Et
pas seulement en « Gauloisie-du-labeur »…
J’y reviens enfin !
Ce n’est pas la « crise », enfin les crises, mais le progrès
technique qui va générer les plus grandes destructions d’emplois de tous les temps
dans nos pays avancés et même tous les autres.
Le dernier forum de Davos l’a annoncé à travers sa thématique de la
« 4ème révolution industrielle » auquel « mon
boss » a participé de loin en loin.
Il en est revenu, comme je l’ai déjà dit, avec le moral dans les
chaussettes… sous les semelles, même !
1 – Même les grands patrons du monde n’y
croient plus : Ils ont sorti une étude qui estime que d’ici 2020, dans 4
ans donc, la balance entre destruction et création va mener à une perte nette
de 5 millions d’emplois…
Peanuts me direz-vous ?
Sauf que de ce qu’en a rapporté les « sachants » et les médias,
d’abord ça se rapporterait à l’ensemble du monde « des riches »… z’entreprises,
puis ensuite à la seule Europe : Or, ils n’ont rien compris !
Cette étude se base uniquement sur des entretiens avec 1.346 patrons
d’entreprises de toutes tailles, toutes activités, issus des cinq continents.
Et ceux-là répondaient pour eux-mêmes alors qu’ils ne dirigent, de manière
cumulée, que 13,5 millions de salariés dans le monde entier…
Quand vous analysez cette estimation, c’est donc une perte nette de 5
millions de salariés à rapporter à 13,5 millions… soit 37 % du total !
Et à un horizon court : 2020, c’est demain.
Dans 4 ans, pas plus.
Un véritable changement en profondeur qui n’a aucune raison d’être
endiguée sous 10 ans, l’année qui suivra l’exposition universelle de Paris.
En cause, les nouvelles technologies, qui regroupent aussi bien
l’intelligence artificielle, que la robotique, l’automatisation, l’impression
3D, les nanotechnologies ou la génétique : Elles vont radicalement changer
le besoin en main-d’œuvre et la façon de travailler.
Selon cette étude, « la moitié
des patrons pensent que les nouvelles technologies vont changer la nature de
l’emploi et mener vers une forme de fin du salariat, où les travailleurs
seraient payés à la tâche ».
Ce qui m’étonne, c’est qu’ils ne sont que la moitié à le penser…
Alors que les évidences sautent aux yeux.
L’avenir c’est donc beaucoup plus l’auto-entreprenariat, les contrats de
mission, les CDD, l’intérim plutôt que les CDI, comme si ce n'était pas déjà le cas dans les seules embauches…
Non seulement ce dernier ne sera plus jamais « à vie », hors les
fonctions publiques et hospitalière – quoique, là encore il faudra bien tailler
dans le gras pour adapter l’offre et ses financements aux besoins réels –, mais
en plus il a un « coût caché » en cas cessation.
C’est légal et incontournable en cas de licenciement, ça l’est de la même
manière en cas de départ à la retraite, même si tout le monde l’oubli, alors
que justement, la loi « Elle-Konnerie » tente d’en plafonner les
coûts (à un niveau élevé) : Une initiative qui risque de ne devenir
finalement qu’un plancher automatique…
Vous verrez : De quoi tuer tout le dispositif. À l'éviter à tout prix !
D’ailleurs vous le savez maintenant : « Menuet-Valse » a
rencontré, en marge de son passage à Davos, un quarteron de
« big-patrons » qui lui ont tous dit tous les atouts de la
« Gauloisie-prospère » ! Une véritable déclaration d’amour…
Et le « gugusse », avant de se faire traiter de « petit-zizi » par nos agriculteurs, en a pris plein les yeux et a pris conscience
que la seule chose qui bloquait les investissements étrangers, voire les
« relocalisations », c’était une grosse épine dans la voute
plantaire : Le code et les conditions de travail !
Incompréhension manifeste : On ne réglemente pas le progrès technique
et la crise « Taxis/VTC » aura été le révélateur aux yeux du monde de
cette cécité gouvernementale gauloise qui touche à l’autisme mâtinée de
trisomie…
Depuis, il semble qu’on s’oriente vers une solution de « taxation-nouvelle »,
une de plus – ils ne savent faire que ça – pour racheter les licences des taxis
qui prennent leur retraite.
