Celle-là
me fait penser à la macagna
La « Macagna », c’est une spécialité de
« Corsica-Belle-Tchi-Tchi », un peu comme les
fromages-bombes-biologiques ou les liqueurs « allongées d’explosifs »
prohibés.
Il s’agit d’humour, naturellement.
« – Tu es au volant d’une voiture et tu roules à vitesse constante.
À ta droite, un ravin à perte de vue.
À ta gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la
même direction que toi (il est en train d’essayer de te doubler).
Devant toi, un cochon qui est plus gros que ta voiture.
Derrière toi, un hélicoptère qui te suit en rase motte.
Le cochon et l’hélicoptère vont à la même vitesse que toi.
Comment fais-tu pour t’arrêter ?
– Descends du Manège ! C’est plus de ton âge ! »
Dans l’originale bastiaise, c’était Dumè qui arrive tout
enturbanné de pansements, claudiquant et qui se fait moquer par ses
« collègues du bar des alcooliques anonymes ».
« – Eh, mi
Dumè : Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
– Ayo ! Tu ne
croiras pas Angelo. Hier, je suis tombé de cheval. Ce faisant, une voiture m’a
roulé dessus. Quand je me suis relevé, j’ai été renversé par un hélicoptère
pour finir cabossé par le camion des pompiers !
– Aho ? Tu nous
macagnes, là ?
– Tu ne me crois
pas ? Tu m’offenses, là Angelo. Demande donc au gardien du manège, là-bas
au bout de la place (San Nicolao) »
Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le bar
et demande au garçon une bière bien froide.
Le barman reste là à la regarder sans bouger.
« – Qu’est-ce qu’il y a ?
Vous n’avez jamais vu une femme nue ?
– Oh si, souvent !
– Et alors qu’est-ce que
vous regardez ?
– Je voudrais simplement
voir d’où vous allez sortir l’argent pour me payer ! »
Une mère à sa fille :
« – Les voisines disent que tu
couches avec ton fiancé !
– Les gens sont des
mauvaises langues. Il suffit de coucher avec quelqu’un pour qu’aussitôt on dise
que c’est ton fiancé ! »
Un Français, un Anglais et un Américain sont capturés par une tribu
d’indiens.
Le chef indien :
« J’ai une mauvaise nouvelle
pour vous autres : Nous allons vous tuer tous les trois et utiliser votre peau
pour se faire un canoë. Consolation, vous pouvez choisir comment vous voulez
mourir. »
L’américain dit : « Je choisis
le poison… »
Le chef lui donne. L’américain le boit d’un trait et tombe raide mort en
disant : « Vive l’Amérique ».
L’Anglais dit : « Le pistolet
pour moi… »
Il prend le pistolet, se tire dans la tête en disant « God Save the Queen ».
Le français dit : « Donnez-moi
une fourchette… »
Le chef indien est très intrigué, mais il lui donne une fourchette.
Et alors commence alors à se donner des coups de fourchette partout sur le
corps jusqu’à saigner abondamment.
Le chef :
« – Mais, qu’est-ce que vous
faites là ?
– Aaarggh… Ça…Aaargghhh…
Ça… C’est pour ton canoë, du con ! »
Jean-Marc entre dans un bar et se dirige
justement vers le bar, où il s’assit.
Le barmaid, voyant son air plutôt masculin, lui lance :
« C’est un bar gay, ici,
monsieur. »
Jean-Marc : « C’est pas grave,
je veux juste une bière ! »
Le Barmaid : « Si tu veux
rester ici, il faut que tu donnes un nom à ton pénis. Par exemple, lui là-bas,
avec la petite jupette, il s’appelle Maxwell House : « Bon jusqu’à la dernière
goutte ». Le gros en face, c’est Colonel Sanders : « Bon à s’en lécher les
doigts ». L’autre un peu plus loin, c’est Monsieur Juteux… Euh… Enfin… L’autre
juste à côte, qui lui tapote les fesses, c’est Nabob : « Celui qui a la graine
la plus recherchée en ville »…
Jean-Marc réfléchit quelques minutes, puis dit :
« Dans ces condition, Moi je
vais l’appeler Secret : « Assez fort pour un homme mais conçu pour une femme ». »
« – Germaine es-tu malade ? Je
te le demande car j’ai vu sortir un docteur de chez toi ce matin.
– Écoute, hier matin j’ai
vu sortir un militaire de chez toi et ce n’est pas pour autant que tu es en
guerre, pas vrai ? »
Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes.
En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit. Il
colle son oreille à la porte et entend sa sœur qui dit :
« Ho ! C’est bon. C’est Bon…! »
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il
demande au copain de sa sœur :
« – Dis Pierre, c’est quoi que
tu donnais à manger à Germaine pendant la nuit, elle disait que c’était bon ?
– C’était du chocolat.
– Menteur va ! Ce n’est
pas vrai, c’était du saucisson ! J’ai retrouvé la peau sous le lit… »
Jean-Marc et Germaine entrent dans un restaurant
et s’assoient près d’un autre couple.
L’homme de l’autre couple dit à sa femme :
« S’il te plaît, passe-moi le sucre,
sugar. »
Sa femme lui passe le sucre, heureuse de se faire appeler « sugar ».
Un peu plus tard, il lui dit :
« Passe-moi le miel, s’il te
plait, honey. »
La femme lui passe tout de suite le miel, ravie.
Alors Germaine dit à son Jean-Marc :
« – J’aimerais que tu m’appelles
par de jolis noms comme le fait le mari de cette femme.
– OK, passe-moi la crème,
épaisse. »
Exposé de Jean-Marc : « Prenez note Messieurs. Une mouche vient se poser
sur la croupe d’un taureau. Celui-ci lui balance un coup de queue… et la rate.
