C’était
prévisible
Et vous avez été prévenus sur tous les tons. Un univers sans frontière,
l’Europe l’avait rêvé, au moins au sein de « l’espace Schengen » (qui
s’étend jusqu’en Islande). Et puis il y a eu la « crise migratoire ».
Là, on voit très clairement le « travail » de deux antagonismes
« primaires & viscéraux » s’affronter depuis presqu’une décennie.
Depuis la jungle de Calais à l’affaire de l’Aquarius et consorts.
Qui conduit la « Teutonnie-de-Mère-Quelle » à vaciller après son
généreux accueil d’un million de migrants (et les heurts et viols qui en ont
été la conséquence à Cologne et ailleurs), la poussée historique des
« populistes » de l’Europe du sud, du centre et de l’est (et un
marchepied inattendu en « Gauloisie-jupitérienne »).
Et le tout couronné par le « Brexit » dont personne ne sait
comment en sortir « par le haut » sans plomber le pays.
Un « vaste » complot ?
Pas si sûr et certain : Plutôt un immense cafouillage.
Certes, tout part de la guerre en Syrie.
Je ne sais pas ce qui leur a pris à vouloir transformer ce pays en champ
de bataille perpétuel, gazant ici, bombardant là (peu importe qui, peu importe
pour quelle raison « politique »), tiraillant contre les nombreuses
minorités du pays aux intérêts divergeant, allant jusqu’à armer et soutenir des
terroristes salafistes.
Ce n’est pourtant pas un pays « majeur » (hors son port en
eau-profonde ouvert à la flotte russe de la mer noire qui ne devrait plus
exister si « Poux-Tine » n’avait pas annexé la Crimée), même plus
« en guerre » avec ses voisins immédiat (l’Irak, la Turquie, le Liban,
la Jordanie).
Mais une chose est certaine, les combats ont vidé les villes syriennes
dont les populations se sont retrouvées sur les routes jusqu’en Turquie et en
Jordanie.
Et dans ce flot, des terroristes en herbe devant porter le fer jusque dans
les capitales européennes.
Tout le monde sait cela.
« Mère-Quelle » a payé les turcs pour arrêter sur les plages le
flux poussé vers la mer : Une bonne affaire pour « Air-Do-Gan » :
Garder de la graine de terroriste dans « ses camps de transit », ça
lui permet l’état-d’urgence, de coffrer tous ses opposants, d’aller taquiner
les kurdes syriens et même de faire abattre un chasseur russe avant de faire « copain-coquin »
avec « Poux-Tine »…
Il n’empêche, les îles grecques de la mer Égée – pour partie revendiquées
par le pouvoir turc – ont été submergées en pleine crise politique (l’arrivée d’un
« populiste de gôche » au pouvoir) et monétaire (la crise de la dette
de 2015) et vous l’ignorez, mais les réfugiés sont toujours sur place.
Les Balkans également, au moins jusqu’à la fermeture des frontières
hongroises, slovaques et autrichiennes.
Ce fut au tour de la « Ritalie » d’être « sous
pression », après un temps – plus lointain – des Ibères.
Et aucune prise en charge, hors dans le Moyen-Orient, des instances
internationales comme le Haut-Commissariat aux réfugiés sous l’égide de l’ONU.
Non, c’est une énième « invasion » venue d’Afrique
Sub-saharienne qui est gérée par des ONG.
Elles sont plusieurs à armer des navires qui patrouillent le long des
côtes libyennes et récupèrent des embarcations de fortune.
C’est magnifique de compassion humaine…
Mais vous pourriez vous demander qui arme navires et équipages pour une
telle œuvre de bienfaisance élémentaire. C’est que ça coûte un pognon
monstrueux…
Et tout d'abord, vous interroger sur la question du droit maritime
international dont on a dit un peu vite que la « Ritalie » l’avait
foulé aux pieds.
