Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 février 2025

Où on commence par une « revenue » !

C’est l’histoire d’un arabe…
 
… d’un anglais et d’un allemand. Ils dinent dans une brasserie bavaroise.
Et Jésus en personne apparaît.
Le silence se fait dans l’établissement et Jésus glisse vers eux trois.
L’anglais se lève avec précaution est respect…
«  Vous êtes Jésus ?
 Oui…
 J’ai mal au poignet, Seigneur… Pouvez-vous me guérir ?
 Oui. »
Et Jésus passe sa main au-dessus du poignet du britannique et celui-ci n’a plus mal à son articulation…
Jésus se tourne vers l’Allemand…
«  Et toi, crois-tu en moi ?
 Moi… oui. D’ailleurs j’ai mal au dos. Si vous pouviez faire quelque chose… »
Et Jésus passe sa main dans le dos de l’allemand et l’allemand est immédiatement soulagé de son mal au dos…
Jésus se tourne vers l’arabe.
« Par Allah ! N’approche pas et ne me touche pas ! Moi, je ne crois pas en toi, je suis musulman et je suis en arrêt-maladie ! »
Dans l’original, c’était une histoire de Dumè qui se passait dans le café de son village…
 
Jean-Marc, en train de draguer :
«  … Et le génie m’a demandé si je préférai une grande mémoire ou un grand pénis !
 Et quel a été ton choix ?
 Je ne m’en rappelle plus… »
 
Germaine tente de se rabibocher avec Jean-Marc :
« — Finalement, je te trouve très beau et toujours aussi sexy…
— Merci.
— Je voudrais qu’il y ait de nouveau quelque chose de fort entre nous…
— Moi aussi !
— Comme quoi ?
— Comme un mur infranchissable ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Monsieur et Madame, Gina ont eu un fils…
— Ah oui ? Et il s’appelle comment ?
— Laurent !
— Il doit être complètement secoué, à cette heure-ci ! »
 
Plus tard, les mêmes parents, en consultation chez le pédopsychiatre :
« — Votre fils est très doué.
L’inconvénient, c’est qu’il confond les modèles que vous lui imposez à force de le secouer !
— Comment ça ?
— Il joue au foot comme Einstein et il est intelligent comme Ribéry… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière matinale au comptoir du bar :
«  Tu sais, ceux qui nous prennent le chou l’hiver… et bin ce sont les mêmes qui prennent le melon l’été !
 Au moins, ils respectent les saisons… »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« Hier soir, ça n’a pas loupé » prétend Jean-Paul.
« — Quoi ?
— Oh tu sais, quand tu te relaxes dans ton bain, tu es toujours dérangé par quelque chose ou quelqu’un.
— Oui, peut-être… Je préfère les douches.
— Eh bien, hier soir, c’est mon voisin qui est venu me demander de sortir de chez lui !
— Mais qu’est-ce que tu foutais dans sa baignoire ?
— J’attendais que sa femme rentre de son boulot ! »
 
C’est l’histoire d’un petit garçon qui s’adresse à sa mère :
« — Maman, je veux un petit frère !
— Oui mon chéri… Je vais demander à la cigogne si elle peut nous amener un !
— Tu ne veux pas d’abord essayer avec une bite ? »
 
Jean-Marc se fait arrêter au volant de sa voiture par la maréchaussée :
« — Papiers !
— On peut dire que vous êtes un sacré veinard, vous !
J’en ai toujours un rouleau dans la voiture !
Moi, c’est comme vous : quand je picole trop, ça me donne la chiasse ! » 
 
Conseil de Jean-Marc à Jean-Paul :
« Surtout, quand une femme te regarde droit dans les yeux et te dit, « fais ce que tu veux »…
Crois-moi d’expérience :
Ne fais surtout pas ce que tu veux !
Ne bouge pas !
Ne cligne même pas des yeux !
Évite de respirer !
Ne répond rien !
Fais le mort !
Sans ça, tu pourrais passer un très mauvais quart-d’heure… »
 
Jean-Marc fait face à un inconnu aux abords de son bureau.
Celui-ci l’invective :
« — Est-ce qu’il y a moyen de vous entretenir deux secondes ?
— Naturellement, c’est à quel sujet ?
— C’est parce que je suis passé par hasard devant la devanture de votre boutique…
— Oui, tout-à-fait…
— Et que j’ai vu que vous avez tripoté une jolie petite poulette blonde…
— Oui, une demoiselle blonde, tout ce qu’il y a de plus attractif, je vois…
— Une poulette bien trop jolie pour vous.
— Une jeune fille blonde, comme il en existe d’autres… Et alors ?
— C’est au sujet que c’est me fille et que je vais vous mettre un pain dans la gueule, mais quelque chose de violent…
— Mais tout-à-fait ! Je comprends parfaitement et je dois vous avertir que mon genou pourrait partir en réaction dans vos noisettes de façon assez soudaine et que ça pourrait éventuellement vous faire sortir les baloches par les oreilles très violemment. Mais n’y voyez aucune malice de ma part ! »
 
