Je le laisse aux commandes !
Et il y a des classiques :
« Quelle
est la différence entre un monégasque pauvre et un monégasque riche ?
Le monégasque
pauvre doit laver sa Rolls-Royce lui-même. »
« Pourquoi
un banquier monégasque n'épouse-t-il jamais sa maîtresse ?
Il
n'échange jamais un bon de jouissance contre une obligation ! »
C'est une dame qui va chez le médecin car elle a des
rougeurs sur l'intérieur des cuisses.
Le toubib l’examine et dit :
« – Votre
mari ne serait-il pas gitan ?
– Oui !
Comment le savez-vous ?
– Ben,
vous lui direz que ses boucles d'oreilles, c'est du toc ! »
En traversant un village enneigé dans l’arrière-pays
niçois, une Rolls-Royce dérape, heurte un mur et se trouve sérieusement
endommagée.
Le conducteur sort furieux :
« Zut ! Un
mois de salaire envolé ! »
En attendant les secours, il assiste à l'accident
identique d'une Porsche dont le conducteur, en sortant du véhicule, s'exclame :
« Flûte !
Deux mois de salaire envolés ! »
Soudain, les deux accidentés voient arriver une vieille
2 CV qui, n'arrivant pas à freiner, heurte la Rolls et s'écrase sur la Porsche.
Le conducteur en sort hébété et gémit :
« Deux ans
de salaire envolés ! »
Les deux autres se regardent et commentent :
« Il faut
vraiment être fou pour acheter une voiture aussi chère ! »
C'est Jésus qui marche sur l'eau et Saint Pierre qui
nage à coté et lui dit :
« T'es con,
elle est vraiment bonne ! »
Pour « Tsi-tsi-Passe », le grec :
Deux voleurs discutent.
« – Je
crois que voler ce n'est pas bien.
– Eh
bien ! Emprunte alors ! Mais ne retourne jamais ce que tu empruntes.
– Ah
oui, c'est bien mieux ! »
« Quand tu
fais quelque chose sans qu'on te l'ait demandé, tu outrepasses ton autorité.
Quand
ton chef le fait, il fait preuve d'initiative. »
C'est un soviétique qui a économisé rouble après
rouble, année après année.
Un beau jour, ça y est : Il a assez économisé pour
s'acheter une voiture !
Le voilà qui va au magasin d'État et qui demande pour
une Lada.
Là on lui répond que la Lada lui sera livrée dans 10
ans.
Alors le Soviétique demande :
« – Ça sera
le matin ou l'après-midi ?
– Qu'est-ce
que ça peut vous faire, c'est suffisamment loin pour ne pas avoir à s'inquiéter
si ça sera du matin ou de l'après-midi…
– C'est
parce que j'aurai le plombier dans l'après-midi ! »
Un vieux Juif meurt et rencontre Dieu en arrivant au
paradis.
Il fait le bilan de sa vie :
« – La pire
chose qui me soit arrivée, c'est quand mon fils s'est converti au catholicisme…
– Ah, Moi
aussi ça m'est arrivé…
– Et
qu'est-ce que Vous avez fait ?
– Un
nouveau testament… »
« Un jour,
je sors du restaurant et j'aperçois un policier qui rédige une contravention.
Je
m'approche et lui dis :
"Je ne suis
resté que cinq minutes chez le boulanger. Ne pouvez-vous pas annuler cette
contravention ?"
Il
m'ignore superbement et continue à écrire.
"Espèce
d'emmerdeur", ne puis-je
m'empêcher de lui dire.
Et
voilà qu'il dresse une autre contravention pour absence de plaque
réfléchissante à l'avant du véhicule.
Mon
sang ne fait qu'un tour et je l'engueule copieusement :
"Résidu de
bite raté, sous-produit de débile, maudit chien, impuissant, analphabète,
hémorroïde hypertrophiée" et
j'en passe !
Ah, là,
j'ai bien utilisé toutes les richesses de mon vocabulaire.
