » 
Ok ! 
Ok, bienvenue au paradis, les enfants… 
Et il détruit la radio d’une rafale. Courte la rafale, mais de quoi faire de jolies étincelles dues à des courts-circuits tels que ça ne vas pas tarder à flamber. 
Il aurait dû lancer un « Mayday » sur la fréquence internationale juste avant, mais à la réflexion, Frank l’aurait entendu. 
Et puisqu’il est dans le poste de commandement, il préfère s’occuper de descendre la plateforme à la flotte… Parce que la descente depuis 15 mètres de haut, il a déjà donné et dans les deux sens. 
Juste le temps de lancer la lente manœuvre, que déjà il faut filer vers l’aire d’atterrissage des hélicoptères, celui de Risle faisant une approche lente et prudente par le nord-ouest, face au vent et en travers de l’axe le plus dégagé. 
Cherche les complications, le pilote.
 
Paul, toujours suivi de près par Shirley, s’avance vers la machine pour la guider avec les bras, dans les derniers mètres avant l’atterrissage. 
La turbine n’est pas encore arrêtée que le pilote lance : « Qu’est-ce qui se passe ici ? Personne ne répondait depuis un bon quart d’heure. Nous sommes « limite » question carburant. Et pourquoi toutes ces armes ? » 
Flûte ! Ils ne repartiront pas par la voie des airs. 
« Une mutinerie. Le colonel est parti cueillir les insurgés, mais je vous attendais ! » 
« Où est sa fille ? » désignant du menton la civière posée à l’arrière de la machine. 
« Elle est morte dans la bagarre ! C’est lui le professeur Risle ? » 
Qui voulait-il que ce soit, l’inconnu ? 
« T’es qui toi ? Je ne t’ai jamais vu ! » 
« Le donneur d’organe qui se rebiffe ! » 
Le pilote farfouille alors dans son équipement à la recherche d’une arme. Il n’en a pas le temps. Le premier coup est pour lui. Le second pour le copilote en blouse d’infirmier qui en fait autant de son côté. 
Paul s’approche du type allongé, le teint cireux encore conscient mais immobile. 
« Professeur Risle, je présume ! » 
Un hochement de tête affirmatif, presque imperceptible. 
« Qu’est-ce que vous me voulez ? » 
Se présenter, tiens donc ! 
« Paul De Bréveuil. Le frère de votre gendre disparu. Le fils de Jean-Pierre De Bréveuil, juge au parquet de Rouen. Vous vous souvenez, j’espère ? » fait-il presque jubilatoire.
« Vous n’êtes pas facile à croiser, vous savez. Et pourtant, nos destins s’entrecoupent une dernière fois. Il paraît que c’est mon foie qui devait vous sauver la vie. Malheureusement pour vous, on m’a laissé donner mon avis et il se trouve que j’ai refusé, assez bêtement. 
Je ne sais pas pourquoi. Pas très chrétien de ma part, si j’ose dire, n’est-ce pas ? 
En revanche, je vous accorde une dernière faveur bien volontiers, en compensation. 
Puisqu’il paraît que personne ne doit mourir ici sans savoir pour quelle raison et que les maladies de foie sont très douloureuses m’a-t-on dit, je vais abréger vos souffrances d’une seule balle. Pas plus, vous ne valez même pas son prix, mais en pleine tête. 
Celle-là, je vous la refile au nom de mon Père. Car ça n’a rien de personnel entre vous et moi, comprenez bien. Ça vous va comme projet immédiat ? 
Vous l’avez bien méritée ! » 
Ceci dit, avant même que l’autre ne tente quoique ce soit, il joint le geste à la parole. 
Puis s’écarte à vie allure de la machine en y laissant une grenade dégoupillée. 
Juste le temps d’entrainer Shirley à l’abri de la déflagration… 
« Chaud devant ! » 
Les flammes rongent l’appareil et le reste de kérosène coule en flamme le long de la piste jusqu’à dégouliner vers la mer dans un beau panache de fumée noire, pendant que les morceaux éparses de la carlingue disloquée retombent un peu partout. 
 
