« Il » sodomise !
Et alors ? La belle affaire ! Rien à dire sur des pratiques dévoyées au moins depuis que le « crime de
pédérastie », pour reprendre le mot de Georges Brassens, est sorti du code
pénal (entre adultes consentants). D’ailleurs le « grand-Georges »
(pour reprendre le mot d’un autre « Georges … Moustache-qui »,
celui-là) en disait que ça ne rapporte plus rien…
Bon, lui fait manifestement « à sec », brutalement, à la sauvage et
ses-drôles-de-dames à lui ont mal à n’en jamais pouvoir atteindre
le fameux « orgasme-prostatique ».
D’abord, elles n’ont pas de prostate.
Ensuite, je ne peux pas vous dire parce que passer par
le « trou à kaka », rien que l’idée, ça a tendance à m’écœurer…
Déjà, changer les couches de « ma nichée »,
j’en avais des haut-le-cœur.
D’ailleurs, même les suppositoires de mon enfance,
j’exécrais.
Enfin, j’en ai une trop grosse, qui ne peut pas passer
par n’importe quel orifice.
Donc, je ne sais pas …
D’ailleurs, j’ai toujours pensé que c’était un
« sport » réservé aux « petites-bites ». Mais je me trompe
peut-être : Je ne saurai jamais, finalement et c’est tant mieux.
Sauf qu’on m’a aussi toujours expliqué qu’avec les
péripatéticiennes-patentées, il fallait se montrer généreux (avec les autres
aussi, notez bien), sans ça « elles causent », ce qui finit par être désagréable : Le preuve !
Comme je n’ai jamais le sou, je ne peux pas vous
confirmer (ni même infirmer) parce que je n’ai jamais essayé.
Il faut dire également que comme elles sont toutes
« folles de mon double-quintal », c’est moi qui devrais faire payer, d'autant que je ranime après coup, après les tétanies formidables et respiratoires que je sais leur provoquer de la sorte, à en devenir toute-bleue...
Mais je n’ai pas l’âme à ça quand une de
« mes-dames-à-moi » s’ouvrent à moi à en mettre mon unique neurone
(celui du nerf honteux) lui-même déjà en tétanie-avancée.
D’ailleurs, pour mieux en rire de ce que ça peut
coûter, je vous conseille à tous de suivre les
liens de mai 2007 (même si ça date un peu et n’est pas « à jour »),
parce que bien sûr, le Législateur, dans sa « très grande sagesse »,
ne saurait rester insensible à la « matière imposable et taxable »
que cela peut engendrer au cours d’une vie de Gaulois « forniqueur ».
Passons : C’est un détail !
L’affaire est d’un commun absolu si l’un des inculpés
n’avait pas été un ex-futur Président de la « Res-Publica » de mon pays, celui que j’aime tant…
Notez que si elles ont échappé à un
« sauteur », un « chimpanzé en rut » en dira une autre,
c’est pour avoir fait le choix d’un président « normal ».
Normal, normal … on peut aussi en discuter quand il
fait des gosses à l’une, qu’il met à disposition un secrétariat complet aux
frais de la princesse (vous hein, et pour 80.000 euros/an) à une autre (qui a
eu l’honneur de le remercier « pour ce moment ») et les voitures et gardes-de-son-corps
des Services à une troisième dans ses déplacements…
Est-ce bien « normal », au juste ?
Passons encore : Ce ne sont que des détails.
« Autiste » peut-être, mais ayant la
reconnaissance du ventre chevillée à l’entre-jambe, hein !
Tout ça pour en revenir à un procès mis en délibéré,
mais dont on connaissait l’issue, avant même le premier jour d'audience…
Les personnages pittoresques mis en cause, un
proxénète notoire, un flic, un concierge d’hôtel et leurs complices seront condamnés pour leurs
turpitudes.
L’homme d’affaires sans le fric de la boîte duquel
rien n’aurait été possible – il cherchait à soudoyer un futur Président, le
salaud – le sera aussi pour abus de bien social et recel dans une entreprise de
« traite des blanches » (et autres couleurs bienvenues « si
affinités »…) : C’est lui qui va en prendre le plus !
Et la « star de la soirée », pingre parmi
les pingres qui ne payait rien de sa poche, lui qui était persuadé d’avoir à
faire à des « bourgeoises dévergondées & libertines » qui « aimaient
ça », il sera relaxé ou, au pire des cas, condamné malgré tout à une peine de principe avec sursis (une
amende, de toute façon, il clame qu’il est déjà ruiné, il ne peut pas payer) de
principe pour brutalité ou … « légèreté » (plutôt niaiserie, au choix) : Il a
déjà fait ce coup-là au FMI, même si finalement, il est factuellement co-receleur « d'abus de bien social », un délit qui n'a pas besoin d'intention délictuelle pour être retenu, tel que tout cela n'aurait jamais existé s'il n'avait pas été présent, rencontres & procès inclus.
