Un
plan « B » comme « Bébé-roux »
Un véritable carnage : Ce n’est plus une campagne
présidentielle, c’est un plan-cauchemar !
Entre le nouveau binôme « antisystème » « Bébé-Roux/MacRond »,
auquel souscrit déjà « Ségololo » sans le dire vraiment, le prochain
binôme révolutionnaire « Mes-Luches/Âme-mont »
(« Ya-dos-Yoda » s’étant déjà rallié), « Marinella-tchi-tchi »,
« Fifi-le-voyou » devenus complètement inaudibles, comme la plupart
des autres candidats, même que « Dupont-gnangnan » s’en plaint
ouvertement, j’ai quand même deux bonnes nouvelles à vous annoncer et une
mauvaise :
– Le « plan-C », « C » comme
« Cheminable » semble fonctionner : Il aurait déjà ses 500
signatures !
– « Poux-toux », lui ne les aurait pas : C’est
dire où vont les choses.
– Quant à la mauvaise, c’est que nous avons perdu 5 ans avec
« Tagada-à-la-fraise-des-bois », 5 ans où toutes les planètes s’étaient
alignées pour un vrai sursaut de croissance.
Eh bien on va perdre les 5 prochaines années où les planètes
vont commencer à diverger…
Affreux : Comment voulez-vous vous en sortir sans
rivières de sang et montagnes du ruines ?
Plan « B » comme Boulet… Ce gars-là,
« Bébé-Roux », aura vraiment tout fait.
De « Tagada » à « MacRond » en passant
par « Juppette »…
Fortiche la girouette.
Et droit dans ses bottes avec ça, sans même réclamer
Matignon (paraît-il), peut-être seulement un sous-secrétariat pour lui-même et
quelques circonscriptions pour « ses » fidèles qui l’auront suivi
jusque-là.
Pas nombreuses, les circonscriptions, puisque ses fidèles se
comptent sur les doigts d’une seule main… et encore, en étant optimiste.
C’est marrant : Il aura passé son temps à dynamiter la droâte
mieux que « Mythe-errant », mais il aura aussi dynamité son propre
parti : Après moâ, le désert !
Et dire qu’il adoube « MacRond » après l’avoir
qualifié, d’hologramme – façon de vous expliquer qu’il s’agit d’un ectoplasme –
derrière lequel se cachaient les grands intérêts financiers…
D’ailleurs, « les marchés » ne s’y sont pas « trumpés »…
À peine annoncé le ralliement du « boulet », ils
ont applaudi en boostant le CACa40 et en faisant baisser les taux d’emprunt gauloisiens
à 10 ans.
Oh, pas longtemps : En fait les anglo-saxons ne
connaissent que « Marinella-tchi-tchi » et « MacRond ». Et
pour eux ce sera l’une, et là les taux déraperont, ou l’autre, et là les taux
se détendront.
Alors évidemment ils bichent quand ils entendent du
« Boulet » : Il « est
brillant, ses intuitions et son approche lui ont permis de réaliser une
importante percée dans les sondages. Peut-être enfin le projet de dépassement
des clivages que j’ai porté depuis quinze est à portée de main »…
Mais si !
« Qui est Emmanuel
Macron ? », s’interrogeait-il pourtant le 1er février. Un
candidat, qui, rappelait-il durant l’émission Dimanche politique en septembre
2016, « a été l’inspirateur de la
politique économique de François Hollande… Une politique catastrophique ».
J’en suis d’accord.
« La première mesure
annoncée par Emmanuel Macron est de proposer que les jeunes travaillent plus
pour gagner moins », disait-il encore en décembre 2016 sur « Transe-Inter ».
Mais la critique la plus sévère intervient sur BFMTV, quand,
en septembre 2016, il estime que « MacRond » est un candidat « des intérêts financiers » à l’instar de « Bling-bling »
et « Déesse-Khâ ».
Et là encore, j’en suis d’accord, avec toutefois quelques
nuances.
« Je suis absolument
sceptique sur cette affaire (« MacRond »), et quand je dis sceptique, c’est le mot le plus modéré que je puisse
choisir. Ça ne marchera pas, parce que les Français vont voir ce que cette
démarche signifie, ce qu’il y a derrière tout ça, derrière cet hologramme. Il y
a une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois de très grands intérêts
financiers et autres, qui ne se contentent plus d’avoir le pouvoir économique,
ils veulent avoir le pouvoir politique ».