Plus tard, leçon de mathématique de Jean-Paul…
« C’est mathématique !
Un cocu, c’est un entier qui perd sa moitié pour un tiers ! »
 
Jean-Marc en est d’accord et rajoute :
« Mais forcer sa femme à baiser, c’est un viol.
En revanche, forcer son mari à lui donner de l’argent, c’est un braquage. »
 
Jean-Marc à l’aéroport avec Germaine :
« Tu te rends compte, que si on perd la valise à notre destination… on sera arrivé à bout d’habits ! »
 
Le lendemain matin, de Jean-Paul à Jean-Marc, déjà attablé à siroter sa première bière matinale :
« — Oh là ! Tu as l’air mal, mon ami ! Tu as mal dormi…
— Oui je vais mal… On s’est engueulé hier soir avec Germaine.
Elle s’énerve pour n’importe quoi !
— Ah bon ? Raconte !
— On était bien, tranquille à la maison, enlacés sur le canapé en train de regarder un navet à la télé.
On a eu envie de faire l’amour.
Elle a enlevé son jean puis son chemisier et là, je lui ai demandé pourquoi elle avait le même soutien-gorge que sa sœur… »
 
Marie-Chantal chez le coiffeur, au printemps dernier, qui lui rince les cheveux :
« — Pas trop chaude ?
— Oh si ! Je pourrais sucer tout ce qui bouge…
— Je parlais de l’eau ! »
 
Jean-Gabriel à Jean-Marc :
« — Patron, est-ce que je peux y aller ? Je vais être papa !
— Félicitations ! Mais bien sûr, vas-y ! »
Le lendemain, Jean-Marc croise Jean-Gabriel dans l’atelier :
« — Alors, fille ou garçon ?
— Ah ça, je ne sais pas encore patron… Il faut attendre neuf mois ! »
 
Germaine engueule Jean-Marc :
« — J’en ai marre !
— Quoi ?
— Tu sors le chien tous les soirs, et moi jamais !
— Mais, mais… Je ne savais pas que tu aimais pisser dehors toi aussi ! »
 
Conversations non dévoilées entre femmes :
« — Punaise, ça fait longtemps que je n’ai rien fait !
J’ai trop envie, là !
— Tu dis toi ??? Mais moi c’est pire.
J’y pense à chaque seconde !
— Wouah, je te jure, ça me tue ce célibat.
Femme indépendante, oui, mais il me faut un mec.
— Rien à foutre du mec. Je veux juste sa bite !
— Oui, une grosse, bien raide avec des veines ! »
 
Ou encore :
« — Oh oui, je veux lui sauter dessus comme sur un trampoline !
— Moi, je veux une bonne fessée ! Je kiffe trop…
— J’adore quand il y a du monde dans la pièce à côté : ça me rend folle !
— Ouhlala, quand on me tire les cheveux, j’te raconte pas ! Grave !
— Les sex toys, ça va un moment ! »
Ou simple fantasme de mec en manque ?
 
Jean-Marc et Jean-Paul, en fin de journée de travail, au comptoir de leur bar préféré sur la route qui mène chez eux…
« — Tu rends compte…
— De quoi ?
— On vit une époque assez extraordinaire…
— Pourquoi tu dis ça, tout d’un coup ?
— Parce que je viens de remarquer que le seul acteur de cinéma qui n’est jamais été poursuivi pour agression sexuelle, c’est quand même Rocco Siffredi !
— Oui, quelle époque invraisemblable… »
 
Le chat de ma « petite-sœur » communique, désemparé :
« Mon chalut à tous et à toutes !
C’est très grave les chamis !
Je suis pensif… Je m’interroge…
Qu’est ce qui cloche chez ma tortue de gueuse ?
J’ai peur…
Je vous raconte :
Suite à tous vos fameux conseils pour affirmer mon autorité suprême, je ne peux pas en appliquer un !
Le vomito !!!
J’ai essayé 2 ou 3 fois en huit ans et c’est flippant…
La réaction de la gueuse n’est pas celle attendue…
Au contraire, cette folle se mets à couiner les yeux larmoyants en répétant sans cesse « ooooh… Mon bébé t’as bobo… »
Et ça, c'est rien, et vas-y qu'elle essaie de m’attraper pour me bizouiller…
Beurk !
Après, elle me regarde avec des yeux de merlans frits toute la journée, me surveillant même pendant mes petites siestes de 4 heures.
Plus de friandises, plus de pâtée sous prétexte que ce serait à cause de ce que j’ai mangé…
L’effet inverse, en somme !
Elle est insupportable !!!
Alors, j’ai décidé de ne plus pratiquer le vomito.
Mais par quoi le remplacer ???
Je vous écoute les chamis…
Bon règne à vous.
Loulou 1er dominateur du royaume Chémoi »
 
