Leur découverte les rend lyriques !
1 – Figurez-vous que les « trouveurs-astronomes »,
à force de chercher, ont trouvé de l’oxygène dans la galaxie la plus lointaine,
et donc la plus ancienne, jamais vue !
Il s’agit de la détection d’oxygène la plus lointaine
jamais faite par l’humanité.
Cette galaxie primitive, désignée JADES-GS-z14-0, possède 10 fois la quantité d’éléments lourds que ce à quoi on pourrait s’attendre dans une galaxie qui n’existait que 300 millions d’années après le Big Bang.
Ces résultats indiquent que cette galaxie était déjà mature dans l’univers primitif, remettant en question beaucoup des théories de l’évolution galactique.
Pour rappel, comme vous ne l’ignorez pas, JADES-GS-z14-0
a été découvert en 2024 par le télescope spatial James Webb (JWST). Sa lumière
a mis environ 13,4 milliards d’années pour nous parvenir, ce qui équivaut à
environ 98 % de la durée de vie de l’Univers vieux de 13,8 milliards d’années.
Et sa composition chimique a récemment été mise au jour grâce à l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array (ALMA).
Et le « trouveur » de l’équipe de chercheurs de l’Observatoire de Leiden, déclare : « C’est comme trouver un adolescent où l’on n’attendrait que des bébés ».
« Les résultats montrent que la galaxie s’est formée très rapidement et qu’elle mûrit également rapidement, ce qui s’ajoute à un nombre croissant de preuves que la formation des galaxies se produit beaucoup plus rapidement que prévu. »
On ne peut pas non plus toujours tout prévoir sans jamais se tromper…
JADES-GS-z14-0 avait été repérée aux côtés de
plusieurs autres galaxies tout aussi précoces dans le cadre du programme JWST
Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES).
Ce projet vise à fournir des informations essentielles sur la façon dont les étoiles, le gaz et les trous noirs ont évolué au sein des galaxies primordiales lorsque l’univers vieux de 13,8 milliards d’années était très jeune.
Pour comprendre pourquoi il est si surprenant que des éléments lourds soient découverts dans une galaxie primitive comme JADES-GS-z14-0, il est nécessaire de considérer la composition chimique de l’univers naissant : C’est l’occasion de rappeler ce que l’on sait sur le sujet.
Lorsque l’univers avait 2 % de son âge actuel, les scientifiques pensaient qu’il était rempli principalement d’hydrogène, l’élément le plus léger du cosmos, d’un peu d’hélium et d’une infime poignée d’éléments plus lourds, que les astronomes appellent quelque peu confusément « métaux ».
Cela signifie que les étoiles et les galaxies observées au cours de cette période devraient être proportionnellement « pauvres en métaux ».
Lorsque ces premières étoiles sont mortes et ont explosé dans des explosions de supernova, les métaux qu’elles avaient forgés au cours de leur vie ont été dispersés, enrichissant les nuages de gaz au sein de leurs galaxies d’origine. Et ces nuages ont finalement formé la génération suivante d’étoiles, qui étaient donc plus riches « en métaux ».
Cela signifie que plus une galaxie vieillit, plus sa «
maturité » peut être mesurée en fonction de l’abondance de métaux qu’elle
contient.
Et, vu à 300 millions d’années dans la vie du cosmos, JADES-GS-z14-0 devrait être pauvre en métaux et « immature », alors que pourtant elle semble être « mature ».
« J’ai été étonné par les résultats inattendus parce qu’ils ont ouvert une nouvelle vue sur les premières phases de l’évolution des galaxies », déclare un membre de l’équipe de la Scuola Normale Superiore de Pise, sise en « Ritalie ».
« La preuve qu’une galaxie est déjà mature dans l’univers naissant soulève des questions sur quand et comment les galaxies se sont formées. »
Forcément…
Comme je le disais, on ne peut pas toujours avoir raison sans jamais se tromper…
Ce ne serait pas humain.
