Cette
fois-ci, à l’adresse de « ma môman à moi »
Avertissement important :
Doit-on vous rappeler que toute ressemblance avec des personnages existants,
ayant existé ou à exister n'est que pure coïncidence.
Tout rapprochement avec
des lieux, des dates, des faits réels ou supposés ne peut être que l'œuvre de
personnages qui chercheraient à nuire à l'auteur de ce délire : Ils seront
seuls à en être responsables devant la justice de leur pays !
« À Washington, « Fr. W. Jr. » a pris la succession de
« Paul W. » comme responsable de la planification politique au département de
la Défense. Personne ne remarque les liens qui l'unissent au porte-parole du
gouvernement.
C'est alors que reprend au sein du parti du Général la
tension que l'on avait connu trente ans plus tôt entre les « historiques » et
la droite financière, incarnée par « Ed. B ».
La nouveauté, c'est que « Ch. P. » et avec lui le jeune « N.
S. », trahissent « Jacques Ch. » pour se rapprocher du « courant Rothschild ».
Tout dérape ! Le conflit atteindra son apogée en 1995
lorsque « Ed. B. » se présentera contre son ex-ami de trente ans, « Jacques Ch.
» à l'élection présidentielle suivante, et sera battu dès le premier tour.
Surtout, suivant les instructions de Londres et de
Washington, le gouvernement « Ed. B. » ouvre les négociations d'adhésion à
l'Union européenne et à l'OTAN des États d'Europe centrale et orientale,
affranchis de la tutelle soviétique.
Rien ne va plus dans le parti du Général où les amis d'hier
sont près de s'entre-tuer. Pour financer sa campagne électorale, « Ed. B. » tente
de faire main basse sur la caisse noire du parti du Général, qui serait cachée
dans la double comptabilité d'un pétrolier national (aujourd'hui disparu). À
peine le vieux « Étienne L. » mort (l'ancêtre par qui beaucoup transitait), les
juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés.
Mais « Ed. B. », « Ch. P. et « N. S. » ne parviendront
jamais à récupérer le magot.
La longue traversée du désert commence.
Tout au long de son premier mandat, « Jacques Ch. » tient «
N. S. » à distance.
L'homme se fait discret durant tout ce temps. Discrètement
tout autant, il continue pourtant à nouer des relations dans les cercles
financiers, hors « la bande à F. P. », milliardaire aussi, mais ami de longue
date de « Jacques Ch. ».
En 1996, « N. S. » ayant enfin réussi à clore une procédure
de divorce qui n'en finissait pas, se marie avec « C. ». Ils ont pour témoins
les deux milliardaires « Martin B. » et « Bernard A. » (l'homme le plus riche
du pays).
On peut imaginer que par ailleurs, bien avant la crise
irakienne, « Frank W. Jr. » et ses collègues de la CIA planifient la
destruction du courant du Général et la montée en puissance de « N. S. ».
Ils agissent en trois temps :
1 – D'abord, l'élimination de la direction du parti du
Général et la prise de contrôle de cet appareil.
2 – Puis, l'élimination du principal rival de droite et
l'investiture du parti Général à l'élection présidentielle.
3 – Enfin, l'élimination de tout challenger sérieux dans
l'opposition de manière à être certain d'emporter la prochaine élection
présidentielle programmée pour 2007.
Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les
révélations posthumes d'un promoteur immobilier.
Avant de décéder d'une grave maladie, il a enregistré, pour
une raison encore jamais élucidée, une confession vidéo. Pour une raison encore
plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d'un hiérarque du Parti
d'opposition, « D. S-K » (devenu depuis directeur d'une banque mondiale… pour
services rendus ?), qui la fait parvenir indirectement à la presse.
Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction
judiciaire pour être « abracadabrantesque », ils ouvrent une boîte de Pandore
qui n'épargne personne, même pas le « cousin J. T. » successeur de « Jacques
Ch. » à la mairie de la Capitale (encore un Corsu… mais de Corti).