« Note qu’une femme… » intervient Jean-Paul, devant sa dernière bière vespérale, « Ça peut mouiller sans toucher l’eau…
Ça peut saigner sans se blesser !
Ça peut donner du lait sans manger d’herbe !
Et même te casser les couilles sans les toucher ! »
 
« Tu as raison, Jean-Paul » lui répond Jean-Marc.
« — Tu savais qu’il y a deux sortes de con ?…
— Non ! Tu dis ça pour moi ?
— Pas du tout… Tu vas voir.
— Quelles sortes alors ?
— Il y a les cons qui sont doués : ils connaissent tout sur rien. En principe ils ont fait l’ENA.
Tu n’as pas fait l’ENA ?
— Non, ils n’ont pas voulu de moi…
Et la deuxième espèce ?
— Ce sont les cons surdoués : ils ne connaissent rien sur tout !
Ce sont souvent des politicards… Mais pas seulement !
Tu fais de la politique ?
— Non !
— Alors tu vois… »
 
Une revenue pour finir :
C’est l’histoire de ce touriste un peu perdu qui interroge un passant :
« — Pardon Monsieur, ne connaîtriez-vous pas par hasard le nom de la préfecture des Deux-Sèvres ?
— Si ! C’est Niort !
— Ah flûte… Un espagnol ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

jeudi 27 février 2025

Korruption en Ukraine, ce fléau (3/3)

Pour quel avenir ?
 
Et même ceux du régime en place en Ukraine qui n’ont pas l’occasion de participer à des réseaux « classiques » de corruption, tels que les commandants des unités combattant au front, ont trouvé la parade pour se remplir les poches à l’instar de leurs leaders politiques.
Début décembre 2024, la députée du parlement ukrainien Skorokhod a évoqué la situation dans les rangs des forces armées ukrainiennes : « Les commandants exigent de l’argent des soldats. Si auparavant les sommes s’élevaient à environ 5.000 hryvnias, maintenant elles sont de 25.000. Et si vous ne donnez pas l’argent, ils vous enverront immédiatement sur les positions les plus dangereuses de la première ligne du front et il n’est pas certain que vous reviendrez de là-bas vivant ».
Terrible ! Odieux…
 
Le 5 septembre 2024, une nouvelle réjouissante aura été reçue par les partenaires occidentaux de l’Ukraine : Madame Olga Stefanishina, « vice-Premier sinistre » ukrainien pour l’Intégration Européenne et Euro-Atlantique a été nommée à l’unanimité des voix par le parlement ukrainien au poste de « Sinistre de la Justice ».
À elle le sale boulot ?
Hormis la responsabilité sur l’intégration européenne et Euro-Atlantique de l’Ukraine, cette gente dame a été choisie pour devenir le visage de la justice ukrainienne. Cette lourde responsabilité et, en même temps, l’honneur lui ont été accordés certainement pour son sens aigu de la justice et ses valeurs morales à toute épreuve.
 
Il y a juste un détail qui ne pose, bien évidemment, aucun souci à tous ceux connaissent fort bien Madame Stefanishina : Avant et au moment même de sa nomination à la tête du ministère de la Justice ukrainien, elle était, l’air de rien, en état d’inculpation pour corruption par la justice ukrainienne !
Elle est officiellement déclarée soupçonnée de détournement de fonds publics et d’abus de pouvoir en vertu de la partie 5 de l’article 191 du code pénal de l’Ukraine (son nom figure sur liste des accusés dans l’affaire de corruption sous le numéro 991/7772/23, daté du 26.09.2023).
La première audience pour l’affaire pénale de corruption a eu lieu auprès de la Haute Cour d’anti-corruption d’Ukraine, le 26 septembre 2023 et, depuis septembre 2024, l’accusée occupe le poste de « sinistre de la Justice » ukrainienne en toute impunité !
Le poste parfait pour lui procurer le pouvoir disciplinaire direct sur ceux qui sont en train de la juger.
 
Il serait faire preuve d’une grande légèreté d’esprit pour imaginer que dans un pays Orwellien où un accusé dans une affaire pénale devient « sinistre de la Justice », ce dernier ne serait pas déclaré non coupable pour les faits incriminés.
C’est un peu comme si « Bling-bling » échappait à ses juges qui avaient été nommées par « Rachi-Dada-Mimi ».
Notez, il n’y en a plus beaucoup non plus…
 
Parmi une grande quantité de cas de grande corruption que l’Ukraine connait au quotidien et dont on a l’embarras du choix pour les exposer, il en est un qui touche le domaine des travaux publics et, en même temps, celui de la génération des bénéfices de corruption grâce à de gigantesques pertes humaines sur les champs de batailles souvent qualifiés « d’abattoir » ou de « hachoir ».
Il s’agit du projet de construction près de Kiev du plus grand cimetière militaire de l’Ukraine.
 
