On
les adore et elles nous le rendent si bien !
Une jeune épouse tombe éperdument amoureuse de son dentiste.
Ils se voient secrètement dans le cabinet du praticien en
fin de journée, afin que son mari ne se doute de rien.
Mais un jour cependant, le jeune dentiste dit à sa conquête
:
« – Ma chérie, je
suis vraiment désolé, mais nous allons devoir cesser de nous voir. Ton mari ne
va pas tarder à avoir des soupçons !
– Mais non, ne t’inquiète
pas », lui
répond-t-elle. « Il est bête comme
ses pieds ! D’ailleurs, cela fait 6 mois que nous nous voyons, et il n’a
toujours rien remarqué !
– C’est vrai, mais
maintenant, il ne te reste plus qu’une seule dent… »
Une femme approche précipitamment du comptoir des objets
perdus d’un grand magasin.
Elle est seulement vêtue d’un chemisier transparent et d’un
slip tout bleu.
Elle dit à l’employé émerveillé :
« Monsieur,
monsieur, s’il vous plaît, on ne vous a pas rapporté deux enfants accrochés à
une jupe ?
– … »
À la pharmacie, la vendeuse :
« On a des
shampoings pour les cheveux gras, des shampoings pour les cheveux secs, des
shampoings pour les cheveux normaux… »
La cliente :
« En avez-vous
pour des cheveux sales ? »
Jean-Marc :
« Chaque matin
quand je me rase, j’ai l’impression de rajeunir de 10 ans. »
Sa femme :
« Tu devrais te
raser avant de te coucher ! »
Madame :
« Après 12 ans de
thérapie, mon psychiatre m’a dit quelque chose qui m’a donné envie de pleurer.
Il
m’a dit : « I’m so sorry, but I don’t speak French ! »…»
Jean-Marc encore :
« – Trouves-tu que
mon fils me ressemble ?
– Oui, mais c’est pas
grave ; tant qu’il est en bonne santé… »
Jean-Marc toujours :
« Le mariage est
comme un mirage dans le désert…
Palais, cocotiers,
chameaux…
Soudain tout disparaît et
il ne reste que le chameau ! »
Jean-Marc dit à sa femme sur le point
d’accoucher :
« Si le bébé te
ressemble, ça va être extraordinaire. »
Elle, dans les premières douleurs hoquette :
« Si le bébé te ressemble,
ça va être un miracle ! »
Dans une maternité, une infirmière dit à une jeune mère :
« – Votre bébé
est un vrai petit ange. Une fois couché, il ne bouge plus !
– Le portrait craché de
son père ! »
« – Quand je
mourrai », dit Jean-Marc à
sa femme, « je veux que tu me fasses
incinérer.
– C’est bien toi,
ça ! En plus de jeter tes cendres de cigarettes partout, tu veux finir en
cendres. »
Après l’incinération de son mari, la veuve de Jean-Marc a fait placer ses cendres
dans un petit pot que ses amies prirent l’habitude d’utiliser comme cendrier.
Un jour, l’une d’elles, en secouant sa cigarette au-dessus
du pot, jette un regard à l’intérieur.
« Dis donc, ma
belle, j’ai bien l’impression que ton mari prends du poids. »
Une femme téléphone à son mari et lui dit :
« – J’ai passé 2
semaines dans une clinique d’amaigrissement et j’ai fondu de moitié.
– Super ! Restes-y une
autre quinzaine ! »
Au petit-déjeuner, une femme dit à son mari :
« J’te parie que
tu ne sais même pas quel jour on est aujourd’hui ! »
Son mari, Jean-Marc
qui ne le sait visiblement pas, fit semblant d’être indigné :
« Bien sûr que
j’le sais ! »
Il prend son manteau et file travailler.
Vers 10 h 00, on sonne à la porte, sa femme ouvre et un
livreur lui présente un énorme bouquet de fleurs.
Puis, vers 13 h 00, on sonne encore.
Cette fois, le livreur lui remet une magnifique boîte de
chocolat.
Enfin, à 15 h 00, un troisième livreur se présente avec
cette fois, une superbe robe.
La femme en a les larmes aux yeux.
« (sniff) C’est
le plus beau jour de ma vie sans même que ce soit mon anniversaire. »
Deux copines prennent le thé dans un grand hôtel.
« – Jean-Marc est parti en voyage avec sa
maîtresse.
– Qu’est-ce que tu
comptes faire ?
– Mais je vais me venger.
– Comment ?
– Je lui laisse Jean-Marc
et je garde la maison, l’auto, et le chalet.
– Chanceuse ! »
Jean-Marc est un maniaque de la santé et de
l’exercice.
Il lève des poids tous les jours, court 10 kilomètres et
joue au tennis.
Il mange bio, prend des vitamines, se couche tôt, ne bois pas
et ne fume pas.
Une belle bête…
Un bon matin, alors qu’il s’admire dans le miroir, il a un
choc en constatant que son pénis est la seule partie de son corps qui n’est pas
bronzée.
« Je dois régler
ça ! »
Il fonce à la plage, trouve un endroit reculé, se déshabille
complètement, s’enduit le pénis avec de l’huile, se couche et se recouvre
entièrement de sable, à l’exception de son flamboyant appareil viril.
Deux vieilles dames passent par là.
Le regard de la première tombe sur notre homme.
Enfin… sur son pénis.
« – Il n’y a
vraiment pas de justice en ce bas-monde !
– Que veux-tu dire ?