Précisons tout de suite que les spécialistes les plus pointus dans ce domaine
mouvant, estiment que l’Aquarius n’était pas dans une situation de détresse qui
commandait juridiquement son entrée au port.
Vous pourriez également vous étonner du manque de précisions sur l’origine
des passagers du bateau. Un esprit chagrin pourrait être porté à penser que,
précisément, cette absence de précision par ceux qui les transportent
signifierait qu’il s'agissait de migrants économiques et non de réfugiés de
guerre éligibles au droit d’asile, au moins dans sa conception extensive
actuelle.
Vous commenceriez par vous interroger légitimement sur le propriétaire de
l’Aquarius.
On a avancé que c’était George Soros, spéculateur international autant que
philanthrope internationaliste, qui se cachait, via sa fondation Open Society,
derrière « SOS Méditerranée » qui est l’affréteur de l’Aquarius.
Le site Checknews de « Libé » (ce torchon) a passé au crible ces
déclarations. L’Open Society est effectivement et indirectement en lien avec
les affréteurs. Cela autorise amplement à se poser la question des
arrière-pensées d’une fondation qui milite (et c’est son droit) pour l’immigration
sans limites et pour la fin des frontières.
Mais ces arrière-pensées métapolitiques sont très loin du discours
officiel de l’association « SOS Méditerranée » qui déclare ne penser
qu’au sauvetage des migrants.
Dès lors, pour quelle raison, si seul le sauvetage dans l’urgence des
migrants venus de la Libye incertaine leur importe, les gens de l’Aquarius ne
les ont-ils pas acheminés vers les côtes assurées algériennes et tunisiennes, nettement
plus proches que la « Ritalie » ou Malte ?
Un peu embarrassée, leur représentante, a déclaré que le droit de ces pays
était plus impérieux que le droit européen. Voilà qui en dit long pour ne pas
dire tout : C’est parce que l’Europe est plus laxiste qu’on dédouane sans
question des pays intransigeants mais pourtant plus proches des migrants, ne
serait-ce que par la géographie et la religion.
Dans la profondeur de ce déni se nicherait en réalité l’anti-occidentalisme
culpabilisateur le plus sournois : Seule l’Europe devrait être comptable
du sort des migrants, dès lors que c’est elle qui est coupable !
C’est d’ailleurs ainsi, par exemple, que l’ONU le lui a fait souvent grief
sans un mot pour l’Arabie Saoudite ou le Qatar, richissimes et déserts, qui
expliquent ingénument la fermeture de leurs frontières, y compris à des frères
en culture, en langue et en religion, au nom d’une exigence de sécurité qui ne
se pose évidemment pas pour les peuples d’Europe…
Personnellement, j’adore : Deux poids, deux mesures selon des
critères d’un arbitraire absolument assourdissant !
Et puis il y a les questions saugrenues d’intendance. C’est ainsi que les
responsables de l’Aquarius expliquaient avec insistance que les passagers
étaient en surnombre et que la faim les menaçait. Mais alors, pourquoi, dans ce
cas hautement prévisible, accepter la présence à bord d’une journaliste d’Euronews
et ne pas limiter strictement les passagers au personnel indispensable de bord
aux fins de réserver une place supplémentaire à un naufragé ?
Et puis que penser de ce slogan qui attendait les migrants de l’Aquarius à
leur arrivée à bon port espagnol : « Bienvenus
chez VOUS » ?
Hein… un peu surpris les migrants qui fuient leur « chez eux »
pour finalement s’y retrouver, mais ailleurs…
Belle promesse, même si la première chose qu’ils envisagent, c’est de ne
surtout pas rester, mais de franchir les Pyrénées…
Enfin et surtout, dès lors que le sauveteur autoproclamé est avant tout un
idéologue mondialiste, une question doit vous hanter sur les rapports entretenus
avec des passeurs qui n’hésitent pas à saborder les embarcations pour placer
les autorités européennes devant le forfait accompli.