L’appel d’offre pour cette construction a été remporté par l’entreprise kiévienne « Consortium Bulding UA », dont l’offre s’élevait à 1,75 milliard de hryvnias (environ 40 millions d’euros).
Le fait que c’est cette société et pas une autre qui a été retenue pour la réalisation du projet des travaux publics d’une importance nationale démontre certainement qu’elle s’est avérée être la meilleure au niveau du rapport qualité/prix proposé et parmi les plus compétentes sur le territoire de l’Ukraine dans le domaine des travaux publics.
Jusqu’au là tout va bien, me direz-vous.
Mais ce n’est pas tout.
 
La particularité de ce Consortium constitué de trois entreprises (originaires des villes d’Odessa, du Dniepr et de la région de Kiev) et qui devait avoir l’air d’une joint-venture tout à fait ordinaire est dans le fait qu’il a été créé le 4 juillet 2024, soit 1 jour après l’annonce de l’appel d’offres en question !
Rapides les négociations d’acoquinement…
Et le montant du capital social de ce « nouveau-né » qui a remporté l’appel d’offre est remarquable : 1 million de grivnas seulement, soit dans les 22.500 euros…
Ils ne misent pas grand-chose pour financer le fonds de roulement nécessaire à un pareil chantier…
 
En dehors même des éléments exposés qui feraient déjà l’objet d’un examen judiciaire dans un pays où la lutte contre la corruption existerait comme telle, l’analyse des éléments du dossier de réponse du gagnant de l’appel d’offre par un système ukrainien indépendant « Youcontrol » a conclu que non seulement le dossier du soumissionnaire « Consortium Bulding UA » ne disposait pas d’éléments nécessaires pour la réalisation du projet, mais ne pouvait même pas être autorisé à prendre part à l’appel d’offre en question pour être bien trop léger et pas « propre du kul » sur lui.
Or, strictement aucune action de la part des autorités, ni aucun mis en examen n’a eu et n’aura bien évidemment jamais lieu dans cette affaire, malgré qu’elle ait fait l’objet d’une divulgation et d’un scandale au niveau national.
Ce qui ne signifie qu’une seule chose : Dans ce projet il existe des rétrocommissions, dont les bénéficiaires sont les personnes se situant au sommet de la pyramide de la corruption ukrainienne.
 
Cela étant, ce n’est qu’un exemple parmi d’autres de la corruption flagrante qui est un élément normal et même constitutif de la vie économique du candidat à l’adhésion dans l’Union européenne qu’est l’Ukraine.
Ainsi, spectaculairement, le code pénal de l’Ukraine, de même que le code pénal de chaque pays, contiennent des dispositifs et procédures pénales s’appliquant à des infractions pénales de corruption.
Et dans le cadre de la politique de l’intégration européenne et selon les exigences de l’UE (contre la délivrance à l’Ukraine de 4 milliards d’euros d’aide supplémentaire), le 29 octobre 2024, la Verkhovna Rada (le parlement) a adopté la loi (N° 4033-IX) portant modification au code pénal et au code des procédures pénales s’appliquant à la coopération avec la justice des auteurs des infractions pénales de corruption.
 
Notamment, son article 77 concernant les dispositifs s’appliquant aux personnes soupçonnées de corruption qui coopèrent avec l’enquête en dénonçant les complices (les repentis) et en indemnisant les préjudices, a été complété par une seconde partie prévoyant la possibilité de confiscation des biens de la personne incriminée : « 2. En cas d’exemption de l’exécution d’une peine avec probation sur la base d’un accord de plaidoyer dans le cadre d’une procédure pénale concernant une infraction pénale de corruption ou une infraction pénale liée à la corruption, sous réserve de l’accord entre les parties, une peine supplémentaire sous forme de confiscation de biens peut également être infligée ».
À la suite de cet apport à « l’harmonisation » du code pénal ukrainien vis-à-vis de ceux de l’espace européen, Kiev a reçu les 4 milliards d’euros promis par Bruxelles.
 
Seulement, 22 jours après l’adaptation de la loi n° 4033-IX, le 20 novembre 2024, la Verkhovna Rada adopte une nouvelle loi (n° 4074-IX) portant une nouvelle modification au code pénal et au code des procédures pénales s’appliquant à des infractions pénales de corruption.
Et dans cette nouvelle rédaction de la loi, la partie 2 de l’article 77 du code pénal disparait, tout simplement !
Ainsi, le code pénal de l’Ukraine revient dans son état « originel » et ne prévoit plus aucune possibilité de confiscation de bien des fonctionnaires condamnés dans les affaires de corruption, s’ils coopèrent avec l’instruction : Ils peuvent dormir tranquille et ne plus s’inquiéter pour le destin de leurs biens mal acquis qui ont été mis en danger durant seulement les 22 jours de l’existence de la loi adoptée fin octobre 2024 qui aura rapporté 4 milliards d’euros sans se fatiguer.
 
