Pas trop envie d'en rire : Quelques
questions métaphysiques
Et leurs réponses…
Parce que vous l’auriez bien mérité, au moins un peu :
Parce que vous l’auriez bien mérité, au moins un peu :
« Quelles sont les dernières
paroles de Jésus ?
Avant je croyais,
maintenant je suis fixé. »
« Pourquoi les curés sont-ils
contre l’amour avant le mariage ?
Parce que ça retarde la
cérémonie. »
« Quel est le gars le plus
populaire dans un camp de nudistes ?
Celui qui peut avoir une
tasse de café dans chaque main et transporter tout de même une douzaine de
beignets. »
« Quelle est la fille la plus
populaire dans un camp de nudistes ?
Celle qui a mangé le
dernier beignet. »
« Quelle est la différence
entre un petit ami et un mari ?
30 minutes. »
« Quelle est la différence
entre un caniche qui te pisse dessus et un pitbull qui te pisse dessus ?
Le pitbull tu le laisses
finir. »
« Quelle différence entre un
rouquin et un requin ?
L’un a les cheveux du père, et l’autre a les
dents de la mer. »
« Quelle est la ressemblance
entre les fonctionnaires et le jeu du Mikado ?
Le premier qui bouge a
perdu. »
« Connaissez-vous la différence
entre Lady Diana et Ronaldo ?
Ronaldo : Accélération,
petit pont et but alors que Diana : Accélération, petit pont et poteau ! »
« Quelle est la différence entre
le papa d’un bébé normal et le papa d’un bébé éprouvette ?
Le papa du bébé
éprouvette est un branleur ! »
« Pourquoi les gorilles ont des
grosses narines ?
Parce qu’ils ont de gros
doigts… »
« Qu’est-ce qu’un homme avec
une mitraillette dans un champ de blé ?
Un céréale killer… »
« Tu sais pourquoi les Gipsy
Kings tiennent leur guitare à la verticale ?
T’as déjà essayé de
répéter à douze dans une seule caravane ? »
« Comment appelle-t-on une
relation sexuelle à la Maison blanche ?
Un rapport de stage. »
Et puis quelques « histoires d’en rire » quand même :
Vers l’âge de six ans, une gamine de 6 ans regarde et écoute une chanteuse
d’opéra en pleine scène à la télévision.
Elle la regarde les yeux écarquillés jusqu’au bout et à la fin, elle se
retourne vers sa mère et dit :
« Dis Maman, si elle continue,
elle va se faire mal aux oreilles ! »
Après avoir soigné une des vaches de la ferme, le vétérinaire se prépare à
partir quand le fermier et sa femme l’arrêtent :
« Dites donc, là, y a l’coq
d’la basse-cour qu’est pas du tout intéressé par l’affaire…
Ça fait bin un mois qu’on
l’a acheté au marché de Saint-Marcellin et on l’a toujours pas vu monter sur
une poule. Z’auriez pas un truc pour lui ? »
Le véto rigole doucement et leur répond :
« Pas de problème ! Une
fois par jour, vous allez attraper votre coq et vous lui frotterez le croupion
à la brosse de chiendent. Ça va lui activer l’organe et avec ça, vos poules passeront
un sale quart d’heure, faites-moi confiance. »
Quand le vétérinaire revient, une semaine plus tard, le fermier s’avance
vers lui clopin-clopant, en faisant des grimaces de douleur à chaque pas :
« Alors, est-ce que vos poules
sont satisfaites ? » demande le véto.
« – Ah les poules, elles se
cachent tellement elles en ont marre que le coq leur coure après, mais par
contre…
– Oui ? » interroge le véto.
« Sauf que la prochaine fois,
ne parlez pas devant ma femme ! »
Albert et Marlène croient tous deux au spiritisme et à la réincarnation.
Un jour, ils se font une promesse mutuelle : Après le décès de l’un ou de
l’autre, le survivant essaiera de contacter le partenaire défunt dans l’autre
monde 30 jours exactement après le décès.
Quelques années plus tard, Albert meurt dans un accident de voiture.
Fidèle à sa promesse, exactement 30 jours après le terrible accident,
Marlène essaie de contacter son doux dans l’au-delà.
Durant la séance de spiritisme, Marlène, en transe, appelle d’une voix
mystique :
« Albert, Albert, c’est Marlène.
M’entends-tu ? »
Une voix d’outre-tombe, encore plus mystique se fait entendre :
« Oui Marlène, je t’entends. »
Marlène, un brin effrayée :
« – Oh, Albert, à quoi
ressemble l’endroit où tu es à présent ?
– C’est magnifique, des
ciels azurés, une tendre brise, des prairies verdoyantes où le soleil brille la
plupart du temps. »
Marlène, en pleurs :
« – Et que fais-tu de ton temps
?
– Eh bien Marlène,
vois-tu, on se lève juste avant le lever du soleil, on petit déjeune
copieusement, et après on ne fait que baiser jusqu’à midi.
Après le déjeuner on fait
la sieste jusqu’à deux heures puis on baise jusqu’à, à peu près, ça dépend du
partenaire, cinq heures.
Ensuite un autre bon
repas et on baise jusqu’à tomber raide de fatigue et finalement s’endormir vers
les 23 heures, ça dépend du partenaire. »
Marlène, toujours en pleurs, mais choquée :
« – C’est à ça que le paradis
ressemble ?