Cela continue
encore un quart d'heure, et le flic, sans sourciller, accumule les
contraventions sous l'essuie-glace.
Je
constate que tout cela ne nous mène à rien et je jette l'éponge.
Alors,
suite au départ de l'agent, je marche tranquillement vers ma voiture, garée
deux rues plus loin, laissant le plaisir à mon patron de découvrir sa voiture
en sortant du restaurant… »
« –
Notre chef est mort, c'est très triste, évidemment.
Mais
qui est l'autre personne décédée ?
– L'autre
personne ?
– Ben,
oui. Sur le faire-part il était écrit : "Avec lui disparaît notre meilleur
collaborateur". »
« – Papa »,
demande un petit garçon, « qu'est-ce
que c'est une banque ?
– C'est un endroit où l'on dépose, pendant quelque
temps, l'argent qu'on a gagné, en attendant de le donner au percepteur. »
Deux amis japonais se rencontrent un matin dans les
rues de Tokyo.
L'un d'eux vient tout juste de rentrer de ses
vacances.
L'autre lui demande :
« – Alors,
comment c'est passé ton séjour ?
– J'sais
pas ! J'ai pas encore transféré les photos sur ma tablette… »
Un employé demande à son patron :
« – Chef,
pourrais-je quitter le bureau trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire
du shopping avec ma femme ?
– Il
n'en est pas question !
– Merci,
Chef. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber. »
Sur un banc à Moscou du temps de l’URSS, un vieux est
assis et lit.
Un milicien passe par là et lui dit :
« – Eh toi !
Qu'est-ce que tu lis ?
– Eh
bien tu vois, c'est un livre pour apprendre l'hébreu.
– Mais
à quoi ça te sert d'apprendre l'hébreu ? Tu connais quelqu'un qui parle hébreu
par ici ?
– Non,
mais peut-être qu’un jour j'aurai mon visa pour émigrer en Israël, et alors je
pourrai parler hébreu.
– Mais
tu rêves ! Jamais on ne te le donnera, ton visa ! Tu vas rester ici avec nous !
– Bon,
alors quand je mourrai, peut-être qu’au paradis je rencontrerai quelqu'un qui
parlera hébreu.
– Et si
tu vas en enfer, alors ?
– Pas
de problème, le russe, je le parle déjà ! »
Aux USA, un blanc et un black étaient dans un même
restaurant.
Le blanc qui avait commandé de la salade regardait le
black qui était occupé à croquer un os.
Le blanc s'adresse à lui d'un ton moqueur :
« – Dis-donc
mon grand, chez vous qu'est-ce que le chien mange ?
– De la
salade m'sieur ! »
Un voleur s'introduit dans une maison.
Il vient de voler des objets dans une maison pendant
que les personnes dorment. Il est sur le point de partir quand il entend une
petite voix qui dit :
« Vous pourriez
aussi prendre mon bulletin scolaire ! »
C'est un juif sur son lit de mort, qui convoque sa
famille :
« – Rachel,
ma femme, ma confidente … Tu es là ?
– Oui,
mon mari, je suis là.
– David,
mon fils ainé, mon héritier, tu es là ?
– Oui
papa, je suis là.
– Eli,
mon fils cadet, tu es là ?
– Oui
papa, je suis là aussi.
– Alors
qui n'a pas éteint la lumière dans la cuisine ? »
Il y a quelques années, un jeune homme va voir un
paysan, et lui achète un âne pour 100 €.
Et ils conviennent que le paysan viendra livrer l’âne
le lendemain au jeune homme.
Le lendemain, le paysan arrive, mais malheureusement, l’âne
est mort entretemps.
« – Ah bon »,
dit le jeune homme. « Alors
remboursez-moi mes 100 euros.
– Je ne
peux pas, je les ai déjà dépensés…
– Alors
dans ce cas, donnez-moi le cadavre de l'âne.
– Le
cadavre ? Qu'est-ce que vous allez en faire ?
– Une
tombola, je pense.
– Mais
qui voudra payer pour gagner un âne mort ?