Manque de chance, le tour de passe-passe législatif dans la protection de la corruption par les « élus du peuple » siégeant au parlement ukrainien a été découvert.
Après que leur l’initiative lumineuse soit devenue connue du grand public, un véritable scandale à l’échelle national a éclaté (il est à noter que, côté Union européenne escroquée par Kiev à hauteur de 4 milliards d’euros de plus, Bruxelles n’a pas prononcé un seul mot sur le sujet, de même que vos médias : J’ai eu du mal à vérifier ces informations, je peux vous le dire).
Ainsi, bien que le peuple ukrainien soit aujourd’hui opprimé, persécuté et abaissé par le régime de son Président actuel au niveau d’un simple troupeau de bétail tremblant de peur sous la menace permanente de répression qui ressemble à celui imposé par Staline, la tentative des « représentants du peuple » à faire détourner la législation pour la préservation des biens pillés, volés et escroqués par les fonctionnaires-représentants du pouvoir a dépassé l’entendement et a donc fait soulever des voix même au sein des masses opprimées et habituées à se taire, afin de ne pas attirer les foudres de la répression : C’est comme ça que j’ai su.
 
Alors, le pouvoir installé à Kiev a dû reculer et abandonner son initiative qui faisait rêver la légion de fonctionnaires ukrainiens corrompus.
Et le député Serguei Ionouchas, le représentant du parti de « Zèle-en-ski », parti « Serviteurs du peuple » a commenté la tentative échouée en tant qu’une simple malheureuse erreur technico-juridique commise par ses auteurs et a promis de la corriger.
 
C’est bien que ce régime despotique et corrompu, ne disposant d’aucune vision, même théorique, sur ce qui est le fonctionnement d’un État avec la structure portante autre que celle de la corruption, est celui qui est directement instauré, orchestré et soutenu sous perfusion tout au long des années par les impôts des contribuables occidentaux qui le détient ainsi en tant qu’outil périssable de la lutte contre le renouveau de la puissance impérialiste de la Fédération de Russie « Poux-tinienne ».
Les tenants du pouvoir des capitales otaniennes font passer leur « créature » pour un cas exemplaire de la lutte pour des « valeurs démocratiques » via l’appareil de propagande médiatique auprès des masses laborieuses d’électeurs aveuglés et finalement profondément méprisées et transformées en un troupeau de moutons, dont l’unique rôle est de cautionner les budgets des engagements de leurs bergers nationaux et supranationaux.
 
Les présidents et les gouvernements successifs des États-Unis « trompiste » d’Amérique, du « Royaume-de-Carlos III », de la « Teutonnie », de la « Gauloisie-jupitérienne » et de quelques autres plus modestes satellites-outils du maitre outre-Atlantique, voilent la réalité et agissent finalement en complices d’association de malfaiteurs afin de pérenniser la génération des bénéfices financiers avec le minima de contrepartie.
Mais on ne doit surtout rien vous dévoiler. La guerre en cours doit continuer, quel que soit le prix à payer par l’Ukraine et son peuple.
Car le jour où la guerre s’arrêtera, le régime de « Zèle-en-ski » pourrait s’effondrer.
Brutalement…
 
Aussi, cette situation reste inextricable : Parce que les Ukrainiens n’ont pas réussi à extirper la corruption qui les gangrène, les promesses d’intégration dans l’UE reste vaines.
Du coup les « aides à la survie » militaires sont suspendue à la continuation de la guerre qui les épuise et épuise également l’économie des « Popovs » de « Poux-tine » (ce qui est la stratégie première de Washington de protection efficace de l’Europe sans avoir à tirer un seul coup de feu).
Jusqu’à son effondrement ?
Qui va intervenir : Car la corruption en Russie vaut bien celle de l’Ukraine.
Globalement, ce sont comme deux bandes mafieuses qui se disputent le même territoire, comme à Marseille chez les « narcotrafiquants » ces derniers mois…
 
Faire la paix dans ses conditions, c’est se leurrer.
Quant à faire la guerre, tant que ça ne coûte pas trop cher et que ça peut enrichir d’autres requins, les industriels « ricains » notamment, ça peut durer un long moment…
Aussi, en attendant le son du clairon, je reste très dubitatif… et ose à peine ne pas être pessimiste !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

mercredi 26 février 2025

Korruption en Ukraine, ce fléau (2/3)

La formule « ukrainienne » de la baisse de la corruption
 
Néanmoins, étant tout-à-fait soucieux de démontrer les bons résultats de la lutte contre la corruption, le pouvoir installé à Kiev a trouvé la solution qui ne peut être qualifiée autrement que « lumineuse » : Faire diminuer le nombre de poursuite en justice et de condamnation pour corruption.
La formule est très simple : Pas de condamnation = pas de corruption !
 
