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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 31 janvier 2017

Revenu universel…

Est-ce l’heure des utopies ?


Très étonnant : Il y a eu un thème « clivant » relatif au revenu universel dans la campagne des primaires de « gôche ». Et le plus étonnant, c’est que la semaine dépassée « Riton-le-Castré », futur ex-ministre de la phynance de « Fifi-encore-vainqueur » et déjà ex-PDG d’Axa a pu reprendre ce thème à son compte.
Attendez, vous habitez où au juste ?
En Finlande et leur essai-local pour 2.000 « traines-la-savate » ?


Revenons sur l’origine de l’idée, qui est une suggestion « théorique » d’économistes libéraux (ceci expliquant probablement cela).
Toutefois, l’origine de ce succès se trouve un programme résolument ancré à gauche, tendance « alter-machin-décliniste » qui a fait mouche auprès de l’électorat urbain et diplômé de la primaire.
Le « peuple de gôche » a récompensé le député des Yvelines de son effort pour apporter des réponses nouvelles à l’« uberisation » et au ralentissement de l’économie.
Souvenez-vous qu’en meeting, il résumait sa vision en quelques phrases : « Je suis né en 1967 et la crise j’ai l’impression que j’ai vécu avec depuis que je suis en âge d’écouter la radio, de comprendre quelque chose à l’actualité. La sortie de crise est le sujet numéro 1 de tous les programmes politiques depuis 1974 et pourtant nous y sommes toujours. C’est peut-être à cause d’un choix absurde : celui de courir après des taux de croissance comparables à ceux des 30 Glorieuses. »
Et personnellement, je devenais « ado-étudiant » avec « Giskar-A-la-Barre » et les mêmes thèmes dans la parole publique.
Je me souviens parfaitement de « Babar-i-turique », prof d’économie de ma fac, nous expliquer qu’on pouvait lui faire confiance, pour être le 1er économiste de Gauloisie (12ème mondial à l’époque) quand il disait « voir le bout du tunnel »… en 1977.

L’idée-clé de cette société du « post travail », où l’État nous prend en charge de la majorité à la retraite ou une société du travail reste l’axe « d’Âme-mont » et de la « gôche-gôche ».
Chez les « soces », les « bobos-écololos », les « déclinistes », on traite la pénurie (qui est encouragée par ailleurs) en la répartissant : Tu prends aux uns pour donner aux autres.
C’est du traitement social de la misère.
Globalement à « droâte », on encourage la croissance prétendant que plus le gâteau est gros, plus on aura les moyens de tirer l’ensemble de la population hors de la pôvreté.

Un débat finalement plus philosophique que réaliste, alors que les dépenses sociales, en « Gauloisie », n’ont jamais été aussi élevées (plus de 33 % du PIB pour plus de 700 milliards d’euros), les deux finalistes de la primaire de la gôche proposent d’en remettre une couche : De 100 à 300 milliards d’euros en plus pour « Deux-noix-Âme-mont », 30 milliards en plus pour « Menuet Valse ».
Pourtant des économies sur notre système social sont possibles, près de 10 milliards d’euros selon diverses simulations. 

La grande idée du programme de « Deux-noix-Âme-mont », c’est de se fixer (comme objectif à long terme) le versement d’un revenu universel d’existence. Mais elle a évolué lors de la campagne. Le candidat a d’abord proposé de créer un revenu universel d'existence en 3 étapes : En 2017, le RSA sera augmenté de 10 % à hauteur de 600 euros. Il serait versé automatiquement à tous les ayants-droit ainsi qu’à tous les jeunes de 18 à 25 ans quel que soit leur niveau de ressources (revenu d'existence).
Le revenu sera ensuite étendu à l’ensemble de la population (revenu universel). À terme, il atteindra la somme de 750 euros. Mais cette proposition a officiellement changé le 17 janvier 2017 et il ne proposait plus désormais de mettre en place un revenu universel lors du quinquennat 2017-2022. Le coût d’une telle mesure a d’ailleurs été vivement critiqué avec plus de 300 milliards d’euros de dépenses (soit presque l’intégralité du budget de l’État) que le candidat voulait gager par une nouvelle taxe sur les entreprises, une taxe sur les robots…
J’adore le principe de créer des taxes nouvelles, puisque c’est le citoyen lambda qui paye au final…
Pourquoi ? Mais parce qu’en retirant aux uns pour donner aux autres, ce qui est généreux, on ôte aux premiers les moyens de créer encore plus de richesses qui seront de toute façon redistribuées à d’autres tôt ou tard.