La détection d’oxygène dans cette galaxie primitive a
également permis aux astronomes de mesurer plus précisément la distance jusqu’à
JADES-GS-z14-0.
« La détection ALMA offre une mesure extraordinairement précise de la distance de la galaxie jusqu’à une incertitude de seulement 0,005 % », a déclaré une autre « trouveuse » de la même équipe Pisane.
« Ce niveau de précision – analogue à une précision de 5 cm sur une distance de 1 kilomètre – aide à affiner notre compréhension des propriétés des galaxies lointaines. »
Bien qu’il ait fallu le JWST pour découvrir cette galaxie incroyablement lointaine, la mesure précise de sa distance par rapport à la Terre n’aurait pas été possible sans ALMA.
« Cela montre l’incroyable synergie entre ALMA et le JWST pour révéler la formation et l’évolution des premières galaxies », en dit un membre de l’équipe et astronome de l’Observatoire de Leiden.
Un astronome du Centre régional européen ALMA qui n’a pas participé à cette recherche indique de son côté : « J’ai été vraiment surpris par cette détection claire d’oxygène dans JADES-GS-z14-0. Cela suggère que les galaxies peuvent se former plus rapidement après le Big Bang qu’on ne le pensait auparavant.
Ce résultat met en évidence le rôle important que joue
ALMA dans la découverte des conditions dans lesquelles les premières galaxies
de notre univers se sont formées. »
Traduisez : Ce n’est pas seulement du pognon jeté
par les fenêtres…
2 – Pour rester dans le domaine des « grands espaces »
ouverts à la nature, je me dois de vous signaler qu’une mystérieuse découverte
du télescope James-Webb suggère une bien étrange situation…
Tout part de l’hypothèse formulée par des chercheurs
de l’université d’État du Kansas (de chez les « ricains » qui vont
être privés de pognon par décision « Trompiste »), et qui débouche
sur une question vertigineuse : « Le JWST a permis aux astronomes de
regarder plus loin dans le passé que tout autre télescope infrarouge ou
optique, observant la lumière infrarouge émise par des galaxies lointaines
seulement 300 millions d’années après le Big Bang » vient-on de dire.
Mais son but était, à l’origine, de nous en apprendre plus sur la formation de notre univers et des galaxies, mais aussi de regarder de plus près la formation des trous noirs supermassifs.
Or, en observant ces centaines de galaxies hors de la
Voie lactée, les scientifiques se sont rendus compte qu’une structure, un
motif, émergeait, notamment quand on observait leur sens de rotation. On
pensait jusqu’à maintenant que ce dernier était aléatoire, mais les galaxies
tourneraient à 60 % dans le sens des aiguilles d’une montre !
Une découverte finalement loin d’être anodine, paraît-il.
Euh… moi, je regarde ma montre dans un miroir, et je vous assure que les aiguilles tournent dans l’autre sens, mais… Je ne suis pas docteur en sciences…
« Si l’observation présentée ici reflète réellement
la structure de l’univers, cela indique que l’univers primordial était plus
homogène en matière de directions de rotation des galaxies et devient plus
chaotique au fil du temps, tout en présentant un axe à l’échelle cosmologique
proche du pôle galactique », tente d’expliquer une équipe de recherche dont
l’étude a été publiée dans la revue scientifique Monthly Notices of the Royal
Astronomical Society (anglo-saxonne).
Et pour expliquer cette orientation préférentielle, plusieurs hypothèses sont alors envisageables.
L’une d’entre elles est même particulièrement audacieuse : S’il y a bel et bien une homogénéité de toutes les galaxies réunies dans l’univers, c’est qu’il pourrait se trouver tout entier dans un trou noir !
D’autant que cela permettrait d’expliquer aussi la présence de lois communes à toutes les galaxies qui le composent.
Bien sûr, une telle découverte (qui reste à faire) remettrait en question nos théories actuelles sur le cosmos, et forcément, elle nécessiterait davantage de recherches.
