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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 juillet 2015

Florilège de Marcel…

Je le laisse aux commandes !

Et il y a des classiques :
 
« Quelle est la différence entre un monégasque pauvre et un monégasque riche ?
Le monégasque pauvre doit laver sa Rolls-Royce lui-même. »
 
« Pourquoi un banquier monégasque n'épouse-t-il jamais sa maîtresse ?
Il n'échange jamais un bon de jouissance contre une obligation ! »
 
C'est une dame qui va chez le médecin car elle a des rougeurs sur l'intérieur des cuisses.
Le toubib l’examine et dit :
« – Votre mari ne serait-il pas gitan ?
– Oui ! Comment le savez-vous ?
– Ben, vous lui direz que ses boucles d'oreilles, c'est du toc ! » 
 
En traversant un village enneigé dans l’arrière-pays niçois, une Rolls-Royce dérape, heurte un mur et se trouve sérieusement endommagée.
Le conducteur sort furieux :
« Zut ! Un mois de salaire envolé ! »
En attendant les secours, il assiste à l'accident identique d'une Porsche dont le conducteur, en sortant du véhicule, s'exclame :
« Flûte ! Deux mois de salaire envolés ! »
Soudain, les deux accidentés voient arriver une vieille 2 CV qui, n'arrivant pas à freiner, heurte la Rolls et s'écrase sur la Porsche.
Le conducteur en sort hébété et gémit :
« Deux ans de salaire envolés ! »
Les deux autres se regardent et commentent :
« Il faut vraiment être fou pour acheter une voiture aussi chère ! »
 
C'est Jésus qui marche sur l'eau et Saint Pierre qui nage à coté et lui dit :
« T'es con, elle est vraiment bonne ! »
 
Pour « Tsi-tsi-Passe », le grec :
Deux voleurs discutent.
« – Je crois que voler ce n'est pas bien.
– Eh bien ! Emprunte alors ! Mais ne retourne jamais ce que tu empruntes.
– Ah oui, c'est bien mieux ! »
 
« Quand tu fais quelque chose sans qu'on te l'ait demandé, tu outrepasses ton autorité.
Quand ton chef le fait, il fait preuve d'initiative. »
 
C'est un soviétique qui a économisé rouble après rouble, année après année.
Un beau jour, ça y est : Il a assez économisé pour s'acheter une voiture !
Le voilà qui va au magasin d'État et qui demande pour une Lada.
Là on lui répond que la Lada lui sera livrée dans 10 ans.
Alors le Soviétique demande :
« – Ça sera le matin ou l'après-midi ?
– Qu'est-ce que ça peut vous faire, c'est suffisamment loin pour ne pas avoir à s'inquiéter si ça sera du matin ou de l'après-midi…
– C'est parce que j'aurai le plombier dans l'après-midi ! »
 
Un vieux Juif meurt et rencontre Dieu en arrivant au paradis.
Il fait le bilan de sa vie :
« – La pire chose qui me soit arrivée, c'est quand mon fils s'est converti au catholicisme…
– Ah, Moi aussi ça m'est arrivé…
– Et qu'est-ce que Vous avez fait ?
– Un nouveau testament… »
 
« Un jour, je sors du restaurant et j'aperçois un policier qui rédige une contravention.
Je m'approche et lui dis :
"Je ne suis resté que cinq minutes chez le boulanger. Ne pouvez-vous pas annuler cette contravention ?"
Il m'ignore superbement et continue à écrire.
"Espèce d'emmerdeur", ne puis-je m'empêcher de lui dire.
Et voilà qu'il dresse une autre contravention pour absence de plaque réfléchissante à l'avant du véhicule.
Mon sang ne fait qu'un tour et je l'engueule copieusement :
"Résidu de bite raté, sous-produit de débile, maudit chien, impuissant, analphabète, hémorroïde hypertrophiée" et j'en passe !
Ah, là, j'ai bien utilisé toutes les richesses de mon vocabulaire.
Cela continue encore un quart d'heure, et le flic, sans sourciller, accumule les contraventions sous l'essuie-glace.
Je constate que tout cela ne nous mène à rien et je jette l'éponge.
Alors, suite au départ de l'agent, je marche tranquillement vers ma voiture, garée deux rues plus loin, laissant le plaisir à mon patron de découvrir sa voiture en sortant du restaurant… »
 