Bon, tout ce petit-monde fera appel et on remettra le
couvert dans quelques années devant une Cour d’Appel locale : Normal, quoi !
Globalement, c’est comme ça que ça devrait se passer,
quoique même « la légèreté » du « Monsieur », normalement,
c’est une version qui ne tient pas bien la route : Quand on se laisse sodomiser
si brutalement, à en dire « les filles », soit on est vraiment
dévergondée et on ne se plaint pas comme le fait l’une d’entre-elle, soit on
fait son métier de « chose à enkuler » sans rien dire.
Et si on n’aime vraiment pas ça, on fait « mère
au foyer ».
Parce que bon, le prétexte des « circonstances de
la vie » qui pousseraient à la prostitution, moi je veux bien, mais au
mieux c’est la solution de facilité que toutes n’empruntent pas : Sans
condamner, c’est accepter d’une façon ou
d’une autre d’être « chair à jouir ».
Ce qui a d’ailleurs pu tromper le « banquier des
pôvres »…
Je ne sais pas dans quel sens les juges trancheront,
finalement avec cet élément-là.
Mais bien sûr, rien pour tout le reste : C’est
hors-sujet !
Parce qu’il faut rappeler que le CV du bonhomme, il
est long comme mon bras (que j’ai …long…) :
– Ministre de l’industrie en 1991, il « participe »
au détournement du brevet Ferrayé et aura permis, à Red Ader et
« Elfe », d’éteindre en même pas 6 mois les 1.154 incendies puits de
pétrole laissés en feu par les irakiens lors de la première guerre du golfe, sans même
les détruire à coup de dynamite.
Son rôle n’est pas encore totalement élucidé, mais
deux choses doivent être sues :
1 – Il n’a de toute façon pas levé le petit-doigt, en
qualité de ministre ayant sous sa tutelle la gestion de l’INPI où est déposé le
brevet, pour protéger les intérêts du bonhomme comme la loi l’y oblige (et les taxes et assiettes imposables qui auraient dû rentrer dans les caisses du Trésor) ;
2 – Il réussit à interdire la diffusion d’un reportage
sur TF2 qui portait sur cette affaire en 2000… Pas si ignorant que ça, finalement.
D’autant que les bureaux de « Juju-Court-Baie »,
le producteur-animateur, avaient pu être cambriolés avant, a-t-il un jour fait
savoir.
Tout avait été dévasté et il ne manquait qu’un seul
dossier : Celui-là.
Du travail de « pro »…
Et tout ça se poursuit encore
de nos jours…
On peut même rajouter que conscient de la
reconnaissance qui lui ait due, les américains acceptent de le voir débarquer
au FMI sous « Bling-bling ».
Faut dire aussi, que celui-là, sans les
« magouilles » du premier au sein du PS à l’occasion de leurs
primaires entre militants, il n’aurait jamais eu la « cruchitude » comme
adversaire au second tour des présidentielles…
Et il n’aurait pas été élu contre le même bonhomme … ou
un autre.
Il le redoutait tellement en 2012, qu’il n’a pas vu
venir le ras-le-bol général qui a ouvert un boulevard à « François III » :
Même un cheval, vous répète-je, y serait arrivé contre « Bling-bling »
à ce moment-là !
Il n’y a que lui qui n’a pas encore compris…
– Il est aussi l'objet de soupçons d'emploi fictif
dans une filiale suisse du groupe pétrolier « ELFE à-qui-Taine »
au profit de sa secrétaire de 1993 à 1994, pour un montant total de 192.000
francs d’époque : Je vous l’ai déjà dit, il ne paye jamais rien de sa
poche, même pas sa secrétaire !
Il est mis en examen pour « complicité par instruction donnée et recel d'abus de biens sociaux
» en janvier 2000.
La juge d'instruction « Ève-la-Jolie »
lui fait une fleur, tombée sous le charme imagine-t-on, et prononce un non-lieu le 2 octobre 2001.
– On rappelle l’histoire de la MNEF, pour mémoire, où
il a été poursuivi pour « faux et usage
de faux ». Consultant lors de la négociation de l'entrée de la Compagnie
générale des eaux (CGE) au sein d'une holding de la MNEF, à une époque où il
exerçait la profession d'avocat d'affaires (mais si, il est avocat et pas du
tout « économiste » même s’il a enseigné l’économie à des imberbes !),
il a perçu 603.000 francs de l’époque de la mutuelle étudiante, en février
1997.
Pas un gagne-petit…
Bon, la MNEF, c’est là qu’on parquait aussi tous les
anciens trotskistes du PS… en attente de jours meilleurs et en manque de
financement, au moins à cette époque-là.