« Bon maintenant ma chérie, faut qu’on se trouve une embarcation à peu près correcte avant le naufrage total de la plateforme. » 
Après avoir ruiné les projets des Risle, leurs vies, détruit un appareil et une partie des équipements du bord, l’image est assez sympathique. 
Pas question de laisser les monstruosités tissulaires vues à un niveau inférieur de la plateforme pour que n’importe qui persistent à poursuivre ces expériences de docteur Frankenstein-Folamour. 
« Toi, tu guettes un bruit d’hélicoptère… Il va revenir incessamment sous peu de par-là. Ça te va ? » 
Non, elle doit ne pas quitter des yeux… 
Et elle en a eu plein les mirettes, la « tâche rousseur » ! 
 
Frank s’inquiète, le canot est vide et poursuit sa route vers l’inconnu, la radio ne répond plus et au loin, un panache de fumée monte vers le ciel depuis la position supposée de leur îlot métallique, alors qu’il lui faut faire le chemin inverse à la recherche d’un cadavre entre-deux-eaux. 
Et quand ils arrivent à proximité de leur destination, c’est pour se rendre compte que l’appareil de Risle s’est écrasé à l’atterrissage. Ils vont avoir du mal à s’y poser. 
Alors même que la plateforme « dévisse » à en toucher l’eau dans peu de temps. 
Mademoiselle doit être furieuse. Rien ne se passe comme prévu ! 
Une catastrophe à vrai dire. En tout cas, tous ses signes annonciateurs. 
Pire encore tout de suite après. À la jumelle, il aperçoit un des canots de sauvetage qui manœuvre pour s’écarter du bord. 
Il s’agirait de faire rappliquer le navire de soutien pour éviter le pire, tant que la radio fonctionne à son bord. Mais il y a plus urgent. 
Au fil de leur approche il aperçoit un type et une fille qu’il identifie comme étant la petite-anglaise avec le beau-frère de Mademoiselle, kidnappés à Montréal. 
Comment ont-ils pu s’échapper ? Il n’y a qu’une réponse à cette énigme : pendant qu’ils cherchaient le corps du gars, ce petit salopard est revenu à la nage et c’est forcément lui qui a mis la barge dans cet état. 
Il faut absolument le récupérer avant qu’il ne cause des dommages irréparables. 
 
C’est invraisemblable, il était si convaincu de l’avoir eu à la lunette avec son M95 pour l’avoir vu tomber à l’eau. Mais faut dire qu’avec toute l’écume qu’il soulevait dans son sillage, il n’était finalement plus si sûr de lui. 
La preuve. 
« Approche-toi et fais le tour avant d’atterrir ! Y’a des choses étranges qui se passent à bord. », fait-il à son pilote qui commence à cercler. 
Un coup facile : le Sam est tiré à moins de 50 mètres depuis un décrochement du bastingage, dans leur dos des trois-quarts arrière de l’appareil. Ils ne se sont pas vus partir en fumée et en lumière. 
 