Pas bien sûr, mais c’est à suivre.
Et d’ajouter : « On a
déjà essayé en 2007 avec Nicolas Sarkozy (…) en 2012 avec Dominique Strauss-Kahn… Et ce sont les mêmes forces qui
veulent réussir avec Macron ce qu’elles ont raté avec Strauss-Kahn. Or pour
moi, c’est absolument central, je ne suis pas pour que le pouvoir de l’argent
prenne le pas sur la politique. ».
Ah oui ?
Pour tout dire, il lui trouvait des airs de « bulle de savon », d’un « homme sans densité ».
Et puis tout d’un coup, telle Jeanne-d’Arc entendant des
voix, il résume son choix : « Ce
n’est pas une volte-face, c’est une garantie obtenue… »
Ah bon ? Et pour qui ?
Le rien au milieu du néant décide de rejoindre le vide
propulsé par un feu d’artifice : Le bel attelage que voilà !
En renonçant à ce qui aurait été une quatrième candidature
de saut à l’élastique sans élastique à l’élection présidentielle après 2002,
2007 et 2012, il s’est « offert », donné, dans une proposition dont
les exigences sont suffisamment ridicules pour ne pas être prises en
compte : Il réclame ainsi une « véritable
alternance » et que le programme du candidat « comporte en priorité une loi de moralisation de la vie publique, en
particulier de lutte déterminée contre les conflits d’intérêts ».
La corruption, la prise illégale d’intérêts, la concussion,
lui il s’en contre-cogne les roubignoles sans même se faire souffrir…
Tu m’étonnes, il n’en a peut-être pas !
Auquel il rajoutera, détail important, la mise en place de
la proportionnelle…
Arf : Une pute au moins, quand elle se donne elle se
fait payer… et ne se contente pas d’une vague « non-promesse ».
« Tout est en place
pour qu’on obtienne un changement de la politique française », tout est
dit : Jamais avant ça n’avait été le cas, suppose-t-on de son propos…
Et je peux vous prédire que ce ne sera pas le cas par la
suite.
En fait, le jeune loup vient de bouffer le vieux roublard en
saisissant l’occasion sans même lui donner un coup de griffe.
C’est que le maire de Pau a fait ses comptes : Pas sûr
qu’il atteigne le score de 5 % des suffrages exprimés pour pouvoir se faire
rembourser ses frais de campagne, et là, ç’aurait été sa faillite personnelle
(et partisane).
Alors que désormais, il a un espoir de poursuivre sa
carrière.
Avec « Juppette », il était assuré d’avoir un
ministère et des circonscriptions « réservées » pour ses proches,
puisque, nous l’avons déjà dit, le gagnant des primaires devient ipso-facto patron du parti…
Paf : Le looser-national aura-t-il entraîné la chute de
« Juppette » ?
En tout cas il se replie sur des positions pas préparées à
l’avance et va polluer la campagne de « MacRond » ?
C’est à suivre : On ne peut pas être perdant tout le
temps, mais de là à penser qu’il traine une scoumoune pas croyable, y’a pas
loin…
D’ici à ce qu’il ait le mauvais-œil…
Et voilà-voilà : « MacRond », c’est un petit
gars qui fait 20 % dans les sondages, qui attire des micros et des caméras : Il
faut donc que « nous dépassions nos
intérêts personnels et partisans pour construire l’avenir que la France mérite
», n’est-ce pas.
On pourrait trouver triste cette perte de mémoire pour le
pauvre « Bébé-Roux ».
Mais le plus drôle c’est qu’il touche aussi « Manu-MacRond »
puisque ce dernier, en septembre, répondait aux saillies de celui qui vient
tout juste de le rejoindre : Pour lui il n’était que « le clapotis de la décadence ».