En réalité, on peut se poser toutes les questions du monde, on ne trouvera
la réponse la plus satisfaisante à une seule des questions douloureuses,
désormais existentielle, que lorsqu’on se débarrassera des deux obstacles qui
empêchent toute appréhension rationnelle.
Le premier obstacle est d’ordre juridique autant que politique. Tant que
les déboutés du droit d’asile ne seront pas reconduits hors des frontières
européennes, il n’y a aucune chance et même aucune raison que les peuples d’Europe,
soucieux de la sécurité et du bien-être de leurs enfants comme de l’identité de
leur pays, culture et tradition, acceptent la situation actuelle.
D’ailleurs ils votent soudainement et massivement « populiste »…
Et au-delà de la question de l’asile, il est normal que le fait que des
centaines de milliers de sans-papiers se maintiennent illégalement autant qu’ouvertement
inspire aux citoyens chaque jour plus exaspérés un sentiment de révolte
légitime. Ainsi, c'est le « bafouement » flagrant des lois
républicaines sur la régulation des flux migratoires est le premier ennemi du
réfugié éligible au droit d’asile et mérite notre protection.
Quand pour survivre il crèche dans des villes de tentes le long des berges
d’un canal, voire devient dealer aux portes de la capitale pour les jeunes
« Bobos-écololos »… voilà bien un sort bien écœurant.
D’ailleurs que penser de ce slogan qui attendait les migrants de l’Aquarius
à leur arrivée à bon port espagnol : « Bienvenus chez VOUS »?
Bienvenus chez NOUS aurait été tout de même plus approprié…
Et que dire de cette odyssée qui passe dans le détroit de Bonifaciu (en
« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») en pleine tempête sans répondre à
l’invitation du « cousin-Natio » se disant prêt à les accueillir
tous !
Il y en a déjà en pagaille, jusque dans les villages de montagnes (ce qui
permet de laisser ouvertes les classes d’école, les postes et télécom, les
lignes d’autocar, les « petits-commerces », etc.)…
Tradition Corsa oblige…
Les réfugiés éligibles au droit d’asile, n’ont-ils pas vocation, un jour,
de rentrer chez eux ? Derrière cette question, on sent qu’il n’y a plus en
Europe de « chez nous » pour personne sinon le monde entier, dans la tête des
idéologues sans frontières, et que le mot « hôte » justifie plus que jamais son
double sens absurde.
Le second obstacle découle du premier. Mais il est d’ordre psychologique
et même de la morale collective élémentaire. Ainsi, il existe en Europe des
gens, peu nombreux mais puissants médiatiquement et socialement qui refusent
sans le dire ouvertement le respect des lois migratoires précisément dans le
même cadre métapolitique que l’Open Society mondialiste de George Soros et de
bien d'autres ONG.
Il leur arrive parfois de l’avouer par mégarde puis de le regretter :
C’est ainsi que la future tête de liste du Parti Communiste aux élections
européennes et surtout adjoint au logement de « Sœur-Âne » la
encore « parigote » (elle-même fille de migrants andalous), qu’il
ne saurait être question de reconduire les personnes déboutées de leur
revendication au droit d’asile.
Aïe !
Et le droit, alors ? La puissance de la loi qui nous oblige
tous ?
Dès lors, que penser de la politique de la mairie de Paris qui, le lundi
matin, jouait à guichets ouverts l’accueil bruyant et entraînant de tous les
migrants et, le mardi soir, se lamentant de l’indignité de leur situation et
incrimine la carence d’État ?
C’est dans ce cadre, rien moins que sincère et rationnel, que les ennemis
déclarés de l’Europe des frontières continuent d’user finalement de leur arme
favorite : L’antinazisme fantasmé.
C’est curieusement ainsi que populaire (à Cannes et dans les médias), « Cédre-hic-Air-Ou »
a pu twister cette obscénité : « Quand
Éric Ciotti dit en 2018 « mettons les migrants en Libye » il dirait en 1940
mettons-les dans des chambres à gaz ».