La principale victime des affaires successives sera le
Premier ministre d'alors, « Alain J. ». Pour protéger « Jacques Ch », il assume
seul toutes les infractions pénales. La mise à l'écart « d'Alain J. » laisse la
voie libre à « N. S. » pour prendre la direction du parti du Général.
« N.S. » exploite alors sa position pour contraindre «
Jacques Ch. » à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il
exige soit l'intérieur, soit les finances, deux postes clés : Dans l'un, il
contrôle les préfets et de le renseignement intérieur qu'il utilise pour
noyauter les grandes administrations. Dans l'autre, il voit « passer les sous
».
Il sera ministre de l'intérieur.
Il s'occupe aussi des « affaires corses ». Le préfet « Cl.
É. » a été assassiné. Bien qu'il n'ait pas été revendiqué, le meurtre a
immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la
République.
Après une longue traque, la police parvient à arrêter un
suspect en fuite, « Yvan C. », fils d'un député de gauche. Piétinant
allègrement la présomption d'innocence, « N. S. » annonce cette interpellation
en accusant le suspect d'être l'assassin. C'est que la nouvelle est « trop
belle » à deux jours du référendum que le ministre de l'Intérieur organise en
Corse pour modifier le statut de l'île.
Quoi qu'il en soit, les électeurs rejettent le projet de «
N.S. » qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux locaux.
Bien qu'« Yvan C. » ait ultérieurement été reconnu coupable,
il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n'a encore été
trouvée contre lui.
Étrangement, l'homme s'est muré dans le silence, préférant
être condamné que de révéler ce qu'il sait.
La thèse qui circule entre les murs d'Ajacciu (et même
au-delà) est que le préfet « Cl. É. » n'a pas été tué par des nationalistes,
qui ne faisaient qu'apporter un « concours » logistique et un « plastron » à
l'auteur des coups de feu mortels, mais abattu par un tueur à gage,
immédiatement exfiltré vers l'Angola où il émargeait dans la sécurité du groupe
pétrolier disparu. Le mobile du crime serait précisément lié aux fonctions
antérieures de « Cl. É », responsable des réseaux africains de « Ch. P. » au
ministère de la Coopération.
Quant à « Yvan C. », il serait un ami personnel de « N. S. »
depuis bien des décennies. D'ailleurs, leurs enfants se sont fréquentés dans la
cité Napoléonienne, dans la même école.
Puis une nouvelle affaire éclate, destinée à déstabiliser un
autre concurrent potentiellement dangereux : De faux listings circulent qui
accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires
au Luxembourg, chez « Clearstream », la banque des banques.
Parmi les personnalités ainsi diffamées : « N. S. ».
Cette affaire est ridicule : « Clearstream » est un
établissement de compensation entre Banques. Rien à voir avec une banque
d'affaire ou de dépôt : Il n'y a pas de compte courant de personnes physiques
extérieures à la banque elle-même !
Et pourtant la justice du pays mord à l'hameçon et les médias
s'emballent…
« N. S. » dépose plainte et sous-entend que son rival de
droite à l'élection présidentielle, le Premier ministre « D. de V. », a
organisé cette machination du temps où il était ministre des affaires
étrangères. Et il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison.
En réalité, les faux listings auraient été mis en
circulation par des membres de la Fondation franco-américaine, dont « John N. »
était président et dont « Frank W. Jr. » est administrateur.
Ce que les juges voudraient encore ignorer, c'est que les
listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du
MI6, « H. & Co », dont « Frank W. Jr. » est également administrateur.
« D. de V. » se défend de ce dont on l'accuse, mais il est
mis en examen, assigné à résidence et, de
facto, écarté provisoirement de la vie politique.
La voie est donc libre pour « N. S. ».
Reste à neutraliser les candidatures d'opposition. Les
cotisations d'adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau
symbolique pour attirer de nouveaux militants grâce à « J. L. » (ancien
ministre de la culture qui se défend encore d'être un « ami » objectif de « N.
S. »… alors pressenti comme « ministre d’ouverture » en 2008/2009.
D'autres avant lui, et non les moindres, ayant bien franchi le pas...).
Des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, des
milliers de nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti
trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert, desquels
seraient issu un ancien Premier ministre, qui ne l'a jamais démenti).