– Ah,
mais je ne leur dirais pas que l'âne est mort ! »
Quelques jours plus tard, le paysan recroise le jeune
homme.
Évidemment, il lui demande ce qu'il a fait du cadavre
de l'âne :
« – Comme
je vous l'avais dit, j'ai fait une tombola. J'ai vendu 500 billets à 2 euros,
et j'ai fait un bénéfice de 898 euros sur cette affaire.
– Et
personne ne s'est plaint ?
– Oh,
si ! Juste le gars qui a gagné. Alors forcément, je lui ai remboursé ses 2
€. »
Un employé de bureau, qui s'était violemment pincé le
doigt en manœuvrant la photocopieuse, avait été autorisé, par son chef de
service, à regagner son domicile, en plein milieu de l'après-midi.
Voulant en faire la surprise à sa femme, il tourne
doucement sa clé dans la serrure et traverse à pas de loup l'appartement
désert.
Enfin, il arrive à la chambre à coucher.
Il ouvre la porte et voit son épouse faisant une
partie de jambes en l'air avec son propre directeur.
« Mais
alors, patron », balbutie-t-il, épanoui, « est-ce que cela signifie que vous avez décidé de répondre favorablement
à ma demande d'augmentation ? »
C'est Eltsine qui visite une école. Il interroge un
élève.
« – Pour
toi, mon petit, l'union Soviétique c'est quoi ?
– C'est
un fier navire qui bravant la tempête, résiste vaillamment aux flots déchaînés
et qui atteindra bientôt le port, havre de paix et de quiétude retrouvée.
– C'est
bien mon petit. Et le président c'est ?
– C'est
le fier capitaine qui tenant la barre fermement conduit le vaisseau vers des
jours meilleurs.
– Ah
bien, très bien ! Et le peuple ?
– Il
est au fond de la cale et il dégueule. »
Une jeune recrue parachutiste s'apprête à sauter de
l'avion.
L'adjudant l'arrête de justesse :
« – Tu es
fou, tu vas sauter sans parachute ?
– Qu'est-ce
que ça peut faire ? C'est un exercice d'entraînement, non ? »
Une jeune touriste américaine tombe en panne au beau
milieu de la cambrousse gauloise…
Heureusement pour elle, elle est secourue par deux
fermiers, qui l'hébergent pendant que sa voiture est au garage…
Ne sachant comment les remercier, elle décide
d'utiliser le seul talent que la nature ait bien daigné lui offrir, et leur
propose donc une petite partie de jambes en l'air…
Les deux paysans acceptent donc, mais avant de
commencer, elle leur donne à chacun un préservatif.
« Qu'est-ce
que c'est ? » demandent-ils en cœur.
« C'est
pour éviter que j'aie un enfant », leur répond-elle.
Ils enveloppent donc leur matériel, et se mettent au
travail…
Suite à cela, la fille repart vers l'autre côté de
l'Atlantique.
Trois mois plus tard, les deux paysans songent encore
à leur nymphette américaine :
« – Elle
était jolie, hein ?
– Bien
sûr ! Mais j'en ai marre ! Enfant ou pas enfant, je vais l'enlever son
préservatif… »
Un mendiant raconte à un autre :
« – Hier, à
la sortie du music-hall, un prestidigitateur a déposé un billet de cinq cents euros
dans le chapeau que je lui tendais.
– Tu as
dû être content ?
– Pas
tellement parce que, quand j’ai fouillé dans mon chapeau pour prendre ce
billet, il en est sorti une colombe ! »
Marcel, un père embarrassé, tente d'expliquer à son
jeune fils que dans la famille il y aura bientôt un nouveau membre.
« Fiston,
un jour une cigogne volera au-dessus de notre maison et s'y arrêtera. »
Songeur pendant quelques secondes le petit garçon
répond :
« J'espère
qu'elle ne fera pas peur à maman. Elle est enceinte tu sais ! »
Il est très tôt le matin. « L’ami-râle »
Haddock prend le téléphone et appelle pour qu'un taxi passe le prendre et
l'amène à l'aéroport.