Et donc plein de subventions nouvelles…
Notez qu’une autre théorie, bien moins excitante, est
que cette répartition des rotations résulterait simplement d’un effet d’optique
pendant les observations. Nous aurions tout simplement été victimes de l’effet
Doppler, qui peut modifier la perception de la lumière en fonction du mouvement
relatif des objets émetteurs.
Dans ce cas-là, il faudrait recalibrer le télescope spatial James-Webb pour observer correctement les galaxies, en tenant compte de ce biais d’observation.
Pour ma part, je reste surpris que nos « trouveurs »
n’aient pas non plus pensé qu’une galaxie tourne peut-être sur son axe, donc à
l’endroit quand on la regarde du dessus, mais à l’envers quand on la regarde du
dessous.
Et que l’axe lui-même peut très bien pivoter comme d’une toupie qui s’épuise sur trois axes tout en continuant de tourner sur elle-même…
Bref, pas de quoi se sentir piégé dans un hyper-méga-trou-noir qui engloberait tout l’univers…
Enfin, en tout cas celui à notre portée, parce que l’autre… on n’en sait strictement rien !
3 – Il est une autre découverte importante qui, elle, n’aura
pratiquement rien coûté au kon-tribuable.
Mais ça rend moins poétique…
Car on s’en doutait mais on ne comprenait pas pourquoi.
Figurez-vous que l’aspirine, ce banal antidouleur empêche le cancer de métastaser !
Une équipe de « trouveurs » britanniques vient en effet d’identifier le mécanisme par lequel cet acide permet au système immunitaire de détruire les cellules cancéreuses.
C’est une excellente nouvelle, car 90 % des décès liés
au cancer sont causés par les métastases, or cette découverte renforce l’espoir
que l’aspirine soit un jour prescrite pour davantage de malades.
Je me propose de me faire faire un petit stock d’acide acétylsalicylique… par précaution…
J’ai déjà du Doliprane et de l’Ibuprofène pour la fièvre et les « douleurs de l’âge avancé », plus quelques pilules récupérées de chez « ma Môman » qui n’aura pas eu le loisir de tout utilisé…
Car jusqu’à présent, on estimait que les vertus anticancer de l’aspirine étaient liées à ses effets anti-inflammatoires. Mais rien n’avait jamais été prouvé concernant ses mécanismes précis d’action, ce qui empêchait d’introduire ce médicament dans l’arsenal des traitements utilisés par les cancérologues.
J’aurai donc le temps d’attendre si mon crabe se réveillent de façon inopportune et soudaine.
Mais désormais, ces chercheurs ont eu la bonne idée de donner, durant plusieurs mois, de petites doses d’aspirine à des souris atteintes de divers cancers : Cancers du sein, du côlon ou cancer de la peau.
Par rapport aux rongeurs qui n’avaient pas reçu d’aspirine, ces souris présentaient nettement moins de métastases, mais aussi moins de thromboxane A2 dans leur sang, un effet que les nouveaux « trouveurs » attribuent à l’aspirine.
Du coup, ces derniers ont donc réussi à démontrer que,
en temps normal, le thromboxane A2 aide les cellules cancéreuses «
métastatiques » à se protéger des cellules immunitaires de l’organisme,
notamment des lymphocytes T.
Quand la production de thromboxane diminue grâce à l’aspirine, les cellules cancéreuses n’ont plus cette protection, et les lymphocytes T peuvent les éliminer, diminuant ainsi le risque qu’elles prolifèrent dans d’autres organes.
Astucieux…
La prochaine étape pour les « trouveurs » britanniques : Tenter la même expérience chez l’homo sapiens-sapiens afin voir si l’aspirine utilise le même mécanisme et identifier sur quels cancers cet antidouleur est réellement efficace.
Que si la situation l’exige, je me porte volontaire, histoire de durer un peu en faisant avancer la science qui est « en marche »…
C’étaient les quelques faits intéressants relevés pour vous la semaine
dernière.