L’erreur aura été de les rendre cessibles : Une erreur historique,
qui va coûter « chaud » à tout le monde, qui date de 1995 (merci à
« Bat-la-mou » et au « cousin-Passe-quoi »), et a été
corrigée par la loi du 1er octobre 2014 n° 2014-1104 modifiant
l’article L. 3121-2 du code des transports, mais que pour l’avenir…
Oh, le CDI ne disparaîtra pas totalement, loin de là, mais va
régresser phénoménalement : Question de coût, de flexibilité, de
réactivité, mais aussi de tâches « régaliennes » voire d’impératifs
de proximité.
Même si les efforts de la robotique restent actuellement – on n’arrête pas
de nous en bassiner – pointés sur l’interface « accueil », il faudra
quand même un type qui ouvre le matin les « boutiques » et
« usines » des « marchands assis », qui les ferme le soir
et qui « relève les compteurs » en journée.
Sans compter la fonction de « dépanneur » et de
« remplaçant ».
Je sais : J’ai bien une femme de ménage pour mes locaux vénitiens.
Non seulement elle déclenche régulièrement l’alarme, mais il faut que je repasse
le balai et le chiffon après son passage, tellement ça reste dégueulasse, moi
le fondé de pouvoir de cette « boutique » de « mon boss-à-moi »,
pas vraiment payé pour ça.
Dans une « autre vie », je faisais même les livraisons de
dépannage urgent, après les heures de fermetures, parce que restées sur le quai-départ,
alors que j’étais le DAF-tout-puissant…
Et je ne te vous raconte pas l’époque où j’étais Secrétaire Général de mon
importateur de patron du moment quand il m’arrivait de passer mon week-end en
avion à aller chercher un échantillon en provenance d’Asie en transit à Téhéran,
resté bêtement oublié en douane, parce que le lundi à la première heure il le
fallait pour le présenter au client et valider ainsi sa commande et qu’il n’y
avait personne d’autre pour le faire…
Je te vous jure, vouloir sauvegarder des emplois, quelle galère
parfois !
Ni la fois où j’ai fait un voyage-éclair en hélicoptère pour aller
chercher une pièce métallique oubliée au fond d’un bassin de galvanisation,
sans quoi le palettier qu’elle devait « verrouiller » menaçait de
s’effondrer au premier coup de vent sur les gusses qui bossaient en-dessous, mettant
au chômage technique le chantier, plus les 200 autres, sortis de là par mesure
de sécurité, à se tourner les pouces pour plus de 24 heures…
Pas mieux quand j’ai embauché toute une équipe de volontaires et loué le
matos pour creuser une tranchée d’un demi kilomètre en 48 heures d’un week-end
afin que les konnards qui n’avaient pas budgété son coût dans leur devis que je
refusais de payer, parce que hors de prix pour ce « dépassement »,
puissent poursuivre la pose de leurs tuyaux d’eau le lundi matin.
Tout ça, aucun robot n’aurait jamais pu le faire, je le sais bien…
Non seulement il faut être « vigilant », mais aussi
« polyvalent », imaginatif, créatif et débrouillard, tout en restant
hautement « spécialisé » dans sa … spécialité.
Or, ce n’est pas vraiment à la portée du premier-venu.
Lorsque le risque statistique de chômage sera de 50 %, alors il faudra
être capable de s’adapter et d’intégrer la précarité, les variations
importantes de revenus et rebondir.
C’est le prochain défi des générations que l’on forme actuellement.
Pour se préparer aux aléas parfaitement prévisibles que l’immense majorité
des gens vont connaître pour ne pas dire subir dans les 10 ans qui viennent.
2 – Reste le problème du financement des
« inactifs » (malades, incapables, feignants, asociaux, retraités,
« trop-jeune », migrants) : C’est simple, il n’y a déjà plus de
pognon dans les caisses.
Et les outils de production (et de distribution) sont en surcapacité et
« fragiles » d’un point de vue financier (comptable, la caisse
quoi !).
Il faut vous dire que le « capitalisme » fonctionne depuis
toujours comme « au moins coûtant ».
