Le chômage patronal…
La piqûre
semble pourtant prendre, même si c’est dans la jambe de bois des dogmatismes
ambiants : Pas d’employeur => Pas d’employé !
Personnellement,
j’ai commencé ma carrière professionnelle par pointer aux Assedic, à une époque
révolue où on rendait l’uniforme de l’armée des appelés.
Il faut dire
qu’en même temps que de défendre la Patrie bien-aimée (bleus contre rouges), je
poursuivais un cursus d’expert-comptable par correspondance : Pas facile,
je vous assure.
Puis, une fois
libéré de mes obligations citoyennes, j’ai trouvé un poste de « remueur de
palettes » dans une épicerie de quartier et j’ai cumulé deux cursus
« post-bac +++ », en même temps que de remuer des caisses dans la
réserve de la boutique, je précise, puis à préparer les dossiers de quelques
énarques réunis dans une commission saisie pour rendre des avis autorisés…
Bien payé
d’autant que j’abattais le boulot à l’allure de Stakhanov, mais là encore, pas
facile pour préparer mémoire puis thèse et finaliser mes études de droit et
d’expertise-comptable.
En trois ans
qu’a duré la période postérieure, j’ai dû changer 4 ou 5 fois de job, trouvant
« mieux » à chaque fois, jusqu’à me poser comme « DAF »
dans la (grosse) boutique de mon « premier boss » pour de vrai.
Celui-là est mort sénile, ayant perdu mémoire et ciboulot : Il faut dire qu'il notait tout de toutes ses journées depuis l'après-guerre sur des petits cahiers qu'il empilait dans sa cave et qui faisaient « référence ».
Celui-là est mort sénile, ayant perdu mémoire et ciboulot : Il faut dire qu'il notait tout de toutes ses journées depuis l'après-guerre sur des petits cahiers qu'il empilait dans sa cave et qui faisaient « référence ».
C’est dire si
la vie était facile pour moi : Je prenais un kilo par an, malgré les quelques régimes successifs avant d'abandonner l'idée, sans
discontinuer.
Il a fallu que
je dégage pour être frontalement en opposition avec mon « Dégé » de
l’époque qui ne faisait que des konneries et, sur la fin, je passais mon temps
à les rattraper ou à en atténuer les conséquences : Dur métier !
Mais lui était
le « fils de » (la famille associée du boss), moi une barrique qui enflait d’anxiété me
demandant chaque matin ce qu’il allait bien pouvoir inventer pour me pourrir la
journée : Ce gars-là, il arrivait à 10 heures après avoir emmené ses
gosses au collège car il habitait loin. Du coup, il arrivait avec une idée
nouvelle qu’il avait ressassée durant tout le trajet dans les embouteillages.
Et il fallait
donc aller jusqu’au dessert, voire parfois le pousse-café, pour le convaincre qu’il
était atteint de diarrhée-mentale (des idées de crotte qui dégoulinent), et si
je bossais de 7 à 10, je pouvais me remettre à bosser de 15 à 19, quand il
était reparti, avant de me coltiner les embouteillages du soir.
Et le
samedi-dimanche, c’était « Le Boss » qui te vous réveillait au
téléphone à 4 ou 6 plombes du mat’ pour une urgence : C’était un
« matinal » qui s’endormait à table sur le coup des 21 heures si ça
prolongeait un peu trop !
J’étais
« chassé » et je n’ai pas eu trop de mal à retrouver un boulot de
secrétaire général d’une (grosse) boutique d’import-export qu’il fallait
booster.
Mon deuxième boss était pire que le premier : Même en vacances sur son yacht, il était capable de t’envoyer une fournée de fax ou de télex à traiter en urgence…
Mon deuxième boss était pire que le premier : Même en vacances sur son yacht, il était capable de t’envoyer une fournée de fax ou de télex à traiter en urgence…
Je n’ai pas
tenu très longtemps, mission quasiment accomplie !