Il patiente environ une demi-heure, puis comme le taxi
n'est toujours pas là, il rappelle la compagnie de taxis.
Là, on lui dit que le taxi est sur la route…
Mais 15 minutes plus tard, c'est toujours pareil, alors
il appelle la compagnie de taxis une troisième fois en hurlant presque :
« – J'ai
besoin d'un taxi de tout urgence, je dois prendre le vol 714 d’Air-Transe pour
Sydney et il décolle dans 30 minutes !
– Je
suis désolée pour le retard. Votre taxi devrait être là dans quelque secondes
maintenant. Mais ne vous en faites pas, vous ne manquerez pas votre avion parce
que ce vol décolle toujours avec du retard.
– Oui,
c'est sûr qu'il décollera en retard aujourd'hui en tous cas ! Car c'est
moi le pilote ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Suite de la blague sur « L’ami-râle Haddock »…
RépondreSupprimer« L’amiral Haddock » finit par avoir son taxi et arrive dans le cockpit où se trouve la copilote « Hélène »…
« Haddock » : J’arrive à temps. De toute façon, la compagnie est en tension équipage et il n’y avait pas de réserve. Tout est prêt ?...
« Hélène » : J’ai préparé le vol avec une ETF Sidney. Nous embarquons 147 tonnes de kérosène pour 17 heures de vol et 350 passagers à bord…
Les derniers passagers embarquent, les check-lists sont faites et le vol décolle avec un captain et trois copilotes à bord, 18 PNC, pour le plus long vol du réseau « Air Transe » : Paris-Sidney direct !...
Une fois en l’air, avec un cap pris vers Singapour, l’ambiance se détend dans le poste de pilotage.
« Haddock » : Comment ça va depuis notre dernier vol sur Venise ?...
« Hélène » : Très bien, je me suis faite au long-courrier et je viens même de m’acheter un Porsche Cayenne pour fêter cela !...
« Haddock » : Neuf ?...
« Hélène » : Quand même pas !...
« Haddock » : un seul Porsche Cayenne ?...
« Hélène » : Bien sûr !... Pourquoi tu me demandes çà ?...
« Haddock » : Je vérifie que tu n’as pas la folie des grandeurs parce qu’avec le crash de Germanwings tu sais très bien que l’encadrement nous demandes de vérifier l’état mental de nos copilotes…
« Hélène » : Merci pour la vérification… Et toi tu te sens bien ?...
« Haddock » : Pour moi ça va… Mais ces vols long-courriers en tour du monde vers l’Est m’épuisent et je me demande parfois si je ne devrais pas me faire greffer un nouveau cerveau…
« Hélène » : Te faire greffer un nouveau cerveau ?... Tu ne trouveras jamais !...
« Haddock » : Si !... si !... Un cerveau d’hôtesse de l’air conviendrait parfaitement !...
« Hélène » : Et pourquoi ça ?...
« Haddock » : Parce qu’un cerveau d’hôtesse de l’air, ça n’a jamais servi !...
Eclat de rire, et silence dans le poste…
« Hélène » : « T’es vraiment odieux, ignoble, encore plus ignoble que « l’ignoble Infreequentable » en personne !... D’ailleurs, moi aussi, je me dis que parois j’ai besoin d’un cerveau neuf, tellement les Captains me fatiguent, et je crois que j’en ai trouvé un !...
« Haddock » : Ah bon ?...
« Hélène » : en cherchant bien, je suis sûre d’avoir trouvé un cerveau de commandant de bord qui n’a jamais servi !...
« Haddock » : arf !... arf !...
« Hélène » : Tu rigoles !... Bravo !... La vérification est terminée !...
« Haddock » : la quoi ?...
« Hélène » : la vérification que tu as de l’humour, que tu es normal, car tu sais que les copilotes doivent aussi vérifier la santé mentale des Captains !...
Extra !
SupprimerMerci !