Pas faux…
Et encore pour en rajouter, le premier persiste à dire
l’inverse de ce qu’il fait : Il se défend d’avoir réclamé des
circonscriptions pour ses proches certes, ou une place à la tête du
gouvernement en cas d’arrivée de « Manu-MacRond » à la place du
Calife, mais n’en pense pas moins : « Je
n’ai jamais discuté de circonscriptions pour mes proches… »
C’est assez salaud pour tous ses fidèles grognards…
« Il se trouve
que je ne regarde pas la situation du pays à l’aune de mon intérêt personnel.
Je ne suis candidat à rien. Je suis maire de Pau et je sais que je vais
apporter tout mon effort et tout ce que je suis à l’édification d’un monde
politique nouveau qui lui permettra d’entrer dans une époque où on peut
s’estimer même si on n’a pas les mêmes opinions. »
Que c’est beau cette abnégation « pour le pays ».
Mais ça sonne si creux pour un mek qui aura tenté de bouffer
à tous les râteliers, et même de se faire éconduire par « Ségololo »
en 2002.
Ministre sous « Ballamou » puis sous « Le
Chi », on n’en connait pas beaucoup des comme ça qui voient l’intérêt du
pays par-dessus tout : Une vraie rigolade, finalement.
« Ce qui me frappe en
écoutant les diverses réactions et en recevant des messages très nombreux,
c’est qu’au fond les Français attendaient qu’il y ait un espoir, que quelque
chose apparaisse dans cette campagne », a-t-il déclaré.
« On avait
l’impression d’être dans un marécage dans lequel tous les Français
s’enfonçaient. »
Qui les y avait mis au juste ?…
Pour sortir de cette situation, « il fallait que ça soit dans les actes, pas des paroles mais des actes.
Cet acte a atteint, touché, un grand nombre de Français », a-t-il estimé,
optimiste de lui-même.
Ah oui ? Jusqu’à provoquer un raz-de-marée ou un arrêt
cardiaque de la faune-centriste ?
Qui se débat part ailleurs entre « valoisien »,
PRG, « Rad-soce », UDI et quelques autres pour exister.
En fait le « Mac-Momo-dem » n’a jamais pu faire d’OPA
sur « les centres », même pas du temps de l’UDF, une création sui
generis de « Giskard-A-la-Barre » pour dire qu’il existait lui aussi…
« Mac-Momo-Dem » démissionne face à « MacRond » :
Que de la « malbouffe » qui se bouffe entre-elle… Ça va faire de la
place pour d’autres.
Et il en rajoute : « L’enjeu de cette alliance, c’est de rendre l’espoir à des Français
déboussolés », a-t-il expliqué. « Je crois que cette alliance peut faire entrer dans la réalité ce qui
apparaissait impossible. Si nous y parvenons, nous pouvons faire de grandes choses
ensemble. »
Encore faut-il y parvenir…
Or, force est de constater que de toute façon, y’en a une
qui ne dit rien mais n’en pense pas moins.
« Fifi-le-voyou » étrillé, la « gôche »
divisée comme jamais, le « centre-mou » qui a ses vapeurs éthérées,
un coup sur sa droâte, un coup sur sa « gôche » pour espérer
survivre, même si ça prend la forme d’un suicide politique avéré, elle a
vraiment toutes ses chances de passer dès le premier tour.
Et ça deviendra possible dès qu’elle entrera en campagne, au
lieu d’aller faire le guignol en terres mahométantes.
Là, déjà, son refus du voile devant le mufti local au Liban,
elle donne des leçons à tout le monde…
Personnellement, j’aimerai la voir devant le
pape-François : Le port du voile y est une marque de respect.
Passons.
Car là, c’est plutôt une mauvaise nouvelle.
Notez que le bon côté des choses, c’est que je pourrai
retrouver un bulletin « Cheminable » du « plan C » pour les
deux prochains tours si on en fait deux…
Comme prévu depuis juin 2014, date de création de ce blog, justement pour cette exacte raison.
Je n'ai toujours pas compris les raisons qui vous poussent à voter Larouche....
RépondreSupprimerParce que je suis sûr que celui-là n'arrivera jamais à faire de mal à mon pays à moi-même en se faisant élire !
SupprimerET je ne veux pas en être responsable, de près ou de loin...
Mais je vote, parce que ne pas voter, c'est faire le jeu du "F.haine" qui compte sur les abstentionnistes pour passer au premier tour.
Ca vous va ?
Bien à vous !
I-Cube