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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 mai 2018

Exit l’exit taxe…

C’est qui le « cocu » ? Moâ !

Jupiter va finir par prendre mon poing dans la tronche et mon genou sur les restes de ses « bijoux de famille ».
Je suis furax depuis qu’il est allé trouver la femme du premier ministre australien « délicious » : La gaffe devant le Premier ministre australien, le neurone en pelote face à Lucy Turnbull, une « jeunette »…
Elle ne pète pas trois pates à un canard, mais elle a le « nez-pointu ».
Du coup il s’en est pris plein la gueule par presse australienne interposée (« Pépé le putois », un séducteur un peu collant desservi par sa mauvaise odeur…) avant d’aller se frotter au kanaks. Le Daily Telegraph local le décrit comme ayant « murmuré à l’oreille des premières dames du monde entier » (rhôôôô, Melania…) et « charmé les dirigeants grâce à son charisme français ».
À Sydney il aurait même « flirté avec Gladys Berejiklian », une femme politique locale, et « ébloui tous ceux qui croisaient son chemin de son sourire de mangeur de fromage ».
Mais ce n’est pas ça qui m’a rendu furieux.

Car figurez-vous que ce n’est pas le plus important de mon point de vue. Je me suis barré de la « Gauloisie-des-lumières » et de son enfer fiscal à la fin du premier semestre 2014 : Bien trop dangereux pour mes abattis, pressentant que mes « cousins-F.Haine » (et oui, j’en ai aussi) n’allaient pas tarder à me tailler des croupières, sûrs du résultat des élections qui approchaient.
Je les connais plutôt bien et sais combien ils sont kons et violents.
Et j’ai une sainte horreur de cette « race-là », prompte à exécuter ce qui ne leur plait pas pour des histoires dogmatiques. Dogmes d’ailleurs « copiés/collés » issus tout droit de la « gôche-la-plus-kon-du-monde » (Cf. leur programme, si vous ne me croyez pas : Ici et les 7 posts suivants, dans le détail), à l’euro près, c’est dire le délire (qu’on sait depuis le « Brexit »). Je sais, pour les avoir fréquentés, à la fac, « au village » et même « en famille » : Je suis leur « ennemi » pré-désigné, un « ennemi de classe ».

Du coup, j’ai fait comme le « cousin » Bonaparte (celui qui « a réussi » et dort aux invalides dans son septuple cercueil entouré de ses maréchaux) et je suis parti en exil à Portoferraio (Île-d’Elbe).
Un joli coin, pas très loin de mon maquis de « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
L’endroit idéal.
Et pour compléter le tableau, j’ai vendu tout ce que j’avais sur le continent (hors les indivisions-familiales), meubles et immeubles.
Bé figurez-vous que c’est parce que j’étais dans le champ de « l’exit-tax » de « Bling-Bling », l’enfoiré…
De « potentielles » mes maigres « plus-values » sont devenues « réelles » du fait de ma décision d’exiler, et l’impôt sur celles-ci les a avalées.
Et avec le solde, j’ai pu payer un voilier, une masure à Portoferraio, une autre pour « ma nichée » (où je planque mes « serveurs-perso ») et, plus tard, des droits sur un « cruttiu » monégasque.

Fiscalement domicilié un temps en « Ritalie », puis désormais (provisoirement) en « Grande-Britannie », je suis quand même nettement mieux traité qu’au pays.
Passons, j’ai payé – dans la douleur – une fois, je me propose de ne pas prendre le risque de payer une deuxième fois, même si « Jupiter » supprime ladite taxe sur les imbéciles (dont je peux être…) et « autres-cocus ».
Il y a des konnards qui surgissent n’importe quand : Il vaut mieux se méfier…

Mais ce qui me rend dingue, c’est la façon dont cela a été présenté (et décidé : Ce n’était pas dans le programme de « Jupiter ») alors qu’il y a encore peu, on déroulait encore le tapis rouge aux exilés-fiscaux en Angleterre.
Désormais ils déroulent des « lettres-d’amour » à tous ceux qui seraient tenter de rentrer chez eux et j’ai pu faire plein de « prospects » pour encore « boss-à-moâ » aux frais du contribuable britannique (on va y revenir).

