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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 1 juin 2017

L’écololo-bobo s’est expliqué


On se rappellera du bonhomme

Parce que s’il y en a un qui s’estime « légitime » pour causer de la « planète-bleue » et en son nom, il se pose-là.
Rappelez-vous les « Ushuaia », ses « tchiii-frrt-séquence-émotion-tchiii-frrt… – …  tchiii-frrt- séquence-admiration – tchiii-frrt » où il pouvait nous diffuser des images splendides depuis l’autre bout de la planète à nous scotcher devant la petite-lucarne (qui se souvient de ses références à son ancêtre, « tonton-Tati », la voix de son maître ?), ponctuées de reportages achetés sur étagère…
C’est qu’il ne pouvait pas non plus être partout à la fois, même en déplaçant ses équipes et matériels en avions cargos.
Et puis, il fallait aussi qu’il mette du beurre dans ses épinards en développant « sa ligne » de produits de beauté éponyme.
Un bon business.
Par ailleurs subventionné par quelques mécènes aux intentions louables, naturellement…

Bon, entre-temps, il a quand même « compété » à l’investiture des verts, devenus depuis « EELV », face à la juge antitout, et même contre la corruption avec le succès que l’on sait, qu’était devenue « Ève-la-Jolie », avec le… succès qui a été le sien : Trop kons pour l’investir.
D’ailleurs, ceux-là ont fini par disparaître, avalés par « Âme-mont » en une seule bouchée, après avoir fait les imbéciles-diplômés dans les ministères sous « Tagada-à-la-frais-des-bois ».
Pas vraiment un service rendu à la nation et aux sans-logis, finalement.
Lui, pendant ce temps-là, il occupait encore les premières pages à faire le cabot avec sa coupe au bol devant les caméras.
On l’aura vu à Copenhague dénoncer le suicide planétaire (… tiens ? On est encore là ?), puis à œuvrer en douce dans les différentes COP dont on sait le succès actuel, dans le sillage du GIEC (prix Nobel de la Paix, faut-il rappeler).
La politique, il ne voulait plus en faire : Trop chiant et des succès si minces qu’ils ne sont même pas « d’estime ».
On peut comprendre.

Alors, la surprise a été de taille quand j’ai appris qu’il intégrait le premier gouvernement du « Jupitérien-Mak-Rond », sous les ordres du « barbu-du-Havre » : Ça, pour une belle « prise de guerre », s’en était une et une belle !
Il avait jusque-là toujours refusé de devenir ministre, déclinant les propositions faites par le « Chi », par « Bling-bling » et même « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Ça méritait peut-être une petite explication de texte.
Et il a su se fendre d’une courte intervention, sitôt virée « Ségololo » de son fauteuil, dans Le Journal du dimanche de l’autre fois.
Il m’a fallu un peu de temps pour « choper » le canard en question où finalement il en dit d’avoir fait « le pari de l’espoir ».
Que c’est beau !
Il est où, mon mouchoir ?

« J’ai l’impression qu'il y a un moment favorable. Dans la mythologie grecque, on parle du kairos. C’est l’instant T, le bon moment pour agir. Un espoir s’est levé pendant la campagne, on le sent bien », raconte le nouveau-sinistre, tout-nouveau-tout-beau.
J’adore : Avant l’heure, c’est pas l’heure, après l’heure, c’est plus l’heure !
Eh, attend : Pourquoi tu nous as fait caguer sur plusieurs décennies à vendre tes savon-douche à la mode exotique, au juste ?
Alors il raconte : « Être ministre est aussi une façon d’aller au bout de mon engagement (ah bon… lui aussi en a un ?), de me dire que pour ce combat, qui est celui d’une vie, j’aurai tout essayé » en dit l’ancien « envoyé spécial pour la planète » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Bé oui, pour lui aussi, Kronos reste implacable : Encore quelques années de plus, et il sucrera les fraises, comme beaucoup…

Mais il préfère également prévenir ceux qui verraient en lui la solution à tous les problèmes écologiques. « En me nommant, le président de la République et le Premier ministre n’ont pas choisi un magicien ».
Ah merde cagade alors !
Il a perdu la recette de ses « grands-reportages » qui nous émerveillaient tant ?
« J’hérite du ministère du temps long. Je veux convaincre que l’on peut faire de la contrainte écologique une magnifique opportunité. »
Oui enfin… « Les-ducs-Sion » aussi, c’est un ministère « long ». Très long même.
Ouille, ouille-ouille ! Il n’a même pas le monopole, sauf celui de l’autosatisfaction, semble-t-il : Tout lui, ça…
Finies les « petites-fleurs » dans les jardins, les ours polaires déboussolés, les oies-sauvages qui ne vagabondent plus, les forêts attaquées à l’acide ?
Et les veaux aux hormones ?
Et les poulets au mazout ?
Et les canetons vérolés à la grippe ?
Et les vaches-cinglées ?
Et les petites-n’abeilles tuées aux OGM ?