Depuis, cette « boutique » a fait faillite
deux fois : De bons gestionnaires d’une caisse primaire de Sécu qui
faisait aussi mutuelle complémentaire, tous ces « élus-là » !
La justice soupçonne alors une affaire de fausses
factures visant à couvrir encore un emploi fictif dont il aurait bénéficié. La
police judiciaire avait établi que la feuille de papier sur laquelle est
rédigée la facture qu'il aurait envoyée à la MNEF pour ses services provenait
en fait d'une trame de papier fabriquée à une date ultérieure à celle
mentionnée sur la facture : Faut-il être kon !
Même moi, je saute parfois des chèques dans un carnet,
des fois que ce soit utile plus tard.
Il reconnaît alors l'avoir antidatée, mais sans
intention délictuelle.
Mis en examen le 15 décembre 1999, il est relaxé par
le tribunal correctionnel de Paris le 7 novembre 2001 pour défaut
« d’intention ».
– Il nous a tenus en éveil à l’occasion de la «
cassette Mairie ».
Il a été notamment accusé d'avoir octroyé, en tant que
ministre de l'Économie, une remise fiscale de 160 millions de francs (toujours
d’époque) au couturier « Karl Lagarde-Feld » assez kon pour se faire
redresser par les services, en échange de la remise par l'avocat de ce dernier
d'une cassette contenant des aveux de « J-C. Mairie », décédé
entre-temps, financier occulte du RPR et visant le « Chi ».
Qui en dira que c’est une affaire « abracadabrantesque » !
Eh, le « Chi », toi peut-être pas, mais c’était
courant à l’époque… De tous les bords, même qu’il aura fallu une loi d’amnistie
pour régulariser tout ça et qu’ils ont tous voté pour !
Encore un moment savoureux de la vie politique de mon
pays !
Et ce kon de ministre, s’il reconnaît l’avoir détenue,
il déclare derechef ne jamais avoir regardée cette cassette et même l'avoir
égarée au fond d’un tiroir !
Je vous jure ! Quelle tête de linotte… Et on ose
lui confier les clés de la « banque mondiale des pôvres » après ça ?
Le 23 mai 2001, la section financière du parquet de
Paris requiert la saisine de la Cour de justice de la République pour enquêter
sur d'éventuels faits de « corruption
passive » et de « concussion »,
tandis qu'un rapport du procureur de la République de Paris indique qu'il
existe de « fortes présomptions de faits
de corruption passive à l'encontre de l'ex-ministre ».
Finalement, le 28 juin 2001, le procureur général près
la Cour de cassation prend la décision de ne pas saisir la CJR, considérant
qu'en l'état, il manque « les indices
pour justifier une saisine de la CJR du chef de concussion ».
– Du coup, laissé en liberté de nuire à autrui, le
Wall Street Journal révèle, le 18 octobre 2008, qu'une enquête interne est
ouverte au FMI pour savoir s’il a fait preuve de favoritisme au sein de
l'organisation en faveur de sa maîtresse, Piroska Nagy, ancienne responsable du
département Afrique du Fonds.
Cette dernière l'accuse d'avoir abusé de sa position pour
obtenir d’elle des faveurs que seule une femme peut accorder à un homme : « (…)
C'est
également un homme agressif (…). Je
crains que cet homme ait un problème pouvant le rendre peu apte à diriger une
institution où des femmes travaillent sous ses ordres. »
Déjà réputé « homme à femmes » et qualifié de « dragueur … de manière très lourde, très
appuyée » par « Or-Elle-lit Filip-Petti » (celle qui se tape « Monte-et-bourre-là »,
c’est dire leur mauvais-goût commun pour les grandes gueules néo-prognathes), il
présente publiquement ses excuses à son épouse « Âne-Seins-Clairs »,
ainsi qu'au personnel du FMI pour avoir fait « une erreur de jugement » et, le 25 octobre 2008, il est disculpé
par l'enquête interne : Classé !
À ce sujet, le journaliste « Jean Quatre-mers »
écrit en 2007 : « Le seul vrai problème (…) est son rapport aux femmes. Trop pressant
(…), il frôle souvent le harcèlement. Un
travers connu des médias, mais dont personne ne parle. »
Sauf que la consigne au FMI pour les femmes
l’approchant, c’était de s’enlaidir un max : Ce qui n’a pas suffi à protéger
Piroska, tellement tout est bon pour lui.
Déjà, les hôtesses de l’air étaient remplacées par des
garçons de cabine dans les avions qu’il empruntait…
– Le 14 mai 2011, accusé par une femme de chambre
d'agression sexuelle dans une suite de l'hôtel Sofitel de Manhattan, il est
arrêté à l'aéroport international John-F.-Kennedy de New York, peu avant le
décollage du vol AF 023 « d'Air Transe » à destination de Paris.
