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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 15 juillet 2018

Les attentats de juillet 2016

Chapitre cinquième

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

La tuerie se sera déroulée sur une distance de 1,7 km, entre les numéros 11 et 147 de la promenade des anglais, provoquant la mort de 86 personnes et suscitant un important mouvement de panique. Certains des blessés le sont en ayant sauté sur la plage de galets plusieurs mètres en contrebas.
Immédiatement après, le dispositif « Orsec » et le « plan blanc » sont rapidement déclenchés alors que le plan « Vigipirate » est rehaussé en « alerte-attentats » dans les Alpes-Maritimes.
Le High Club, une discothèque sur la promenade des Anglais et l'hôtel Negresco, sont transformés en hôpital de campagne, assurant le triage médical, et le palais de la Méditerranée en PC de sécurité.
Une cellule psychologique est mise en place au centre universitaire méditerranéen.
Sur place, quelques individus pillent des cadavres de victimes pour voler leurs effets personnels, téléphones portables, poupée de petite fille…

Le camion loué par le terroriste a pu circuler et rester garé près de la promenade des Anglais, alors que la circulation était en théorie interdite un jour férié dans le centre-ville. Un ancien patron du GIGN, estime que les forces de l’ordre ont été confrontées à un « mode opératoire extrêmement difficile à contrer qui correspond aux consignes de l’État islamique ».
Or, ce mode opératoire utilisant un véhicule-bélier a déjà été utilisé par le passé, en France et dans plusieurs autres pays, avec des mobiles et des circonstances divers.
Il présente aussi des similitudes avec ce message de propagande, diffusé en 2010 par une branche d’Al-Qaïda : « Utilisez un camion comme une tondeuse à gazon. Allez dans les endroits les plus densément peuplés et prenez le maximum de vitesse pour faire le plus de dégâts. Si vous avez accès à une arme à feu, utilisez-la pour finir le travail ».
Une telle utilisation de véhicules par des djihadistes a ainsi lieu en mai 2013 près de Londres lors du meurtre de Lee Rigby et en octobre 2014 lors de l’attentat de Saint-Jean-sur-Richelieu au Québec.
Et on constate que l’application système d’alerte et d’information des populations (SAIP) du gouvernement français signale cet attentat à 1 h 34 le 15 juillet, tandis que les réseaux sociaux, dont la fonctionnalité contrôle d’absence de danger Facebook, sont plus réactifs.
Pour un « coup de maître » du logiciel « BBR », c’est un coup de maître.
D’autant que l’alerte « orange » persiste en Normandie.

Absolument abasourdi par l’attentat de Nice alors qu’il assistait à celui de la tour Eiffel avec Caroline depuis les balcons de l’école militaire – petit privilège des « étoilés » – le lendemain il n’hésite pas à se rappeler à la mémoire des « ronds-de-cuir » avec directement une alerte « rouge » sur la capitale normande.
Adel Kermiche, sous contrôle judiciaire, muni d'un bracelet électronique – facilement repérable par le logiciel « BBR » – et Abdel Malik Nabil-Petitjean, assassinent en l’égorgeant et le poignardant le père Jacques Hamel, un prêtre de l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen, et blessent grièvement un paroissien de 86 ans. Les assaillants retiennent ensuite trois autres fidèles en otage avant d'être abattus par les forces de l’ordre.
L’acte est revendiqué le jour même par l’organisation terroriste État islamique.

Ce jour-là, la messe débute à 9 h. L’office comprend cinq fidèles, les Coponet, un couple de paroissiens octogénaires, habitués des offices et trois religieuses des Sœurs de Saint Vincent de Paul : Hélène Decaux (83 ans), Danièle Delafosse (72 ans) et Huguette Péron (79 ans). Danièle est la supérieure, elle vit à Saint-Étienne-du-Rouvray depuis quatre ans. Ses consœurs Hélène et Huguette sont arrivées depuis huit mois, elles rendent visites aux personnes âgées et animent une école d’aide aux devoirs dans le quartier.
Au début de la prière eucharistique, un jeune homme en polo bleu ciel entre prudemment par la porte donnant sur la sacristie. Huguette, qui est la plus proche, va à sa rencontre. Le jeune homme, Adel Kermiche, lui demande des renseignements sur l’église, notamment les heures d’ouverture. Le prenant pour un étudiant, elle lui demande de revenir à la fin de la messe.