Bonne début de semaine à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Cette galaxie primitive, désignée JADES-GS-z14-0, possède 10 fois la quantité d’éléments lourds que ce à quoi on pourrait s’attendre dans une galaxie qui n’existait que 300 millions d’années après le Big Bang.
Ces résultats indiquent que cette galaxie était déjà mature dans l’univers primitif, remettant en question beaucoup des théories de l’évolution galactique.
Et sa composition chimique a récemment été mise au jour grâce à l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array (ALMA).
Et le « trouveur » de l’équipe de chercheurs de l’Observatoire de Leiden, déclare : « C’est comme trouver un adolescent où l’on n’attendrait que des bébés ».
« Les résultats montrent que la galaxie s’est formée très rapidement et qu’elle mûrit également rapidement, ce qui s’ajoute à un nombre croissant de preuves que la formation des galaxies se produit beaucoup plus rapidement que prévu. »
On ne peut pas non plus toujours tout prévoir sans jamais se tromper…
Ce projet vise à fournir des informations essentielles sur la façon dont les étoiles, le gaz et les trous noirs ont évolué au sein des galaxies primordiales lorsque l’univers vieux de 13,8 milliards d’années était très jeune.
Pour comprendre pourquoi il est si surprenant que des éléments lourds soient découverts dans une galaxie primitive comme JADES-GS-z14-0, il est nécessaire de considérer la composition chimique de l’univers naissant : C’est l’occasion de rappeler ce que l’on sait sur le sujet.
Lorsque l’univers avait 2 % de son âge actuel, les scientifiques pensaient qu’il était rempli principalement d’hydrogène, l’élément le plus léger du cosmos, d’un peu d’hélium et d’une infime poignée d’éléments plus lourds, que les astronomes appellent quelque peu confusément « métaux ».
Cela signifie que les étoiles et les galaxies observées au cours de cette période devraient être proportionnellement « pauvres en métaux ».
Lorsque ces premières étoiles sont mortes et ont explosé dans des explosions de supernova, les métaux qu’elles avaient forgés au cours de leur vie ont été dispersés, enrichissant les nuages de gaz au sein de leurs galaxies d’origine. Et ces nuages ont finalement formé la génération suivante d’étoiles, qui étaient donc plus riches « en métaux ».
Et, vu à 300 millions d’années dans la vie du cosmos, JADES-GS-z14-0 devrait être pauvre en métaux et « immature », alors que pourtant elle semble être « mature ».
« J’ai été étonné par les résultats inattendus parce qu’ils ont ouvert une nouvelle vue sur les premières phases de l’évolution des galaxies », déclare un membre de l’équipe de la Scuola Normale Superiore de Pise, sise en « Ritalie ».
« La preuve qu’une galaxie est déjà mature dans l’univers naissant soulève des questions sur quand et comment les galaxies se sont formées. »
Forcément…
Comme je le disais, on ne peut pas toujours avoir raison sans jamais se tromper…
Ce ne serait pas humain.
« La détection ALMA offre une mesure extraordinairement précise de la distance de la galaxie jusqu’à une incertitude de seulement 0,005 % », a déclaré une autre « trouveuse » de la même équipe Pisane.
« Ce niveau de précision – analogue à une précision de 5 cm sur une distance de 1 kilomètre – aide à affiner notre compréhension des propriétés des galaxies lointaines. »
Bien qu’il ait fallu le JWST pour découvrir cette galaxie incroyablement lointaine, la mesure précise de sa distance par rapport à la Terre n’aurait pas été possible sans ALMA.
« Cela montre l’incroyable synergie entre ALMA et le JWST pour révéler la formation et l’évolution des premières galaxies », en dit un membre de l’équipe et astronome de l’Observatoire de Leiden.