Et pour reprendre le cas de la « Gauloisie-fiscale », d’après le ministère, les départs à l'étranger des contribuables dont le revenu est supérieur à 100.000 euros annuels ont encore augmenté. Ils ont été trois fois plus nombreux en 2015 qu’en 2010. Ce n’est pas non plus « Exodus ».
Les dernières données disponibles montrent en tout état de cause que les expatriations des contribuables aisés sont restées très dynamiques sous le précédent quinquennat, malgré l’existence de cette « exit-tax » depuis 2011.
Seulement 4.326 foyers-fiscaux ont quitté la « Gauloisie-fiscale » en 2015, en progression de 5 % par rapport à 2014. La tendance serait également à la hausse chez les contribuables dont le revenu est supérieur à 300.000 euros, où l’on note 634 départs en 2015, contre 589 l’année précédente (maigre-pêche).
La « pause fiscale » décrétée à la mi-mandat par « Tagada-à-la-fraise-des-bois » n’a donc pas eu d’effets sur les décisions des contribuables.
Concernant l’ISF, 754 départs de redevables ont été constatés en 2015, après 837 en 2014.
Mais comme l’ISF n’existe plus…

D’un autre côté, on sait que la progression est plus rapide que pour l’ensemble des foyers fiscaux (+ 130 % sur cinq ans), sachant que la population des gauloisiens de l’étranger a augmenté à un rythme annuel moyen de + 3,4 % sur les dix dernières années. Les sondages des réseaux consulaires montrent le plus souvent que ce sont les opportunités professionnelles qui poussent à partir, plus que les motivations fiscales.
Moi, j’en connais, c’est aussi le sexe… mais ils ne le disent pas.
Chaque année, c’est 300 à 400  déclarations d’« exit-tax », dans laquelle le contribuable déclare ses plus-values latentes. En 2015, leur montant déclaré s’élevait à 2,9 milliards d’euros de plus-values.
À ce niveau-là, ce ne sont plus « les riches », mais les « super-très-riches » parce que faire 7,25 M€ de plus-values par tête de pipe, il faut quand même en accumuler un paquet…
Passons.

Et restons sérieux : L’abandon de l’exit-tax est une rigolade. Il s’agit d’une mesurette qui a concerné une hyper-minorité d’un maximum de 300 personnes par an et qui aura rapporté moins de 100 M€/an au fisc (70 millions d’euros en 2017). C’est assez loin des conséquences d’une autre décision « jupitérienne », à savoir le maintien de la taxe et surtaxe d’habitation aux résidences secondaires, qui laisse aux maires le pouvoir de l’augmenter jusqu’à + 60 %…
Là, c’est plus « fumeux ».
Résultat : Paris, Nice, Bordeaux et St-Jean-de-Luz ont déjà annoncé des augmentations de 40 à 60 %. Et comme vous le savez, il y a 3,3 millions de résidences secondaires au pays !
(Il faut que je me renseigne sur la Balagne…)

« Jupiter » aura fait cette déclaration dans une interview au magazine Forbes considérant tout d’un coup que cet impôt envoie un « message négatif aux entrepreneurs, plus qu’aux investisseurs », car elle signifie qu’« au-delà d’un certain seuil, vous êtes pénalisé si vous quittez la France ».
« C’est une grave erreur pour nos start-up parce que nombre d’entre elles, quand elles considéraient la France moins attractive, décidaient de lancer leurs projets en partant de zéro à l’étranger dans le but d’éviter cet impôt », a ajouté le chef de l’État.
Admettons…
Mais j’avoue ne pas bien comprendre : Toutes les conventions bilatérales (et européennes) de nature fiscale prévoit une taxation des plus-values dans le pays où elles sont faites. Tu es aux USA, citoyen américain, tu vends ta boîte en faisant une plus-value sise en Gauloisie, tu payes en « Gauloisie ».
L’objet de ces conventions, c’est que comme tu es « ricain », tu payes aussi en « Ricanie », puisque l’impôt y est mondial, et tu imputes ce que tu as déjà payé via un crédit-d’impôt (pour ne pas payer deux fois).
Et l’inverse se vérifie pour obéir aux mêmes règles.
Ce qu’il y avait de scandaleux, c’était de payer sur des « plus-values virtuelles », pas encore faites…
Ça, c’est du vol !
Le reconnaître c’est bien, y remédier c’est mieux, mais pourquoi si tard ?
Parce que « plus-value-virtuelle » d’un jour, « moins-value-réelle » le lendemain.
D’autant que ça ne s’impute sur rien dans le pays d’accueil : Tous kons, peut-être, mais pas au point de rembourser le racket du fisc Gauloisien !
C’est vous dire si je suis furieux.

Mais il en rajoute : « Le message que je veux envoyer aux investisseurs étrangers est que nous baissons l’impôt sur les sociétés, nous simplifions tout, apportons plus de flexibilité sur le marché du travail, accélérons la transformation de l’économie française », a-t-il ajouté.
Selon lui, « l’un des principaux problèmes du pays était le coût de la défaillance (des entreprises), mortel pour l’investissement ». « Dorénavant, il est plus facile d’échouer et ça ne coûte rien, ce qui est le meilleur moyen d’encourager les entrepreneurs à se lancer et réussir ».
Vous avez bien lu : Se planter et laisser des drapeaux dans son sillage, « ça ne coûte rien » !