Aujourd'hui, le candidat propose que, dès 2018, le RSA soit augmenté de 10 % à hauteur de 600 euros et versé automatiquement à tous les ayants-droit (soit environ 65 milliards d’euros de dépenses nouvelles). La même année, un revenu d’existence sera versé à tous les jeunes de 18 à 25 ans quel que soit leur niveau de ressources (soit environ 45 milliards d’euros de dépenses nouvelles). Vraisemblablement, sa nouvelle proposition coûterait 110 milliards d’euros par an, qu’il souhaite gager par une individualisation de l’impôt sur le revenu, la suppression d’un certain nombre de niches fiscales et la lutte contre la fraude fiscale.
Pour passer du revenu d’existence pour les moins de 25 ans à un revenu universel, il proposait de tenir pendant le quinquennat, une grande conférence citoyenne qui permettra de fixer le périmètre du revenu universel (montant, financement, articulation avec les autres allocations sociales, calendrier de mise en œuvre).
Enfin il y a une vraie incertitude sur le périmètre de ce revenu d’existence pour les jeunes et revenu universel : Intègrent-ils les différentes allocations actuelles ? Fusionnent-ils les minimas sociaux ?
On ne trouve pas de réponse claire dans le programme du candidat, hormis le fait qu’il proposait aussi une revalorisation de 10 % de tous les minimas sociaux (soit une dépense nouvelle de 9,5 milliards d’euros par an).
Cela laisse à penser, que sa réforme visait bien le cumul des aides : Revenus minimas, allocations sociales avec les revenus d’existence (et le revenu universel à terme), comme le proposait son concurrent finaliste…

Pourtant il était bien le seul à le défendre parmi les candidats (aux primaires comme aux élections présidentielles) puisque cette réforme est décriée à sa droite et… à sa gauche : Ni le NPA (nouveau parti anticapitaliste), ni « Mes-Luches » ne le rejoignent. Ce dernier explique y voir une « trappe à pauvreté (…) qui permet au patron de dire à son employé : Je te paye moins, car tu touches ton revenu minimum ».

C’est vrai puisque les conséquences de la mise en place d’un revenu d’existence, puis d’un revenu universel, risquent d’être désastreuses pour le marché du travail et soulève plusieurs critiques :
– Le versement d’un revenu d’existence pour tous les jeunes 18-25 ans va avoir plusieurs conséquences : Une explosion des loyers des logements à destination des étudiants (voire une augmentation des prix de l’immobilier puisque tous les jeunes auront désormais accès à une cagnotte de plus de 60.000 euros en 8 ans) ; potentiellement une augmentation des coûts de l’enseignement supérieur ; un terrible effet de seuil au passage à 26 ans ; une désincitation à entrer dans la vie active ; une déresponsabilisation générale (aussi bien pour les jeunes, que pour les parents), etc…
Pour sortir de ces effets, il n’y a qu’une solution : La contrainte légale, autant dire encore plus de contrôles du citoyen, bref, un État-flic toujours plus puissant et omnipotent !
– Par ailleurs, le financement reste flou : Il espérait financer son revenu universel par une « taxe robot », maintenant il explique vouloir renflouer les caisses de l’État de près de 25 milliards par une individualisation de l’impôt sur le revenu (mais aussi supprimer les niches fiscales et lutter contre la fraude).
Autrement dit, il comptait ainsi augmenter la fiscalité des ménages…
Une solution ubuesque alors que les foyers gauloisiens font déjà partie des plus taxés d’Europe.