Un astronome du Centre régional européen ALMA qui n’a pas participé à cette recherche indique de son côté : « J’ai été vraiment surpris par cette détection claire d’oxygène dans JADES-GS-z14-0. Cela suggère que les galaxies peuvent se former plus rapidement après le Big Bang qu’on ne le pensait auparavant.
Mais son but était, à l’origine, de nous en apprendre plus sur la formation de notre univers et des galaxies, mais aussi de regarder de plus près la formation des trous noirs supermassifs.
Une découverte finalement loin d’être anodine, paraît-il.
Euh… moi, je regarde ma montre dans un miroir, et je vous assure que les aiguilles tournent dans l’autre sens, mais… Je ne suis pas docteur en sciences…
Et pour expliquer cette orientation préférentielle, plusieurs hypothèses sont alors envisageables.
L’une d’entre elles est même particulièrement audacieuse : S’il y a bel et bien une homogénéité de toutes les galaxies réunies dans l’univers, c’est qu’il pourrait se trouver tout entier dans un trou noir !
D’autant que cela permettrait d’expliquer aussi la présence de lois communes à toutes les galaxies qui le composent.
Bien sûr, une telle découverte (qui reste à faire) remettrait en question nos théories actuelles sur le cosmos, et forcément, elle nécessiterait davantage de recherches.
Et donc plein de subventions nouvelles…
Dans ce cas-là, il faudrait recalibrer le télescope spatial James-Webb pour observer correctement les galaxies, en tenant compte de ce biais d’observation.
Et que l’axe lui-même peut très bien pivoter comme d’une toupie qui s’épuise sur trois axes tout en continuant de tourner sur elle-même…
Bref, pas de quoi se sentir piégé dans un hyper-méga-trou-noir qui engloberait tout l’univers…
Enfin, en tout cas celui à notre portée, parce que l’autre… on n’en sait strictement rien !
Car on s’en doutait mais on ne comprenait pas pourquoi.
Figurez-vous que l’aspirine, ce banal antidouleur empêche le cancer de métastaser !
Une équipe de « trouveurs » britanniques vient en effet d’identifier le mécanisme par lequel cet acide permet au système immunitaire de détruire les cellules cancéreuses.
Je me propose de me faire faire un petit stock d’acide acétylsalicylique… par précaution…
J’ai déjà du Doliprane et de l’Ibuprofène pour la fièvre et les « douleurs de l’âge avancé », plus quelques pilules récupérées de chez « ma Môman » qui n’aura pas eu le loisir de tout utilisé…
Car jusqu’à présent, on estimait que les vertus anticancer de l’aspirine étaient liées à ses effets anti-inflammatoires. Mais rien n’avait jamais été prouvé concernant ses mécanismes précis d’action, ce qui empêchait d’introduire ce médicament dans l’arsenal des traitements utilisés par les cancérologues.
J’aurai donc le temps d’attendre si mon crabe se réveillent de façon inopportune et soudaine.
Mais désormais, ces chercheurs ont eu la bonne idée de donner, durant plusieurs mois, de petites doses d’aspirine à des souris atteintes de divers cancers : Cancers du sein, du côlon ou cancer de la peau.
Par rapport aux rongeurs qui n’avaient pas reçu d’aspirine, ces souris présentaient nettement moins de métastases, mais aussi moins de thromboxane A2 dans leur sang, un effet que les nouveaux « trouveurs » attribuent à l’aspirine.
Quand la production de thromboxane diminue grâce à l’aspirine, les cellules cancéreuses n’ont plus cette protection, et les lymphocytes T peuvent les éliminer, diminuant ainsi le risque qu’elles prolifèrent dans d’autres organes.
Astucieux…
La prochaine étape pour les « trouveurs » britanniques : Tenter la même expérience chez l’homo sapiens-sapiens afin voir si l’aspirine utilise le même mécanisme et identifier sur quels cancers cet antidouleur est réellement efficace.
Que si la situation l’exige, je me porte volontaire, histoire de durer un peu en faisant avancer la science qui est « en marche »…
Bonne début de semaine à toutes et tous !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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