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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 juin 2017

Ô vieillesse ennemie


N’ai-je tant vécu que pour mieux en rire ?

VIEILLIR C’EST QUAND…
Ta femme dit  : « Chéri, montons à notre chambre faire l’amour… »
Et que tu réponds : « Chérie, je ne pourrai pas faire les deux ! »

VIEILLIR C’EST QUAND…
Tes amis te disent que tu as des beaux souliers en crocodile alors que tu es nu-pied !

VIEILLIR C’EST QUAND…
Tu es tout excité devant une belle fille et que ton « pacemaker » ouvre soudainement la porte du garage.

VIEILLIR C’EST QUAND…
Tu ne veux plus savoir où va ta femme tant que tu n’es pas obligé de l’accompagner.

VIEILLIR C’EST QUAND…
C’est ton médecin qui te dit de te modérer au lieu de la police.

VIEILLIR C’EST QUAND…
Un petit peu d’action veut dire que tu n’as pas besoin de manger 2 bols de céréales aux fibres aujourd’hui.

VIEILLIR C’EST QUAND…
« Être chanceux » veut dire que tu as trouvé une place de stationnement du premier coup.

VIEILLIR C’EST QUAND…
« Passer une belle nuit… » veut dire que tu n’as pas eu à te lever pour faire pipi.


VIEILLIR C’EST QUAND…
Tu enlèves ton soutien-gorge et que tu n’as plus une seule ride dans le visage et le cou !

IL FAUT VRAIMENT REGARDER LA VIE EN « FARCE ».

Autres billevesées :

Des jeunes mariés rentrent du restaurant, où s’est déroulé le repas, pour monter à leur chambre.
Très ému, je jeune marié prend la clé, et tout tremblant, essaie pendant un bon moment de déverrouiller la porte.
« – Eh bien Jean-Marc », soupire l’épouse avec agacement, « si tu es toujours comme ça, ça ne sera pas fort. »

« Je crois que je ferais un bon végétarien si le steak était un légume. »

L’ivrogne : « La seule arme qui m’intéresse, c’est le tire-bouchon. »

« – Vite, vite », dit Jean-Marc qui se présente aux urgences, « j’ai besoin d’une piqure anti-britannique, je me suis blessé.
– Ah, vous voulez-dire antitétanique.
– Non, je me suis blessé avec une clé anglaise. »

C’est le petit Jean-Marc qui est à l’école le lundi matin.
La maîtresse demande à tous ses élèves de dire un petit poème sur ce qu’ils ont fait pendant le week-end :
Jean-Marc :
« Je suis allé à la pèche à la grenouille,
J’avais de l'eau jusqu'aux genoux. »
La maîtresse :
«  Mais, ça ne rime pas… »
Jean-Marc :
« C’est pas de ma faute s’il n’y avait pas assez d’eau… »

Jean-Paul dit à Jean-Marc :
« – Sais-tu le malheur qui est arrivé à Jean-Luc, mon voisin, à la campagne ?
– Non !
– Il est parti avec ma femme. »

Jean-Marc et son épouse regardent un film à la télévision.
C’est l’histoire d’une femme qui embauche un détective privé afin de savoir si son mari la trompe.
Pendant le film, Jean-Marc demande à sa femme :
« – Serais-tu capable d’embaucher un détective pour savoir si je te trompe ou non ?
– Oui, car je serais vraiment curieuse de savoir ce qu’une autre femme pourrait bien te trouver ! »

Dans l’église, un jour de grande fête, tout le monde fait la queue pour prendre des mains du prêtre l’hostie et le vin.
Arrive le tour de Jean-Marc, un buveur invétéré et non moins fin connaisseur en « caves & appellations ».
Le prêtre lui tend le calice :
« – Ceci est mon sang, buvez !
– Héhé !! Vous me prenez pour un con ? C’est une vieille piquette de seconde cuvée, qui doit dater de cinq ans au moins, et vous l’avez allongée avec de la flotte, tricheur, va ! »

Chacun sait que les hommes ont la plus grande peine du monde à dire « Je suis désolé » parce qu’une telle phrase revient à dire qu’ils ont tort.

« J’ai prêté l’oreille à un sourd, et il n’entend pas plus. »

Un gars est condamné à mort au Texas.
Alors qu’on le conduit vers la chaise électrique, il s’adresse au bourreau :
« – Alors, comment ça se passe exactement ?
– T’en fais pas, je vais te mettre au courant. »

Jean-Marc et Jean-Paul assistent à un rodéo.
Ce dernier dit à son ami :
« Je parie que tu ne peux même pas rester debout face à un taureau ! »
Alors, Jean-Marc décide d’en battre un, et descend sur la piste, devant le public, en attendant que le taureau attaque.
Mais, lorsque la bête s’approche de lui, elle tombe et Jean-Marc la tue.
Jean-Paul, étonné, dit alors :
« – Si j’avais été à ta place, je me serais pissé dessus de peur !
– C’est pour cela que le taureau a glissé ! »

Jean-Pierre, un célibataire, va dans une animalerie pour se défaire de sa solitude.
Après avoir acheté un perroquet parlant et répondant au téléphone, il installe sa cage près du téléphone.
Un mois après avoir acheté le perroquet, il reçoit une facture de téléphone d’un montant de 200 €.
Il ne comprend pas tellement.
Il ne paie pas la facture.
Le mois suivant, la facture grimpe à 400 €.
Interrogateur, il regarde son perroquet et lui demande si c’est lui qui fait tous ces appels interurbains.
Le perroquet baisse la tête et ne répond pas.
« La prochaine fois que tu fais cela, je t’accrocherai au mur et tu ne pourras plus bouger ! »
Un mois passe et Jean-Pierre reçoit une facture de 600 €.
Fou de rage, il accroche le perroquet au mur.
Terrorisé, l’oiseau tourne la tête vers Jésus en croix qui est sur l’autre mur…
« – Hé ! Toi ! Ça fait combien de temps que tu es là ?
– Moi ? 2000 ans…
– Ouhaaa ! Et qui tu as appelé ? »