Le troisième
me foutait une paix royale, mais gâchée par les syndicalistes locaux :
Toujours un kilo de bidoche de plus par an, mais sans régime : Trop jeune et pas le temps pour ça…
Alors je me
suis mis « à mon compte » pour une activité qui n’a même pas de nom
et qui n’existe pas dans les bouquins, au service des
« petits-patrons » : Redresser leur boîte en leur lieu et place,
réduire les coûts, tous les coûts, avec un seul impératif : Préserver
l’outil de travail, donc les compétences en place, donc l’emploi, donc – sauf à
5 exceptions près sur plus de deux décennies – jamais de licenciement !
Et ça a
marché, jusqu’au jour où des « trisomiques » m’ont offert un pont en
or pour reprendre « ma boutique » (qu’ils ont flambée rapidement) au
moment même où je pressentais qu’il fallait que je me casse loin, soit un peu
après le premier tour des élections municipales de 2014 : Là, j’ai balisé
pour l’avenir de mon pays, ce que les scrutins suivants m’ont confirmé.
Tout ça pour
vous dire si le patron de TPE/PME, l’artisan, le semi-industriel, je connais
sur le bout des ongles, tellement j’en ai croisés.
Vous le savez,
depuis, j’ai repris une activité de « fondé de pouvoir » pour un
énième « Boss » sur une offre sur le mode : « Personne ne peut refuser ! »
Admettons, me
suis-je dit : Je pourrai toujours reprendre pied sur mon voilier le moment
voulu.
Pour l’heure,
ça va bien, même si je sais pertinemment que je suis en permanence sur un siège
éjectable : C’est la vie, qui a d’ailleurs désormais un
horizon qui se précise quant à sa durée probable.
Comme je le
disais à « l’Ami-râle », mes toubibs sont optimistes, mais pas mes
assureurs, ce qui veut tout dire… et bien plus !
Ceci précisé,
je reste étonné de la cécité ambiante quant au sort des
« employeurs », cet inconnu hors dogme !
On crache
dessus sans vergogne, le séquestre, l'agresse, l'insulte à l'occasion sans savoir vraiment leurs responsabilités à la tête de
leur boutique, quand il s’agit d’arbitrer entre plusieurs
« inconvénients », ou de louvoyer entre plusieurs impératifs et
récifs par vents contraires.
D’autant
qu’ils sont d’abord « seuls » et la plupart du temps méfiants :
Ils en ont trop vus pour ne plus être naïfs.
Et ils sont 63
à 65.000 à déposer le bilan tous les ans.
Et encore, la
liquidation judiciaire, ce n’est qu’un aspect de ce grand-gâchis de
talents et de volontés : Il y a les liquidations amiables, propres sur elles, sans passif resté impayé, encore plus nombreuses.
Et
pire encore, les cessations d’activité silencieuse qui ne sont jamais
répertoriées.
C’est simple,
s’il y a 6,6 millions de chômeurs (maintenant on ne cause plus que 5,8
millions, peu importe…) c’est qu’il y a des dizaines de milliers d’ex-patrons
qui ont mis la clé sous la porte, plus ou moins discrètement, dans tous les
secteurs d’activité, de l’exercice d’activité libérale à l’industrielle en
passant par les agriculteurs et plein d’autres.
Les études qui
circulent font état de 10 % des chefs d’entreprise qui ont déjà connu une
situation de chômage au cours de leur carrière en tant que dirigeant.
Pour le cabinet Altares, le nombre de défaillances d'entreprises a augmenté de 0,8 % en 2015.
Pour le cabinet Altares, le nombre de défaillances d'entreprises a augmenté de 0,8 % en 2015.
Les tribunaux
ont prononcé 63.081 jugements en 2015, contre 62.586 l'année précédente.
Je vous le
dis, seulement les jugements, pas les radiations pour cessation d'activité, 5 à 6 fois plus
nombreuses : Personne ne saura jamais…
Pire encore,
la note moyenne évaluant la capacité des entreprises (qui font appel aux
marchés) à rembourser leur endettement sur le long terme est à un niveau
légèrement plus bas que pendant la crise financière 2008-2009, indique un
rapport de l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's publié le mardi
12 janvier dernier : Heureusement qu’elle ne note pas les autres !