Je ne suis pas bien sûr que Soros ait apprécié pour être juif Hongrois,
qui a 13 ans quand les nazis envahissent la Hongrie en mars 1944, échappe à la
déportation grâce à la protection d’un employé de ministère qui le fait passer
pour son filleul. Et il vit en Hongrie jusqu’en 1946, date à laquelle il fuit
l’occupation soviétique en se rendant à un congrès d’espéranto.
Rappelez-vous, son père n’est autre que l’écrivain espérantophone Tivadar
Soros (alias Teodoro Ŝvarc) dont l’œuvre « Maskerado ĉirkaŭ la morto »
écrite originellement en espéranto (Masqué à propos de la mort), qui relate ses
expériences pendant l’occupation nazie à Budapest a été traduite dans plusieurs
langues (anglais, russe, allemand, hongrois et turc, mais pas que je sache en
« francilien-natif »).
Il devrait se rendre compte que les frontières largement ouvertes, ce sont
les chars de l’armée-rouge à Brest le surlendemain.
Bon d’accord, je débloque totalement : L’armée rouge n’existe plus !
Il n’empêche, les « portes ouvertes », les peuples ne marchent
plus du tout. De la « Ritalie » jusqu’en « Österreich » en
passant par la « Teutonnie », et même jusqu’en Israël (qui monte
des murs et tire à travers les barbelés) : La semaine dépassée, le chancelier
autrichien Sébastien Kurz, le prochain président du Conseil de l’Union
européenne, pourtant allié à la droite dure, s’est rendu en Israël. Accompagné
d’un ministre israélien, il s'est rendu au mémorial de Yad va Shem pour s’incliner
devant les victimes de la Shoah.
Un lieu impressionnant que l’on fait visiter à travers « l’Allée des
justes » (à chaque arbre planté, « un juste », autrement dit un
goy comme moâ qui aura sauvé la vie d’un feuj). Il venait de décider d’expulser
des imams islamistes radicaux inféodés à « Air-Do-Gan », le turc
triomphalement réélu avec un taux de participation record dépassant les 95
% !
Il va être très difficile, malgré tous les efforts déployés, de le faire
passer pour un nazi-antisémite, quand bien même il se montrera attaché au sort
de ses compatriotes germaniques.
D’ici à ce que bientôt les « populistes » passent pour moins
kons et même plus généreux que les fausses élites aux cœurs artificiels, il n’y
a pas loin.
Ceci dit, ça ne répond pas à ma préoccupation première du moment.
Si les « mondialistes », militants pour l’abolition des
frontières, en arrivent à « foutre un bordel » tel que l’Europe de
Schengen vacille (et on ne cause même pas du reste), sont-ils si
« brillants » que ça ?
Absolument si l’on songe que Soros a quand même fait péter la Banque
d’Angleterre dans un autre millénaire (et du temps du Serpent-monétaire) :
L’euro, c’est trop gros pour faire « un coup spéculatif » à ruiner la
BCE.
Il lui faut un retour aux monnaies nationales pour encaisser les
dividendes de ses dons à ses « ONG ».
Là, ce serait plus logique.
Et manifestement, il n’est pas le seul à s’en occuper.
Même de ce côté-ci de la Manche (je veux dire à London), la City n’a
jamais cru en l’Euro (la mort de leur « petit-commerce » sur les
devises) et a toujours tout fait pour faire exploser la monnaie unique (perdant
parfois beaucoup d’argent).
Désormais, ils ne sont plus les seuls : Les USA de
« Trompe » s’engagent dans une surenchère commerciale ; du coup
Pékin vend ses obligations américaines et dévalue sa monnaie pour contourner
les effets des taxes à l’importation ; du coup le Yen redevient une
« valeur refuge » alors que l’or, plus personne n’y songe (d’autant
que les plus gros stocks sont globalement entre les mains des Russes, des
Chinois et des « Teutons » [encore que ceux-là sont
« physiquement » stockés à Fort-Knox et qu’il est impossible de les
récupérer autrement qu’en « papier »]).