Vers 9 h 30, la messe est terminée quand les deux djihadistes pénètrent bruyamment dans l’église en tenue de combat par la porte donnant sur la sacristie, avec chacun un pistolet factice, une fausse ceinture d’explosifs pour l’un, une fausse grenade dans un sac à dos pour l’autre, mais aussi des armes blanches bien réelles.
Sœur Huguette reconnaît le jeune homme de tout à l’heure. Ils sont habillés tout en noir. Abdel Malik, l’autre djihadiste, porte une barbe fournie et un calot noir. Les deux hommes scandent à plusieurs reprises « Allahu akbar » et d’autres termes en arabe puis, en français, désignent les chrétiens comme les ennemis des musulmans et ordonnent aux paroissiens de se serrer les uns contre les autres. Ils renversent tout ce qui est posé sur l’autel et y vident leurs sacs. L’un se précipite sur le prêtre Jacques Hamel, tandis que l’autre met un smartphone dans les mains de Guy Coponet, qui fête ses 87 ans ce jour-là, et le contraint à filmer la scène.

Le père Jacques Hamel, d’une voix énervée, s’adresse aux deux terroristes : « Mais que faites-vous ? Calmez-vous ! ». L’un d’eux le prend par les mains et essaye de l’agenouiller. Le prêtre résiste, tombe à la renverse et repousse son agresseur à coups de pied en lui criant « Satan, va-t’en ! Va-t’en Satan ! ».
Il reçoit un premier coup de couteau, puis un deuxième, mortel, à la gorge. C’est à ce moment-là que sœur Danièle prend la fuite par une porte latérale et fait prévenir la police par un automobiliste qui passe.
Des minutes passent et les djihadistes, qui visiblement attendent les forces de l’ordre, s’impatientent et, entre deux cris et chants, vandalisent les objets de culte. Puis ils attaquent Guy Coponet, qui ne s’était pas arrêté de filmer. Le paroissien est poignardé au bras, dans le dos et à la gorge sous les yeux de son épouse Janine, âgée également de 87 ans. Pendant 45 minutes, il simule la mort, une main pressant son cou pour retenir son sang.

Les terroristes se montrent prévenants à l’égard des femmes, leur annoncent qu’elles sont leurs otages et devisent avec elles au sujet de la religion. La conversation s’engage avec sœur Hélène, au sujet de la vie après la mort, de la divinité de Jésus et du Coran. La religieuse, qui a lu le livre sacré des musulmans, insiste sur les passages sur la paix dans l’ouvrage, ce qui fait réagir un des jeunes : « La paix ? Nous aussi on veut la paix ! Quand vous serez à la télévision, vous direz aux autorités : tant qu’il y aura les bombardements en Syrie, il y aura les attentats en France. Tous les jours. ».
Janine Coponet est autorisée à s’asseoir et sœur Hélène se fait apporter sa canne. Entendant le bruit au-dehors, signe de l’arrivée de la police, un des djihadistes adresse même un sourire à sœur Huguette, qu’elle ne lui rend pas.

La brigade de recherche et d’intervention (BRI) de Rouen de la police, arrive sur place et cerne l’église. Toutefois, elle n’est pas en mesure d’intervenir par la porte arrière car les otages sont placés devant elle, « mis en rideau » selon les propos du procureur antiterroriste de Paris. À l’intérieur, les djihadistes entonnent des chants en arabe puis entraînent Janine et Hélène vers la sortie, laissant Huguette à l’intérieur. Janine est la première à être poussée dehors, puis sœur Hélène suit. Les deux hommes les suivent immédiatement en criant « Allahu akbar ».
La police les abat.
Les otages sont installées dans l’épicerie la plus proche. Le prêtre auxiliaire de la paroisse depuis une vingtaine d'années, et qui assurait les permanences durant le mois de juillet, est mort égorgé.
Le paroissien Guy Coponet est grièvement blessé, mais survivra.
Le 9 août 2016, un troisième homme est interpellé à Toulouse car les enquêteurs ont déterminé qu’il avait effectué un aller-retour entre Toulouse et Saint-Étienne du Rouvray et été en contact téléphonique avec les deux assassins du père Hamel quelques jours avant que celui-ci ne soit égorgé.
Formidable les archives « BBR » de la CISA !

Et il ne s’arrêtera qu’un peu plus tard, après des alertes « orange » dans le sud de l’Allemagne : une semaine après l’attentat de Nice, l’Allemagne constatera avec effroi ne plus être épargnée par les actes de violence. Pire, l’Allemagne a été attaquée à deux reprises en moins d’une semaine : un jeune Afghan de 17 ans a en effet attaqué à la hache des passagers dans un train régional, en Bavière. Il avait revendiqué son geste sur une vidéo diffusée ensuite par l’organisation terroriste État islamique.
Une attaque qui fait suite à une nuit d’épouvante à Munich : la capitale bavaroise, habituellement calme et posée, a été placée en quasi-état de siège durant plusieurs heures, le temps d’une véritable chasse à l’homme. Finalement, les autorités ont annoncé dans la nuit, vers 2 heures, la fin des opérations et la mort du tireur. Son corps a été retrouvé à un kilomètre du centre commercial Olympia où, vers 17 h 50, il avait lancé sa fusillade meurtrière.
Durant toute la soirée, la police de Munich avait pourtant évoqué sur Twitter et Facebook la présence de trois tireurs. Et même la grande probabilité que la fusillade soit un acte terroriste. En fait, le jeune homme de nationalité germano-iranienne retrouvé mort d’une balle dans la tête aurait agi seul, sans motivation politique ou religieuse.

