Suite du dernier RDV des « Histoires d’en
rire »
Tous les vendredis sur ce blog !
Et on commence par quelques réalités
immémoriales :
La langue française est quand même bizarre. Pourquoi
dit-on UN tabouret et pourquoi UNE chaise ?
Le tabouret a-t-il des petits attributs que personne n’a pas
vus ?
Pourquoi dès que c’est UNE galère, c’est tout de suite
au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça,
c’est pour vous les FEMMES !
Les hommes, le masculin, c’est LE soleil et LE
beau temps, LE paradis !
Les femmes, n’ont pas de chance : LA
cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA balayeuse.
Les hommes, c’est LE café, dans LE fauteuil avec LE journal
en regardant LE foot, et ça pourrait être LE bonheur si les femmes ne venaient pas
mettre LA chicane.
Pour retrouver LE calme, je crois qu’on devrait
laisser LE genre décider…
Elles peuvent regarder LA télé, mais l’homme choisira LE
poste.
Si LA télécommande leur appartient, le masculin en garde LE
contrôle.
Ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non !
D’ailleurs, entre parenthèses, on signale aussi que LE
mot sexe n’a pas de FÉMININ.
On ne dit pas UNE sexe, on dit LE sexe d’UNE FEMME, ou
même LE clitoris, LE vagin.
Par définition, LE plaisir est donc pour les hommes.
Car si les préliminaires sont rapides c’est qu’ils ne
font qu’UN préliminaire.
Plus que ça c’est UNE perte de temps.
Après avoir obtenu UN orgasme, les hommes se
retournent pour trouver LE sommeil pendant que les femmes vivent UNE
frustration.
On dit aussi UN amour, au masculin, mes DES amours au féminin comme d’une invitation aux amours forcément heureuses pour être multiples !
Alors qu’une femme ne peut connaître d’amour heureux, qu’au masculin, dès lors qu'il est au singulier !
D’ailleurs, dès que c’est sérieux, comme par hasard,
c’est tout de suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE p’tite rivière, mais
UN fleuve ou UN océan.
On dit UNE trottinette, mais UN avion à réaction !
Et quand il y a UN problème dans UN avion, c’est tout
de suite UNE catastrophe ! Alors, c’est toujours à cause d’UNE erreur de
pilotage, d’UNE panne, d’UNE mauvaise visibilité, bref à cause d’UNE connerie.
Et alors attention, dès que LA connerie est faite par
UN HOMME, tout de suite, ça ne s’appelle plus UNE connerie, ça s’appelle UN
impondérable !
Enfin, moi, si j’étais une FEMME, je ferais UNE
pétition.
Et il faut faire très, très vite parce que la
situation s’aggrave de jour en jour : Y’a pas si longtemps, elles avaient encore LA
logique, LA bonne vieille logique Féminine.
Ça n’a pas plu aux HOMMES, et Ils ont inventé LE
logiciel.
Mais il y a quand même quelquefois de petits
avantages : Il y a a LE mariage, LE divorce, les femmes LA pension et LA maison.
Elles ont LA carte de crédit, les hommes LE découvert.
Mais en général, LE type qui a inventé LA langue
française n’aimait pas beaucoup les femmes :
Il n’a pas pu s’empêcher de mettre UN accouchement.
Vraiment MASCULIN, UN accouchement !
Ah ça, des erreurs
comme ça il en a fait plein !
UN sac à main, c’est viril à mort !
UN soutien-gorge, c’est pour les camionneurs !
LE maquillage, LE rouge à lèvres …
Il s’est trompé dans l’autre sens aussi : UNE
moustache, ça c’est la FÉMINITÉ poussée à son comble, et puis on ne sait pas
comment IL a fait pour se tromper, parce que très tôt dans LA vie, on découvre
qu’UNE couille c’est pas ce qu’il y a de plus FÉMININ.
Même les aveugles font LA différence.
Bé LUI, IL a rien vu : Hein ? UNE couille ? Kécécéça ?
Oh ben ça doit être FÉMININ, à moins que LA langue
française ait été inventée par UN travesti.
Bon, alors, depuis que je sais tout ça, je fais attention
quand je parle à UNE FEMME pour ne pas LA vexer : Maintenant je fais LE cuisine,
après je fais LE vaisselle et je regarde LE télé en me grattant UN testicule !
Et encore quelques-unes (vérité, blague : FÉMININ) :
« En Amérique,
le sexe est une obsession ; ailleurs, c’est un fait. » – Marlène Dietrich.
« Le cinéma,
c’est comme un père, ça fait rêver. Le théâtre, c’est comme une mère, on y
revient toujours. » – Valérie Lemercier.
« L’argent rend
les hommes fous, lorsqu’ils en ont et lorsqu’ils n’en ont pas. » – Françoise
Sagan.
« La femme
d’un magnétiseur est forcément heureuse car elle a un mari aimant… »
« Une femme
qui veut que son mari lui achète une robe dernier cri aura toujours le dernier
mot. »
« Les
femmes n’aiment pas l’argent ; la preuve, dès qu’elles en ont, elles le
dépensent ! »
Définition du barbecue : C’est là la seule cuisine qu’un
« vrai » homme fera.
Quand un homme se porte volontaire pour faire ce type
de cuisine, la chaîne des événements suivants est alors mise en route :
1. La femme va à l'épicerie.
2. La femme prépare la salade, les légumes et le
dessert.