« J’ai l’espoir que l’on puisse sortir du théâtre des apparences et en finir avec nos sempiternelles divisions qui enlisent notre pays et le détournent en permanence de l’essentiel », ajoute-t-il.
Oui, c’est vrai ça : Nos femmes ne peuvent plus aller dans certaines rues de la kapitale, ce n’est pas l’essentiel.
Un tiers du pays vote facho, ce n’est pas essentiel.
Des gosses meurent gazés en Syrie, c’est superfétatoire.
On s’entretue encore en Ukraine pour un accès à la mer-noire, cette poubelle, c’est un détail.
D’autres sont déchiquetés par des « human-bomb » à la sortie d’une salle de concert, c’est probablement anecdotique.
Quant à ces sectaires qui luttent contre la « mixité-sociale » jusque dans des concerts interdits aux « peux-pâles », il faut bien que jeunesse se passe…
L’essentiel n’est manifestement pas là aux yeux du nouveau-sinistre, nous sommes priés d’en convenir. 

Et il en profite pour promettre également et dans la foulée d’être « un garde-fou intraitable » (arf !) contre les pratiques… « des grands semenciers ».
Quoi ?
Les types qui financent des recherches ardues sur les petites-graines qui vont donner à becqueter à la planète entière ?
Vingt-dieux : Là, ça va décoiffer !
« Vouloir mettre en coupe réglée les semences de la planète, c’est une violence absolue », lance-t-il.
Je veux aussi, naturellement.
Mais il va falloir drôlement s’agiter pour financer les semences du futur : Il faut 10 ans de recherches pointues pour mettre au point une nouvelle graine, presque 20 ans de travaux pour en fournir assez à ceux qui ont le tort d’en vouloir pour leurs champs.
Au moment même où la « banque des graines » engoncées dans des frigo-polaires est en train d’avoir trop chaud.
« Je ne suis pas anticapitaliste, mais je suis contre tous les excès du capitalisme. »
Moi également, tiens donc.
Mais en notant ce qu’il ne sait manifestement pas encore, c’est que quand on éradique un « acteur », fusse-t-il capitaliste, il faut le remplacer par un autre, fusse-t-il … « capitaliste-d’État ».
L’État a le beau rôle : C’est lui qui décide en votre nom de ce qui est bien et n’est « pas bien ». Il est là pour « réguler », autrement dire interdire dans la plupart des cas sous nos tropiques, et se substituer en cas de carences, même provoquées par voie de décrets.
Pas grave si ça coûte à tout le monde : Ce n’est pas son pognon, mais le vôtre.
Il suffit de décider de puiser à volonté…

Au-delà de ce sentiment d’urgence qui semble l’habiter, et de « l’espoir » que représente « Mak-Rond » à ses yeux, il assure dans le JDD qu’il « y avait quand même des choses » sur l’écologie dans le programme du nouveau président.
Ah bon ?
Où ça ?
« Il s’est prononcé sur l’économie circulaire »… Ce mot à la mode des béotiens qui tout d’un coup découvrent, parfois presque par hasard, que la Terre est finalement ronde !
Fabuleux : Ça donne « l’économie-circulaire », forcément…
« Il a repris mon idée d’un Grenelle de l’alimentation et a promis d’évaluer la compatibilité du Ceta avec nos engagements climatiques. »
Punaise de gourgandine : Un autre mot à la mode !
« Grenelle » !
Celui-là, il aura été mangé à toutes les sauces depuis mai 1968…
Et par tout le monde, y compris « Juppette » et « Bord-l’eau ».
Maintenant « Hue-l’haut » : J’admire.
Même s’il ne s’agit pas de réinventer le smic, mais d’aller voir la composition des assiettes de « Gauloisiens-nutritifs ».