Les études indiquent que les hommes mariés vivent plus longtemps que les célibataires.
« Oui, mon Jean-Marc, et en plus, ça paraît pas mal plus long ! »

« Je me suis marié deux fois, deux catastrophes : Ma première femme est partie, et la deuxième est toujours là. »

L’argent ne fait pas le bonheur de celui qui n’en a pas…

Un jeune goy fréquente la fille du rabbin Goldenberg et veut se marier avec elle.
Pour ce faire il a besoin de l’autorisation du père.
En allant faire sa demande officielle chez le père de la jeune fille, le rabbin lui explique :
« Nous sommes juifs et nous avons une forme particulière de faire les choses.
Si tu veux te marier avec ma fille tu dois d’abord passer une petite épreuve.
Prends cette orange et reviens demain. »
Jean-Marc sort de là extrêmement surpris. Le lendemain il revient voir le rabbin.
« – Très bien », dit le père, « qu’as-tu fait de l’orange ?
– Je l’ai mangée, j’avais faim. »
Le rabbin réplique :
« Très mal ! Tu vois, chez nous, on épluche l’orange et avec la peau nous faisons une délicieuse liqueur. Nous coupons ensuite l’orange en deux, donnons la moitié aux pauvres et l’autre moitié nous la répartissons dans la famille. La moitié des pépins nous les vendons au marché, l’autre moitié nous les gardons pour semer. Tu vois comme nous sommes ?
Bon, je vais te donner une autre opportunité.
Prends ce saucisson et revient demain. »
Jean-Marc sort, un peu en rogne et revient le lendemain.
« – Alors qu’as-tu fait du saucisson ?
– Avec le cordon, j’ai fait des lacets pour mes chaussures, avec le petit métal gravé j’ai fait un pendentif pour votre fille. J’ai coupé le saucisson à moitié, j’ai donné la moitié aux pauvres et l’autre moitié je l’ai répartie dans la famille.
– Très bien ! Et qu’est-ce que tu as fait de la peau ?
– Avec la peau j’ai fait un préservatif, j’ai tiré un coup avec votre fille et je vous apporte le lait pour faire un lait russe ! »

« – La médecine a fait des progrès extraordinaires en 50 ans.
– En effet, elle a inventé des centaines de nouvelles maladies. »

« Quel est le chemin le plus court d’un point à l’autre », demande le professeur ?
« La ligne droite » répond Jean-Paul.
« – Bravo !
– Non », intervient Jean-Marc, « c’est de ne pas y aller ! »

Technique pour éliminer une partie de votre stress :
Juste au cas où vous auriez une journée d’enfer, essayez cette technique pour gérer votre stress.
Parmi les toutes nouvelles techniques un membre me dit que c’est la meilleure !
Faites-la étape par étape.
1. Visualisez-vous près d’une rivière.
2. Les oiseaux chantent doucement dans un parfum de montagne.
3. Personne d’autre ne connaît votre place secrète.
4. Vous êtes complètement retiré(e) de cet endroit qu’on appelle « la civilisation ».
5. Le doux murmure d’une chute d’eau imprègne le silence avec une sérénité inégalée.
6. L’eau est limpide, claire comme le cristal.
7. Vous pouvez voir très facilement le visage de la personne que vous tenez sous l’eau…

Et on finit par une blague belge : 

Il y a en ce moment une file de 25 km au péage d’entrée de l’A1.
Les douaniers arrêtent un des nombreux automobilistes belges :
« – Quelle est votre profession ?
– Coiffeur… »
Un autre :
« – Quelle est votre profession ?
– Coiffeur… »
Encore un autre :
« – Quelle est votre profession ?
– Coiffeur…
– Mais enfin, pourquoi tous les coiffeurs de Belgique viennent-ils en France aujourd’hui ?
– Votre Premier Ministre vient de dire qu’on frisait les 4 millions de chômeurs ! »

Bon week-end à toutes et à tous.
N’oubliez pas d’aller voter.
Demain, ne souhaitant plus « troubler » l’opinion publique avec mes délires « politiques », la campagne étant close, on finit l’acte I de « Aux plaisirs du palais » et dimanche, on commence l’acte II : L’arrivée de « Bling-bling » à l’Élysée.

I3

2 commentaires:

  1. Vous, qui êtes si jeune, avez-vous vu mes nouveaux escarpins en cuir d’éléphant rose ?
    Bonne journée

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    1. Justement non et je le regrette infiniment, vous le savez bien, Ô Comtesse enivrante au pied dénudé !

      Ceci dit, vous n'avez pas vu les miens : Des pieds de diabétique, ça saigne de temps en temps, à saloper les pompes et chaussettes, les tapis et parquets et ça fait des "croutes-immondes".
      Pas le panard.
      Mais il paraît que je suis guéri tellement mes "trucs-glycqués" sont revenus autour de la norme habituelle reconnue comme conforme par la faculté des sciences...
      Consultation de ce matin.

      Ainsi va la vie.

      Bien à vous !

      I-Cube

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