« – Notre chef est mort, c'est très triste, évidemment.
Mais qui est l'autre personne décédée ?
– L'autre personne ?
– Ben, oui. Sur le faire-part il était écrit : "Avec lui disparaît notre meilleur collaborateur". »
 
« – Papa », demande un petit garçon, « qu'est-ce que c'est une banque ?
C'est un endroit où l'on dépose, pendant quelque temps, l'argent qu'on a gagné, en attendant de le donner au percepteur. »
 
Deux amis japonais se rencontrent un matin dans les rues de Tokyo.
L'un d'eux vient tout juste de rentrer de ses vacances.
L'autre lui demande :
« – Alors, comment c'est passé ton séjour ?
– J'sais pas ! J'ai pas encore transféré les photos sur ma tablette… »
 
Un employé demande à son patron :
« – Chef, pourrais-je quitter le bureau trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire du shopping avec ma femme ?
– Il n'en est pas question !
– Merci, Chef. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber. »
 
Sur un banc à Moscou du temps de l’URSS, un vieux est assis et lit.
Un milicien passe par là et lui dit :
« – Eh toi ! Qu'est-ce que tu lis ?
– Eh bien tu vois, c'est un livre pour apprendre l'hébreu.
– Mais à quoi ça te sert d'apprendre l'hébreu ? Tu connais quelqu'un qui parle hébreu par ici ?
– Non, mais peut-être qu’un jour j'aurai mon visa pour émigrer en Israël, et alors je pourrai parler hébreu.
– Mais tu rêves ! Jamais on ne te le donnera, ton visa ! Tu vas rester ici avec nous !
– Bon, alors quand je mourrai, peut-être qu’au paradis je rencontrerai quelqu'un qui parlera hébreu.
– Et si tu vas en enfer, alors ?
– Pas de problème, le russe, je le parle déjà ! »
 
Aux USA, un blanc et un black étaient dans un même restaurant.
Le blanc qui avait commandé de la salade regardait le black qui était occupé à croquer un os.
Le blanc s'adresse à lui d'un ton moqueur :
« – Dis-donc mon grand, chez vous qu'est-ce que le chien mange ?
– De la salade m'sieur ! »
 
Un voleur s'introduit dans une maison.
Il vient de voler des objets dans une maison pendant que les personnes dorment. Il est sur le point de partir quand il entend une petite voix qui dit :
« Vous pourriez aussi prendre mon bulletin scolaire ! » 
 
C'est un juif sur son lit de mort, qui convoque sa famille :
« – Rachel, ma femme, ma confidente … Tu es là ?
– Oui, mon mari, je suis là.
– David, mon fils ainé, mon héritier, tu es là ?
– Oui papa, je suis là.
– Eli, mon fils cadet, tu es là ?
– Oui papa, je suis là aussi.
– Alors qui n'a pas éteint la lumière dans la cuisine ? »
 
Il y a quelques années, un jeune homme va voir un paysan, et lui achète un âne pour 100 €.
Et ils conviennent que le paysan viendra livrer l’âne le lendemain au jeune homme.
Le lendemain, le paysan arrive, mais malheureusement, l’âne est mort entretemps.
« – Ah bon », dit le jeune homme. « Alors remboursez-moi mes 100 euros.
– Je ne peux pas, je les ai déjà dépensés…
– Alors dans ce cas, donnez-moi le cadavre de l'âne.
– Le cadavre ? Qu'est-ce que vous allez en faire ?
– Une tombola, je pense.
– Mais qui voudra payer pour gagner un âne mort ?
– Ah, mais je ne leur dirais pas que l'âne est mort ! »
Quelques jours plus tard, le paysan recroise le jeune homme.
Évidemment, il lui demande ce qu'il a fait du cadavre de l'âne :
« – Comme je vous l'avais dit, j'ai fait une tombola. J'ai vendu 500 billets à 2 euros, et j'ai fait un bénéfice de 898 euros sur cette affaire.
– Et personne ne s'est plaint ?
– Oh, si ! Juste le gars qui a gagné. Alors forcément, je lui ai remboursé ses 2 €. »
 