Là, j’ai relu deux fois : Comment un énÂrque-diplômé, qui plus est « banquier », peut raconter que perdre de l’argent, ça ne coûte rien ?
Que même de noter que pas un seul des « journaleux » n’a pu relever « la perle ».
Comme quoi, dans ce pays, personne ne sait compter et tout le monde est shooté…

Avec une palme « dorée sur tranche » méritée pour le député « P.Soce »n « Beau-rice-Val-Eau ». Je cite : « Avec Emmanuel Macron, c’est encore et toujours « exit la taxe » pour les plus fortunés (…) qui pourront désormais s’exiler fiscalement en toute impunité ».
Des meks investis par un « parti de gouvernement », élus pour « fabriquer des lois » et qui ignorent totalement comment la loi fiscale fonctionne.
Franchement, c’est à vomir de rire…

Pour tout vous dire, je préfère les plafonds somptueux de la salle Locarno au ministère britannique des Affaires étrangères où, ambassadeur, ministre et fonctionnaires britanniques ont déclamé leur amour immodéré pour la « Gauloisie-des-Libertés » : « Tous les jours, je constate à quel point les liens entre nos deux pays sont proches », aura lancé, dans un francilien-natif parfait, l’ambassadeur britannique, Edward Llewellyn, présent pour l’occasion.
« Nous apprécions votre valeur, nous voulons que vous restiez, vous enrichissez nos communautés, nos entreprises », aura enchaîné Robin Walker, sous-secrétaire d’État au « DexEu » (pour Department for exiting the European Union – en gros le ministère du « Brexit »). « Notre pays se sentirait appauvri si vous le quittiez », a même ajouté le ministre à l’adresse des « expat’-gauloisiens » ce soir-là.
Une réponse  à l’anxiété générée par la décision de quitter l’Union européenne pour les quelque trois millions d’Européens installés au Royaume-Uni, dont environ 300.000 Gauloisiens (je n’en avais pas autant dans mes « screenings »).

Après les discours officiels, trois fonctionnaires – deux du ministère du « Brexit » et un du ministère de l’Intérieur (Home Office) –, ont répondu à une rafale de questions, pendant plus de deux heures.
Il faut comprendre : Certain(e)s ont fait leur vie au Royaume-Uni, y ont épousé des Britanniques, s’y sont reproduits et y vivent depuis des décennies. Et pour la première fois de leur vie, ils se retrouvent dans la position de devenir un jour immigré illégal…
Parce que la sortie de l’UE du Royaume-Uni implique une modification de leur situation. Pour rester en toute légalité au Royaume-Uni, il leur faudra déposer une demande de « settled status » (statut établi). Cette demande sera accordée si le requérant a vécu pendant au moins cinq ans au Royaume-Uni et peut le prouver.
Pour ceux qui souhaiteraient s’y installer pour la première fois, les modalités sont encore à définir : Je ne me suis pas vraiment senti concerné…

Il faut dire que le scandale de la « génération Windrush » est dans tous les esprits de ce côté-ci de la Manche. Le gouvernement britannique a été contraint de s’excuser et de promettre de régler la situation de milliers de personnes arrivées au Royaume-Uni entre la fin de la Seconde guerre mondiale et le milieu des années soixante-dix depuis les Antilles, anciennes colonies britanniques, pour participer à l’effort de reconstruction du pays. Des dizaines d’entre elles se sont retrouvées menacées d’expulsion vers des pays où elles n’ont jamais vécu, déniées leurs droits au travail, aux allocations ou au logement, parce qu’elles ne possédaient pas les documents nécessaires pour prouver qu’elles étaient britanniques.
Ce scandale est né notamment de l’instauration officielle au Home Office, sous la direction de « Théière-Mais » qui était alors ministre de l’Intérieur (entre 2010 et 2016), d’un « environnement hostile » pour l’immigration.
Difficile dans ces conditions pour les citoyens européens (et ceux présents ce soir-là) de ne pas ressentir une certaine anxiété, ce que le ministre Robin Walker a volontiers reconnu.

Je vais leur refiler l’idée : Une « exit-tax-Jupitérienne » pour tous ceux qui seront obligés de dégager pour être devenus « illégaux »…
Au moins, ça permettra peut-être de faire toucher du doigt toute la prétention des « fats », « autistes-trisomiques » inguérissables, qui pensent à votre place votre propre bonheur et vous obligent avec leurs dogmes déjantés…
Je déteste franchement tous ces fachos-là, figurez-vous…
Je fulmine, en fait…
Un jour, il faudra bien qu’ils désertent et vous nous foutent la paix.

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