« Bon à nous… Je t’avais promis une croisière en méditerranée. On va commencer par quelques coups de pagayes en Atlantique nord. Sauf si on trouve un moteur et un peu de carburant. » 
Et les voilà partis à la recherche d’une embarcation. « Si tu trouves, prend des vivres et de l’eau. Des vêtements chauds aussi. Y’a plus rien à craindre, rassure-toi ! » 
Ne pas le quitter des yeux, surtout ne pas le quitter des yeux. 
De toute façon, après tout ce qu’elle vient de voir et de vivre, pire que dans les films d’horreur, elle ne veut surtout pas se retrouver isolée.
Il leur faut une petite demi-heure pour rassembler leur matériel. Paul retourne déposer ses grenades un peu partout dans les cages d’échelles de coupée, pour finir couler cette maudite barge. 
C’est à cette occasion et entre deux explosions qu’il croise Frank, le rescapé parfaitement improbable, tout dégoulinant de blessures, les grenades faisant trembler la carasse de la barge. 
« Je vais te faire la peau fumier ! » dit-il sur un ton menaçant une hache à la main à la croisée d’une coursive. 
Paul l’évite de justesse. Et recule. « Si tu fais ça, je lâche ma grenade. Forcément. » 
« Qu’est-ce que j’en ai à foutre ? » 
« Sergent, c’est un ordre. Laissez tomber votre hache, vous êtes en état d’arrestation ! » 
Ça ne le calme pas du tout, cet accès d’autorité, au contraire : il se rue sur Paul en hurlant. 
« Mais quel con celui-là ! » Paul évite la charge, sort son arme et fait feu sur le grand corps malade dans sa tête. 
Il s’approche de l’agonisant qui râle gisant au sol. 
« Allez mon grand, je vais te laisser crever ici à te vider de ton sang, en paiement très partiel de tous ces types que tu as pu assassiner dans ta vie de crapule au service des Risle… 
J’espère que tu vas vivre encore assez pour revoir à l’envers tous ses souvenirs du monstre que tu es ! » 
« Je te retrouverai ! » 
Qu’il n’y compte pas. Et Paul finit de vider son chargeur sur ses genoux et ses mains, ceux de la barbouze qu’il a à ses pieds, pour toute réponse, lui arrachant à chaque fois un cri de douleur mêlé d’effroi. 
« Pour te faire plaisir, je reconnais que tu m’as fait très peur, dans la minute qui vient de passer. Je ne t’attendais pas. Mais j’avais tort : tu couines comme une femmelette, qu’on en dirait une truie qui met bas. Vas en enfer, toi aussi et t’avise plus de jamais recroiser mon chemin ! » 
« Salaud ! Salaud ! J’ai mal… J’ai si mal » 
Il en redemande ? 
Se penchant vers l’agonisant, il s’approche de son oreille pour lui glisser : « Tu as pensé à tous ceux que tu as laissé vivre ces derniers moments-là, comme tu les vis, là ? Et encore, les tiens sont si courts… Une larve, mon bonhomme, voilà à ce quoi tu me fais penser en te regardant ainsi gémir sur ton pauvre sort. » 
Et il lui crache dessus en se relevant, puis se retourne, l’enjambe en baissant la fermeture éclair de son pantalon et lui pisse sur le visage. 
« Mon dernier cadeau, que tu t’imprègnes bien de l’odeur de mon urine avant de crever ! » 
« C’est qui celui-là ? Tu lui as fait quoi ? Tu as mal quelle que part ? » 
Ça, c’est la voix de la « tâche de rousseur » qui arrive dans son dos et s’est inquiétée des coups de feu entendus. 
« Oui, j’ai mal. À l’âme. Je viens de l’égarer. Je ne sais pas si je pourrais la retrouver un jour… » 
 
En fait, le plus facile serait encore de se rapprocher du canot de l’équipe médicale. Mais il file vite et pas dans la bonne direction. 
Shirley et Paul ne vont finalement pas très loin. Un immense sous-marin fait surface peu après que la plateforme sombre définitivement dans les profondeurs toutes relatives de l’océan après une succession d’explosions. 
Un type surgit du sommet du kiosque. « Commandore James Arly, du HMS Trenchant. » 
Classe « Trafalgar »… 
« Accepteriez-vous notre aide, par hasard Commandore De Bréveuil ? » 
« Seulement si je peux monter à bord avec cette prise de guerre ! » répond-il en brandissant une bouteille de gnôle fauchée à la cambuse avant le départ. 
« Si c’est ce que je pense, c’est interdit à bord ! Je regrette. » 
« Commodore, pour en être sûr, il nous faut y gouter ensemble ! » 
« Absolutely, absolutely ! À condition d’être plusieurs pour décider, en experts associés. J’ai quelques officiers à bord qui se désigneront bien volontaires. De toute façon, nous avons du thé et du fameux, pour compenser, au cas où. Qu’en dites-vous ? »
Que comme il partage les mêmes valeurs que les gens de mer et donc de la marine britannique, forcément, à part le thé, l’offre ne peut pas se refuser. 
 