Un employé de bureau, qui s'était violemment pincé le doigt en manœuvrant la photocopieuse, avait été autorisé, par son chef de service, à regagner son domicile, en plein milieu de l'après-midi.
Voulant en faire la surprise à sa femme, il tourne doucement sa clé dans la serrure et traverse à pas de loup l'appartement désert.
Enfin, il arrive à la chambre à coucher.
Il ouvre la porte et voit son épouse faisant une partie de jambes en l'air avec son propre directeur.
« Mais alors, patron », balbutie-t-il, épanoui, « est-ce que cela signifie que vous avez décidé de répondre favorablement à ma demande d'augmentation ? »
 
C'est Eltsine qui visite une école. Il interroge un élève.
« – Pour toi, mon petit, l'union Soviétique c'est quoi ?
– C'est un fier navire qui bravant la tempête, résiste vaillamment aux flots déchaînés et qui atteindra bientôt le port, havre de paix et de quiétude retrouvée.
– C'est bien mon petit. Et le président c'est ?
– C'est le fier capitaine qui tenant la barre fermement conduit le vaisseau vers des jours meilleurs.
– Ah bien, très bien ! Et le peuple ?
– Il est au fond de la cale et il dégueule. »
 
Une jeune recrue parachutiste s'apprête à sauter de l'avion.
L'adjudant l'arrête de justesse :
« – Tu es fou, tu vas sauter sans parachute ?
– Qu'est-ce que ça peut faire ? C'est un exercice d'entraînement, non ? »
 
Une jeune touriste américaine tombe en panne au beau milieu de la cambrousse gauloise…
Heureusement pour elle, elle est secourue par deux fermiers, qui l'hébergent pendant que sa voiture est au garage…
Ne sachant comment les remercier, elle décide d'utiliser le seul talent que la nature ait bien daigné lui offrir, et leur propose donc une petite partie de jambes en l'air…
Les deux paysans acceptent donc, mais avant de commencer, elle leur donne à chacun un préservatif.
« Qu'est-ce que c'est ? » demandent-ils en cœur.
« C'est pour éviter que j'aie un enfant », leur répond-elle.
Ils enveloppent donc leur matériel, et se mettent au travail…
Suite à cela, la fille repart vers l'autre côté de l'Atlantique.
Trois mois plus tard, les deux paysans songent encore à leur nymphette américaine :
« – Elle était jolie, hein ?
– Bien sûr ! Mais j'en ai marre ! Enfant ou pas enfant, je vais l'enlever son préservatif… »
 
Un mendiant raconte à un autre :
« – Hier, à la sortie du music-hall, un prestidigitateur a déposé un billet de cinq cents euros dans le chapeau que je lui tendais.
– Tu as dû être content ?
– Pas tellement parce que, quand j’ai fouillé dans mon chapeau pour prendre ce billet, il en est sorti une colombe ! »
 
Marcel, un père embarrassé, tente d'expliquer à son jeune fils que dans la famille il y aura bientôt un nouveau membre.
« Fiston, un jour une cigogne volera au-dessus de notre maison et s'y arrêtera. »
Songeur pendant quelques secondes le petit garçon répond :
« J'espère qu'elle ne fera pas peur à maman. Elle est enceinte tu sais ! »
 