C’est une
partie de mon activité, avec mes « fameux scoring » abondamment copiés
et mis au point dans le milieu des années 80, qui explique, au cas par cas,
pour quelles raisons les banquiers ne financent plus l’activité
économique : Un, la situation est très loin d’être brillante ; deux,
les perspectives ne sont pas meilleures ; trois, les banquiers eux-mêmes
sont tétanisés par « les risques » : Résultat, ils préfèrent
payer des taux d’intérêt négatifs pour garder à l’équilibre leur précieux
ratios imposés par l’autorité étatique quand ce n’est pas l’Europe et la
finance mondiale !
Autrement dit,
ce n’est pas « que du bonheur » qui se prépare, loin de là.
D’ailleurs, Le
directeur du pôle Entrepreneuriat Étudiants de l’université de Grenoble nous
raconte que : « Connaissant le
milieu et les difficultés que peuvent rencontrer les entrepreneurs, je trouve
ces chiffres plutôt bas ».
Il a
raison : Ils ne prennent pas tout en compte.
Là encore,
c’est juste de l’arithmétique-basique : On se plait à raconter depuis deux
ou trois décennies que 200 à 250.000 nouvelles « immatriculations »
sont constatées tous les ans.
On devrait donc
trouver plus de 6 millions d’entreprises à rajouter au stock préexistants des
années 90 et… elles ne sont pas plus nombreuses qu’à cette époque-là :
Toujours entre 2 et 3 millions selon les époques et le périmètre que l’on
compte !
Dans leur
ensemble, les chefs d’entreprise n’ont pas froid aux yeux : 64 % d’entre eux
disent ne pas avoir peur de se retrouver au chômage. « Le chômage, c’est l’échec, une sanction, un tabou », résume un chef
d’entreprise qui a connu une longue période de chômage après la fermeture de
son entreprise, avant de rebondir avec un nouveau projet entrepreneurial.
Cette
dévalorisation de l’inactivité peut parfois virer au déni. « Le chef d’entreprise est dans le présent, il
doit gérer les problèmes au quotidien, ce qui peut l’empêcher de se projeter
».
Je dirai même,
« les urgences & konneries »…
Un déni qui se
retrouve dans les chiffres d’une autre étude : Si 86 % des chefs d’entreprise
interrogés disent être conscients qu’ils ne seront pas couverts en cas de
chômage, seuls 3 % ont choisi de s’assurer (parce que c’est possible).
Pourquoi si
peu d’anticipation ?
« L’entrepreneur est habitué à regarder toutes
ses dépenses. Il ne veut pas dépenser à des fins non-productives ».
Alors que même
pour retrouver un emploi, les chefs d’entreprise ne font pas confiance à
« Paul-en-ploie » : « J’ai
préféré me tourner vers mon propre réseau et plancher sur un nouveau projet
entrepreneurial. Ça m’a boosté ! », témoigne un autre.
Il faut dire
que c’est galère chez « Paul-en-ploie » pour trouver un salarié
proche du profil recherché : Je peux en témoigner quand je présidais aux
destinées de mes « petites-associations ».
Quand j’étais
salarié, je ne m’en occupais pas, me réservant le dernier entretien d'embauche : Autant choisir la personne avec qui on va travailler, dès qu'on peut.
Et quand
j’étais « patron » de ma « petite-boutique », je n’avais
pas de salarié : Que des collaborateurs « patrons-chez eux ».
Au moins, sur
les dossiers des clients, on parle d’égal à égal, sans arrière-pensée et quelle
que soit le rôle de chacun.
Reste, tout de
même, que 56 % des chefs d’entreprise qui ont connu une période de chômage font
le choix de devenir salarié. « Un choix
pas facile même si l’entrepreneuriat demande plus de sacrifices, il faut aussi
quitter plus de liberté ».
Ce n’est même
pas vrai : Combien de cadres supérieurs ai-je rencontré m’affirmant que le
« lien de subordination », ils n’en ont jamais souffert ?