– Écoute… Quand j’avais
10 ans, j’en avais peur. Quand j’avais 20 ans, j’en étais curieuse. Quand
j’avais 30 ans, j’en profitais. Quand j’avais 40 ans, j’en demandais. Quand
j’avais 50 ans, je payais pour en avoir. Quand j’avais 60 ans, je priais pour
en avoir. Quand j’avais 70 ans, j’avais oublié que ça existait…
Et maintenant que j’ai 80
ans, tu parles, elles poussent à l’état sauvage !… »
Une femme agonise.
Un médecin entre dans la chambre.
Il prend le pouls de la femme, et s’adresse à Jean-Marc, son mari :
« – Il y a
longtemps qu’elle râle comme ça ?
– Depuis notre mariage. »
Un aveugle décrit son sport préféré : Le parachutisme.
Quand on lui demande, comment cela se fait-il, il répond que
ce sport est fait pour lui…
« – Quand je suis
devant la porte pour sauter, j’ai ma main placée sur mon anneau de dégagement,
et hop je saute !
– Mais comment savez-vous
que vous êtes proche de la terre ?
– J’ai un sens de
l’odorat très développé, je peux sentir l’odeur des arbres et de la verdure à
plus de 300 pieds.
– Mais comment savez-vous
que vous devez soulever vos jambes pour amoindrir l’impact du contact avec le
sol ?
– Oooooooh, là je le sais
dès qu’il y a du mou dans la laisse du chien. »
Deux touristes franchouillards rentrent de voyage.
Ils ont visité l’Italie et ils ne cessent de vanter les
Italiens.
« – Mais ils sont
extraordinaires ! Toujours joyeux. Toujours souriants. Incroyable…
– Ah oui ! Tant que ça ?
– Vraiment
extraordinaire ! Par exemple, quand nous sommes arrivés à Venise, même si
la ville était inondée, les gens chantaient quand même ! »
Une « revenue » pour finir… :
Avant, c’était 2 fois par nuit. Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est 2 fois par mois.
Avant c’était : « Tu m’essouffles… ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Tu m’étouffes… »
Avant, c’était : « Ne t’arrête pas ! ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Ne commence pas ! »
Avant, c’était
: « Saturday Night fever ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Sunday Night football ».
Avant c’était : « Être
à tes côtés… ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Reste de ton côté ! »
Avant c’était : « Je
me demande ce que je ferais sans elle ? ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « Mais qu’est-ce que je fais avec elle ? »
Avant c’était : « Érotique ».
Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est « Névrotique ».
Avant c’était : « On
croirait qu’on est ensemble depuis toujours ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « On est toujours ensemble ! »
Avant c’était : « Hier
soir, on l’a fait sur le canapé ! ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « Hier soir, j’ai dormi sur le canapé ! »
Elle me fait penser à celle
« d’Alain-Deux-Long » :
« Avant, quand j’avais
20 ans, je croyais que c’était un os. À 40, je pouvais la ployer. À 60, j’étais
capable de la plier en deux. Mais ça c’était avant.
À 80, je peux en faire un
nœud.
Comme quoi, la force
vient avec l’âge ! »
Et puis une dont on me bassine depuis quelques jours :
« I francesi ? Tutti i froci ... Anche i
grandi barbe rosse !
E
piccoli cazzi : dieci centimetri, non di più ! »
Bon, avec la « musique », c’est meilleur, je
reconnais.
Je ne vous traduis pas, c’est en rapport avec l’affaire
Théo, mais ça les fait bien rire…
L’âge du capitaine pour
terminer.
Vous avez été
formidable la semaine dernière : Je n’y reviens pas.
Le serez-vous
cette semaine ?
Deux hommes sont accoudés
au bar d’un tripot.
La barmaid à
moitié-nue leur sert à tous les deux un double-scotch on the rock.
L’un boit son
verre d’un seul trait, alors que l’autre préfère prendre son temps.
Au bout d’un quart
d’heure, le second commence à ressentir des maux d’estomac et pense que siroter
son verre va faire disparaître sa douleur.
Moins d’une heure
plus tard, il s’effondre et meurt manifestement empoisonné...
Que sait-il passé
?
Naturellement, la
police détecte du poison dans son verre et suspecte son ami d’avoir versé de
l’arsenic à l’occasion d’un moment de distraction.
Or, ce dernier est
innocent et ce sera démontré par la suite.
Comment ?
Bon week-end à
toutes et tous !
I3
Oh yeah! Le poison était dans les glaçons qui ont fondu.
RépondreSupprimerLa morale de l'histoire : ne jamais gâcher une boisson avec de l'eau solide ou liquide.
ComtesseÔPiedNu
Absolument !
SupprimerBravo !
Vous avez un esprit remarquablement affûté, ou alors c'est moi qui suis nul.
Parce que j'ai ramé pour trouver quand on me l'a posée...
Je dois être nul, c'est ça : On va arrêter...
Mais mes félicitations méritées, Ô Comtesse au pied dénudé !
Bien à vous et bon week-end !
I-Cube
Mais non vous n'êtes pas nul; c'est la barmaid topless qui vous aura distrait!
SupprimerComtesseÔPiedNu
Ah ?
SupprimerElle était "topless", alors ?
J'ai encore rien vu, là, abruti par le whisky qu'elle a dû me servir...
Mais moi, je le sors direct du congélateur, à moins 30 (plus froid il fait des paillettes) : Ca évite de le couper avec l'eau des glaçons...
Et c'est peut-être ce qui m'a sauvé la vie, finalement.
Comme quoi, je suis "nul" : Un petit verre dans le nez et je ne remarque même plus les charmes d'une jeune-fille.
Dur de vieillir...
Bien à vous Ô Comtesse au pied dénudé.
I-Cube