Quelques secondes plus
tard, l’effrontée se pose sur son dos, re-grand coup de queue, re-ratée !
La mouche vient alors se
poser sur son museau. Le taureau exaspéré lui donne un coup de langue qui
laisse la mouche raide morte.
Moralité : Ce que tu
n’arrives pas … à faire avec la queue finis-le avec la langue ! »
Deux amis d’enfance, l’un Écossais, l’autre Juif de New-York, fêtent leurs
retrouvailles un soir dans les pubs de Glasgow.
Après quelques bières, l’appel de la nature se fait sentir et nos compères
doivent visiter les toilettes.
L’Écossais vide sa vessie dans le premier urinoir venu, mais son copain a
besoin de faire la grosse commission… Au bout de quelques minutes, le Juif
s’écrie :
« – Nom de D… de B… de M… !
– Qu’est-ce qui se passe ? » demande l’Écossais.
« Eh bien, en me relevant, il y
a une pièce vingt pence qui est tombée de la poche de mon pantalon et qui s’est
retrouvée dans la cuvette ! »
L’Écossais rejoint alors son pote dans la cabine et regarde le fond de la
cuvette d’un air préoccupé.
Les deux gars secouent la tête de tristesse, révoltés contre tant
d’injustice.
Puis, l’Écossais fouille le fond sa poche et il laisse tomber une pièce de
deux pounds dans les toilettes.
« Eh, mais t’es cave, toi !
Pourquoi t’as fait ça ? » demande le Juif.
« Oh, je n’allais quand même
pas plonger ma main dans ta merde pour 20 pence ! »
Un couple de malades mentaux se promène, main dans la main, au bord de
l’eau.
Soudain, la jeune malade glisse et tombe dans l’eau profonde jusqu’à disparaître.
Le jeune fou qui l’accompagnait, a le réflexe d’enlever sa veste puis ses
souliers et fait un plongeon digne d’un champion.
Il réussit non sans peine à sauver sa partenaire d’une mort certaine.
Le directeur de l’hôpital psychiatrique, très admiratif de cette réaction
et du courage du jeune malade, décide de le féliciter en réunissant l’ensemble
du personnel.
« Le geste, la réaction lors de
l’incident que vous avez vécu, est un acte de bravoure. Je voudrai vous
informer de deux choses : Je commence par la première celle de vous annoncer
que vous n’êtes plus considéré comme malade et que vous êtes libre de regagner
vos parents à partir de cet instant à condition de prendre régulièrement vos
médicaments. »
(Applaudissements).
« La seconde est une triste
nouvelle. Après ce que vous avez vécu, le jour de l’accident, nous avons rendu
visite à la demoiselle que vous avez sauvée. Nous avons été dans sa chambre et,
malheureusement, elle s’était pendue…elle s’est suicidée. »
À ces mots, le malade interrompt le directeur pour lui dire :
« Mais non Monsieur le
Directeur, elle ne s’est pas suicidée. C’est moi qui l’avait accrochée pour
mieux la sécher ! »
Et on finit avec une « revenue » qui s’est superbement enrichie
à l’occasion de son tour du monde.
On se souviendra avec émotion que quand elle a été lancée dans notre rubrique (il y a
plus de 10 ans de ça par « VCRM » (mon Vénérable Correspondant des
Rives de Méditerranée) elle s’arrêtait au « capitalisme » :
Définitions politiques :
Le SOCIALISME : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en
occuper et vous vous partagez le lait.
Le COMMUNISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux
et vous fournit en lait.
Le FASCISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux
et vous vend le lait.
Le NAZISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache
blonde et abat la brune.
La DICTATURE : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et
vous fusillent.
Le FEODALISME : Vous avez deux vaches. Le seigneur s’arroge la moitié du
lait.
La DEMOCRATIE : Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le
lait.
La DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez deux vaches. Une élection désigne
celui qui décidera à qui appartient le lait.
La DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez deux vaches. Vous écopez d’une
amende pour détention de bétail en appartement.
L’ANARCHIE : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en
autogestion.
Le CAPITALISME : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous
achetez un taureau pour faire des petits.
Le CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez deux vaches. Vous en vendez Trois
par votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes
par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un « échange de
dettes contre participation », assorti d’une offre publique, et vous récupérez
quatre vaches dans l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour
entretien de cinq vaches. Les droits sur le lait de six vaches sont alors
transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles
Caïman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société
cotée les droits sur le lait de sept vaches. Au rapport de ladite société
figurent huit ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre
temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable.
Le CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l’une,
vous forcez l’autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement
l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’avoir laissé la vache mourir
d’épuisement.
La BUREAUCRATIE : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles
d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer
la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre, il vous achète le lait
et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la
vache manquante.
L’ÉCOLOGIE : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement
vous achète la bouse.
Le FEMINISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une
amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que
vous trayez aussi.
Le SURREALISME : Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous
leur donniez des leçons d’harmonica.
Le CAPITALISME EUROPEEN : Vous avez deux vaches. On vous subventionne la
première année pour acheter une 3ème vache. On fixe des quotas la
deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une
prime la 3ème année pour abattre la 3ème vache.
La MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous avez deux vaches. Vous
tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient
folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos
deux moutons.
Le CAPITALISME A LA FRANCAISE : Vous avez deux vaches. Pour financer la
retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt :
La CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes).
Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel
britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un
nouvel impôt sur la production du lait : Le RAB (Remboursement de l’Ardoise
Bovine).
Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les français sont
dans la rue: « DU LAIT, ON VEUT DU LAIT ».
La France construit un laitoduc sous la manche pour s’approvisionner
auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la
consommation. Le laitoduc ne servira jamais. On lève un nouvel impôt pour
l’entretien du laitoduc.
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
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