En revanche,
on gagne en confort quand on est salarié…
Le mythe du loup et
le chien de Lafontaine, ça vous rappelle quelque chose ?
Pourtant, le
chômage peut se révéler comme une expérience bénéfique pour le chef
d’entreprise. « J’ai découvert des
ressources en moi que je n’aurais pas eu en étant salarié : Capacité à
résister, à rebondir, et à positiver. »
Personnellement,
ce qui m’a le plus étonné, ce n’est pas ça (tellement j’ai confiance,
abusivement peut-être, en moi-même) : C’était de découvrir le nombre de
gens, considérable, bien plus que je ne pouvais l’imaginer, qui glandaient –
très occupés au demeurant – sur les boulevards !
J’avais
tellement l’habitude des embouteillages, que j’étais inconsciemment persuadé
que tout le monde était comme moi, à devoir rentrer aux mêmes horaires de
dingue, ne pouvant pas le faire plus tôt…
Je crois que
le pire, quand j’étais parigot, c’était l’A4 : Plus d’une fois, j’ai pris
le raccourcis de la bande d’arrêt d’urgence…
Les autres
chemins, c’était « file de gôche » en toutes circonstances.
Toutefois, je
souhaite garder à l’esprit ce qu’on oublie souvent qui est l’incertitude dans
laquelle les entrepreneurs sont plongés depuis toujours, mais plus férocement
depuis bientôt 10 ans et souligne la résistance qui est la leur et que, grâce à
leur bravoure, ils combattent ce chômage endémique qu’ils aimeraient eux aussi voir
reculer (C’est une chaîne : Les salariés des clients et/ou fournisseurs,
sont les clients des clients et/ou fournisseurs. Quand les uns vont, tous les
autres vont !).
Lorsque
l’économie va mal, ils connaissent des moments très difficiles dans leur
existence professionnelle et personne ne semble vouloir le voir.
Certes, le
malheur des uns n’est pas à opposer à celui des autres, il s’agit juste ne pas
oublier qu’il n’y a pas d’emploi sans employeurs !
La période de
mutation économique que nous connaissons depuis 2008 aura été la plus difficile
que le monde occidental ait connu depuis l'effondrement de 1929 ; depuis la
crise des subprimes de 2008, environ 65.000 entreprises par an ont été forcées
de mettre la clef sous la porte ; passées pour la plupart par la procédure de
sauvegarde et liquidées en grande majorité : Une catastrophe.
Un autre point
à noter : Selon des chiffres cités par l'Institut de veille sanitaire
(InVS) lors d'un récent colloque, 480.000 salariés seraient concernés par la
souffrance psychique au travail. Mais ce même institut interpelle sur le fait
que la médecine du travail n'a pas mission, ni personne d'autre d'ailleurs, de
comptabiliser ces mêmes données en ce
qui concerne les travailleurs non-salariés (TNS), c'est-à-dire, en grande
partie, des dirigeants d'entreprises.
Les dirigeants
et notamment les plus jeunes se pensent immunisés. « Il y a une idéologie du leadership qui interdit tout signe de
faiblesse, à la fois dans le comportement et dans la parole du patron »,
explique un enseignant-chercheur spécialiste des PME à l'université de
Montpellier et fondateur de l'observatoire Amarok, premier du genre à étudier
la santé au travail des patrons.
Et je confirme
de mon côté : Que croyez-vous que soit l’origine de « mon
diabète », hors la bouffe trop riche, trop rapidement et trop mal
préparée ?
Le
stress !
J’ai même eu
un client, major européen dans son activité, atteint de Parkinson : À
force, il ne pouvait même plus signer les chèques ni les contrats…, même de la
main « gôche ».
Étonnant et
pourtant vrai pour un droitier !
Un type qui
avait été champion de tir-à-l’arc dans une autre vie antérieure et qui ne
pouvait plus conduire tellement il était handicapé…
Notez qu’il
avait les moyens d’un « TUC » (Travailleur d’Utilité Collective, un
dispositif oublié des années 90) pour le véhiculer.