C’est ce que dénonçait « Menuet-Valse » cherchant à marquer sa distinction avec son programme « social » mais valorisant le travail.
Un discours qu’il a parfois du mal à synthétiser puisque, rappelons-le, il s’était positionné en faveur d’un revenu d’existence pour les jeunes de 18-25 ans avant d’entrer en campagne.
Au revenu d’existence ou au revenu universel de son concurrent, il opposait un minimum décent. Une appellation qui recouvre un projet de réforme des allocations sociales qui ressemble de très près à une allocation sociale unique.
En effet, le candidat propose de fusionner une dizaine de minima sociaux « afin de permettre à toute personne dépourvue de ressources de mener une vie décente ».
Ce minimum serait donc versé sous condition de ressources (d’un niveau qui n’est pas encore connu) et pour « toute personne âgée de plus de 18 ans et résidant régulièrement sur le territoire national ».
« Ce minimum décent peut aller jusqu'à 800-850 euros » pour un coût évalué à 30 milliards d’euros.
Une proposition qui fait écho à ce que les candidats de la primaire de la droâte, et « Monte-et-bourre-la », appelait « allocation sociale unique » avec des périmètres plus ou moins larges et des coûts différents.

Si la fusion des allocations sociales est une bonne idée, il faut regretter que l’ex-premier-sinistre ne l’ait pas mise en place quand il était à Matignon et n’aille (pour l’instant) pas au bout du projet.
Aujourd’hui, on compte en « Gauloisie », plus de 100 aides différentes et presque autant de modes de calcul, ce qui rend notre système social incompréhensible pour les usagers (d’où un taux de non-recours qui augmente) et trop complexe à gérer pour nos administrations.
On estime qu’on doit pouvoir fusionner au moins 47 aides sociales sous conditions de ressource pour un périmètre de 95 milliards d’euros.
Mais il n’y a pas que les allocations qu’il faut fusionner, il y a aussi les 330 caisses et guichets différents qui s’en chargent.
Aujourd’hui, les montants des aides sont souvent calculés par un organisme… mais versés pour le compte d’une autre entité. Ceci entraîne des échanges fastidieux d’informations et de flux financiers entre les organismes qui enflent d’année en année (213 milliards d’euros en 2013).
L’intérêt-général commanderait d’économiser à la fois sur les montants versés, en limitant le cumul des aides qui n’est pas plafonné aujourd’hui, et les coûts de gestion.
Il y a donc des marges d’économies, issues d’une meilleure gestion de notre protection sociale, à tirer estimées à 10 milliards d’euros, juste sur la réorganisation de ce qui existe déjà.