Cette petite formation d'extrême gauche s'est historiquement
mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre
froide.
Elle est l'équivalent du « SD/USA » de « Max Sh. », qui a
formé les néo-conservateurs aux USA.
Ce n'est pas la première fois que les « lambertistes »
infiltrent le Parti de gauche : « L. J. » et « J-Ch. C. », le principal
conseiller de « D. S-K » cité plus haut en sont.
Des primaires sont organisées au sein du Parti pour désigner
son candidat à l'élection présidentielle. Deux personnalités sont en
concurrence : « L. F. » et « S. R ».
Seul le premier représente un danger pour « N.S. ». « D. S-K
» entre dans la course avec pour mission d'éliminer « L. F. » au dernier
moment. Ce qu'il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants «
lambertistes » infiltrés, qui portent leurs suffrages non pas sur son nom, mais
sur celui de « S.R. ».
L'opération est possible parce que « D. S-K » est depuis
longtemps sur les « payrolls » des États-Unis. En Europe, tout le monde ignore
qu'il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévôt de
l'université d'alors, « C. Rice » soi-même, devenue ministre des affaires
étrangères de l'administration US en place.
D'ailleurs, dès sa prise de fonction, « N. S. » et cette
dernière remercieront « D. S-K » en le faisant élire à la tête de la Banque du
Monde.
Le soir du second tour de l'élection présidentielle, lorsque
les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, « N. S » prononce un
bref discours à la Nation depuis son QG de campagne.
Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la
fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet's.
La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le
rendez-vous de « l'Union corse » est aujourd'hui la propriété du casinotier «
D. D. ». Il a été mis à disposition du nouveau Président élu pour y recevoir
ses amis et les principaux donateurs de sa campagne.
Une centaine d'invités s'y bousculent, les hommes les plus
riches de France y côtoient les patrons de casinos.
Il s'efforce ensuite de passer place de la Concorde, puis
s'offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à
Malte, il s'y repose sur le « P », le yacht de 65 mètres de son ami « V. B. »,
un milliardaire formé à la Banque Rothschild.
Enfin, « N. S. » est investi Président de la République. Le
premier décret qu'il signe n'est pas pour proclamer une amnistie, mais pour
autoriser les casinos de ses amis « D. D. » et compagnie à multiplier les
machines à sous.
Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans
surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos et le lobbyiste
des casinos de l'ami « D. D. ».
« N. S. » s'appuie avant tout sur quatre hommes :
- « Cl. G », secrétaire général du palais de l'Élysée. C'est
l'ancien bras droit de « Ch. P. ».
- « F. P. », secrétaire général adjoint de l'Élysée. C'est
un associé-gérant de la Banque Rothschild.
- « J-D L. », conseiller diplomatique. Mais aussi fils de
l'ancien directeur de l'Agence juive. Ambassadeur de France à l'ONU, il fut
relevé de ses fonctions par « Jacques Ch. » qui le jugeait trop proche de «
G.W.B ».
- « A. B. », l'homme de l'ombre. Son nom n'apparaît pas dans
les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître
du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique du pays), il
serait aussi l'ancien n° 2 de la National Security Agency états-unienne en
Europe.
Entre-temps « Frank W. Jr. », a été nommé envoyé spécial du
président « G.W.B » pour l'indépendance du Kosovo. Ce dernier insiste pour que
« B. K. » soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission
prioritaire : L'indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe
des prédécesseurs.
« B. K. » a débuté sa carrière en participant à la création
d'une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for
Democracy, il a participé aux opérations de « Zbigniew B. » en Afghanistan, aux
côtés d'Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques.
On le retrouve dans les années 90 auprès d'Alija Izetbegoviç
en Bosnie-Herzégovine.
De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l'ONU au
Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï,
l'Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot.
Le suc est transformé sur place en héroïne et serait
transporté par l'US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue serait
prise en charge par les hommes d'Haçim Thaçi qui l'écouleraient principalement
en Europe et accessoirement aux États-Unis.