Lors de la conférence de presse donnée en fin de matinée, le chef de la police de Munich a rejeté toute « erreur » dans cette communication.
Douze heures après la fin de la chasse à l’homme qui a embrasé Munich, les enquêteurs confirmeront que le tireur était un forcené, un jeune homme de 18 ans souffrant d’une « sorte de dépression ».
Né et scolarisé dans la capitale bavaroise, il s’intéressait de près aux actions violentes suicidaires, comme le prouvent divers documents retrouvés dans sa chambre, fouillée dans la nuit chez ses parents. Un livre intitulé « Pourquoi les jeunes tuent » ainsi que des articles sur la police en font partie. En revanche, aucun élément ne relie le tueur à l’organisation terroriste État islamique ni à l’attaque à la hache menée lundi soir dans un train régional en Bavière, hors les alertes de la CISA qui traçait leurs « signaux-faibles » suspects.
Mais les français sont devenus paranoïaques et le logiciel « BBR » n’a pas du tout les mêmes performances en Bavière, propos tenus par le responsable des opérations de la CISA lui-même.
Le tireur se serait donné la mort d’une balle dans la tête. Au total, il a tué neuf personnes, en majorité des jeunes entre 14 et 20 ans. Sur les 27 blessés, dix se trouvent dans un état grave.

C’était de toute façon la dernière fois que le logiciel « BBR » fonctionnait au profit de la lutte antiterroriste, en France, en Europe et ailleurs : Pamentir venait de l’acquérir en totalité, code-sources et datas, hors une concession pour la CISA et ses activités propres, à charge pour celle-ci de poursuivre le développement du logiciel et de la base de données.
Prix, un milliard d’euros, net d’impôt et de charges sociales supportés par l’acquéreur dont le cédant a été exempté par autorisation ministérielle, soit l’équivalent de 1,180.4 milliard US$, 1,25 milliards avec les « commissions », indemnisations, retenues fiscales – le coût du rescrit article L.80 B du Livre des procédures fiscales – et quelques frais accessoires.
Le ministre qui avait retardé sa démission, officiellement pour cause d’attentat de Nice, aura pu être remplacé par « Mick-Scapin », un fidèle du président Landau et voler de ses propres ailes vers sa destinée.
Tous se frottent les mains : le ministère de l’intérieur pourra peut-être s’appuyer sur ce logiciel qui semble être si précieux, une demande « impérieuse » en attente « d’évaluation ».
Les minoritaires de la CISA espèrent encore toucher la « prime du siècle » au titre de leur plus-value … nette !
Mais en fait, Anjo ne distribue aucun dividende, seulement un petit acompte pour « services rendus » – qui est déjà rondelet – et fait fructifier le pactole sur les marchés dès le début août, en attendant le retour du patron de la fondation patrimoniale « Charlotte & Cie », sur le compte luxembourgeois duquel la somme a été virée « pour gestion », une de ses exigences.
On attendra les assemblées générales à suivre pour décider du sort de tout cela.
L’année prochaine…
Et les salariés, tous les salariés de toutes les équipes de Paul, toucheront une prime exceptionnelle de deux mois de salaires pour leurs vacances, quand ils en prennent, ravis.

« L’affaire » aura en fait été compliquée à finaliser. Il faut comprendre.
On a au début un ministre-candidat qui a déjà une « parole engagée » à l’égard au Président Landau, une loyauté à assumer, pour avoir été son secrétaire général adjoint depuis des années.
Il aura été présenté au président « Jean-Pierre-Joyeux », alors secrétaire-général de la présidence de la République, le 16 avril 2014. « Joyeux » est un haut fonctionnaire qui a été Secrétaire d’État aux Affaires européennes du gouvernement entre 2007 et 2008 sous Rakchi et président de l’Autorité des marchés financiers de 2008 à 2012 sous Krasosky. Il occupe ensuite les fonctions de Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations et de Président de la Banque Publique d’Investissement (BPI) entre 2012 et 2014 sous Landau qui y trouve un parachute provisoire pour la mère de ses propres gamins.
Des postes-clés où l’on peut scruter dans le détail l’usage des fonds de la République, mais elle est assez cruche pour n’y rien comprendre.

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