Si encore en 2021, ce sont 6.860 personnes qui ont été condamnées pour faits de corruption, en 2023, même ce chiffre déjà tout-à-fait dérisoire vis-à-vis de la réelle quantité de personnes directement impliquées dans la corruption en Ukraine est passé à 2.420 personnes !
Soit une baisse spectaculaire de 65 % de condamnation.
Par ailleurs, il est à noter que même en 2021, soit avant le début de la guerre, le chiffre mentionné de 6.860 condamnations n’a guère été lié à des résultats d’un réel travail de lutte contre la corruption, mais, principalement, à des constatations d’irrégularités au niveau des déclarations annuelles obligatoires fiscales et de propriété des fonctionnaires.
Tout comme récemment le patron des services psychiatriques de l’armée, signalé dans le billet d’hier, et ses voitures de luxe et appartements divers situés en « Teutonnie ».
Ainsi, les 75,9 % des condamnations ont eu lieu sur la base déclarative d’après la NAZK (l’Agence nationale de prévention de la corruption en Ukraine).
 
À la suite de l’abolition de l’obligation pour les fonctionnaires à réaliser les déclarations annuelles des bénéfices et de la propriété individuelle qui a eu lieu en février 2022 – en 2023, ce chiffre est passé de 75,9 % à 1,6 % du total des condamnations.
Ce qui n’est guère étonnant, vu que même les peu nombreuses déclarations soumises par les fonctionnaires dorénavant à titre volontaire ne faisaient plus l’objet d’aucune inspection par l’Agence nationale de prévention de la corruption en Ukraine, dont l’action est devenue, tout simplement, inexistante.
 
De toute façon, aujourd’hui, le niveau de la corruption en Ukraine est probablement nettement supérieur à celui de l’époque des six présidents précédents et de leurs gouvernements respectifs qui étaient déjà connus, à juste titre, pour la profondeur abyssale du niveau de leur corruption.
En connaissant un peu l’Ukraine, les observateurs rapportent qu’on peut même affirmer qu’avec les événements de 2014, dont l’une des raisons hautement affichées était le niveau inégalé de corruption du président renversé Viktor Ianoukovytch, l’Ukraine a basculé vers le régime du président Petro Porochenko qui est devenu très vite et sensiblement encore plus corrompu que celui de son prédécesseur.
Il suffit de consulter les réels avis de l’échantillon représentatif des entreprises et de la population du pays pour reconnaitre cette réalité sur la sensible aggravation de l’état de corruption omniprésente et incontournable au sein de chaque organisme et cellule de l’État sans aucune exception.
 
Après cinq années du règne du président P. Porochenko, l’arrivée de « Zèle-en-ski » au pouvoir a été en partie conditionnée par un niveau record dans l’histoire de l’Ukraine de la corruption du pouvoir sortant.
En votant pour « Zèle-en-ski », je vous rappelle que les trois-quarts des électeurs ont surtout voté non pas pour ce dernier, mais contre le président Porochenko, en considérant que la corruption qui s’est installée au pays entre 2014 et 2019 avait déjà atteint son apogée et que le changement de la gouvernance ne pouvait donc que la faire diminuer.
D’autant que c’était le thème de ce candidat, qui fait normalement « bouffon télévisuel » dans le civil, sans aucune réelle expérience du pouvoir politique.
 
Du coup, faute d’expérience du pouvoir, la désillusion a été rapide et brutale. Avec l’arrivée de ce nouveau régime, selon l’avis objectif des représentants des entreprises et de la société ukrainienne, une fois de plus, la situation au niveau de la corruption s’est aggravée davantage, les nouveaux visages du pouvoir se laissant déborder par leur amateurisme.
Cela étant, en mentionnant ces appréciations, il est à souligner qu’elles datent de la période de 2019 à 2022, soit avant l’entrée des « Popovs » en guerre.
Car dès le déclenchement de la phase active des hostilités en février 2022 et jusqu’à ce jour, selon de nombreux témoignages ukrainiens (mais là encore, il vaut mieux douter de tout), le niveau de la corruption dans le pays s’est approfondi, une fois de plus, en se transformant en une véritable frénésie qui agit comme un rouleau compresseur non seulement vis-à-vis de l’économie du pays en général, mais également vis-à-vis de la quasi-intégralité des citoyens à tous les niveaux de leur vie.
 