Pour bien faire, dans ce sens-là, il faudrait :
1 – Unifier, plafonner et fiscaliser les aides sociales. En fusionnant les allocations famille, les allocations en faveur de l’enfant et de l’adulte handicapé, les allocations logement, les primes exceptionnelles accordées par l’État et les frais de tutelle (frais de mandataires judiciaires, volets enfant et adulte), les allocations au titre du minimum vieillesse, les prestations en faveur du retour à l’emploi non-financées par des cotisations et les aides locales des départements (aides à domicile, APA, PCH, ACTP, l’accueil familial, etc.) dans une allocation sociale unique, plafonnée à 2.500 euros de cumul de revenus du travail et de prestations.
Il faudrait alors retenir un principe d’individualisation des prestations prenant en compte la composition du foyer réel et harmoniser les critères d’attribution ;
2 – Cette allocation serait fiscalisée en suivant le principe qu’un euro de la solidarité nationale doit être imposé de la même manière qu’un euro de revenu issu du travail.
Cette fiscalisation, pour bien faire, devrait se faire parallèlement à un relèvement du plafond du quotient familial à 3.000 euros par demi-part (contre 1.500 euros aujourd’hui) et par la mise en place de la perte des demi-parts lorsque les enfants cessent d’être rattachés au foyer fiscal (ainsi le départ de l’aîné représentera une perte d’une demi-part pour ses parents et ainsi de suite pour les familles nombreuses à partir de trois enfants), ainsi que par l’intégration dans le revenu imposable de la valorisation monétaire des prestations connexes, dont l’attribution devrait être déclarée par l’organisme prescripteur au bénéficiaire et aux services fiscaux (tarifs bonifiés de cantine, prise en charge de tout ou partie du titre de transport, etc.) ;
3 – Enfin, cette allocation unique devrait fonctionner comme un crédit d’impôt pour les foyers imposables selon l’idée qu’il ne sert à rien de prélever une partie des revenus, pour la rendre sous forme d’allocation ensuite, les coûts de distribution en sus.
Perso, j’aime bien l’idée pour avoir eu la bonne surprise de recevoir un jour un chèque signé de « Fafa-l’empoisonneur », alors sinistre de la Phynance au titre de la première « prime pour l’emploi » (dans mes « années-galères »).
Pour les foyers non-imposables et ils sont les plus nombreux, le calcul et le versement seront automatiques.
Sauf que là, à mon sens, il faudrait que ça prenne la forme d’un « impôt-négatif » pour centraliser l’ensemble des situations à traiter de façon « égalitaire » en fonction de la situation fiscale de chacun…
Mais du coup, on « nationaliserait » le dispositif aujourd’hui éparpillé à travers une multitude d’organismes sociaux « paritaires ».
Ce qui n’est pas non plus plus mal !

Ceci dit, on n’en est pas encore arrivé à ce que le bon sens commande, loin de là.
Et c’est là que « Riton-le-Castré » vient faire entendre sa « petite-musique » de « droâte », de retour de chez les « Davos ».
« Beaucoup de gens ricanent devant l’idée du revenu universel », aurait-il attaqué. « Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Cette idée n’est pas idiote d’instaurer des systèmes où les droits vont avec les individus et pas avec les statuts des personnes elles-mêmes. Dans cette société qui se transforme, il faut diminuer l’inquiétude des concitoyens, et imaginer de nouveaux systèmes de protection pour l’individu et pas pour leurs statuts ».
Ce que ne veulent pas ni la « CGT-tétée », ni « Mes-Luches » vous rappelle-je.

Flottement assuré dans la salle encore sous le choc de cette déclaration iconoclaste.
Puis il poursuit. « C’est difficile car cela bouscule les conservatismes ».
Arf !
Il a mis en avant « une grille de lecture du monde » insistant sur 2 éléments trop souvent négligés – le temps long et les leviers d’actions –  au cours de son intervention intitulée « L'Europe est-elle condamnée à se réinventer ? ».
Ainsi il a défendu la théorie pas trop bancale selon laquelle « les siècles commencent une dizaine ou une quinzaine d’années après leur début. Le XXème a commencé avec la guerre de 14, on pourrait dire que le XXIème a lui commencé autour de ces semaines quand on a vu le président chinois tenir un discours libre échangiste remarquable à Davos, temple du capitalisme mondial alors que le président des États-Unis prenait des « executive orders » pour rétracter son pays sur lui-même ».
Je vous le dis, pas faux et assez paradoxale.
D’ailleurs, le XIXème siècle a commencé avec la chute de l’Empire et le précédent avec la mort du Roi-Soleil, et ainsi de suite…

Le message se voulait lucide et optimiste : « Sommes-nous comme en 1914 en train de marcher comme des somnambules vers l'abîme ? Marche-t-on vers un monde dont on déclenche les forces qu’on ne maîtrise plus ?
Je ne le crois pas, il existe des menaces sérieuses mais il y a des raisons d’être optimistes pour le monde, l’Europe et la France.
Il faut comprendre quels sont les leviers d’action. Mais les choses ne deviendront pas meilleures en ne faisant rien. » 