Le juge du tribunal pénal de la ville de New-York, lui
signifie les sept chefs d'accusation retenus contre lui, refuse sa mise en
liberté sous caution et demande son maintien en détention provisoire à la prison
de Rikers Island, le « Tsing-tsing » local.
Il admettra, lors d'une interview au journal de 20
heures de RF1 du 18 septembre 2011, avoir eu une « relation inappropriée » avec la « mocheté » et qualifie
cette relation de « faute morale », une fois de plus,
mais nie toute violence, contrainte, agression ou acte délictueux.
Tu parles, « inappropriée » : Il en a juté
partout sur la moquette qu’il a fallu refaire le sol de sa suite !
– Du coup, « Triste-âne Bas-nom » se réveille
dans la foulée et dépose plainte, en « Gauloisie-libertine » le 5
juillet 2011, l’accusant de tentative de viol à son encontre en février 2003.
Il faut dire qu’il se serait déjà tapé sa mère
précédemment…
Je n’ai jamais fait ça avec aucune de mes ex-futures « belles-mamans »…
Le 13 octobre 2011, le parquet de Paris décide de ne
pas le poursuivre pour « tentative de
viol », mais estime qu'il a reconnu des faits « pouvant être qualifiés d'agression sexuelle ».
En déqualifiant le « procédé », ce n’est
plus un crime mais devient un délit, et le délai de prescription du délit d'« agression
sexuelle » étant dépassé, le parquet classe ainsi sans suite la plainte.
– En juin 2013, la journaliste italienne « Myrta del
Merlinao », l’accuse d'avoir voulu abuser d'elle, à la fin des années
1990, au forum de Davos, alors qu'il était ministre de l'Économie.
Se souvient-elle vraiment ou n'a-t-elle aussi pas été victime du charme du Monsieur à en fantasmer un maximum, comme on aime à nous le faire croire par ailleurs ?
– Un an après son retour au pays, le 4 septembre 2012,
il crée, à Paris, la société de « Conseil Parnasse SARL ». En
septembre 2013, il fait banquier et s'associe avec « Titi-Laines » pour créer une
nouvelle structure rebaptisée au Luxembourg « LSK ».
Et un an plus tard, en octobre 2014, « Titi-Laines » se fait défénestrer
du haut du 23ème étage de son
appartement à Tel-Aviv.
Notre homme avait quitté la direction de la société
trois jours avant le drame…
Une affaire compliquée que je n’ai pas encore « romancée »
comme elle le mérite.
Parce qu’avec mon manque d’imagination « crasse-totale »,
ma vue basse et mon unique-neurone, personnellement je vois bien un « fil-rouge »
amusant entre son passage au ministère de l’industrie des années 90 sous « Mythe-errant »,
ses voyages en chine plus récents, le vol MH17 abattu au-dessus de l’Ukraine l’été
dernier et le suicide de son associé, présumé agent du Mossad…
Depuis le 12 juillet 2013, il fait aussi « conseil »
auprès du pétrolier public russe Rosneft et siège au conseil de surveillance de
la Banque russe de développement des régions (BRDR).
Il intègre également le conseil de surveillance du
fonds russe des investissements directs. De bons clients « futurs failliteux ».
Conseiller économique pour le gouvernement de Serbie,
en mai 2013, il avait conseillé ponctuellement le gouvernement du nouvel État
du Soudan du Sud.
Depuis le 17 septembre 2013, il est officiellement
désigné comme nouveau conseiller financier du gouvernement Dačić, puis du
gouvernement Vučić en Serbie…
Pendant que « Bling-bling » fait des
conférences « pas gratuites »…
Bon, tout ceci n’a évidemment rien à voir avec rien :
Circulez, SVP !
Sauf que pendant la première semaine des audiences, j’ai
quand même été étonné du ton de la presse à son égard.
Voilà quand même un dangereux obsédé sexuel en
liberté, bourré au viagra, attirant jusqu’à des femen dénudées sur son capot de
bagnole, réputé ruiné mais qui se paye trois calibres du barreau, dont on va
jusqu’à dire qu’il est « irrésistible » sur le plan du charisme
personnel de « vieux-beau ».
Y’en a même eue une qui a prétendu avoir déjeuné avec
lui il y a quelques mois dans un restaurant chic de la kapitale.
Eh bien, le temps qu’elle tourne les talons pour aller
se ravaler le rouge-à-lèvres, elle affirme que plusieurs femmes auraient
profité de son absence pour glisser « au Sieur » leur numéro de
portable !
Non mais allo, quoi ? Je rêve, là ?
On nous
prend vraiment pour des kons avec ce pistolet-là !
Sauf à préparer l’opinion à la décision de relaxe qui
va suivre, comme je vous l’ai expliqué ci-avant.
Incroyable et pourtant…
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