C’est devenu comme un réflexe de survie dans une économie exsangue ravagée par une guerre impitoyable menée par les « ruskofs »
Ainsi, il convient de signaler une enquête menée par la « Plate-forme sociologique ukrainienne », du 7 au 14 octobre 2023, parmi les citoyens de l’Ukraine âgés de plus de 18 ans, où près de 90 % des habitants de l’Ukraine disent avoir constaté une augmentation du niveau de corruption dans le pays après le début du conflit armé.
Les classements publiés par des OGN, tels que Transparency International ne sont pas que des sophismes ou des études approximatives qui ne représentent que le ressentiment général d’un échantillon non représentatif vis-à-vis de la corruption qui ne reflèteraient guère toute la profondeur du désastre de la réalité que la société ukrainienne est en train de vivre.
La corruption serait ancrée au niveau quasi-génétique.
 
L’activité politique en Ukraine, mais aussi pour tout autre slave, presque par essence, est de générer d’importants revenus financiers personnels. C’est une activité lucrative comme une autre, qui vaut celle de producteur de spectacles de téléréalité.
Or, les revenus qu’elle génère ne peuvent être atteints sans le recours à la corruption à grande échelle. Et ceci est, semble-t-il, absolument vrai à tous les niveaux hiérarchiques : En commençant par les petits élus municipaux dans les villages et en terminant par la présidence du pays, en passant par les nombreuses couches politico-administratives intermédiaires qui les séparent.
Ce serait dû à la culture slave car on retrouve la même chose en Russie où tout le monde est redevable de quelqu’un et ne survit que grâce à la corruption, petite ou grande.
Une mentalité mafieuse qui fait de « Poux-tine » et de ses oligarques des personnes richissimes à milliard…
Et c’est aussi le cas dans bien des pays d’Europe centrale alors que dans les pays de culture occidentale, « la pieuvre » est combattue, en Europe orientale elle est souvent entretenue.
Une question atavique : Si ça a toujours fonctionné comme ça, c’est comme ça que ça doit persister à fonctionner, il n’y a aucun vice dans la tradition.
Une culture où finit par germer du « national-populisme » pour survivre. 
 
Il est ainsi fort probable que l’intégralité des postes de décisionnaires dans les administrations d’État et dans la fonction politique ukrainienne sont occupés exclusivement soit par ceux qui les ont achetés, soit par ceux qui y ont été placés/« élus » par de puissants protecteurs qui placent leurs pions, afin d’atteindre les objectifs qui sont les leurs.
Les chances d’accéder au pouvoir en Ukraine par un autre moyen seraient, mathématiquement, proches de zéro absolu, paraît-il.
Un peu comme en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » quand on laisse faire « mes cousins » entre eux. C’est la raison pour laquelle l’État « Gauloisien-responsable » préempte les postes régaliens pour des « fonctionnaires » volontaires et au-dessus de tout soupçon de clanisme et que les « cousins-autonomistes » aimeraient bien « en croquer » un peu plus…
Il est ainsi fort probable que des postes dans les administrations et des places dans la fonction politique au niveau local, départemental, régional et national s’achètent, se monnayent et sont considérés en tant que véritable investissement financier.
Exactement comme en Russie, comme en Chine, avec leur « nomenclatura »… ou chez les empereurs sahéliens…
 
Si c’est un investissement, il doit générer des bénéfices concrets. Des bénéfices qui n’ont rien à voir avec les salaires officiels totalement dérisoires attachés aux postes en question.
Notamment, on rapporte que le prix d’un siège au Virhovna Rada (le parlement ukrainien) se monnaie de 1 à 5 millions de dollars « ricains » (pas le canadien, puisqu’il va disparaître et que le Hong-kongais ne vaut pas grand-chose : 0,12 €).
Et ce barème est identique pour tous les partis politiques confondus qui y siègent.
C’est-à-dire qu’en Ukraine, une personne qui n’a rien à voir avec la politique, mais disposant de fonds financiers considérables provenant, en général, de son activité d’affaires et/ou de la corruption sur les postes occupés précédemment, peut à tout moment devenir député « élu du people » d’une manière garantie au sein de n’importe quel parti politique tant au niveau régional qu’au niveau national.
Ce n’est qu’une question de prix.
Quand le peuple ne dit pas non.
Et il ne dit pas non si lui-même est corrompu : Je sais, ça fonctionne même de la sorte en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où les votes sont finalement achetés par l’intermédiaire des chefs de clan, les Sgio…
 