C’est même sa raison d’être et pousse au progrès tous les jours : Le
type qui n’est pas dans la course avec son process dépassé au niveau de ses
coûts de production de la valeur-ajoutée, ils meurent et tue l’emploi.
Il est « décliniste » par essence dans un monde fermé et clos.
Des solutions à part partir à la conquête de planètes nouvelles à
coloniser ?
Dans l’attente de cette perspective, les pays du G20 se sont engagés, samedi dernier, à
utiliser tous les outils de politiques, comme la monétaire, la budgétaire ou la
structurelle, pour renforcer le redressement mondial qui reste irrégulier.
« Le redressement mondial
continue, mais il reste variable et au-deçà de notre ambition pour une
croissance puissante, durable et équilibrée », a indiqué un communiqué
publié à l’issue des réunions des ministres des Finances et des gouverneurs de
la banque centrale du G20, organisées durant deux jours à Shanghai.
Ils citent, comme vulnérabilités de l’économie mondiale, des flux de
capitaux volatils, la chute des prix des marchandises, l’escalade de tensions
géopolitiques, une sortie potentielle de l’Union européenne par le Royaume-Uni (le
Brexit dont on reparlera ultérieurement) et des réfugiés en augmentation
massive.
En bref, l’absence de croissance.
D’ailleurs ils consentent à « renforcer
la confiance » et les politiques monétaires continueront de soutenir
l’activité économique et d’assurer la stabilité des prix, mais les outils
monétaires, seuls, ne peuvent mener à une croissance équilibrée, a indiqué le
communiqué, précisent-ils très justement.
Soulignant au passage leur impuissance face un endettement hyper-massif que personne
ne remboursera…
« Nous recourrons à des
politiques budgétaires de manière flexible pour renforcer la croissance, la
création d’emplois et la confiance », a-t-il ajouté.
« Nous calibrerons
attentivement et ferons connaître clairement nos actions liées aux politiques
macroéconomiques et structurelles, afin de réduire l’incertitude, minimiser les
répercussions négatives et promouvoir la transparence », a affirmé ce
communiqué.
Des vœux pieux dans un monde soumis à des conflits qui ne s’épuisent pas,
à une concurrence tous azimuts qui s’exacerbe, à une guerre des devises à
laquelle se rajoute une guerre des matières-premières, pétrole et gaz en
tête : Ils n’ont rien compris, ou se trompent résolument, parce qu’il n’y
aurait pas de solution !
3 – Bien sûr que si, qu’il y a un avenir,
m’exclame-je !
Grosso-modo, il s’agit de faire des gosses, parce
que ça pousse au kul et que (nos femmes aiment ça) ce sont eux-seuls qui
portent l’avenir.
Une façon de tourner le dos aux « déclinistes » !
D’autant que demain, l’énergie ne coûtant
vraisemblablement plus rien, en
fait n’étant plus limitée, ni pour des raisons techniques, ni pour des causes
financières, ni par des « barrages politiques » du type
« dogmatisme-despotique-écolo », il nous sera possible d’avancer encore plus
vite et plus fort.
Mais à condition de façonner un nouveau rapport avec le financement de la
vie d’une humanité toujours plus nombreuse !
Et là, ce n’est pas gagné…
D’une part, nous n’avons aucun « modèle » à proposer qui ait pu
faire ses preuves.
D’autre part, nous allons crouler peu ou prou sur l’afflux de réfugiés, là
dans l’immédiat si encore « la dette » nous laisse le loisir de
survivre.
« Mère-qu’elle » y voit une aubaine économique pour une population
vieillissante et déclinante, ce qui n’est peut-être pas faux…
Mais de là à reprendre le mot de Coluche, « ces immigrants qui viennent bouffer le boulot de nos portugais »,
il n’y a pas loin…
D’ailleurs, on sent de toutes parts les positions s’arc-bouter :
Chacun a peur pour soi et on veut bien le comprendre.
Quitte à rester dans une position rétrograde pour ne pas dire
réactionnaire, de « gôche » comme « d’extrême-droâte », de
défense des « acquis-sociaux » ou des « valeurs Républicaines »
plus ou moins indispensables.