Les chinois et les russes ouvrent la route de la soie par train complet et
demain un oléoduc, alors que le gaz russe parvient sans encombre jusqu’à Berlin
et même en Ukraine qui reste à avoir un arriéré de factures impayées, là où la
guerre dans le Donbass ne fléchit pas…
Et ne fléchissent pas quant à la politique de l’OPEP en prévision du
blocus sur le pétrole iranien.
Et kurde et nigérien…
Le Venezuela de Chavez, n’est-ce pas…
C’est dans ce maelström qu’on comprend mieux la guerre en Syrie :
Tout converge à « faire sauter » les institutions européennes (on a même parlé du sommet de la semaine dernière avant qu’il ne débute, comme étant HISTORIQUE !).
Eh bien, réunis la semaine dernière, s’accordant d’abord sur leurs
divergences, ils ont relevé le défi et avec panache : Un accord a été
trouvé (et donnera ce qu’il donnera dans les faits). « Mère-Quelle »
n’est plus sur un siège éjectable, mais confortée. Neuf heures de discussion…
« Jupiter » aura salué un accord qui récompense « la coopération européenne ». Giuseppe
Conte, a déclaré que l’« Italie n’est
plus seule ».
L’Europe acte le principe « qui
arrive en Italie, arrive en Europe » et pas seulement dans un pays en
particulier. On va créer « des
plateformes de débarquement dans les pays tiers, sous l'autorité du Haut-Commissariat
aux réfugiés des Nations unies (HCR) ». Ainsi que « des centres (d’accueil) dans
les États européens, mais seulement sur une base volontaire, avec une gestion
collective européenne ».
De plus, une distinction sera faite entre « migrants irréguliers »
à expulser et demandeurs d’asile légitimes, qui pourraient être répartis dans l’UE.
Et enfin, les États membres auront à « prendre
toutes les mesures » internes nécessaires pour éviter les déplacements de
migrants entre pays de l’UE.
Les sauvetages en mer vont être encadrés. « Tous les bateaux doivent respecter les lois, donc aussi les ONG
(organisations non gouvernementales), et
ne pas interférer avec les opérations des garde-côtes libyens ».
« L’Europe aura encore à vivre
longtemps avec des pressions migratoires qui viendront de pays en crise, de
pays pauvres. Nous ne sommes pas une île et nous devons réussir à faire face à
ce défi en étant fidèle à nos valeurs, en protégeant nos peuples et la cohésion
nationale », aura ajouté « Jupiter ».
« Je suis optimiste sur le fait que
nous pouvons maintenant continuer à travailler, même s’il nous reste beaucoup à
faire pour rapprocher les différents points de vue », a réagi la
chancelière allemande.
C’est « un très bon compromis »,
s’est réjoui le Premier ministre « Polak ». « Il y a des déclarations sur des relocalisations (NDLR : la
répartition de demandeurs d'asile) sur
une base volontaire et elles sont basées sur le consensus ».
Concernant les pays de Visegrad (groupe rassemblant Hongrie, Pologne,
République tchèque et Slovaquie), « Jupiter » est resté ouvert à ce
que les modalités de la solidarité soient « flexibles ».
Sauf que « Viktor-Or-ban » a notamment freiné les discussions en
raison de l’emploi du mot « solidarité ».
C’est lui le patron politique (et avec quelle forte majorité) de la
première patrie de George Soros, figurez-vous.
En bref, une esquive, une parade (et quelle parade ! Qui enterre l’accord de Dublin et ne règle absolument aucun problème avant longtemps), avant la prochaine
phase de déstabilisation à venir…
Car la migration s’est déjà tarie. L’étiage est à la baisse depuis
plusieurs mois. Et les ONG n’y pourront rien, sauf à gazer un peu plus en Syrie
dans les semaines d’été qui approchent…
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