Aujourd’hui, la corruption en Ukraine en serait au stade d’une absolue frénésie qui s’explique directement par l’absence de vision sur l’avenir politique du pays, même à moyen terme, et donc sur la pérennité de l’investissement réalisé dans les sièges de responsabilité politique et de la haute fonction : Chacun faisant partie du « système » essaie de générer un maximum de bénéfices financiers avant la plongée dans l’inconnu que connaîtra leur carrière personnelle, due à l’effondrement politique, économique et sociétale du pays qui approche à grand pas et d’une manière imminente, quelle que soit l’issue de la guerre qui leur a été imposée de l’extérieur : Dans un cas comme dans l’autre, de toute façon, il faudra bien « rembourser », les dégâts ou les efforts financiers consentis et financer la reconstruction des destructions : Ce sera encore mille et une façon de faire fonctionner la machine à corruption au profit des uns ou des autres…
 
L’enquête mentionnée précédemment, menée en 2023 par la « Plate-forme sociologique ukrainienne » parmi les citoyens de l’Ukraine, révèle également que la majorité écrasante des Ukrainiens estime que les autorités anticorruptions elles-mêmes sont profondément corrompues et contribuent à l’augmentation de la corruption dans le pays !
Le système de corruption en Ukraine serait donc totalement inébranlable à chacun de ses niveaux, car constitué de réseaux hiérarchiques interdépendants, dont le partage de bénéfices financiers et la sécurisation mutuelle vis-à-vis des menaces externes est son élément constitutif.
Chaque « sinistre », « députacrouille », juge, haut fonctionnaire des administrations, de la police et de la SBU (service de la sécurité intérieure) fait partie d’un réseau d’une manière obligatoire.
De même que chacun des responsables se situant sur une échelle plus basse des structures sous leurs juridictions respectives.
Nulle place pour les « dissidents » qui puissent oser menacer le système d’autant que la guerre gronde aux frontières.
 
La majorité écrasante des cas de succès de la « lutte » anti-corruption rendus public, afin d’afficher la prétendue existence de cette dernière, sont probablement ceux, dont les figurants ont commis de graves fautes non pas vis-à-vis de la loi, mais vis-à-vis de la hiérarchie du système de corruption, notamment, en étant malhonnête dans les partages financiers des fruits de la corruption adressés à leurs supérieurs hiérarchiques.
Ainsi les « brebis galeuses » sont sévèrement punies et remplacées.
Rares sont les cas quand les faits de corruption sont découverts par des personnes ou organismes tierces au « système » qui sont rendus publics avant d’être étouffés.
Et même dans ces cas de « force majeure », les coupables ne sont que très rarement punis par la loi : Les affaires sont remises entre les mains de juges faisant partie du système de corruption et aboutissent souvent à une décision judiciaire de non-lieu ou à des condamnations tout à fait dérisoires.
Ainsi, les spécialistes locaux savent, par le type et la sévérité de la condamnation d’un fait de corruption reconnaitre très précisément l’appartenance de l’inculpé à l’une des deux catégories ci-dessus citées : Une « brebis galeuse » qui a commis une faute vis-à-vis de ses supérieurs ou une victime de « force majeure ».
 
Et hélas, nos médias (occidentaux), en parlant de la corruption en Ukraine ne font que déformer et transgresser la réalité. Un simple exemple parmi d’autres, parues dans la presse « Gauloisienne-tricolore » : « …Volodymyr Zelensky affiche en ce sens (vis-à-vis de la corruption) une tolérance zéro. Son nouveau ministre de la Défense, nommé en septembre (2023) après la chute dans le cadre d’un scandale de corruption de son prédécesseur, doit mener de front une lutte contre la corruption et une lutte contre l’agresseur russe.
Car lorsque la guerre s’achèvera, il faudra que l’Ukraine soit capable de gérer les flux d’argent pour la reconstruction, sans que ces aides soient détournées par ses élites ».
Alors que le travail d’u journaliste aurait dû se poser une seule question : Si le fait de la corruption du « sinistre de Défense » déchu (Oleksiy Rezniko) s’est avéré confirmé et largement connu par le grand public (le ministère de la Défense ukrainien a conclu des contrats pour un montant supérieur à 350 millions de dollars avec des fournisseurs de nourriture pour l’armée, en déboursant de deux à trois fois le prix pratiqué sur le marché, dont l’unique raison plausible d’une telle activité est la perception d’une rétrocommission), comment expliquer que cette personne n’a jamais été ni mise en examen par la justice ukrainienne, ni dérangée de quelque manière que cela soit ?
Au lieu de poursuites judiciaires et d’une peine de prison, ledit personnage a tranquillement pris sa retraite et mène ouvertement une vie de multimillionnaire, notamment à Londres et ceci après avoir perçu un salaire dérisoire de « sinistre » qui était d’environ 2.400 euros par mois, toutes primes incluses…
 
Ma « petite-sœur » en conclurait qu’il y a une quantité titanesque de travail d’éducation à fournir pour que ce peuple de slaves parvienne à nos standards, qui eux aussi restent perfectibles tellement nous sommes nous-mêmes gangrénés par quelques voyous (dont on juge actuellement quelques fameux…).
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)