C’est quand même fabuleux ces archétypes de « pensée » qui veut
qu’on soit toute sa vie « au boulot », esclaves de petits-chefs à la
kon, de peur d’être déclassé dans le chômage (une « peine » bien
réelle, il faut le dire) pour espérer atteindre le plus tôt possible l’âge de
la retraite à survivre mal de bobos en bobos jusqu’à l’échéance finale…
Le capitalisme organise aussi la pénurie, même sur le marché du
travail : Dans l’abondance, il n’y a plus de prix-marchand d’une chose ou
d’un service, l’arbitre final de toute activité laborieuse.
Or, il va falloir sortir de ces « équilibres instables » et
« oser ».
C’est une des raisons pour laquelle je suis cette idée de « revenu
universel ».
Si c’est de la « distribution à tous vents », nous n’en auront pas
les moyens et il vaut mieux y renoncer.
Si c’est un « filet de sécurité » adroitement créé et géré à
l’attention de quelques-uns – le plus nombreux possible, en principe, mais en
commençant par un petit-bout seulement – ça peut devenir l’avenir.
Une activité à temps-partiel (même si je n’aime pas l’idée de contingenter
le travail, car c’est voler le « prolo » dans sa seule richesse et, moi le « Corsu », j’ai
un immense respect-natif pour le « laborieux »), voire une multitude d’activités
partielles, salariées ou non, créatives ou de loisir, pour faire la différence
en plus du « filet ».
Quant aux financements, c’est assez facile : Si on devait parler de
« TVA-Sociale », c’est là et seulement là qu’elle prendrait toute sa
valeur.
Vous savez que je suis contre l’idée de cette
« TVA-Sociale » : En prendre plus pour en disposer de moins,
c’est une absurdité, une autre façon de voler le « prolo » malgré
lui, surtout si c’est pour nourrir un Léviathan, voire un Chronos étatique qui
mange ses enfants…
C’est pour cette raison que j’ai proposé l’idée d’une « cotisation
sociale sur les produits manufacturés », CSPM sur les biens et services,
et seulement ceux-là.
Là, il faudra que j’y revienne tôt ou tard, parce que l’idée n’a reçu que
très peu de soutien, alors qu’elle est logique, simple et efficace à plus d’un
titre.
Et qu’elle pose le problème de sa propre universalité … mondiale !
Mais que de problèmes seraient alors dépassés si elle était en place dès
maintenant.
Une autre fois : Je dépasse déjà de 20 % le quota des 2.000 mots
imposé par Monsieur mon « Conseiller omnipotent » pour mes
« billets ».
Bien à toutes et tous !
I-Cube
Je confirme! Pas plus de 2.000 mots!
RépondreSupprimerToutes les idées sont légitimes! Même de CSPM ... Pourvu que ce soit le consommateur qui paye l'impôt et non pas le producteur! Pourvu que le produit importé contribue pareillement au financement de la protection sociale que le produit sur place...
Les femmes poussent au cul? C'est bien ce que j'ai compris et qu'il fallait comprendre ...
Le consommateur paye dans tous les cas, que ce soit via les prélèvements indirects (taxes et cotisations) sur ses consommations ou directement via les prélèvements obligatoires (impôts et cotisations) sur ses revenus (qui devraient servir seulement à satisfaire ses consommations).
SupprimerJamais une vache ne payera la taxe sur ses pets-de-vache (elle n'a pas d'argent), pas plus que le routier la taxe sur les poids-lourd et les cochons la taxe sur les polluants : C'est le consommateur final qui supporte l'ensemble (même l'impôt sur les sociétés et les coûts de marketing, d'acheminement, d'emballage, de manutention et la main d'œuvre qui tourne autour de toutes ses consommations proposées par les entreprises...)
Simplement, la TVA, même sociale est définitivement neutre : Même taux pour tout le monde, peu importe d'où vient le produit acheté ici dans le champ voisin ou ailleurs sur les coteaux de Nice, sa signature carbone, ou je ne sais quoi encore.