J’espère,
j’espère seulement, que le discours va changer : Il change à la marge
quand le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » en dit qu’il
n’est pas capable de créer des emplois, mais seulement « les conditions pour que les entreprises
créent des emplois ».
Un discours
que l’on n’entend même pas dans les rangs de la « droâte ».
Nonobstant,
lui compte bien faire baisser le chômage de 500.000 âmes avec ses contrats de
« formation » : Une façon comme une autre de s’autoriser à se
représenter l’année prochaine, avec du pognon qui n’est pas à lui (et que
personne n’a encore avant quelques dizaines d’années) !
Et ce sera
suffisant pour que tout le monde gobe la manipulation.
Vous verrez bien
tout seul, parce que je ne suis pas sûr d’avoir le temps de vous en reparler.
Allons! Allons! Il ne faut pas broyer du noir ... Ca n'aide pas à surmonter les problèmes. Hardi, Nom de Dieu!
RépondreSupprimerPour le reste, avez vous évolué quant à l'idée d'universaliser la protection sociale et donc de fiscaliser le financement de cette protection? Que pensez vous de mon idée consistant à supprimer les cotisations "sociales" (hors retraites car, ça, c'est très particulier puisque c'est nécessairement individualisé) et à étendre la CSG (un seul taux sur TOUS les revenus!) ainsi qu'à transformer l'ISF en modeste impôt sur TOUS les patrimoines (0,1% sur la valeur de tous les biens possédés par la personne propriétaire)?
Moi, broyer du noir ?
SupprimerLaissez moi en rire (même si ça tire sur ma côte manquante) !
Je ne dis jamais que ce qui existe, au moins dans ce post finalement très personnel...
Il s'agit de regarder les évidences, mêmes si vous ne voulez pas les voir : Ca ne changera rien, elles existent toujours>
Ce n'est certainement pas en se cachant la tête dans un sac que vous éviterez les catastrophes !
Quant à l'universalité des prestations sociales, elle existe déjà au moins quant aux soins.
Mais en contrepartie, les complémentaires deviennent obligatoires et leur champ va s'étendre : Des coûts supplémentaires "obligés".
Et personnellement je l'étendrai volontiers aux retraites à la fis en déplafonnant les cotisations actuellement calculées sur des tranches absurdes et transformerai le tout en "achat de points" : Je crois que sur ce plan-là, on se rejoint.
Mais dans mon esprit, ça permettrai de cotiser fort pour pouvoir partir plus tôt en retraite, dès que c'est possible (pour ceux pour qui le boulot n'est pas une drogue) : C'est juste un calcul d'actuariel assez facile à faire !
Mais qui est impossible actuellement...
Leur fiscalisation ? Mais ça marche déjà comme ça au Portugal et chez nous avec la CSG et la CRDS.
D'ailleurs, vous n'êtes peut-être pas au courant, mais ça fait des années et des années que les revenus du patrimoine, qui n'auraient pas à s'assurer contre la maladie ou l'invalidité, ni même la retraite, contribuent à ces prélèvements et à des taux supérieurs de ce que supporte le "laborieux" sur ses salaires !
Il faudrait peut-être vous mettre à jour ou vous tenir au courant : Il y a des sites comme legifrance pour ça, et quantité d'autres...
Moi, d'Italie, je parviens encore à me tenir au courant de façon confortable et utile de cette façon-là !
Quant à l'ISF à assiette élargie, je le veux bien même si c'est à un taux ridicule tel que ça paraîtrait "décalé".
Mais vous savez bien qu'un taux, c'est fait pour être augmenté, jamais pour diminuer.
Et à force - les taux haut tuent l'impôt - c'est parfaitement contreproductif : Il vous suffit pour vous en convaincre de regarder comment la TVA rentre (et pourtant l'augmentation de taux a été minime) voire quelques autres, le plus symbolique ayant été la vignette auto.
Tellement magnifique, qu'ils ont fini par la supprimer tellement ça les a démoralisés.
Alors bon, ce n'est pas la "baguette-magique" de l'avenir, c'est clair !
Bien à vous quand même et bonne soirée !
I-Cube