Les bénéfices seraient notamment utilisés pour financer les
opérations illégales de la CIA. Karzaï
et Thaçi sont des amis personnels de longue date de « B. K », qui certainement
ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont
été consacrés.
Pour compléter son gouvernement, « N. S. » nomme « Ch. L. »,
ministre de l'Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux
États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker &
McKenzie.
Au sein du Center for International & Strategic Studies
de « Dick Ch. », elle a co-présidé avec « Zbigniew B. » un groupe de travail
qui a supervisé les privatisations en Pologne.
Elle aurait aussi organisé un intense lobbying pour le
compte de Lockheed Martin contre les intérêts de l'avionneur français Dassault.
Nouvelle escapade durant l'été. « N.S. » et « C. », la
maîtresse supposée de l'un ou de l'autre ou des deux selon d'horribles rumeurs
et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non
loin de la propriété du président en exercice « G.W.B. ».
La facture, cette fois, serait payée par « Robert F. A », un
banquier d'affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre
qui s'exprime dans Commentary, la revue de l'American Jewish Committee.
La réussite de « N.S. » rejaillit sur son demi-frère « P-O
». Sous le nom américanisé « d'Oliver », il est nommé par « Frank C. », qui fut
le n° 2 de la CIA après avoir été recruté par « Frank W. Sr. », directeur d'un
nouveau fonds de placement du Carlyle Group, la société commune de gestion de
portefeuille des familles de « G.W.B. » et des Ben Laden.
Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5ème
« noueur de deals » dans le monde et gère les principaux avoirs des fonds
souverains du Koweït et de Singapour.
Enfin, « N.S. » entraîne le pays dans une adhésion sans
condition à l'OTAN et soutient l'envoi de soldats en Afghanistan aux côtés des
GI US…
La cote de popularité du président est alors en chute libre
dans les sondages.
L'un de ses conseillers en communication, « Jacques S. »,
préconise de détourner l'attention du public avec de nouvelles « people stories
».
L'annonce du divorce avec « C. » est publiée par Libération,
le journal de son ami « Ed. de Rothschild », pour couvrir les slogans des
manifestants un jour de grève générale.
Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre
avec l'artiste et ex-mannequin, « Carla B. ».
Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est
officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques.
Quelques semaines encore et c'est le troisième mariage de « N.S. ». Cette fois,
il choisit comme témoins « Mathilde A. » (l'épouse de « Robert F. A » cité plus
haut) et « Nicolas B. », ancien directeur de cabinet « d'Édouard B. » devenu
associé-gérant chez Rothschild.
Depuis, celui-ci tombé en disgrâce pour avoir eu le malheur
de déplaire au fils de « N.S. », il est recasé au Consulat de la côte ouest des
USA.
Marrantes toutes ces petites « affaires de famille »,
devenues « secrets de polichinelle » ! »
D'autant que restait et reste encore le mystère de l'enfant de
la Garde des Sceaux du moment, devenue députée européenne et maire
d’arrondissement à la kapitale … pas encore élucidée, où on a pu faire porter
les cornes à l’épouse du frère de « N.S. », devenu patron de
l’assureur prévoyance collective des salariés, Malakoff, au cas où un test ADN
aurait été pratiqué à l’insu de « Zaza ».
Parce que oui, de toute façon, la Vérité triomphe un jour ou
l’autre, notamment quand les acteurs sont décédés et que ça n’intéresse plus
que les historiens. Et pourtant, nous n’étions pas dupes, même si désormais Philippe Massoni (celui dont le décès suscite ce post et le précédent), n'en parlera plus jamais.
De toute façon, quand il s'est mis à écrire ses secrets, il n'y en avait aucun…
« Et la « démocratie triomphante » d'un peuple
d'électeurs libres, dans tout ça ?
Bé, dans les livres d'histoires et d'aventures, dans les
textes des différentes déclarations des droits de l'homme, des constitutions,
des traités, dans les têtes même, bien sûr que ça existe !
Et heureusement.
Dans la « vie vraie »… c'est manifestement une autre affaire
! »
Bonne lecture à toutes et à tous du « Roman de la vie », pas
par hasard installé dans la rubrique, « Humeurs, ragots & manipulations »…
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