« Quelques jours après son élection, je suis allé le voir à sa demande. Une phrase a achevé de me convaincre. Il m’a dit : ‘‘J’ai bien conscience que l’enjeu que tu portes est un enjeu essentiel qui conditionne tout le reste’’. »
La parole divine d’avant la pentecôte, l’heure où l’Esprit-Saint réveille les vocations de prêcheurs ultimes et universels…
« Je n’en ai peut-être pas pris encore toute la mesure et c’est bien pour cela que j’ai besoin de toi. »
Paul chutant de son cheval : « Seigneur, qu’attends-Tu de moi ? »
Et de finir par nous rassurer : « Je fonctionne à l’instinct. J’ai senti de la sincérité. Je lui ai dit: J’espère que c’est moi qui vais vous inspirer, les ministres et toi, et non vous qui allez m’aspirer. »
Presque un alexandrin.
Mais ça rime et en plus c’est un jeu de mot.
C’est beau comme un moment historique… !

Dans cette interview recueillie par le JDD, c’est aussi l’occasion pour le tout-nouveau-tout-beau-sinistre de la « Transition écologique et solidaire » de s’exprimer sur le sujet brûlant de Notre-Dame-des-Landes : Un détail.
« Nous allons remettre les choses à plat. Il y aura un temps – six mois – pour une médiation. Je suis intimement convaincu qu’il y a de possibles alternatives à Notre-Dame-des-Landes qui peuvent nous permettre, à tous, de sortir par le haut », affirme-t-il.
Notez que ça va faire plus de 5 ans que tout le monde essaye de sortir d’une façon ou d’une autre de ce bourbier, par le haut, par les bas, par les travers, avec le succès que vous savez…
Interrogé pour savoir s’il quitterait le gouvernement en cas de construction de l’aéroport, il souligne ne pas être « dans la sommation ».
Bon courage : Il n’a plus que 6 mois pour éviter de faire la culbute sur le sujet…
« Il faut sortir des joutes permanentes », insiste-t-il. « S’il y a un cri que je veux pousser, une chose que je veux dire aux Français, c’est aidez-moi. Je ne suis pas dans un combat partisan, c’est un enjeu humaniste. »
Je vous le dis : L’évangile lue par Saint-Nicolas…
Le « Éd. Phil-lippe » a par ailleurs confirmé la semaine dépassée la promesse du candidat « Manu-Mak-Rond », son opposant pendant sa campagne présidentielle, de nommer un médiateur pour étudier « l’ensemble des options » et trancher cet « épineux » dossier avec une décision « claire » et « assumée ».
J’adore déjà…

Naturellement, il a été aussi question du nucléaire-civil. « La voix de son maître » a assuré que la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) était acquise, mais, souligne-t-il, « si on doit fermer des réacteurs – et il faudra le faire –, ce sera sur des critères sociaux et de sécurité ».
Aïe : Ce n’est pas gagné, alors…
D’ailleurs, concernant le centre d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure (Meuse), il souhaite « l’étudier davantage ».
C’est sûr que ça manquait jusque-là d’études approfondies (c’est le cas de le dire) et de rapports divers et variés.
Pas grave, « faire et défaire c’est toujours travailler » en disait le Duce.
Du moment que c’est avec le « pognon des autres », y’a pas de souci…

En bref, je ne sais pas où on va avec cette équipe-là (et encore il y en a d’autres à « visionner »), mais on y va.
Pour ma part, j’assume ma fin de semaine et j’y vais : J’approche mon yacht-personnel d’un point de départ pour une prochaine croisière estivale à venir.
Résultat, comme il va y avoir quelques élections la semaine suivante, je vais vous remettre une flopée de textes qui datent de 2007 dans la série « Aux plaisirs du Palais ».
Une petite pièce de théâtre rigolote, qui balaye l’époque du moment où le « Chi » ne savait pas s’il faisait campagne ou non en 2007, puis le passage de témoin d’il y a 10 ans.
Je n’avais pas trop d’inspiration pour le même passage de témoin (et de code nucléaire) de 2012, mais profite de celui de 2017 pour vous raconter tout ça.
Tout ce que personne d’autre ne vous dira jamais, en somme…
C’est histoire de vous remettre dans l’ambiance de l’époque et de constater que finalement, les choses n’évoluent toujours pas dans le bon sens, même si elles sont « En Marche »…
En vous souhaitant bon courage ainsi qu’à votre ministre de l’écolologie.

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