3. La femme prépare la viande pour la cuisson, la
place sur le plateau avec les ustensiles nécessaires et l’apporte à l’homme qui
est étendu à côté du barbecue en train de prendre une bière.
4. L’homme place la viande sur la grille.
5. La femme va à l’intérieur mettre la table et
vérifie la cuisson des légumes.
6. La femme revient à l’extérieur pour dire à son mari
que la viande est en train de brûler.
7. L’homme enlève la viande de sur la grille et l’apporte
à la femme.
8. La femme prépare les assiettes et les apporte sur
la table.
9. Après le repas, la femme dessert la table et fait
la vaisselle.
10. L'homme demande à la femme si elle a apprécié de
ne pas faire de cuisine.
Et devant son air ennuyé, il en conclut que les femmes
ne sont jamais satisfaites.
Et des comme ça il y en a pléthore :
« Les
hommes sont comme… le ciment.
Une
fois étendus, ils peuvent prendre beaucoup de temps à durcir. »
« Les
hommes sont comme… les lampes magiques.
Ils ont
l’air brillant, mais il faut les frotter pour en faire sortir tout le génie. »
« Les hommes sont comme… le pop-corn !
On a du mal à résister, mais on est vite écœuré. »
« Les
hommes sont comme… l’horoscope.
Ils
vous disent toujours quoi faire et habituellement ils se trompent. »
« Les
hommes sont comme… le mascara.
Ils disparaissent
au moindre signe d’émotion. »
« Les
hommes sont comme… les grenouilles.
Ils ne
pensent qu’à sauter. »
« Les
hommes sont comme… l’essence.
Des
pieds à la ceinture, c’est du super ; de la ceinture aux épaules, c’est de l’ordinaire
; des épaules à la tête, c’est du sans plomb. »
« Les
hommes sont comme… le café.
Les
meilleurs sont riches, chauds et peuvent te tenir éveillée toute la nuit. »
« Les
hommes sont comme… les bananes.
Plus
elles vieillissent, plus elles sont molles. »
« Les
hommes sont comme… les congés.
Ils n’ont
jamais l’air assez long. »
« Les
hommes sont comme… les publicités.
On ne
peut jamais les croire. »
« Les
hommes sont comme… les grands magasins.
Leurs
vêtements sont toujours à moitié prix. »
« Les
hommes sont comme… un caramel.
C’est
bon mais c’est collant ! »
« Les
hommes sont comme… les chiens.
Quand
on les flatte, ils lèvent la queue ! »
« Les
hommes sont comme… la lettre Q.
De gros
zéros avec une petite queue au bout… »
« Et malgré
tout cela, les hommes sont comme… le bon et le mauvais temps.
On ne
peut pas les changer, il faut faire avec ! »
Quelques bons mots historiques de nos sénateurs, à propos des
femmes :
René Hery (1832) : « Dans toute l’histoire de l’humanité, jamais il n’y eu de génie féminin
! … Le suffrage féminin, dès son début, renversera la République ! »
Alexandre Bérard (1919) : « Plus que pour le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites
pour être baisées dévotement, amoureusement.
Séduire
et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Tout ce
qui la détourne du foyer est une violation de la loi humaine. »
Pierre Marraud (1932) : « Les femmes croient-elles que leur intervention dans les luttes
politiques ne les fera pas fatalement descendre du plan très élevé où nous
avons coutume de les placer ? »
(Très élevé ? Si c’est à la hauteur du lit …)
Raymond Duplantier (1932) : « La plupart d’entre-elles n’ont-elles pas des
bouches trop petites pour qu’en puissent sortir les gros mots qui sont trop
souvent la monnaie courante des discussions électorales ? …
Vous
allez augmenter le nombre des femmes alcooliques, si vous leur donnez le droit
de vote. »
Paul-Régis Manset (1922) : « À partir de 30 ans, une femme ne peut que diminuer son prestige en
faisant connaître son âge. En inscrivant son nom sur une carte d’électeur, elle
s’expose donc à de fâcheuses aventures. »
Louis Tissier(1932) : « La femme est en tutelle, c’est une espèce de mineure ! »
(Drôle de façon de considérer la moitié de l’humanité,
et pas la moins inintéressante, non ?)
Et encore une petite « machiste » pour
finir ?
Une femme est en train de cuire des œufs au plat lorsque son mari rentre à la maison.
Il vient dans la cuisine et se met à hurler :
« ATTENTION
! ATTENTION ! PLUS DE BEURRE !
RETOURNE-LES
! RETOURNE-LES !
DU
BEURRE, PLUS DE BEURRE !!
TU NE
VOIS PAS QU'ILS VONT BRULER ?
MAIS
FAIS ATTENTION !
RETOURNE-LES
!
ALLEZ,
DEPECHE! RETOURNE LES MAINTENANT !
MAINTENANT
!
ATTENTION,
TROP DE BEURRE, ÇA VA GICLER ATTENTION !
TU VAS
TE BRULER !
HOLA,
HOLA, BEAUCOUP TROP DE BEURRE !
ET PAS
ASSEZ DE SEL, IL FAUT PLUS DE SEL ! »
La femme devient complètement folle et crie, excédée :
« Mais
enfin, arrête !
Pourquoi
tu cries comme ça ?
Qu’est-ce
qu’il te prend ? »
L’homme se retourne et dit très calmement, en quittant
la cuisine :
« Oh, rien !
C’est
juste pour te montrer ce que ça fait quand tu es à côté de moi en voiture ! »
Bon week-end à toutes et à tous : C’était « histoires
d’en rire », bien sûr !
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