– Le paradis ? Je ne suis
pas au paradis Marlène !
– Snif, où es tu alors ?
– Je suis un lapin, dans
les Cévennes. »
C’est l’histoire du père Mathieu, un fermier de Normandie.
Un jour qu’il était tranquillement en train de traire la Marguerite, y’a
sa fille, Marie qu’est belle comme le jour (et blonde comme les blés), qui
arrive :
« – Dis moi, p’pa…
– Qu’est-ce-qu’y a donc,
la Marie ?
– Ben voilà … Tu sais, ce
soir, y’a une fête chez Jean-Marc.
– Ben plutôt, que
je’l’sais ! C’est-y pas moi qu’ai refilé à Jean-Marc quelques bonnes bouteilles
de calvados de 20 ans d’âge ?
– Chais bin, p’pa. Bah
voilà… J’vroudrais te d’mander… Tu me laisserais-t-y pas y’aller, à la fête de
Jean-Marc, ce soir ?
– Ah non ! Pas question,
la Marie ! Tu es bin trop jeune…
– Mais, j’ai quand même
mes vingt-quatre ans passés…
– Non, la Marie ! Pas
question ! Hé pis on sait bin ce qu’y s’y passe, dans ce genre de soirées.
Comme tu vas y aller
toute seule, et que tu es timide, tu pourras donc pas refuser l’invitation d’un
garçon à danser. Et pis après, y va te payer un verre, pis deux, pis trois.
Et pis ensuite tu vas
avoir chaud, très chaud, tellement que quand le garçon te proposeras d’aller
dehors, tu pourras pas refuser. Et moi, ces gars-là, je les connais…
Le garçon va t’emmener
dans la grange de Jean-Marc, tout en t’embrassant dans le cou. Toi, tu pourras
pas réagir, vu que tu seras ronde.
Ouais, je vois ça d’ici !
Il va t’allonger dans la
paille, et pis il va se déshabiller, et toi aussi.
Et après il va te sauter
dessus, et dans neuf mois, on sera déshonoré !
– Allez, s’il te plaît,
‘pa ! je te promets de faire très attention.
– Bon allez, vas-y-donc,
après tout ! »
Le lendemain, au même endroit, y’a le Mathieu qui trait la Marguerite, et
sa fille approche.
« – Alors, la Marie, comment ça
s’est-y passé, ta soirée ?
– Bin dis donc, p’pa, on
dirait que tu y étais, tellement ça s’est passé comme t’as dit.
Un garçon m’a invité à
danser. Et pis après, il m’a payé un verre, pis deux, pis trois, de ton bon
calva de 20 ans d’âge.
Et pis ensuite j’ai eu
très chaud, tellement qu’on est allé dehors, lui et moi.
Pis le garçon m’a emmené
dans la grange de Jean-Marc, tout en m’embrassant dans le cou. Exactement ce
que t’avais dit !
Pis il m’a allongé dans
la paille, et pis il va se déshabiller, et moi aussi.
Mais là, c’est MOI qui
lui ai sauté dessus, et dans neuf mois, c’est LUI qui sera déshonoré ! »
La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec « et pourtant »
:
« – Vas-y Gérard…
– Hier, j’ai été à la
pêche avec mon papa, et pourtant il pleuvait. »
La maîtresse :
« – Oui, ce n’est pas trop mal.
À toi Isabelle.
– Le chat a attrapé une
souris sous la pluie, et pourtant c’était très glissant. »
La maîtresse :
« Voila, c’est bien. À toi Jean-Marc… »
Jean-Marc réfléchit un instant et se lance :
« Les filles mouillent entre
les jambes, et pourtant elles ne rouillent pas. »
La maîtresse est très mécontente :
« Tu me copieras 100 fois « je
ne raconte pas de grossièreté en classe » pour demain et tu prépareras une
phrase correcte avec « et pourtant ». »
Le lendemain, Jean-Marc remet sa punition à la maîtresse.
« – J’espère que tu as compris.
Vas-y, dis-nous ta nouvelle phrase…
– La terre est ronde et
pourtant ça baise dans tous les coins… »
Une petite dernière avant d’aller préparer votre réveillon ?
Dans le bureau ovale de la Maison Blanche, George W. Bush et son
vice-président Dick Cheney discutent.
Bush se lamente :
« J’en ai marre de toutes ces
blagues sur ma soi-disant idiotie congénitale. »
Le vieux Dick Cheney essaie de calmer son vieux gosse de patron, et lui
répond :
« Bah, ce ne sont que des plaisanteries, et les gens qui les font sont
stupides. Je vais d’ailleurs t’en apporter la preuve. »
Alors, Cheney emmène Bush devant la Maison Blanche et hèle un taxi.
« Emmenez-nous chez moi au 29
Nickel Street pour que je voie si je suis bien à la maison », demande
Cheney au chauffeur.
Le chauffeur de taxi démarre sans dire un mot et les conduits tous les
deux au 29 Nickel Street.
Cheney et Bush descendent et aussitôt le vice-président dit :
« – Alors W. Tu as vu ? Ce type
était vraiment stupide, non ? Il ne nous a même pas fait une seule remarque !
– Tu parles d’un crétin ! » répond George Bush.
« Il y avait une cabine téléphonique
juste au coin de la Maison Blanche, tu aurais pu téléphoner au lieu d’aller
voir en taxi ! »
Bon week-end à toutes et à tous malgré tout !
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