Alors que la CSPM touche uniquement l'importateur, pas le produit importé, ce serait un droit de douane prohibé et qui irait directement dans les caisses de Bruxelles, mais le type qui propose la marchandise, "produit-fini", non transformée, pas "ouvragée", ou le service qui aurait pu être produit sur place (ou dans les frontières européennes) et qui vient d'ailleurs.
Ce "surcoût" guide le consommateur frappé au pouvoir d'achat : Ses choix devraient être vite faits.
J'ai déjà simulé que le meilleur taux serait de l'ordre de 30 % et calculé que, Ô surprise, même l'industriel chinois avec ses bas-coûts de main-d'œuvre, ses frais de transport et ses droits de douanes, tout comme l'Etat ou le citoyen local ressortiraient tous "gagnants" si on redistribuait aux "laborieux-gaulois" les économies d'échelle réalisées avec le système.
Presque magique...
De toute façon, au mieux, le consommateur réoriente ses achats à moindre coûts vers des productions locales, ce qui permettrait de favoriser l'emploi local par contrecoup, voire des "relocalisations", et donc diminuerait les dépenses des régimes sociaux en fabriquant des cotisants.
A défaut, il contribue par son achat à la recette de ces mêmes régimes sociaux.
Je vous le dis, c'est très simple non seulement à imaginer (la preuve, moi le "kon-natif", j'ai pu le faire), mais également à mettre en place : Puisque c'est seulement le mécanisme des TCA avec lequel on vivait exclusivement avant l'apparition de la TVA !
Un peu comme les droits sur les alcools, vins, poirés et hydromels... voire les huiles et farines alimentaires, sans que vous vous en rendiez compte.
La différence entre la TVA et la TCA, ce n'est ni l'assiette ni le taux, mais le mécanisme de la déduction de la TVA-amont entre assujettis (que n'est pas le consommateur final qui ne déduit rien du tout) qui n'existait pas dans les TCA et favorisait alors les "circuits-courts".
(Pas pour rien que l'on a inventé à ce moment-là les "grandes surfaces" de la distribution, qui recevaient de la marchandise directement de l'usine par camions complets, sans intermédiaire grossiste et ça fonctionne toujours comme ça chez les hypermarchés, Leclerc, Boulanger, Darty, Carrefour, Auchan & Cie)
Tout kon, en somme...
Bien à vous et bon week-end !
I-Cube
Il ne fait aucun doute que la CSPM est une taxe douanière complètement prohibée par les règlements bruxelliens. La TVA, elle, frappe tous les produits qui entrent sur le territoire. Si on supprime les charges "patronales" et qu'on augmente le taux de TVA devenu préalablement unique de telle sorte que le produit de cette extension rapporte autant que les pertes de recettes provoquées par la suppression des charges "patronales", on rétablit, au moins partiellement, une distorsion de concurrence entre les produits fabriqués dans les pays où les gens sont payés à coup de lance-pierre et les pays où les gens jouissent d'une protection sociale digne de ce nom.
SupprimerMais, comme vous êtes Corse et que vous êtes donc encore plus têtu qu'un Breton (je sais de quoi je parle car je suis Breton!), vous ne voudrez jamais l'admettre.
Effectivement, mais seulement parce que c'est vous qui avait tort !
RépondreSupprimerUn droit de douane sur un caméscope importé, c'est un droit de douane et en plus vous payez de la TVA en sus !
La taxe sur les activités financières, ou celle sur les activités polluantes, voire tout simplement la CSG sur le patrimoine, vous n'avez jamais entendu dire que c'était un droit de douane !
Ah oui, justement, ça n'en est pas un !
Ca rend seulement plus coûteux telle activité ici chez vous, plutôt que là-bas en Italie et là, personne n'en dit que c'est une contrainte contraire au pacte européen de libre-échange des hommes et des capitaux... ni un droit de douane !
Tant que vous n'aurez pas compris ça, je veux dire ces évidences, vous serez comme la plupart des gens qui affirme "savoir" avec la plus grand vigueur et qui sont en réalité et sans le savoir parfaitement ignorantes de leur environnement, notamment juridique !
Ceci dit, vous me confortez dans l'idée qu'il faille que je reprenne et actualise ces posts-là, parce que de toute façon, on va au mur alors qu'on pourrait l'éviter !
Bon week-end à vous !
I-Cube