Il est très tôt le matin. « L’ami-râle » Haddock prend le téléphone et appelle pour qu'un taxi passe le prendre et l'amène à l'aéroport.
Il patiente environ une demi-heure, puis comme le taxi n'est toujours pas là, il rappelle la compagnie de taxis.
Là, on lui dit que le taxi est sur la route…
Mais 15 minutes plus tard, c'est toujours pareil, alors il appelle la compagnie de taxis une troisième fois en hurlant presque :
« – J'ai besoin d'un taxi de tout urgence, je dois prendre le vol 714 d’Air-Transe pour Sydney et il décolle dans 30 minutes !
– Je suis désolée pour le retard. Votre taxi devrait être là dans quelque secondes maintenant. Mais ne vous en faites pas, vous ne manquerez pas votre avion parce que ce vol décolle toujours avec du retard.
– Oui, c'est sûr qu'il décollera en retard aujourd'hui en tous cas ! Car c'est moi le pilote ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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2 commentaires:

  1. Suite de la blague sur « L’ami-râle Haddock »…

    « L’amiral Haddock » finit par avoir son taxi et arrive dans le cockpit où se trouve la copilote « Hélène »…

    « Haddock » : J’arrive à temps. De toute façon, la compagnie est en tension équipage et il n’y avait pas de réserve. Tout est prêt ?...
    « Hélène » : J’ai préparé le vol avec une ETF Sidney. Nous embarquons 147 tonnes de kérosène pour 17 heures de vol et 350 passagers à bord…

    Les derniers passagers embarquent, les check-lists sont faites et le vol décolle avec un captain et trois copilotes à bord, 18 PNC, pour le plus long vol du réseau « Air Transe » : Paris-Sidney direct !...
    Une fois en l’air, avec un cap pris vers Singapour, l’ambiance se détend dans le poste de pilotage.

    « Haddock » : Comment ça va depuis notre dernier vol sur Venise ?...
    « Hélène » : Très bien, je me suis faite au long-courrier et je viens même de m’acheter un Porsche Cayenne pour fêter cela !...
    « Haddock » : Neuf ?...
    « Hélène » : Quand même pas !...
    « Haddock » : un seul Porsche Cayenne ?...
    « Hélène » : Bien sûr !... Pourquoi tu me demandes çà ?...
    « Haddock » : Je vérifie que tu n’as pas la folie des grandeurs parce qu’avec le crash de Germanwings tu sais très bien que l’encadrement nous demandes de vérifier l’état mental de nos copilotes…
    « Hélène » : Merci pour la vérification… Et toi tu te sens bien ?...

    « Haddock » : Pour moi ça va… Mais ces vols long-courriers en tour du monde vers l’Est m’épuisent et je me demande parfois si je ne devrais pas me faire greffer un nouveau cerveau…
    « Hélène » : Te faire greffer un nouveau cerveau ?... Tu ne trouveras jamais !...
    « Haddock » : Si !... si !... Un cerveau d’hôtesse de l’air conviendrait parfaitement !...
    « Hélène » : Et pourquoi ça ?...
    « Haddock » : Parce qu’un cerveau d’hôtesse de l’air, ça n’a jamais servi !...

    Eclat de rire, et silence dans le poste…

    « Hélène » : « T’es vraiment odieux, ignoble, encore plus ignoble que « l’ignoble Infreequentable » en personne !... D’ailleurs, moi aussi, je me dis que parois j’ai besoin d’un cerveau neuf, tellement les Captains me fatiguent, et je crois que j’en ai trouvé un !...
    « Haddock » : Ah bon ?...
    « Hélène » : en cherchant bien, je suis sûre d’avoir trouvé un cerveau de commandant de bord qui n’a jamais servi !...
    « Haddock » : arf !... arf !...
    « Hélène » : Tu rigoles !... Bravo !... La vérification est terminée !...
    « Haddock » : la quoi ?...
    « Hélène » : la vérification que tu as de l’humour, que tu es normal, car tu sais que les copilotes doivent aussi vérifier la santé mentale des Captains !...

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