À Montréal, c’est la surprise générale. Les rapports ont été faits rapidement aux hiérarchies respectives des uns et des autres, celle de Paul passant par Charlotte pour atterrir chez Trois-Dom qui, alertée, fera quelques heures supplémentaires à attendre les décisions de ses chefs en plein week-end de fin de saison laborieuse. 
Et un hélicoptère est finalement détaché pour récupérer le capitaine de frégate de réserve de la marine française, pendant que Shirley attendra à bord de rentrer à Londres : elle a bien travaillé, finalement.
 
Paul s’installe en tête de table du Conseil réuni dans l’urgence. 
« Mesdames, Messieurs, je vais être clair. Le professeur Risle est mort. Sa fille aussi. La plateforme a sombré avec à son bord des années d'échantillons et de cultures de tissus biologiques expérimentaux ».  
Rumeurs d’indignation et de surprise. 
« Silence ! L’équipe médicale du bord a été repêchée, elle est saine et sauve et aux arrêts. » 
Aux arrêts ? Mais pourquoi ? 
« Je suis ici pour mettre fin aux activités illégales de la fondation. »
Illégales ? Mais comment ça ? Rien n’est plus légal que les travaux sur les transplantations. Légal et d’autant plus légitimes ! 
« Vos organes, ceux que la fondation vous procurait depuis des années, sont tous issus de crimes, meurtres, assassinats et j’en passe ! Et cela a cessé hier soir au large des côtes. »
Impossible ! Ça se saurait depuis tant d’années. 
« J’étais venus pour être un parmi vous. Désormais, je suis là pour être votre Président et remettre de l’ordre dans vos activités. Et pour faire court, il n’y aura qu’un seul vote possible, et à main-levée, à l’ordre du jour par ailleurs ajourné pour le reste et qu’une seule alternative : Pour ou contre. Pas d’abstention ! »
Qui vote contre ? 
« Permettez, jeune homme, » interrompt Sir Philips. Le silence se fait quasi-instantanément autour de la table : le « sage » va parler. « Je sais d’où vous venez et je sais aussi que vous êtes une personne droite, honnête et de confiance. Je vote pour vous, des deux mains s’il le faut, en espérant vraiment que vous parviendrez à remettre de l’ordre dans la fondation et ses activités, telle qu’il n’y ait plus jamais la moindre ombre d’illégalité sur la profession de tous les honnêtes praticiens ici présents. »
Ce n’est pas tout-à-fait ce qui a été convenu avec le chargé d’affaires de l’ambassade. Mais qu’importe. 
« Je vote pour ! » 
« Mais vous n’écoutez pas, Lord McShiant : j’ai demandé que ce soient ceux qui votent contre, et uniquement eux, qu’ils lèvent la main et sortent : la police-montée du pays les attends pour les entendre. »
Là, ils votent comme un seul homme : aucune main levée. Toutes bien rangées sur la table dans un silence quasi-religieux. 
« Résolution adopté à l’unanimité ! Je lève la séance et vous propose qu’on prévoie de se réunir en septembre prochain pour faire le point. 
Mesdames et Messieurs, vous allez être entendus par la police-montée qui attend à l’extérieur. » 
Protestations, indignations… 
« Silence ! Que ceux d’entre vous qui ne savaient pas d’où venaient les organes reçus, ni comment Risle et la fondation se les procuraient, n’aient aucune crainte. 
Simplement, ma première décision de Président est de laisser nos polices respectives faire leurs enquêtes et de suspendre toutes les opérations en cours ou à prévoir sur vos patients dans  les semaines à venir. 
On fait le ménage, on fait le point d’ici deux mois et on décidera de la reprise ou non des activités en septembre. Mais cette fois-ci selon les protocoles légitimes et légaux. 
Merci pour votre nécessaire appui ! 
Longue vie à la Fondation ! » 
 
On ne peut pas dire qu’il sort sous les applaudissements. Mais c’est comme ça : il se retrouve avec un nouvel ours à gérer sur le dos. 
Décision conjointe, et dans l’urgence, du Foreign-Office et du quai d’Orsay. 
Le genre de chose auquel on ne peut pas vraiment dire non, notamment après l’épisode du thé du HMS Trenchant. 
Paul a de toute façon quelques projets à fignoler avant que la police-montée et d’autres fassent le tour des activités. 

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