Il a ensuite insisté sur un domaine peu souvent abordé par « Fifi-encore-vainqueur » lors de la campagne pour sa Primaire : Le réchauffement climatique. « C’est une évolution fondamentale sous-estimée qui va marquer le paysage qui nous entoure et le développement économique. Des guerres vont naître de ces mutations climatiques ».
Le ton alarmiste s’est accompagné d’une réflexion sur l’évolution démographique du monde : « Deux tiers des pays qui ont une déclinaison démographique dans le monde sont en Europe. L’Afrique a une économie en train de décoller et 30 millions d’habitants en plus chaque année. Sauf qu’il leur manque pour les fixer sur place entre 4 et 6 millions d'emplois chaque année. »
« Deux forces contradictoires sont à l’œuvre : l’amélioration de de la durée de vie grâce aux objets connectés fait face aux ravages des mauvaises pratiques alimentaires. À la fin on tombera probablement du bon côté et il faut imaginer la création de structures sociales différentes avec un nouvel environnement de travail ». 

Et puis il a fait une sortie sur problème européen : « Il est de tradition, sinon de bon goût, d’expliquer que la démographie de l’Europe est déclinante, que les démocraties ne fonctionnent pas de manière optimale, que les classes moyennes s’inquiètent de la rupture du pacte républicain.
L’Europe ne serait vouée qu’à la dislocation comme l’empire Romain ou celui de Charlemagne. Ce bruit est très répandu Outre-Atlantique. Nos amis asiatiques sont plus nuancés. Je ne crois pas du tout que nous sommes condamnés au déclin ».
Et de détailler ce qui constitue « le pacte démocratique qui a permis la prospérité lors de la construction de l'Europe : assurer la sécurité intérieure et extérieure, la prospérité de l’économie ainsi que la pertinence éducative ».
Il a encore plaidé pour que l’Europe puisse « se défendre et attirer les investissements nécessaires à l'économie de demain. La prise de risque doit être encouragée. Nous n’avons pas assez discuté de notre appétit pour le risque avec les réglementations successives en Europe. Dire qu’on ne veut plus jamais aucune crise, cela veut dire aller vers un risque zéro. Car avec un risque zéro, vous avez une croissance zéro ». 

Ce pays est finalement vraiment dingue : Plus fort que les 35 heures, plus fort que les 32 heures, le zéro heure…
Qu’on soit désormais de droâte ou de gôche.
Être juste payé seulement parce qu’on existe : Fabuleux !
Tout un programme « Corsu », en somme.
Quand vous y serez arrivé, je rentre, promis : Cela voudra dire que les « Corsi » auront finalisé la colonisation totale entreprise dès le Consulat par le « Cousin, celui qui a réussi » (et dort entouré de ses maréchaux sous le dôme des Invalides) des continentaux « pinzutti »…
J’adore la perspective de cette utopie-là, figurez-vous !

2 commentaires:

  1. Le candidat veut être élu ... et propose donc des mesures qui concernent des gens qui sont en âge de voter mais qui, souvent, ne le font pas! Donc, revalorisation du RSA et extension aux jeunes de 18 à 25 ans ...

    Moi, je ne suis pas candidat, alors de propose que l'on se préoccupe d'abord de la méthode de financement. Il faut, assez vite (environ 10 ans tout de même!) dégager au moins 400 milliards d'euros. On ne trouve pas ça sous les sabots d'un cheval!

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    1. Ce devrait être le B.A.BA depuis au moins les années 1981...
      Depuis, on fuit en avant...

      Votre "Mes Luches" parmi les premiers...

      Enfin passons, tout cela n'est qu'utopies qui n'ont aucune chance de voir le jour : Une campagne, ce n'est que du marketing, du vent, rien de plus et c'est assez drôle qu'au moins les acteurs fassent semblant d'y croire !
      Moi-même, je ne cesse de m'en amuser.
      Et heureusement que ça revient tous les 5 ans, parce que le reste du temps, on tempête !

      Et finalement, le vrai problème, c'est que tout ça a vraiment un impact sur votre quotidien : Là, ça devient lamentable !
      Passons !

      Bien à vous !

      I-Cube

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